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 L'Améthyste [Prêtresse de Tesso]

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L'Améthyste
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L'Améthyste


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MessageSujet: L'Améthyste [Prêtresse de Tesso]   L'Améthyste [Prêtresse de Tesso] I_icon_minitimeMer 30 Mar 2011 - 16:35

Noms et Prénoms ~ ~ Wynskleyfia Wsarth’e Wsar Neh’shakth Dor, dite « L’Améthyste ».

Âge ~ ~ 297 ans.

Sexe ~ ~ Féminin.

Race ~ ~ Drow.

Particularité(s) ~ ~ Cultiste de Tesso ne suffit donc pas ?...

Alignement ~ ~ Neutre Mauvais.

Métier ~ ~ Prêtresse de Tesso Uns’aa Ulnen.

Classe d'arme ~ ~ Défensif & Magie.

Équipement ~ ~ Masques, pelures et chapeaux ; voilà quelques-unes des poudres, des voileries, dont use et abuse le Culte de Tesso. Une vacillante vêture, d’enjôleurs jupons, et par-delà les remous des tissus, quelques éclats de poignards, des dentelures à vous occire les sangs. Le noble art de la menterie requiert ses fards fantastiques, ses époumonants postiches, et quelques reliefs et quelques ombres, juste assez de noirceurs en creux, pour que l’inconscient ce souvienne que ce n’est que duperie, et jeu de tromperie.

Description physique ~ ~ Qu’il est singulier, qu’il est cruel, que le Merveilleux Menteur ait frappé si rudement d’un sceau de malice, la pauvre enveloppe de son esclave sur ces terres-ci. Car la peau de l’Améthyste, quoique vibrant des mille veines battant le fier sang des Drows, ne saurait guère afficher qu’une pâleur d’humanité malade, une blancheur de gamin des provinces du Nord. La carcasse même de la Cultiste, n’est que le voile déchiré d’une naissance trop grincheuse, et qui ne prit pas même la peine de nacrer sa chair d’une pâleur digne du Puy. Ceci est si peu spectral, si peu dépourvu de chaleur et de roseur, que les crachats volèrent de tout temps avec entrain, pour saluer celle qui porte une peau rosâtre.
Toutefois, et si nulle veine glaciale ne court sur ses temps bleuies, et si nulle clarté sépulcrale ne vient fleurir son opalescence, ce fut aux voiles et avatars de Tesso, qu’eut recours la Prêtresse. Par le fard, par les masques comme l’os, l’Améthyste acheva la besogne d’une Natha trop oisive, et qui n’avait guère encouru la peine de blanchir ses contours – ravalée sous les oripeaux du mensonge, rongée par les glaces et les givres d’une froideur fantasmée, la douce pureté de sa peau ne sort guère dans les ruelles du Puy, sans s’être revêtue des mensonges tissés par les onguents.
Et, plus exsangue que tous ses frères, l’Améthyste aime à se moquer de ceux à la peau trop rose.

Description mentale ~ ~ Tesso est ce volute fantastique, cette éternelle noirceur mouvante, qui sans forme ni formule va et vient sous les auspices du néant ; il chemine sans aller, choit sans déchoir. Sa force est affranchie de toute entrave – mais lourd est le tribut de la Fumée.
L’Idole Illusoire ne peut guère ponctionner le sens et la clarté d’un esprit, ravager de malice ses auras et ses raisons, sans lui arracher quelques gouttelettes d’âme et de savoir. Servante dans une demeure vide, esclave d’une chaîne sans maillon, ou bien encore stratège faisant le siège d’une citadelle ouverte aux vents, c’est par de telles folies que se damne la nature d’un esprit de Tesso. Les ombres se filent et croissent d’entre les silences, et quelques dédales de miroir pour toute ancre, voilà quel est le port des naufragés du Merveilleux Menteur.
Bondissant de tromperie en tromperie, crapahutant sur les cordages de la veulerie, l’Améthyste a arraché son nom aux mille facettes des pierreries, et comme elles, elle peut scintiller par mille chatoiements. Pas une vérité, pas une once même de sincérité, ne fera jamais corset à la folie salvatrice du Tisseur des Tourbillons.
Mais qu’il est immense le plaisir, que seul connaît le Roi ayant échafaudé sa forteresse de pénombre, de voir les légions de la sagesse déferler sur ses murailles illusoires, et ne jamais en percer l’insaisissable citadelle – quelle joie, quelle fureur, de contempler un castel de fantasmes à l’œuvre, une machinerie chancelante qui se nourrit de lumière et de vent.

Histoire ~ ~

Le mensonge est une saine occupation.


Lorsque Natha la Féconde, pour se distraire durant un millénaire de pluie, exécute la facétie de provoquer naissance d’un bambin au milieu des plus noires ruelles du Puy ; que c’est au sein de la puanteur charriée, des rats oblitérants et des fumeries à tabac ranci, que la vie vous cueille, c’est avec grand désemparement que l’étincelle vient au corps du malheureux Lerg. L’air alors doit forcer les mâchoires de l’enfant, pour lui inculquer un premier souffle glacial – et parmi les détritus des gouffres du Volcan, ce n’est guère de naître dont il s’agit, mais d’être craché au monde.
Nous naquîmes ainsi, il y a près de trois siècles de cela.

Peut-être notre génitrice, la grande coupable de tous ces maux, était-elle une gueuse en fuite, venue se réfugier dans le Puy après quelque violence par les maraudeurs des Marais ; ou bien encore, une traîtresse venue de lointain, que quelque querelle aurait chassée de Thaar, ou bien de Sol Dorn la Rouge. Nous lui eussions volontiers confié une noble naissance, et l’extraction des hautes-gens du cœur du Volcan – et pourquoi pas le filon d’un Prima entre ses rasades de sang sale ? Mais las, la pauvrette était soubrette des maisons de lucre des bas-fonds, et le stupre tarifé devait être son originelle condition.
Combien étions-nous, nous autres, enfants de passage, Lergs d’un jour, essaimés au gré des bons payeurs ? Oh, peu importe. Nous ne le savions pas bien. Quelques-uns, une poignée de gaminerie, mais les scrofules se chargèrent d’éclaircir tout cela, et fort prestement.

Naître Lerg parmi les ordures boueuses de l’Elda en ce qu’il recèle de plus nauséabond, cela n’est pas joyeux. Nous n’y eûmes jamais grand goût. Les rats, bien sûr, ou les corbeaux déplumés, nous apprenions à les appâter, puis à leur briser la nuque ; et dès quelques années, nous savions égorger notre gibier. Mais il s’en venait toujours un Dahlaren pour nous rudoyer, et dérober la chair encore battante. Quelques-uns tombèrent, d’autres devinrent le garde-manger des cohortes de rongeurs ; mais nous, nous nous accrochâmes à pleines dents. Et cela ruisselait bigrement, et empestait, mais nous eûmes nos dix premières années dans la crasse.
Dès lors, bondir Dalharen, devenir baron parmi les pléthores de bambins souffreteux, ce fut une belle promotion pour nous autres ; nous avions forci, nous avions grandi. Nous frappâmes, nous abattîmes les infants pustuleux qui auraient pu nous encombrer la voie, et dérober quelques miches de pain rassis.
Oh, et maman est morte. Mais nous ne savions plus bien qui elle était – et somme toute, cela nous libérait un peu. Nous chassâmes plus loin, plus profondément dans les boyaux remplis de puanteur fertile.

Être Dalharen dans les effluves du Puy, nous appréciâmes.
Les règles, sommes toutes, sont simples, pour qui veut jouer le jeu de la vie. Les passerelles, les pontons des gouffres, et les souterrains verdis, n’étaient qu’un grand échiquier plein de couleurs et de formes ; il nous suffit d’apprendre les lois de la partie, et de gambader entre les cases des maîtres des lieux. Les tavernes, par exemple, et les gargotes enfumées, n’étaient pas de notre terrain de jeu – là-bas, les affaires s’y jouaient en trop grand ordre, pour que nous allâmes leur chaparder des reliefs de becquetance. Quant aux souterrains du Sud, ils étaient alors tenus par une bande de coupe-trogne qu’il valait mieux contourner ; nous en avions perdu deux dans ces endroits-là, et nous les évitâmes. Il y avait encore cette rigole des demi-profondeurs, peuplée de trop de rats pour que nous y risquâmes un pied – mais pour le reste, le terrain des vicissitudes s’étendait largement.
Quelquefois, certains d’entre nous étaient pris ; c’était un dérobeur de nourriture mal tombé au cœur d’un complot, ou bien encore un voleur de cuir qui avait glissé dans les chaudrons brûlants. Nous riions bien de les voir tomber ; c’était la règle.
Mais au reste, nous bondîmes partout, nous traversâmes toutes les galeries de ces quartiers-là. Les fragrances pestilentielles, les puanteurs nuisibles et les sécrétions putrides, nous apprîmes qu’en grattant un peu sous la croûte, nous y trouvions souvent un petit quelque chose tenant lieu de nourriture. Il suffisait d’avoir l’œil – et nous, bataillon de bouches affamées, estomacs en cohortes, nous avions une légion d’yeux pour repérer les bons morceaux, et la lourde graisse qui fondait sous la langue. Les yeux de moutons, lorsque nous pouvions en chiper aux loubards du flanc ouest, c’était un vrai régal, cela croquait avec du bon jus jaune.

En somme, entre les reliquats de bicoques cabossées, les carcasses plus ou moins vidées jonchant les coins reculés, et les lourds parfums de ces boyaux rongés par la crasse et les insectes tuberculeux, ce furent de tendres années. Oubli fait des salissures de suie, des pierres grises comme le vieil acier rompu, et des perles de sang noir sortant des mouches lorsque nous les écrasions – ce furent de vertes années.



Où l’œil nous cueille et nous crache.

L’ennuyeux, au sein de ce havre de misère fort accommodable, c’est le commerce.
Tout, depuis les hôtels miteux jusqu’aux forges décaties, et des tablées empestées aux vendeurs d’esclaves plus ou moins mutilés, tout n’est que commerce, et belles piécettes tintinnabulantes. Les piécettes, nous n’en avions jamais eu usage ; cela ne se mangeait pas. Et puis, même pour manger, tendre le bras était plus simple que compter un pécule qu’au reste nous n’avions pas.
L’œil, cela fait tout dans les cavités-crasses du Volcan. Deux d’entre nous en avaient perdu un à l’occasion, et ils y laissèrent l’autre, et puis la vie. Les aveugles sont rares ; leurs os n’ont pas le temps de vieillir.
Nous vécûmes cinquante années d’impunité, à dérober et larciner, à rançonner les bourses soustraites à l’attention d’un veilleur ; mais nous qui cueillions la monnaie, ce fut la monnaie qui finit par nous avoir. A l’écoulée du demi-siècle, nos corps avaient grandi, nos visages s’étaient affinés – nous autres, filles, étions encore petites. Mais déjà rentables.
La première bouffée du tabac, la longue herbe brune des Marais, qu’ils nous fourrèrent en gorge, pour assoupir les résistances, cela fut fort désagréable ; mais pourtant, nous y prenions goût et, quelques étouffements passés, nous en avions oublié l’âcreté, n’en gardions que les délices noircis.
Mais s’éveiller, se réveiller aux bras d’un porc blanc, qui soufflait dans ses étreintes de joie, et sentir le lourd corps démesurément long nous broyer sur le sol, cela nous fit vomir une fois. Nous fûmes frappées, on ne nous y reprit plus. Et puis, nous nous habituâmes. Jeunes comme nous étions à cet âge, nous avions encore nos dents sans éclat ni trouée – cela conférait une grande valeur à nos maigres carcasses, et nous épargna quelques gifles.
Trois d’entre nous élurent le poison comme remède, et deux succombèrent sous les flots rompus du sang. Nous nous raréfions, tribu éclatée entre les portes brunies des diverses demeures à plaisir. Nous rapinions moins, car il fallait s’atteler à ramasser monnaie pour le Grand, et pour quelques larrons de passage qui tarifaient leurs primes sur nos carcasses. Mais lorsque le larcin retrouvait ses voies – lorsque les estomacs tournaient par trop à vide de tout – nous nous enfoncions loin dans la mer des ordures, et nous arrachions aux putréfactions endormis des restes, des reliefs de grignotage ; festin et bombance pour nos maigres os.

Ce fut à cet âge-là, entre les promiscuités de l’ordure et des horreurs, que nous connûmes les premiers fards, les petites roueries de la vie. Nos corps, nos pelures de chair, en effet, n’étaient guère nacrées comme l’opale, et nous n’avions pas le teint éclaté et crissant, ou au contraire gris comme la mort et la pierre mêlées – cela devait être une malice de Natha l’Engrossée, qui avait trouvé plus plaisant de nous faire naître roses comme humanité, et perdues quelque part dans la limite et les confins de l’espèce Drow.
Alors, nous mentîmes. Nous mentîmes sur notre charpente rosâtre, qui devint soudain blanche comme trépas, et battue par les veines glaciales – nous mentîmes sur nos yeux, que nous baignions d’une larme de sang de rat, pour leur conférer la rouge aura des vraies filles des Sombres – nous mentîmes sur nos joues, nous mentîmes sur nos cheveux, nous mentîmes jusqu’aux tréfonds de tout ; nous devînmes une forteresse de duperie, un véritable racontar de haut-rang à nous seules. La poudre, le masque, les rubans et les voiles fardés ; ce furent nos armes, nos ustensiles, nos amies pour un peu.


L’automne nous prend parmi les boyaux.

Nous reçumes l’avantage de ces quartiers-là, car nous les connaissions fort bien, à force d’y avoir usé la corne de nos pieds. Et si le grand échiquier demeure immuablement le même, avec des griffes et ses crocs, les petites souris qui y trémoussent leur fourrure ne s’y enracinent jamais pour de longs siècles.
Le Grand, qui faisait besogne de nos fraîcheurs, connut quelques difficultés ; et puis d’autres encore. Quelques bandes du Sud vinrent chambouler son petit commerce, et même des torve-cœur de la province, et des Marais, s’en vinrent remuer l’établissement et ses chambrettes éventrées. La garde aussi, un jour, s’en vint farfouiller dans les comptes et les outres à piécettes ; mais c’était plus un rappel d’impayé signifié de la pointe des hallebardes, qu’une vraie guérilla de rivaux comme il en fut livrée par la suite.
Le feu, la fumée, les puanteurs torves, nous en souvenons. Le porc courbé sur notre chair, et abattu en plein festin, nous nous le remémorons. Et la tête du Grand embrochée sur la poutre aiguë, et les mains tranchées dans les parages et alentour, nous nous en rappelons.
Nous nous enfuîmes. Du moins, nous essayâmes.
Et je réussis.


Les marées de moi-même.

Le mensonge avait courbaturé mon âme jusqu’à lui extirper ses derniers oripeaux de vérité, et j’en fus réduite à chercher quelques autres menteurs pour plus de gaieté.
La solitude, la grande solitude de l’ombre seule, je ne l’avais jamais connue avant cela. Nous avions toujours été une bande, une horde ou une meute, les Dalharen bondissants, les filles et les esclaves massées en un seul ordre, celui de la bourbe. Mais à cette heure, j’étais seule. Solitaire.
Et drapée d’un masque en miettes.

Tesso, en son Sanctuaire Soupirant, jaillit peut-être par hasard. Peut-être. Ou bien était-ce encore un autre mensonge, une autre duperie de voiles, mais si habilement ficelée, si savamment formée, que je m’y laissai prendre avec délices.
Pêcher la raison des Drows en quête de plaisir, enserrer leur sens dans de petits étaux de malice, c’était certes une gaminerie bien plaisante à mes yeux – mais sentir le vaste filet du Merveilleux Menteur me broyer l’esprit, et voir déchoir dans une délicieuse empoigne toutes les vérités, toutes les commodités du nom, cela n’avait guère d’équivalent sur ces terres crasseuses. Avec délectation, je me laissai déchoir dans les brumes de Tesso. Son Temple fut ma Voie.
J’avais alors atteint le siècle, et je connus les rigueurs de l’absurdité, du sens vidé de sens. Il me fallut m’astreindre à mentir avec savoir, et me forcer à élever des façades de rien pour mieux les abattre ; je découvris des corsets de duperie, des citadelles de tromperie, des bastions et des fortins tissés d’illusions étoilées – et si j’en rêvais de devenir victime de ces fantasmes-ci, cela m’apprit à être bourreau de la raison des autres, des faibles ; mais avec tendresse. Il y avait presque de l’amour à mentir, de la complicité dans la duplicité.
Ce fut un âge brillant – et il dure encore.

La rude société Drow, les gueux et les catins, je les laissai à la plèbe grouillante du dehors – j’enfermai, j’engeôlai le tout dans un merveilleux castel de tromperie, et j’y apposai le nom d’Ailleurs. Mais ce qui fut et qui est mon cœur, mon âme et mon sentiment tout à la fois, ce fut et cela reste ma toile de fantasmagories, mon liant de métamorphoses du sens.

Je me brisai aux rochers de la raison, coupai ma dernière ancre vers les rivages certains – et je fus élevée Prêtresse dans le Culte Changeant.


Le mensonge est une saine occupation.



~~~~~

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Dernière édition par L'Améthyste le Mer 30 Mar 2011 - 23:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'Améthyste [Prêtresse de Tesso]   L'Améthyste [Prêtresse de Tesso] I_icon_minitimeMer 30 Mar 2011 - 17:44

Doh. J'ai vu le pseudo, j'me suis dit "Mayrde, L'Illu nous refait un compte".

Donc, coté remarques... déjà, Neutre (Aka Neutre strict) pour une prêtresse de Tesso ? ê_e

"Quelques-uns, une poignée de gaminerie, mais les scrofules se chargèrent d’éclaircir tout cela, et fort prestement."
=> Scrofules, scrofules... c'est de la maladie ça, non ? What a Face (Appel à discussion sur le point, non à modification ^.^)

"Naître Lerg parmi [...]"
=> Pléonasme, tous les enfants sont appelés comme ça jusqu'à dix ans.

Sinon, cha a l'air bon *-*
(T'as pensé à préparer un autre ava et une nouvelle description physique ? :dehors: )
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MessageSujet: Re: L'Améthyste [Prêtresse de Tesso]   L'Améthyste [Prêtresse de Tesso] I_icon_minitimeMer 30 Mar 2011 - 23:53

La première fois que ma fiche n'est pas validée du premier coup. Je faiblis *bam*

Alors, le Neutre strict est devenu un Neutre très michant... et de un.

Les scrofules, oui, say une maladie... au sens où l'espérance de vie ne doit pas être très élevée dans ces quartiers-là, surtout pour des bambins de un an *_*

Le pléonasme étant une belle figure de style, je garde.
(Non, disons que j'appréciais l'opposition avec le paragraphe suivant... mais bon, si je dis cela, Callipyge va me demander de changer
aussi le paragraphe suivant \o/)

Et merci de ton empressement :)


(Tu... n'aimes pas ma bouille ? é_è)
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MessageSujet: Re: L'Améthyste [Prêtresse de Tesso]   L'Améthyste [Prêtresse de Tesso] I_icon_minitimeJeu 31 Mar 2011 - 18:37

S'pas que j'aime pas ta bouille, mais avec le rituel... :huhu:
Faudra que je te parle -rapidement-, mais ch'est bon *w*


J'crois que tu connais bien le chemin, je me passe donc des liens :mrgreen:




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