Orëh Irth'nal, demi-drow [Assassin][Validé]

Note: Cette fiche contient des passages assez difficiles sur les thèmes de blessures physiques, de sang, de passages semi-érotiques et de réactions qui pourraient choquer certaines personnes. Le langage n'est pas non plus de qualité bisnounours. Ne lisez que si vous êtes prêt à y faire face, je suis assez sérieux sur l'avertissement.

Note 2: Après avoir finalement finit tout le texte, j’ai réalisé que certains passages étaient vraiment trop descriptifs et « dur », je fais donc une différente publication pour le forum avec les scènes plus corsées enlevés. Cependant si quelqu’un tient à avoir le texte en entier je peux fournir une copie ou alors visitez le lien au bas de la fiche.


Nom/Prénom : Irth'nal, Orëh

Âge : 29 (19*1.5 arrondi au chiffre supérieur)

Sexe : Mâle (non je ne suis pas sexiste j'aime juste mieux les mâle...^^)

Race : Demi-drow (sang humain dominant)

Particularité : A une attirance folle pour le sang. Certains dirait un sadique moi je dis passionné^^
Il lui manque un doigt à la main gauche (le majeur).
Parfois prit par des grandes crises de folie, parfois annoncé parfois sans aucun avertissement.

Alignement : neutre mauvais

Métier : assassin/tueur

Classe d'arme : Corps à corps / Magie

Équipement :
Javelot à deux lames: Ce javelot fait d'un manche de bois léger recouvert de métal offre une légèreté incomparable dans son style. Les deux lames elles permettent de porter de divers coups et causer des dégâts internes très sérieux autant que de simples coupures.

2 saïs: Venant presque toujours en pair, ces deux armes offre la possibilité de faire des entailles fines et très précise. En grand besoin elles peuvent aussi être lancées mais ne sont pas d'une grande précision.

Description physique : Orëh Irth'nal, jeune demi-drow aux cheveux noirs. Les yeux d'un rouge clair d'où se voit souvent sa rage et sa soit disante folie. Il préfère de loin s'habiller en rouge sombre, certains croient que c'est pour aller avec ses yeux mais c'est en fait pour cacher le sang qui lui est tombé dessus, de plus cela le permet d'avoir toujours cette couleur vermeille à l'œil. De taille moyenne et relativement mince, il est en bonne forme et condition physique. Il garde souvent son corps caché par des vêtements afin de dissimuler ses nombreuses cicatrices causé autant par son père et ses geôliers que par lui-même.

Description mentale : Orëh se retrouve souvent dans une zone grise de son esprit, quand un problème survient, il se laisse guider par des voix issue de sa folie. Il les croit bénéfiques et salvatrices, si elles demandent quelque chose il le fera car il sait qu’en échange elles le laisse faire ce qu’il veut. Un arrangement bénéfique pour les deux parties.

Cependant lorsqu’il n’est pas entrain de « s’occuper » d’une de ses victimes, Orëh est une toute autre personne. Quand la folie régresse, sa passion et joie de vivre la suis. En circonstances normal, ont voit le jeune seul et très silencieux. La solitude l’a accompagnée dès ses débuts et ne semble pas vouloir le laisser.

Pendant ses périodes « calmes », Orëh essaye de rester relativement inaperçus. Il ne volera rien, ou alors le stricte minimum en prenant tout ses précautions, mais ne vas pas jusqu’à éviter des soldats, après tout ils ne peuvent rien connaître de ses activités.

De temps à autre Orëh tombe sur un esprit sympathique et devient presque ami, malgré son silence. Cependant dès que celui-ci devient un peu trop près de lui il s’enfuit, il ne tient absolument pas à ce que quelqu’un qui ne le trouve pas mauvais connaisse la réalité. Ainsi pour leur bonheur, ils ne le reverront plus jamais.

Orëh n’est pas un assassin de rue, il ne va pas prendre une victime au hasard et s’acharner sur elle. Celons lui le traitement qu’il offre à ses victimes est toujours une punition pour des crimes commis. Une prison n’est jamais assez mauvaise ni sur pour que la personne connaisse la douleur de ceux à qui il a fait mal, mais sous les mains du demi-drow, la il connaîtra l’autre bout de l’épée.

Il ne se considère pas comme un libérateur des pauvre et maltraité, son choix de cible est quasiment subconscient, seul certaines personnes l’interesse.



Histoire :

*Note de l’auteur : Certaines parties de l’histoire sont beaucoup plus explicite sur le thème violence, torture et érotique. Les parties en questions ont été enlevées de cette version. Ne pas les lires n’handicapera pas énormément l’histoire elle-même cependant elles apportent un bon ajout pour la compréhension du personnage. Si vous tenez à avoir la version complète, veuillez me contacter. Les endroits ou se trouvait un passage censuré sont marqué par " ~~~~~~~ ".

P.S. désoler mais c’est bien long ^^’

edit: eh beh c'est plus long que je ne croyais, si c'est trop long, dites le et je fait un gros résumé, ne vous inquiétez pas de toute façon je vais le faire éventuellement donc ce ne sera pas une charge en plus.

Partie 1: la mort d'une mère

Orëh Irth'nal, jeune demi-drow né de l'union d'un père drow et d’une mère humaine. Dès son plus jeune age il se fit appeler bâtard, sang impure, souillure et tout les autres noms qui pouvait l'accompagner. Alors qu'Orëh grandissait il dut s'habitué à vivre avec les coups constant de son père, enfin du père qui l'avait renié. Ayant été trop jeune pour faire de grandes taches, le jeune était devenu un défouloir pour le sombre, alors que les années passèrent, les habitudes ne changèrent simplement pas. Pourquoi avait-il eu le droit de voir le jour, Orëh se le demanda toujours.

Un soir, les cris de sa mère retentirent de nouveaux dans la résidence, elle devait subir une nouvelle torture de son père ou un nouveau viol; qu'importe lequel il n'y avait que peux de différences entre les deux. Curieusement il réalisa que son père avait choix de dizaine d'esclave mais n'avait jamais montré autant d'intérêt que pour sa mère. Cependant cette nuit c'était différent, Orëh ne serait dire pourquoi mais quelque chose dans les cris de sa mère n'avait pas le même ton que d'habitude. Cette fois si la terreur à l'état pur y était, les cris n'étaient pas a cause de simples douleurs mais bien d'une nouvelle peur, plus grande qu'il n'avait jamais entendue. Les cris durèrent toute la nuit baissant de temps en temps d'intensité jusqu’au point ou ils se turent presque mais alors ils reprenaient de plus belle. Son père devait être en train de la tué lentement, en jouant avec son esprit et son corps, mais surement par la fin de la nuit elle serait couché dans une marre de son propre sang. Comme d'habitude, Orëh ne porta pas plus d'attention aux cris de sa mère et se laissa prendre par le sommeil.

Le lendemain matin il se réveilla lorsque son père le tira de son lit et le bâta. Ce n'était pas la première fois et ne serait surement pas la dernière. Orëh encaissa les coups sans se soucier des dégâts. Son corps comptait déjà de nombreuse cicatrices et autres marques due à la violence de son père et peut-être que cette fois ci en recevrais t'il de nouvelles. Comme à son habitude, son père n'avait pas prit d'armes, il agissait à main nue ce qui n'empêchait pas les os brisé et des entailles profondes. Quand enfin il eu finit il le laissa tomber au sol sans grande cérémonie, après tout il n’était qu’un bâtard, un pantin sur lequel son père pouvait se défouler.

Orëh reprenait alors ses sens, et examina d'un esprit rêveur les dégâts de cette intervention. Il tata ses cotes et puis son cranes, ensuite ses jambes et bras et c'est la qu'il s'arrêta car il sentie un doux liquide qu'il connaissait bien: son sang. Son regard tomba sur son bras d'où s'écoulait un filet de sang. Il regarda le sang couler le long de son bras, les goutes avancées restant prises dans un poil et ensuite rattrapé par le flot général. Le sang continua de couler en se roulant comme un serpent au tour de son bras, passant son coude son avant bras et ensuite sa paume. La le sang s'infiltrait dans chaque creux, chaque rides. Le filet se divisa en cinq, un pour chaque doigt. Goutte à goutte le sang tomba à terre, laissa sur place cinq petite flaques de sang. Quand la source se coagula, le sang commença à sécher sous le regard toujours admiratif et rêveur de Orëh. Quand il finit de sécher, il fit bouger son bras, le pliant forçant ainsi la croute à casser. Ce beau filet de rouge foncé pure, liquide de la vie et cause de maintes morts, se séchant en une détestable croute noirâtre.

Partie 2: la mort d'un père

Seulement quelques instants après s'être remis de la "punition" de son bourreau il s'était dirigé de suite vers la chambre d'où était venus les cris de sa mère. Comme il le croyait, il ne trouva que le corps sans vie de sa mère. Un corps avec les longs cheveux sombres teinté de rouge carmin, un rouge venant de la flaque du liquide de la vie. Orëh Irth'nal avança dans la flaque et se pencha vers sa mère repoussant une mèche rebelle sur son visage. Certains méprendrait ceci pour un geste ultime de compassion, un geste qui avouait ses tords et demanderait pardon a travers la mort mais ils se tromperaient. La mèche cachait une lacération au niveau de la joue, la taille d'un ongle ou le sang c'était écoulé un peu et ensuite séché. Il regarda le reste du corps trouvant de nombreuse coupure partout le long de son corps, certaines petites, presque insignifiantes et d'autre de la taille que ferait un poignard. Cette nuit avait bel et bien été plus qu'un simple viol sanglant, cela avait été un abattoir et pourtant Orëh n'en ressentait rien, il paraissait en transe, subjugué par la netteté des coupures et entailles.

Son observation avait duré des heures et ce n'est que quand presque tout le sang avait séché qu'il quitta la chambre, sa tunique marron foncer souiller de sang. Il se rendit à sa chambre, recueil plus fictif que réel des ses songes. Les journées passèrent et son père sembla se perdre dans sa folie, une folie qui l'empêchait de toucher n'importe qui, il s'isolait à longueur de journée. Éprouvait-il du remord pour ses actes? Non cela était impossible par pour un Drow de sang pure comme lui, jamais la mise à mort d'une esclave ne pourrait le choqué à tel point ce devait être autre chose, Orëh en était sur, cependant ce qui le tracassait il n'en avait aucune idée.

De nombreux jours passèrent et il resta froid par la mort de sa mère, seul son expérience sanguine resta en mémoire, le plaisir qu'il avait eu à voire autant de sang s'écouler, s'étendre et tout cela en une simple journée. Mais tout semblait maintenant d'une monotonie impossible, il se levait, mangeait et se rendormait. Son père restait confiné à sa chambre et lui n'avait rien à faire n'étant pas autoriser à sortir de l'antre familial.

Peu à peu, Orëh commença à comprendre ce qui se passait, ce n’avait pas été bien compliqué. Presque chaque jour un guérisseur ou herboriste esclave venait au domaine. Son père devait être vraiment malade car aucun d’eux ne venaient des environs du marais, tous venaient directement du Puy. La maladie semblait le rongé lentement et personne ne pouvait y faire grand-chose. Peu à peu la vie se voyait moins dans les yeux du Drow.

Un an passa dans cette monotonie impossible. La plus part des esclaves s'était échappé et son père n'en avait rien fait, il n’en avait ni le cœur ni la force. L'antre familial se détériorait de jour en jour mais personne n'en semblait affecter. Cependant le jour de la mort de sa mère, son père entra en criant dans sa chambre, jamais Orëh n'avait-il vu de telles colères folles dans les yeux de quelqu'un. Une partie de lui se réjouissait, la monotonie était finit, l'excitation et la violence revenait. Son autre partie cependant avait remarqué le poignard dentelé que tenait son père, si il le laissait faire il serait mort d'ici peu. Son père se teint debout plein de rage a quelques pas de son lit, sans bouger. Ne sachant que trop faire Orëh se leva et se mit debout devant lui. Dès que leurs yeux se rencontrèrent, il vit un éclat de haine et de folie pure. Ont disait des yeux qu'ils étaient la réflexion de l'âme, et bien cette fois ci l'âme de son père devait être bien folle. D'un revers de la main son père l'envoya voler sur son lit et tomber de l'autre côté. Orëh ce reprit et porta sa main a sa bouche y sentant le délicieux liquide rouge. Un sourire se traça sur ses lèvres mais ne fut que de courte durée quand son père lui envoya un coup de pied dans les côtes.

- "Tu est bien heureux humain! Vivre ici sans rien faire, eh bien il est temps que ça change!"

- "Humain?" c'était la première fois qu'ont le traitait de sorte, "un humain moi, non je suis ton fils, toi un drow de sang pur qui c'est accouplé avec une sauvageonne humaine."

Sa réaction ne réussit que à enragé encore plus son père qui sauta par dessus le lit cherchant à le poignarder. Le poignard vola vers lui guider par la main sur d'un tueur aguerri et se ne fut que grâce à un mélange de réflexe et de chance qu'Orëh réussis à s'éloigner de la lame qui se ficha dans le sol en bois. Roulant sur lui même, Orëh décrocha un coup de pied dans le ventre de son père sans effet. Celui-ci se retourna avec un sourire sadique en amenant le poignard de façon menaçante.

- "Bien éviter bâtard humain, mais la prochaine fois cette lame te traversera le cou de part en part et ensuite je vais broyer ta petite tête fragile."

Orëh resta de marbre devant ses dires, imaginant comment le sang se mêlerait aux souillures du corps, le rouge pur du corps souillé par des immondices.

- "Tu n'as pas peur peau blanche? Si tu préfère j'enfoncerais ma lame dans ton ventre et la ferait doucement glissé vers tes poumons et ensuite ton cœur te donnant une longue et douloureuse mort. Ah quel délice ce sera de te voire te tordre de douleur voyant tes tripes se déverser sur le sol."

A ces mots, le père se lança vers lui s'apprêtant à trancher le long du torse d'Orëh. Un réflexe aussi malheureux qu'heureux lui permit d'éviter la lame partiellement. Il bondit en arrière voyant en ralenti la lame dentelée qui filait ou il se tenait il y a simplement un instant. Il suivit la trajectoire de la lame jusqu'à ce qu'il réalise que sa main gauche n'avait pas assez bougé d'un geste ultime il tenta de la dégagé mais sentie rapidement le froid de l'acier lui mordre les doigts. Il tomba au sol se tenant la main d'où s'écoulait beaucoup de sang, trop pour n'être qu'une simple entaille, même profonde. Il leva la tête et si son père se tenant debout devant lui, toujours avec le regard plein de rage mais avec une petite lueur de satisfaction. Son regard tomba de nouveau sur sa main gauche. Il retira sa main droite qui avait été entrain de la serrer tout du long et vit avec grande surprise que chaque doigt avait une profonde entaille qui devait en pas passer loin de l'os. Quand il arriva a son majeur, il réalisa avec stupeur qu'il n'était pas la, a sa place se tenait le vide dans lequel s'écoulait un flot de sang. Il observa sa main, curieux de ne pas sentir une immense douleur, son père l'avait privé d'une partie de son corps et pourtant il n'en sentait rien de spécial. Après sa courte inspection il redonna son attention à son père qui se tenait toujours droit devant lui avec un sourire sadique.

-"Ce n'est que le début mon petit, prépare toi à ressentir de tels douleurs que tu n'aurais jamais pu imaginées."

Sur ce, le père se lança sur son fils voulant de nouveau porter un coup avec la lame mais une rage douce commença à enveloppé Orëh, quelque chose qui lui disait de ne plus rester sans contre-attaqué, de ne plus rester l'esclave à ce faux père. Une détermination nouvelle prit le jeune et il se prépara au premier vrai combat de sa vie. Un combat qui était sans aucun doute jusqu'à la mort de l'un d'eux.

D'un bond vif, Orëh esquiva la lame en se déplaçant sur le coté frappant son père dans la nuque alors qu'il passait à côté de lui. Il roula sur le sol mais ce releva de suite apparemment insensible au coup. A peine relevé, son père bondit sur lui ne le laissant pas le temps de s'échapper. Piégeant son fils au sol de son poids, ses deux jambes sur les bras d'Orëh, il reprit son poignard de main sur. Lentement il fit glisser les dents le long du bras droit d'Orëh arrachant plus de peau qu'il ne coupait. Quand il eu parcouru le long de l'avant bras, il ramena la lame trempé de sang et de lambeaux de chairs. Apparemment satisfait de sa maigre réussite, le Drow renversa sa tête et ria aux cieux comme pour prouver aux dieux eux-mêmes qu'il accomplissait ce qu'il voulait.

Voyant une occasion de se débarrasser du poids qui l'oppressait, Orëh se contorsionna et roula sur sa gauche se dérobant de celui qui lui avait mutilé. Son père toujours au sol, Orëh se permit un regard à son bras et y vit le sang y couler abondamment, ce ne pouvait être bon; une telle perte de sang le ferait surement rapidement perdre connaissance. Cependant il n'avait pas le temps de s'occuper de sa blessure, son père chargeait de nouveau. Plus vite qu'il ne put réagir, le Drow sauta sur Orëh les amenant tout le deux au sol. Orëh heurta sa tête sur le sol et fut sonné un moment, un temps précieux que son père pris. Se relevant à moitié il leva sa lame et la plongea vers la tête de son fils.

Voyant la lame s'approcher de lui, il tourna la tête, plus par réflexe qu'autre chose et la lame vint lui déchirer sa joue gauche et se planta dans le bois du sol. La douleur enfla en lui comme une mer enragée. Il roula sur lui même laissant un flot de sang impressionnant sur le sol. Son amputation du doigt, son bras et maintenant sa joue laissait couler du sang et ne semblait pas vouloir s'arrêter. Il entendait son cœur battre dans ses oreilles, la douleur le rendait fou. Il tourna son regard vers son père qui essayait tant bien que mal d'extraire la lame du sol où elle s'était fichée. Orëh donna un coup de pied vers les poignets de son père espérant le faire lâcher prise mais le résultat dépassa largement se qu'il voulait. A l'impact, il eu un bruit de cassement sec suivit des hurlements du Drow assassin, sans le vouloir il lui avait cassé un poignet. Le Drow recula jusqu'à une armoire ou il s'adossa se tenant le poignet.

Ne songeant pas à ses actions, Orëh laissa sa rage et douleur le guider. Il se releva d'un bond, le corps en feu, pris la lame dans le sol et se rua vers son père. Il quitta le sol et plongea vers son père lame brandit devant lui visant le cœur. Il vit son père lever sa main en guise de protection et puis soudainement un voile noir obstrua sa vision et il valsa dans le pénombre.

Orëh sortait peu à peu du sommeil jusqu'à ce que l’évènement récent le rattrape. Il tenta de se lever mais s'écroula alors qu'il tentait de se tenir debout. Allonger à terre et plein de sueur, il vit deux femmes arriver en courant et l'aider à retourner au lit. Ces deux femmes étaient des servantes, il en était sur. Pourquoi donc l'aidaient t'il, cela ne faisait pas de sens, jamais quelqu'un n'était venu prendre soin de lui. Alors qu'il s'allongeait avec l'aide des deux jeunes femmes, Orëh tenta d'avoir des informations.

- "M...M...Mon" Il avait la gorge bien trop sèche pour parler, il lui semblait que chaque syllabe qu'il prononçait lui arrachait de la peau dans sa gorge. Comme si elle avait pu lire ses pensées, une des servantes lui amena un verre d'eau qu'il but d'un coup. "Mon père... Est-il mort?". A ces mots les deux servantes se regardèrent avec un regard de confusion et de semi panique, un regard qui n'échappa pas à Orëh. "Dites le moi, je veux savoir si je l'aie tué!" Il avait crié ces derniers mots, autant apeuré que curieux.

Une des deux femmes semblait très mal à l'aise et semblait sur le point de répondre mais l'autre finit par lui couper la parole avant qu'elle puisse commencer.

-"Notre mait... Ton père est mort, ta lame à transpercer son cœur, il est mort sur place."

Orëh se laissa retomber dans son lit, soulagé par ce qu'il venait d'apprendre. Son oppresseur, le démon de ses jours et nuits avait finit par rejoindre Tarïa, la déesse des morts. Il était enfin libre, mais libre de faire quoi...

Partie 3: La mort de l'âme

Cela faisait maintenant une semaine qu'Orëh avait tué son père, il avait prit tout ce temps à ce rétablir et il était maintenant près à quitter ce domaine ou il avait vécu ses seules et pires moments de sa vie. Les dernières servantes étant parties depuis déjà l'aube, il quitta la demeure sans se retourner, le passé ne deviendrait qu'une mémoire, qu'une chose dont il serait un des seuls à connaître l'existence.

Après une journée de marche, Orëh finit par atteindre les extrémités du marais de Faélia. Cependant la nuit tombait et il devait se reposer autant que cela le déplu. Il tenta temps bien que mal d'allumer un feu mais le seul peu de bois qu'il trouvait n'était pas du tout sec, à vrai dire ont aurais dit que les branches avaient baignées dans l'eau. Laissant tomber le feu, il s'allongea sur le sol et porta son regard aux cieux couverts de nuages. Seul la lumière de la lune parvenait de temps à autre à pénétré la masse de nuages faisant des jeux sur les alentours d'Orëh.

Le sommeil ne semblait pas vouloir s'offrir au jeune assassin. Il avait beau ce tenir immobile sur le sol a cherchez et attendre le doux repos il ne vint pas. A ça place arrivèrent la douleur et les mémoires. L'endroit ou se tenait avant son majeur commença à l'offrir une douleur pareil au jour ou il l'avait perdu. Des flashes de sa bataille avec son père ne cessaient de réapparaitre dans son esprit. Il revoyait et ressentait au centuple ce qu'il avait vécu il n'y a seulement quelques jours. La douleur qui ne cessait d'escalader en intensité rendait fou le jeune demi-drow. Il continua à se tordre de douleur au sol, toutes ses anciennes blessures semblant fraiches à nouveau, il brisa d'un coup le silence des marais par un hurlement inhumain, un cri de fureur et de douleur.

Son calvaire continua la nuit durant et ne sembla pas vouloir s'arrêter pour le soleil. La douleur s'étant atténué un peu il tenta d'avancer, de quitter cet endroit maudit qui était toujours trop près de son ancienne vie. Il se mit en marche en titubant au début puis finit par marcher droit. Petit à petit la douleur disparaissait, s'atténuant, se faisait repousser dans ses arrières pensés. Cependant dès que la nuit retomba, ses forces disparurent et l'abandonnèrent.

Orëh marchait depuis longtemps, depuis très longtemps. Il n'aurait su dire si cela faisait des mois ou seulement cinq jours. Dans ses brefs moments de lucidité il réussissait à se restaurer comme il pouvait, mais constamment il avait faim. Cette fièvre qui l'attaquait sans cesse, prenant ses forces, le rendant presque l'égal d'un mort vivant. L'épuisement le faisait souvent chuté, tombé face dans la boue, de l'eau ou de la terre. De temps à autre il se relevait de suite et poursuivait à marcher et à d'autre il resta étendu là sur le sol gisant parfois dans l'inconscience.

Le paysage commençait à changer un peu, les arbres se faisaient plus grands et l'eau moins présente, il quittait enfin le marrais. A cette idée il se sentit revigoré un moment, se tenant droit pour la première fois depuis longtemps, il regarda son nouveau terrain de marche. Celui-ci au moins serait plus appréciable. A peine eut-il finit de voire le monde d'un œil un peu meilleur que la fièvre revint de plus belle, l'envoyant directement valser dans l'inconscience.

Orëh se réveilla doucement, toujours sous l'emprise de la fièvre qui ne semblait pas vouloir le lâcher. Il leva son regard aux cieux et vit le ciel constellé d'étoiles, il s'était de nouveau réveiller en pleine nuit. Combien de temps avait-il dormis? Depuis combien de temps était il partit? Le demi-drow n'aurait sut le dire car tous ses derniers jours étais teint d'un flou complet, c'est à peine si il se rappelait avoir marché quand il était passablement lucide. Il se redressa prenant appuie à un arbre près de lui quand il vit de la lumière au loin, une teinte orangé qui se réfléchissait dans les arbres. Sans se demander si les gens à l'origine du feu était hostile ou gentil, il s'y dirigea. N'ayant pas la pleine possession des ses capacité, il faisait un bruit affreux et il était maintenant sur qu'il ne pourrait surprendre les propriétaires du feu qui luisait toujours.

Ne tenant déjà presque plus debout alors qu'il approchait le feu, le moment ou il se trouva dans le petit éclaircis ou se trouvait deux chevaux et un homme assis en tailleur recouvert par une couverture, il s'écroula perdant connaissance encore une fois.

Orëh se réveilla au contact doux d'un linge mouillé sur son front, il releva les yeux et vit une jeune fille humaine qui ne pouvait avoir plus de 25 ans. Elle avait une jolie chevelure brune, des yeux d'un brun qui jumelait parfaitement ses boucles et un visage si fin que l'innocence y semblait peinte.

"Il se réveil Barun" fit elle vers une silhouette se situant non loin. A ce moment l'homme qu'il avait vue assit en tailleur à son arriver se leva et vint vers lui. Il se tenait au dessus de lui avec le soleil dans son dos, empêchant le jeune de voire correctement ses traits. D'une voix grave mais cependant assez jeune, l'homme s'adressa à lui.

"Que fait tu ici, ceci n'est pas un endroit pour voyager seul. Sans nous tu était mort." Sur ses simples mots il se retourna et repartit d'ou il venait. Après ses mots froids, Orëh ressentit de nouveau le linge frais sur lui, il tourna la tête et vit la jeune femme lui sourire. "Ignore le, il aboie fort mais ne mort pas sans raisons." Légèrement apaisé, Orëh se sentit retomber dans un sommeil troublé par des rêves de son passé récent.

Des jours passèrent et la fièvre commençait à partir sous les bons soins d'Elijha, la jeune femme qui l'avait prit sous son aile afin de le rétablir. Barun n'avait cependant pas voulu s'arrêter indéfiniment et décida donc de partir sur le champ. Orëh voulait se repayer d'une façon ou d'une autre mais Elijha refusait tout. Après avoir fait ses adieux, il se retourna et continua dans la direction qu'il avait prise il y a quelques jours. Il n'avait que fait quelques pas qu'il entendit quelqu'un qui courait vers lui. Il eu à peine le temps de se retourner et de voire Barun que celui-ci abattit un gourdin improvisé sur ses épaules, le forçant à genou. Il n'eut pas le temps de reprendre ses esprit qu'un pied vient à l'encontre de son crane, l'envoyant directement au pays des songes.

De temps en temps, Orëh se sentait revenir à la réalité et s'y accrochait au temps qu'il pouvait mais ne réussissait qu'a ressentir des secousses et puis il retomba dans le gouffre noir.

Orëh fut sortit violemment du sommeil quand il ressentit qu'ont l'avait giflé, et cela sans se retenir. Il ouvra les yeux d'un coup, furieux de s'être fait frapper de la sorte. Il vit devant lui Elijha qui avait un sourire narquois au visage, il tenta de se déplacer mais sentit ses bras et jambes liées, il était complètement immobilisé. Il regarda ses alentours et réalise qu'il devait se trouver dans une charrette, comment les deux avaient-ils réussis à s'en acquérir une en si peu de temps, il n'en était pas sur, après tout ils avaient bien pu simplement la cacher non loin de la. Quelque soit le cas, il était maintenant prisonnier des deux à qui il devait, il n'y avait que quelques instants, la vie.

Apparemment heureux de voire que sa proie était réveiller, elle le quitta et partit de l'autre côté du voile. Quelques secondes après, Barun entra dans le petit compartiment un poignard à la main.

“Alors mon petit ont essayait de s’enfuir? Tu n’aurais pas du essayer de nous fausser compagnie.” Orëh allait répliquer mais à peine eu t’il ouvert la bouche que Barun le gifla du revers de la main. “Tu ne parle que lorsque l’un de nous deux l’ordonnera, en tout moment tu seras silencieux sinon tu en souffriras.” A ces mots, Il exhiba la lame et la fit doucement tournoyée devant les yeux du prisonnier et d’un coup rapide et précis coupa la chemise du prisonnier en ne laissant qu’une fine ligne de sang comme trace. La chemise, privé de soutient tomba au sol avec quelques gouttes de sang pour l’accompagner. Après s’être assure que sont prisonnier avait bien compris, il approcha une boite et s’assit dessus, une jambe par dessus l’autre, le poignard bien installé dans son entrejambe. Barun ne cessait de l’observer avec un regard qui semblait vouloir percer l’âme même d’Orëh, celui-ci avait soutenu le regard un moment mais c’était par la suite désintéressé et regardait sa bien petite prison.

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Ce devait faire des jours, voire des semaines que durait son calvaire Orëh n’aurait su le dire. Ont l’avait maintenu pendant tellement longtemps au bord entre la vie et la mort qu’il en avait perdu la raison. A chaque fois qu’il semblait s’endormir, sa geôlière était la pour l’empêcher de profiter de l’échappatoire offert par les rêves et le sommeil. Les rares moments où il pouvait dormir furent remplis d’horreur. Il ne faisait que ce réveillé d’un monde de tourments pour ce retrouvé projeter dans un monde bien pire.

Quel était le son des oiseaux, de quelle couleur était le dehors de cette cabine? Tous des souvenirs qu’Orëh ne parvenait pas a se souvenirs. Il se perdait peu à peu dans la folie, parfois il perdait toute conscience de son corps durant les séances de torture et parfois il se réveillant prise à des tortures imaginé par son esprit seul.

Orëh voyait de moins en moins Balrun mais Elijha elle restait toujours présente. Son visage pur et innocent se teintait d’une aura démoniaque alors qu’elle entamait ses jeux. Elle s’amusait comme une folle, variait les tortures ne laissant jamais son chien s’habituer a quoi que ce soit. Un jour elle pouvait s’attaquer au dos et l’autre aux pieds. Rien ne semblait guider ses actions sauf la folie pure. Mais pire que cela c’était une folie contrôler, jamais n’avait elle agit de façon incoordonnée.

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Une fois qu’elle eu finit son œuvre, elle se sépara des deux hommes afin de mieux voire son travail. Satisfaite, elle posa une main sur l’épaule de son amant signe de lâcher le jeune prisonier. Privé du support qui le maintenait debout, son corps tomba jusqu’à ce que les chaines le rattrapent, l’immobilisant au dessus du sol dans une position extrêmement douloureuse, les deux bras tendus dans son dos.

Voyant sa proie tomber, Elijha secoua la tête, déçu de la résistance d’un jeune dans la fleur de l’âge. « Ont ne peux pas l’avoir comme ça, il faut qu’il puisse admirer le spectacle pas le sol. » Déjà les voix semblaient distantes, presque d’un autre monde. Les mains qui remettaient debout semblaient être des fantômes.

Le sombre monde dans lequel il se trouvait s’assombrissait encore plus jusqu'à ce que le noir complet ce face. Cependant ce n’était pas un sombre réel, le noir venait de son âme. Les bras et chaînes qui l’attachaient et le soutenaient n’agissaient plus sur lui, il était une toute autre personne.

Il glissait dans ce néant, enfin la douleur était partie en même temps que son corps, seul son âme restait, flottant, errant dans ce noir, dans cette paix. Mais le silence ne dura pas, des voix commencèrent à se faire entendre, mais pas des voix comme d’habitude, ces voix ci avaient quelque chose d’envoutant, quelque chose qui inspirait la confiance.

« Bienvenu Orëh, cela faisait un moment que nous t’attendions. » Une ivresse sans pareil l’empara alors que les voix continuèrent à le parler, peux à peux il se laissa aller, laissa les douces voix l’envoute, rentrer dans son âme et en prendre contrôle.

L’infini sembla s’écouler, sans douleur, sans bonheur, sans aucune sensation, seul la paix unique et parfaite existait rendant la vie une extase sans fin. Cependant peu a peux le vrai monde revint en existence, toutes les mémoires de ce qui semblait une autre vie revenait a lui, lentement mais sûrement.

Quand enfin ce ne fut plus que le vrai monde, que le monde de la paix s’en fut, Orëh commença à revoir et à ressentir ses membres. Ses bras, ses jambes, tout semblait si étrange, si anormal.

Quand ses yeux se réhabituèrent finalement au vrai monde la première chose qu’il vit fut les deux corps de ses geôliers entrelacés ensemble. Curieusement cela ne le faisait rien, il ne sentait toujours rien, comme si il n’était qu’un spectateur dans son corps. D’une voix qui était sienne mais qu’il ne contrôlait pas, il s’adressa au couple. « Allons, arrêtons ce stupide jeu, détachez moi, après tout n’est-on pas mieux à trois qu’à deux? »

Elijha releva se retourna alors et jeta un regard empli de temps de confusion qu’Orëh croyait qu’elle allait restée sans voix. Elle se reprit vite, souris et l’invita à se rejoindre a eux. « Je voudrais bien, » répliqua de nouveau sa voix, « mais il y a ses chaînes qui m’entrave quelque peu. »

Les deux s’arrêtèrent net, il n’avait jamais du avoir un prisonnier qui s’adressait a eux d’un ton si calme, si froid sans pour autant l’être menaçant. Elijha se retourna vers son amant et murmura quelque chose à son oreille. Celui-ci paru hésiter un moment et finit par se lever. Il s’approcha du corps d’Orëh, s’arrêta un moment devant lui et puis commença à détacher les chaines.

Orëh sentit les chaines se relâcher et puis enfin se détacher complètement. A sa grande surprise son corps resta debout, si ca avait été lui en contrôle de son corps, il serait sûrement tombé. Il n’arrivait pas à comprendre comment cela était possible mais en même temps il s’en foutait car son autre semblait très bien se débrouillé.

Elijha se leva devant lui, l’examina de nouveau de la tête aux pieds, souria et se rapprocha encore un peu plus. Se penchant doucement vers lui et l’embrassa, sans laisser une pause, elle s’attaqua à ses vêtements, le déshabillant rapidement.

Une fois déshabillé, la femme prit la main de son amant et ensuit tendit la main vers le demi-drow. Sans perdre un instant le corps d’Orëh, toujours sans son contrôle, attrapa la main tendue vers lui. Le trio retourna de nouveau au centre afin de reprendre leurs jeux.

Orëh regardait impuissamment alors que sont corps avançait sans poser aucune résistance. Il n’avait aucune envie de participer à cet acte. Il commença à crié et se forcer de résister, mais son corps ne réagissait pas du moindre.

Les trois finirent par atteindre le centre, Elijha leurs lâcha la main et s’allongea sur son dos, toujours nue, invitant ses deux compagnons à le rejoindre. Alors que Barun commença à s’agenouiller, Orëh assista à une scène des plus inattendues. D’un geste parfait et fluide le corps de jeune demi-drow se raidit, sa tourner sa tête, il envoya son pied sur le genou de l’homme. Avant même de l’entendre se brise, le demi-drow se retourna, attrapa un couteau qui avait été laissé sur une boite non loin. Tout en continuant le même geste, avant même que l’humaine ne comprenne ce qui se passe, il se jeta sur elle, l’attrapa et roula sur le sol avec elle alors même qu’il plaquait la lame à sa gorge. En deux secondes, il avait immobilisé l’homme et restreint la femme, les deux étaient sous son contrôle, L’esprit d’Orëh n’avait même pas eu le temps de faire une pensée.

Le demi-drow resta allongé sur son dos avec la femme collée contre lui, la lame plaquée à sa gorge. C’est alors qu’elle eu enfin le premier reflexe de défense, mais la prise du demi-drow était bonne, la jeune femme ne réussis que à se faire couper. L’homme lui était maintenant allongé au sol tenant son genou et grognant de douleur. Orëh ne parvenait pas accepter ce qui venait de se passer, c’était impossible, jamais n’avait il vu quelqu’un faire quelque chose comme cela, encore moins lui-même.

A sa surprise, il commença de nouveau à sentir son corps, il arrivait à ressentir ses bras, la lame dans sa main et sa proie au bout de celle-ci. « Tu es libre maintenant. » firent de nouveaux les voix de son esprit. « C’est à toi maintenant de décider ce qui va arriver avec ces deux. Ton corps t’appartient de nouveau! » A ses mots, son corps répondit complètement à ses ordres, s’étaient tellement étrange d’avoir cette masse à contrôler.

Il sentit la femme gémir et se débattre un peu sur lui, sans le réaliser il avait serré son éteinte et la lame entamait de nouveau sa chaire. Il relâcha un peu la pression mais garda la lame appuyé contre le cou de sa victime. Il jeta de nouveau un regard à Barun et vit dans ses yeux de la douleur, mais pas pour lui, il avait peur pour la femme… Comme s’était étrange, un être sans cœur comme lui pouvait avoir de l’affection pour une autre personne.

Orëh ne savait pas exactement ce qu’il devait faire à présent. Pour une raison qui le dépassait il ne voulait pas les tués, probablement car ils méritaient pire que mourir d’une simple lame, une mort rapide, ils ne la méritaient pas. Mais il savait qui serait le candidat parfait pour son œuvre. La nature, elle offrait vraiment autant de beauté que d’horreur.

Orëh se releva doucement s’assurant que la femme suivait ses gestes et que l’homme lui restait a une bonne distance. « Si vous ne voulez pas que tout ceci devienne pire, vous allez faire comme je le dit. Toi l’homme, tu reste loin de moi, au moindre geste Elijha se retrouvera avec une tête en moins. » Barun hocha la tête. « Quand à toi, » fit il en s’adressant à la femme, « tu vas me suivre bien docilement et faire ce que je te dis si tu ne veux pas qu’il arrive quoi que ce soit.

Lentement Orëh amena Elijha dehors. Alors qu’il descendait de la charrette, il perdit pied et trébucha se retrouvant dos à terre. Sans perdre une seconde, la femme se jeta sur lui cependant le demi-drow fut plus rapide. Avant même que la femme n’aie touchée le sol, Orëh avait roulé sur le coté et couper au passage le bras de la jeune femme. Rien de trop grave, elle survivrait mais pas sans en souffrir. L’homme sorti alors à son tour en courant afin de voir ce qui se passait. Il n’eut que le temps de voire le demi-drow de nouveau attraper la femme et l’immobilisée. Le jeune demi-drow commençait à se sentir faiblir, il fallait absolument qu’il fasse quelque chose, et vite sinon il serait de nouveau leur prisonnier.

« Toi! » fit-il en s’adressant à Barun, « Va me chercher les chaines et les cordes qui se trouvent dans la caravane, n’essaie pas de me tromper, je me rappel parfaitement combien il en avait.

En attendant le retour de l’homme, Orëh avança avec sa prisonnière vers la forêt, plus spécifiquement vers le gros chêne à quelques pas de lui. Une fois à proximité il se retourna et attendit que Barun revienne avec ce qu’il avait demandé. « Tu ne te crois sérieusement pas capable de te sortir de ce pétrin vivant petit? » c’était Elijha qui avait repris la parole, « Avec ce que tu viens de faire je peux t’assurer que tu souffriras encore bien plus longtemps, et moi qui allait faire finir tes misères après cet instant d’amour. »

« Silence femme! » fit Orëh d’un ton plus froid qu’il n’eut jamais parlé. Afin de la convaincre qu’il était sérieux, il appuya encore un peu plus avec sa lame causant un nouveau filet de sang à naître. « Non! Pitié ne la faite pas mal! » Le cri venait de Barun, il avait été plus rapide que prévu, surtout tenant compte de son genou cassé, enfin cela ne pouvait qu’aider le jeune, que les deux saches qu’il ne jouait pas un jeu.

« Très bien, si tu ne veux pas que je fasse de mal a cette femme tu vas l’attacher bien solidement aux chevilles et à la ceinture. Tu l’attacheras à cet arbre. Compris? » L’homme hocha la tête et se dépêcha de se mettre au travail. « Oh, et Barun, si tu ne serre pas assez fort, je te tuerais et puis attacherais cette femme moi-même, je ne suis pas si sur que tu veuille que je fasse cela. » L’homme hocha de nouveau la tête mais la femme jeta un regard meurtrier au demi-drow, ce dernier ne fit que sourire.

Une fois qu’il eu finit sa tache, Orëh commanda à l’homme de se mettre dos à l’arbre afin qu’il soit immobilisé de la même façon. Il hésita un moment, mais quand le demi-drow menaça de nouveau la femme il se plia à sa volonté.

Une fois son travail finit, Orëh prit un peu de recul afin de voire ses deux geôliers prit au piège à leur tour, et lui leur prisonnier libre.

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Les rayons de soleils commencèrent à percer a travers le couvert des arbres. La nuit avait semblé bien courte pour le jeune demi-drow, mais pour les deux humains elle avait été une agonisante éternité. Les animaux avaient tous fuit depuis déjà longtemps suite aux cris de douleurs et de panique des deux prisonniers.

Orëh, lui était assit sur une souche non loin de la, assez près pour les entendre murmurer mais assez loin pour rester hors de leurs champs de vision direct. Il les observa, les deux nus et recouverts de zébrures rouges. La nuit s’était passée comme un rêve, et Orëh ne parvenait que vaguement à se rappeler pourquoi il portait lui aussi des fines entailles.

Il se releva maintenant qu’il faisait bien jour, il était libre et ne voulait pas gaspiller son temps.

L’homme semblait au bord de la folie et la mort, il avait été très facile a brisé et à contrôlé, c’est avec la femme que l’expérience avait été la plus amusante. Cependant en ce moment elle semblait vouloir s’endormir, chose normal après une nuit pareil, mais Orëh ne pouvait laisser ce moment de repos, il était libre. Il plaça sa main sous le menton d’Elijha et la releva doucement, « Réveille toi ma jolie, ce n’est pas le temps pour dormir. » murmura t’il toujours d’une douce voix.

La femme était consciente mais à peine, ne voulant pas la perdre tout de suite, Orëh appliqua un petit truc appris au cours de la nuit. Il se pencha lentement vers elle et l’embrassa. Sans y songer, la femme l’embrassa de retour. Ils restèrent un moment ainsi, jusqu’à ce que la femme ouvre les yeux et voit qui se trouvait devant elle, alors elle cria de nouveau. Ayant obtenu plus qu’il ne voulait, Orëh recula de quelques pas sous le regard plein de haine, douleur et de peur de la femme.

« Y’a rien à dire ma jolie, tu embrasse vraiment comme un esprit, et avec le corps que tu as… » Orëh jeta un regard de nouveau sur le corps dénudé de la femme, « Pas étonnant que cet homme t’obéisse sans hésiter. » Orëh avait espérer une réaction quelconque mais fut déçu quand elle ne fit que maintenir son regard.

« Bon pas grave. Je suis venu te réveiller pour te faire part d’une petite nouvelle qui t’affectera directement. » Toujours aucune réaction. « Je commence à en avoir assez de cet endroit, le seul problème c’est que je ne peux pas vous trainez partout avec moi. » A sa surprise, une lueur d’espoir apparu alors dans les yeux d’Elijha. Il lui fallut un moment pour comprendre. « Ah non ma jolie, n’espère pas que je mets fin à tes jours tout de suite, je vais vous laissez dans les mains de spécialistes, des professionnels qui ne peuvent être égalisés. » Bonheur, la terreur renaissait chez elle.

Orëh tendit alors l’oreille et pointa aux cimes des arbres. « Tient d’ailleurs je crois que je les entends venir. Tu reconnais le cri du Charognard non? » Orëh se retourna après avoir vu de nouveau la terreur joué dans les yeux de sa victime, il commença à marcher, mains dans les poches, ignorant les cris suplicateurs dans son dos.

Ainsi, Miradelphia se retrouvait maintenant avec un fou de plus libre sur ses terres, qui sait ce que ce jeune demi-drow réservera l’avenir.

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Lien vers la fiche complète : http://www.scribd.com/doc/18163048/Fiche-Oreh-Irthnal-complet?secret_password=1ayktmo907ohuo1b2fxn
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Voila, maintenant je suis vraiment lancé :p

Alors... On a déjà revu ensemble au niveau des descriptions, donc maintenant l'histoire...

Je vais décomposer par partie, pour te simplifier la vie.

Partie 1:
Alors là, j'ai juste une question, car dans la mentalité même du drow, il est une chose qui me dérange, donc...
- Pourquoi en veut-il à Orëh d'être venu au monde ?
Oui, la question est toute bête, la réponse serait que c'est un bâtard, mais en raisonnant comme un drow, cette conclusion est idiote.
Ton drow se ficherait d'Orëh, un bambin d'une de ses esclaves, ascendant humain, c'est moins qu'un homme, déjà par sa mère, il le considèrera pas comme son fils, c'est juste une conséquence facheuse des viols répétés sur la mère, mais il ne le considèrera pas comme fils, donc ne se plaindrait pas... Si c'est un souci, il pourrait le tuer sans que ça dérange personne, pas même lui... En Elda, les enfants sont certes sacrés, mais un demi ascendant humain, c'est bon à défouler les purs... Il le garderait pour avoir un nouvel esclave, un moyen de se défouler, ça oui, mais il pourrait dès la naissance ne pas le considérer comme son enfant.
Donc au final, il s'en fout qu'Orëh vienne au monde, si c'est un puit financier, il s'en débarrasse, et l'aspect bâtard, voila...

Partie 2:
Encore une question qui me chagrine.
- Le père laisse sa maison tomber en ruine ou presque pendant une année, et finalement dit à Orëh que c'est sa faute... Je veux connaître la raison de la presque dépression, si on regarde bien... Savoir si ça colle à une possibilité dans le mental d'un pur sombre ou non.

Partie 3:
Nouveau petit souci... D'accord, le père est mort, mais comment les servantes et Orëh parviennent à s'enfuir ? Soit il habitait dans le Puy et dans ce cas, ils finiront recapturer, car des humaines et un ascendant humain, ça se balade pas librement parmi la population d'Elda...
Ou bien il avait une demeure dans les Marais, et dans ce cas, précise le.

A part ces détails, je n'ai rien relevé de dérangeant.

oki bon donc je vais vérifier que je comprend bien avant de tout changer.

En gros c'est le père qui foire le tout (rho, même mort il m'emmerde encore^^).

Donc je change son attitude vers Oreh car elle ne fait aucun sens venant d'un Drow

Je change l'histoire de la maison ou explique la dépression

Finalement je revois la localisation géographique de la maison et parle un peu plus de "l'échappé".

C'est bien ça?

oki edit fait.

J'ai fait tout les changements dans la partie 1 et 2 (mort d'une mère et mort d'un père).

Si y'a toujours des problème ou une incohérence a cause que j'ai manquer un truc faut dire

Bon voila, je te valide :)

Tu connais le chemin je crois ^^


Pour mes amours les admins.

Code:

[Métier & Classe] : Assassin

[Âge & Sexe] : 29 ans & Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps & Magie

[Alignement] : Neutre mauvais

YAHAA!!!! enfin, après deux mois d'écriture (enfin deux mois... de début à fin avec presque 6 semaine de pause XD) je suis validé.

Meri beaucoup pour ta patience Nhilantar je sais que je n'aie pas du être le plus facile.