Danaé [Katastrophe]

Nom/Prénom : Minélen Danae

Âge : 120 ans (20 d’apparence)

Sexe : Femme

Race : Elfe Sylvain

Particularité : nada

Alignement : Neutre-bon

Métier : Guérisseuse, herboriste et Musicienne

Classe d'arme : Corps à corps / Magie

Équipement :

Étant fort bien née, la jeune Danaé ne porte pas des haillons. Lorsqu’elle met ses dons de guérisseuse et d’herboriste aux services des siens, elle porte une petite bourse dans laquelle elle dépose ses herbes ou remèdes. Si elle dit s’absenter, elle garde près d’elle son sac en bandoulière contenant : pilon, mortier, flacons, petits carnets et plantes de tous genres. Bien qu’elle ne se fasse rarement attaquer, elle tient toujours une petite dague à sa ceinture. Sertie de pierres précieuses, cet objet lui tient à cœur. La dague ainsi que le pendentif, qu’elle ne quitte rarement. Dans ses moments libres, elle joue de la harpe. Jolie harpe ornée et dorée.

Description physique :

Faisant dans les 1m80, Danaé n’échappe pas aux caractéristiques elfiques. Svelte et minces, la jeune elfe est d’une souplesse inégalée. Ses yeux bleus rayonnants, tantôt triste, tantôt joyeux, parlent pour elle. Sa chevelure aussi doux que le satin, aussi léger que la soie, sont d’un délice blond. Ils sont parfois tressés, mais la plupart du temps, elle les laisse tomber en cascade dans le creux de son dos. Ses mains délicates et blanches sont douces et habiles. Sa démarche gracieuse lui donne un air de séductrice, bien qu’elle soit loin de cette mentalité. Elle ne serait ne point user de ses charmes, mais elle reste tout comme son peuple éternellement jeune, à la peau satiné.

Description mentale :

Danaé n'est ni arrogante, ni peste. Elle exprime son dégout, par le sarcasme, ou en souriant d'un délicieux sourire. Point femme à se laisse dicter sa conduite, elle n'est pas rancunière et laisse les autres prendre leur place. Tout ce qu'elle recherche dans la vie est une existence tranquille et confortable, même si cela exige qu'elle se laissa l'ombre Étant guérisseuse, elle se soucie du bien-être de ses proches, ainsi que des autres. Femme dévouée, elle ne fait rien sous la contrainte et est toujours d'un calme plutôt désarmant. Elle pensera à elle que lorsque les soucis des autres seront apaisés. Lorsqu'elle joue de la harpe, le silence s'installe, c’est la que l'ensemble de ses sentiments s'exprime. Être guérisseuse demande de savoir faire la part des choses et ne pas souffrir, mais plutôt offrir une vie autre que celle de la souffrance.

Histoire :

Tout débuta il y a fort longtemps pour certains et il y a peu de temps pour d'autres. Dans le fond des forêts elfiques, naquit la petite Danaé. Vouée à un destin d'amour, mais de peine aussi Elle vit le jour dans les terres de Lanthaloran. Sa mère Carita, une guérisseuse et une herboriste, qui opérait dans les terres de Daranovar avait toujours été très respectée. Yshak, son père, faisait partie de la garde du seigneur de ces terres. Habile archer manquant rarement sa cible, Yshak rencontra la jeune Carita lors de sa tournée. Elle pansait et s'occupait des blessures des guerriers elfes. La mère de Carita était morte à sa naissance, son père avait refermé son cœur à ses enfants et avait péri par amour. Le père d'Yshak était mort après avoir reçu une flèche. Erreur qui lui fut fatale. Archer de précision, il n'était pas rare, accompagné de son meilleur ami, que quelques flèches se faisaient tirer sur de fausses cibles. Mais un après-midi, celui-ci reçu une flèche par erreur dans le poumon. Même avec les meilleurs soins, il ne survécut pas. Au grand damne de son compagnon.

Ce fut la mère de ce dernier, heureuse de voir que les deux jeunes gens s'aimaient bien, Yshak accepta la demande de Carita et épousa l'elfe qui avait toujours su prendre une grande place dans son cœur. Il n'était pas noble ni riche, mais la grandeur du cœur qu'il avait, charmait la jeune guérisseuse. Leur complicité se noua et au fil des années qui passaient, une petite princesse vint prendre place dans leur cœur. Danaé venait de naitre, sous le froid hiver. Yshak et Carita partageaient déjà plus de 300 ans d'âges et Danaé était leur héritage.

Dès son jeune âge, Danaé montra des signes magiques. Carita en avait elle aussi, mais elle les utilisait rarement. La petite, elle, apprivoisait son monde d'une drôle de façon. Lorsque Carita soignait les gens du village, Yshak posait sa fille devant un champ de fleur. Sa petite main se baladait entre les fleurs qui dansaient. Elle murmurait des mots incompréhensibles et sa petite tête bougeait au fil du vent. Ses mentors et professeurs furent pour la quasi-totalité ses parents. Carita fut son principal professeur.


Les dons de guérisons et certains, que Carita ne connaissait pas, se manifestèrent plus tard. Alors que ses parents l'avaient laissé seule, la jeune Danaé accueillit un jeune oisillon et le soigna. Sous les yeux silencieux et attentifs de ses parents, l'oisillon reprit son vol. Trop jeune pour supporter une telle magie, la jeune enfant dormit plusieurs jours sous les yeux émerveillés de la mère. Puis tout se chamboula, les dons de magies devinrent incontrôlables, mais un vieux sage se présenta à eux. Une séparation douloureuse pour la petite princesse qui avait toujours trouvé réconfort dans les bras de sa mère ou de son père.

La jeune hini contrôla davantage ses pouvoirs. Il lui fut près d’une vingtaine d’années pour ne pas dire plus. Elle se souvenait que des jours, lever le petit doigt lui demandait tous les efforts du monde. Elle avait voyagé, appris de son mentor. Bien des choses étaient innées pour elle, mais maitriser certains pouvoir de guérison demandait beaucoup d'effort. Son mentor avait souvent remarqué l'étroite communication entre la nature et elle. Elle pouvait guérir de grande blessure, mais son corps n'avait pas toujours la chance de fonctionner comme elle le voulait. Cela lui demandait de la patience et de la pratique.

Lorsque son apprentissage fut terminé, elle rentra dans ses terres natales, pour retrouver sa mère éplorée. La notion temporelle lui avait échappé. Yshak était parti depuis des mois. Sur son lit quelques mots avaient été déposés

Mi Ai Tarien

Amin Mela Lle Ilyamenie

Question d’apaiser sa mère, elle prit le temps, chaque jour, à son chevet, de lui composer une petite musique pour apaiser les maux de son cœur. La harpe avait été un cadeau destiné à sa mère, alors qu’elle avait sauvé une nouvelle mère. Le bébé vigoureux avait bien survécu et la mère avait profité de la sagesse et l’expérience de Carita. En retour, alors que sa mère ne demandait qu’aux dieux de protéger la mère et l’enfant, l’homme offrit une harpe ornée de fleur. Instinctivement, Danaé jouait mélodieusement entre les cordes. Elle laissait un certain instinct jouer, mais sa grand-mère officiait de professeur, lorsque la petite Danaé a besoin de se sentir entouré.

Carita ne supporta pas la perte des hommes au Fort Ellyrion. Les nouvelles se propageaient à une vitesse folle. Si bien que la jeune femme du prendre le relais de sa mère, car celle-ci devint insensible à la misère du monde. Lorsque les soldats, ou le peu qui en restait, revinrent dans leur famille. Son cœur se brisa. Il alla jusqu’à éclater, lorsqu’elle rentra chez elle. Venin de serpent et Hévéa … Un mélange qui paralysait vos membres sans la moindre souffrance. Vous n’aviez pas le temps de dire au revoir, que vos yeux se fermaient, que votre cœur battait très rapidement et soudainement, il se contractait et battait moins fort. La respiration était lente. Il ne restait pas assez de temps pour vous repentir le destin était alors fatal.

Son cœur se referma, mais elle n’oublia pas pour autant ceux qui avaient besoin d’elle. Elle n’avait désormais qu’à marcher dans les traces de sa mère et offrir ses services et son savoir à ceux qui en avaient besoin.


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hini = princess

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Merci Callicoco

Alors, je reprends ta fiche. J'ai l'impression que ça ne sera que des observations, un peu comme les Warning en compilation \ o /

Première observation : 1m60, c'est assez petit pour une elfe. C'est une caractéristique choisie ou une méconnaissance ? (histoire d'être sûr) Aussi, les elfes ne restent pas éternellement jeunes. Un elfe comme Dyarque, par exemple (pour prendre un exemple que je connais), ça tourne entre 30 et 40 ans d'apparence, etc. Le temps ralenti, mais ne s'arrête pas.

Ensuite, le hini vient de quelle langue ? Si c'est de l'elfique, tu peux le laisser (en le mettant en italique) sinon, mets simplement princesse.

Voilà. Au prochain poste, je te valide, normalement.

Voila.

Le metre soixante c'est une erreur lamentable de calcul.

Merci

Je te valide (désolé de l'attente éè)

Tu connais le chemin : p