Arrivés à Destination

Le vieux Beren, après avoir fait un long voyage, traversant à cheval Miradelphia, arriva enfin à Alëandir. Bien sur, son cheval était très fatigué, il fallait qu'il se repose, et comme il était déjà vieux, Beren songeait à le changer, il avait déjà rendez-vous avec les trois humains appellés frères Corso, pour en acheter un.

Donc, pour résumer, le magicien Brun était allé à Diantra pour savoir ce qui s'y passait, mais ne fit que boire un pichet de lait de chèvre, tout en discutant avec Lehohavan, une aventurière humaine, en qui il avait désormais confiance, même si elle était humaine.

Par la suite, s'élançant à cheval, il remarqua que Diantra était en position critique, que certaines mesures de sécurité avaient été prises pour empêcher une probable attaque des elfes noirs, les ennemis jurés des hommes.

Donc, Beren, sur son cheval blanc, prit le chemin habituel, afin d'arriver à Alëandir, c'est à dire, en passant par la grande plaine d'Atral. Là-bas, il rencontra Uneraell, une jeune elfe suspecte, qui était sur le point de l'attaquer, en vain, car elle remarqua que le vieillard qu'elle avait devant elle était plus puissant qu'elle.

Après une discussion qui fit tourner presque une fois complètement la grande aiguille du cadran, il continua son voyage vers la Cité Eternelle, dont il était le protecteur. Il passa par la forêt d'Aduram, surprenant un elfe noir avec un demi-elfe, le magecien du roi de Diantra. Ils étaient entrain de déguster un bon plat, mais, pour Haldamir, c'était très soupçoneux, c'est pourquoi il se permit de s'arrêter, et d'engager la conversation, en haussant le ton, du haut de son magestueux cheval, jusqu'à ce que Tyraen, l'autre magicien, décida de partir, ce que fit ensuite Beren.

Mais, il ne fallait plus espérer passer par le forêt d'Aduram, après cette heure tardive, ce n'était plus sur, et le conseiller de la reine ne voulait pas être attaqué, déjà qu'il avait assez perdu de temps.

Alors, il se précipita vers le Lac d'Uraal, pour faire un détour. Mais là, il rencontra un jeune elfe, même demi-drow, qui avait l'air confiant. Au départ, Beren ne voulait pas le rejoindre, mais lorsqu'il vit deux silhouettes dans la brume, versant un lilquide suspect dans le Lac, le magicien décida de partir au plus vite, avec ce jeune elfe aux yeux roses, du nom de Thomas Yama.

Bref...

La nuit avait passé, le Solei commençait à se lever dans le ciel: c'était magnifique selon Beren, qui ne put s'empêcher de sourire lorsqu'il s'approcha de la Cité elfe. Arrivé là-bas, il s'arrêta en plein milieu de la place Tyräl, du nom de l'ancien roi Telrunia, mort, empoisonné par cette saleté de Tebryn. Il s'arrêta un moment, pour que son cheval d'ivoire puisse se reposer, que ce soit un instant. Le magicien ajusta son chapeau, il avait du bouger pendant le voyage et tourna vivement la tête vers le jeune demi-drow:

"Alors, ce voyage ?"

Il se reprit:

"Je ne me suis pas présenté, quel mal poli, je suis Beren Telperiën, dit le Brun, Conseiller de la reine régente d'Alëandir !"

Tom avait rencontre une mage sur les bords du lac d'Uraal. Il avait l’air d’avoir un rang important, car les gardes de la ville surveillent les gestes de Thomas même à plus de 2 kilomètres. Tout deux partirent en direction de la ville. Les gardes devant les portes jetèrent des regardes étrange à Thomas mais il mit sa capuche et vu qu’il était accompagné d’un elfe sylvain, les gardes ne dirent rien. Thomas se demande s’il était simplement mage ou plus ? Car les gardes lui avait adresse un regard respecter. Tom ne dis rien pendant tout ce temps, il n’avait pas envie qu’on analyse sa voix, que les gens juge sur son aspect. Il était monté sur Grisa quand il était rentré en ville, Tom préféré être à cheval si jamais le danger s’annonce pour lui. Il préfère pouvoir vite fuir quand il le veut. Il suit le mage et celui s’arrêta. Il tourna vivement la tête vers lui, Tom fixa son regard sans gêne et plongea ses yeux au fond de son âme. Il lui dit alors simplement
"Alors, ce voyage ?"
Tom n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche que l’elfe se présenta à lui.
"Je ne me suis pas présenté, quel mal poli, je suis Beren Telperiën, Conseiller de la reine régente d'Alëandir !"
Tom n’en revient pas, il était devant le conseiller de la reine. C’était donc pour cela que les gardes étaient si méfiants. Tom ne savait pas quoi dire, cet elfe n’avait en aucune cas essaye de le tuer alors peut être que l’ordre du royaume des elfes étaient tombé à l’eau. Il se demande ce qu’il se passe en ce moment, les peuples de chercher plus à le tuer. Il ne lui faisait pas non plus un accueil merveilleux, mais ils se comportaient simplement gentiment. Tom s’inclina alors doucement sur la jument.

Je m’en savais rien. C’est donc pour cela que vous etes surveillez ? Je suis aussi mal poli ^^ Je me nomme Yama Thomas, enchanté..Dit-il avec une voix douce et claire. J’espère simplement sortir de la ville des elfes en un seul morceau. Vous ne m’avez pas faire venir ici pour me tuer ?

Le jeune elfe, ou demi-drow se nommait Thomas Yama. Il épérait sortir de la ville sans être tué: sans être tué ? Avait-il fait quelque chose de mal ? Certainement pas. C'est pourquoi Beren fut étonné lorsque le jeune homme finit cette phrase. Bien sur, il n'était pas un criminel, et les elfes sylvains non plus. Haldamir leva un sourcil et dit au jeune Thomas:

"Nous ne choisissons pas nos parents demi-drow ! Ce sont nos choix qui forgent notre destiné."

Après cette belle phrase, Beren continua, pour le rassurer encore plus:

"Les elfes Sylvains ne sont pas des machines à tuer, tu seras en sécurité, mon grand !"

N'attendant aucune réponse, Beren ouvrit le panier d'osier qui renfermait Camellia et Podo. Ceux-ci qui venait de se réveiller et de piailler, montèrent sur la main du vieillard: ils se disputèrent également car ils n'avaient pas assez de place sur la main ridée du vieux Beren. Le magicien Brun approcha sa bouche des deux petits moineaux et leur dit, en dialecte nain:

"Les temps sont durs mes petits, je vous laisse dans la Cité Eternelle jusqu'à ce que ce conflit prenne fin ou s'arrête."

Soudain, les deux petits oiseaux, d'un air triste, s'envolèrent, tous les deux, tournoyant dans le ciel et disparurent. Ils allaient manquer à Beren, mais, c'était nécessaire pour leur sécurité. Par la suite, Beren demanda à Thomas, qui avait l'air étonné:

"D'où viens-tu, mon garçon ?"

"Nous ne choisissons pas nos parents demi-drow ! Ce sont nos choix qui forgent notre destiné."

Tom savait que les elfes étaient des êtres sages et réfléchit mais c'était sûrement le 1ere qu'il voyait vraiment correspondre à ces critères. Souvent les autres se sentier orgueilleux et plus fort que tout le reste et ne se soucier gère d'un hybride comme Thomas. Il en fut si surprit qu'il ne pu rien dire. Il écouta alors l’autre phrase arrivé : mon grand, en sécurité !!! Tom n'en croyait pas ses oreilles. Cette elfe devant lui venait de lui dire qu'il était en sécurité dans le peuple qui avant chercher le plus à le tuer !!!! Ce n’était pas possible, la guerre était plus proche que ne le penser Thomas. Il avait sur que les Drows avaient bouger mais autant !! A moins que son rêve devienne réalité, ce rêve qu'il fait souvent sur un nouveau peuple plus étrange encore que tous...Enfin, Tom ne fit pas attention vraiment aux paroles que Beren dit à ces oiseaux. Il se demande par contre pourquoi il les avait ? Qui ils étaient pour lui ? Enfin des questions simples mais qui ne se poser pas dans les 1ere minutes de rencontre. Tom les garda donc dans sa tête pour plus tard. Qui sais comment allait évoluer la relation ? Enfin Tom secoua la tête et Beren lui demanda alors d'où il vient ? Question plus dure que tout. Tom baissa la tête et regarda la sol quelques temps. Il sentait la nature ici, la terre et l'âme de la terre. Chez les elfes rien n’était mauvais, les fleurs avaient la tête dans les airs et on les regardait pour cela. Les arbres étaient des protecteurs et on les acclamait pour cela. Les elfes aimaient et se servaient tout en protégeaient tout cela. Mais lui, il ne venait pas vraiment d'ici. Enfin à moitié...Tom prit la parole tout en gardant les yeux sur le sol. Comme s'il y avait honte.

Et bien, je suis un hybride mais c'est pas très intéressent. J'ai vécu chez les nains, qui m'ont acceptent pour faire le travail dans les mines. Et je crois que c'est eux ma famille, enfin mes employeurs ^^

Tom ne savait pas vraiment si les nains étaient gentils ou alors juste profiteur. Bien qu'au fils des années, il avait apprit à connaître certain d'entre eux et savait qu'il était de leurs familles, en tout cas certains nains le considèrent comme telle. Tom souffla doucement et entendit au loin les oiseaux qui chantent. Il regarde doucement et lentement Beren et lui posa la question des yeux qui étaient en fait ces oiseaux ?

Le jeune demi-drow avait honte de sa situation, de ce qu'il était, et avait l'air très intrigué de voir que le peuple qui le traquait le protégeait désormais. Beren savait pourquoi, mais c'était très dur à expliquer. Cependant, en attendant que les chevaux ne se reposent, Haldamir le Brun lui expliqua rapidement la situation, sans vraiment faire attention à ce que Thomas avait dit précédemment:

"Tu sais, les elfes n'ont jamais été mauvais, c'est le roi qui défini le peuple, par exmple, et donc le plus récent, le roi Telrunya avait un conseiller: Tebryn Ryl'intar, en qui je n'avais pas confiance, et celui-ci faisait en sorte de semer la zizanie dans le peuple, jusqu'à ce que mon roi soit assassiné, c'est sans doute pourquoi les elfes ont voulu te tuer, pour que les demis soient montés contre les elfes et se rallient aux elfes noirs."

C'était un petite peu de charabia. Bien sur, Thomas en avait sans doute rien à faire des histoires d'un vieillard comme Beren, même ça pouvait paraitre intéressant. Le vieux mage avait beaucoup d'histoires à raconter, et il allait peut-être lui raconter l'histoire de ses deux moineaux, auxquels l'elfe aux yeux roses portait beaucoup d'attention. Il tenta de lui demander, sans vraiment le dire, et Beren, aimant cette histoire qu'il avait vécu, lui raconta tout:

"Les elfes sont neutres, indépendants, ils ne se croient pas impliqués dans la guerre, c'est pourquoi le roi, qui était le père du roin Telrunya à l'époque, m'envoya à Kirgan pour établir une alliance avec les nains. Ce n'était, pas vraiment facile, même si à la fin, ils ont refusé."

Il sourit et reprit:

"Le roi nain me confia également une mission: celle de retrouver sa fille, enlevée dans la forêt d'Aduram par des créatures: ce que je fis. Je ne te raconterais pas de détails, le roi était content de retrouver sa fille, et depuis j'ai d'excellentes relations avec ces petits et robustes êtres. Bref, en récompense, le roi me donna deux moineaux, Podo et Camellia, que je viens de relacher jusqu'à temps que ce conflit se termine ou ne se calme. Maintenant que le roi est gravement malade, s'il meurt, ça sera surement son conseiller, Bromar Sansoif qui prendra le trône, j'espère qu'il sera à la hauteur, et que nous serons amis ! Malheureusement, il doit se marier avec la princesse humaine Kamillia, quelle deception !"

Dès qu'il eut terminé sa phrase, il soupira.

Tom écouta attentivement le discourt de Beren. Il n'avait jamais entendu l'histoire de cette oreille... Alors les elfes ne lui en voulaient pas vraiment ? Peut être. Tom avait du mal à y croire mais c'était fort possible, peut être même que les Drows lui en voulait pour les mêmes raisons ? Tout s'explique quand on écoute les autres. Tom garda le silence, car pour lui c'était bien mieux d'écouter et de tirer des conclusions. Il avait toujours fonctionné comme cela et il le ferait sûrement pendant longtemps encore. Tom alors entendit son discourt sur les oiseaux. Il avait dut sauvez la princesse ?! A la fois étonné et ravit qu'un elfe est fait une bonne action pour les nains. Il se souvient qu'il avait était mandaté lui même et un autre nain pour une mission du même genre. Il sourit intérieure en ce disent que c'était bien que les elfes soit pas si en froid que cela. Mais alors la suite le surprit. Il ne savait pas que Bromar Sansoif devait se marier avec Kamillia, il avait déjà vu Kamillia, c'était elle qui lui avait dit qu'il était prit dans les rangs des humains après que l'alliance Nains/Humains soit faite. Il se demande pourquoi c'était triste.

Hum...Dit-il simplement à la fin de tout son discourt, il réfléchit encore quelques minutes et prit parole.
Je ne comprends pas votre point de vue. Vous avez des bonnes relations avec le peuple des nains, et les nains ont une alliance avec les Hommes. Mais vous allez l'air d'avoir une réticence sur le mariage des deux êtres ?

Tom se redressa et regarda les rues et la nature dans la cité. Les elfes étaient neutres, alors pourquoi il n’aimait pas les humains, si c’était le cas, la guerre n’avait aucune chance contre les Drows. Si Miradelphia voulait s’en sorti il fallait que tout le monde se serre les coudes, les drows s’était organiser, avait trouver un chef plus puissant et avait une force d’attaquer plus importante qu’avant. La guerre imposait une alliance entre tout le monde. Il regarda Beren et lui posa la question du regarde, et oui les yeux de Thomas parlait plus souvent que sa bouche. Quelles étaient en fait leurs relations avec les Hommes ?

Décidément, les yeux clairs et rosés de Thomas étaient exceptionnels ! Pouvoir communiquer par un simple regard, c'est super, mais il fallait seulement qu'il développe son pouvoir. Thomas lui demanda pourquoi Beren n'était pas content pour le prochain roi des nains et la princesse Kamillia. Il hésita avant de répondre:

"Un nain doit se marier avec un nain et un humain doit se marier avec un humain, pas de croisements, c'est n'importe quoi !"

Bien sur, ce n'était pas la vraie raison pour laquelle Beren s'opposait à ce mariage, même s'il allait y assister. Le magicien Brun était quelque peu raciste, surtout envers les humains, cela remontait à très longtemps dans son histoire, et il ne voulait pas le dire, il voulait même l'oublier. Les yeux de Thomas lui demandait quelles étaient les vraies relations humaisn elfes. Beren voulait dire que c'était Topsecret, mais il se contenta de dire:

"C'est très compliqué, tu sais, je ne pourrais pas te raconter depuis le début de la Création ! C'est tellement long ! Et même depuis le début de mon existence, c'est long"

Il eut un petit rire moqueur envers son age et bien sur, Thomas n'avait aucune idée de l'age que pouvait avoir le vieux Beren, même s'il pensait qu'il était très vieux. Le vieux mage répondit:

"J'ai 637 ans ! Je ne suis plus tout jeune, je ne suis plus fait pour la guerre, comme mon cheval !"

"Un nain doit se marier avec un nain et un humain doit se marier avec un humain, pas de croisements, c'est n'importe quoi !"
C'est vrai que Tom était de deux race différent et avait était tout le jours menace et bien sûr rejeter. Tom se dit qu'un demi nain demi homme devait être étrange ??? Enfin, c'était leur histoire. Tom ne dit rien, il écouta la suite que Beren lui dit...Thomas sourit aux paroles de Beren, comme si c'était si loin ? Bon, il n'en savait rien au juste. Tom comprit que cela pouvait être en effet trop long. Il fit une pression sur les flancs de la jument et ils reprirent la route. Il avait 637 ans, et bien, Tom avec environs 87 ans, cela lui faisait prés de 16 ans en age humain, il était vraiment plus jeune ^^ Tom se demanda si la guerre allait vraiment bien finir. La peur envahi son coeur !! Il n'y avait jamais pensé, mais l'age des soldats étaient important, la population se faisait vieille : c'était dangereux. Tom baissa les yeux et suivi tranquillement Beren qui l'emmena devant....(je te laisse continue si tu as une idée fixe ^^ )

Thomas ne répondit pas aux phrases qu'avaient prononcées Beren: il se contenta de baisser les yeux et d'avancer sur son cheval, à côté du magicien Brun. Celui-ci eut d'ailleurs une idée: le jeune Thomas était doté d'un potentiel intéressant en matière de magie, c'est pourquoi Beren pensa que ce serait bien qu'il puisse développer ses dons. Il ne manquait plus qu'à lui demander, ce que Haldamir ne manqua pas de faire:

"Avant que nous n'arrivions au palais, j'aurais quelque chose à te proposer: j'ai remarqué que tu connaissais à peu près quelques runes naines, c'est pourquoi je te propose de devenir mon apprenti, tu as le droit de refuser bien entendu."

Le magicien Brun avait bien énoncé qu'il avait le choix d'accepter et celui de refuser. Bien sur, le vieil elfe ne voulait pas que celui-ci refuse, mais, comme il l'avait dit précédemment, ce sont nos choix qui forgent notre destiné ! Beren, en attendant la réponse du jeune elfe aux yeux roses, accentua sa proposition en lui disant:

"Cette chance ne se présentera pas à toi une autre fois, je perçoit en toi un magicien très prometteur !"

C'était exactement la phrase que Caranthir, ex-Conseiller du roi elfe d'Alëandir et ex-maitre de Beren, avait prononcé lorsqu'il vit le jeune elfe qu'était Haldamir la première fois, pour l'embarquer avec lui, au château. Beren dut réfléchir, et finir par accepter, sacrifiant sa famille et son passé. Contrairement à lui, Thomas n'avait pas ou plus de famille, et avait honte de son passé, raison de plus pour venir avec le Conseiller de la reine elfe et rattraper la chose qu'est la vie.

Tom marchait silencieux, il se demande si les elfes ont en guerre contre les Hommes, l'idée était bête mais tout était possible sur Miradelphia, la preuve c'est que la proposition qu'allait lui faire Beren était plus qu'improbable. Le magicien enchaîne alors des mots qui forme une phrase tout à faire étrange. Il lui demande s'il veut être son apprenti ??? C'était impossible, le coeur de Tom fait un bond dans sa poitrine. Tom sent ses muscles qui se redissent, comme si une nouvelle vie était à porter de main...Tom jeta alors un regarde profond à Beren, il cherchera en lui si c'était du lard ou du cochon. C'était bien une proposition qui valait le coup ! Tom ferma les yeux et réfléchit au fond de lui, il fut comme absent quelques instants. Il ne fallait pas se précipité à dire oui, il fallait voir les bon et mauvais côtes. Les nains lui avait laisse libre choix de ses activités, les hommes lui avait proposé une place de soldat mais rien n'avait était dit clairement. Il pouvait choisir seul, il n'avait pas de famille qui l'attend, il avait son amour qui elle était sur les routes comme lui, il n'avait pas de compte à rendre et cet homme devant lui, lui propose une nouvelle vie, de nouvelle aventure, un apprentissage énorme. Tom qui avait toujours eut envie de connaître plus, de savoir tous les secrets de la vie et de la magie. Les yeux de Tom s'illumine, il sentait les mouvements de Grisa sous lui qui marchait. Il garda le silence et pensa alors à tout les moments qu'il pouvait vivre, mais st que c'était bien judicieux d'être du côté des elfes. Il savait que c'était une partie de son peuple alors oui il allait prendre par à cette expérience : devenir apprenti de Beren. Il fallait qu'il l'appelle Maître maintenant alors ^^ Tom redressa la tête et vit le palais devant lui, il tourna la tête vers Beren et s'inclina doucement.

Cela me faisait grand plaisir de partager vos connaissances maître Telperiën.

Le jeune Thomas avait accepté la proposition de Beren, pour devenir son apprenti. C'était super, le vieil elfe avait surement son successeur devant lui ! Thomas appella Beren maitre Telperiën, mais cela ne sonnait pas tellement bien ! Alors le conseiller de la reine répliqua, en souriant:

"Apelles-moi Haldamir, tel est mon nom de magicien !"

Ce n'était pas évident d'avoir énormément de nom, pour Beren, il en avait par dizaines: Beren, Fingolfin, Turgon, Haldamir et Grigory ! Mais bien sur, il ne les utilisait pas toujours, ou il utilisait le plus souvent les termes de Beren Telperiën, d'Haldamir le Brun et de Grigory le mage. Les deux chevaux progressaient vers le château de la Cité Eternelle, montés par leurs deux maitres. Thomas allait alors rencontrer la princesse d'Alëandir.

Progessant vers le chateau avec Thomas, Beren pensait au conflit et à la guerre qui allait arriver. Il pensait à cette grande bataille, l'imaginant. Il la pensait sur la plaine d'Atral, sans aucune intervention des Dieux qui prenneraient pour un divertissement, et tout ça, pendant l'hiver, sous la neige, seymbole de paix, cette paix violée au souffle du vent. Pendant le trajet entre la place Tyräl et le palais d'Alëandir, le magicien Brun ne parla pas.

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