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 Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier

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MessageSujet: Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier   Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier I_icon_minitimeMar 22 Nov 2016 - 17:16

Sa Vénérabilité
Nom & Prénom : Limprisson Norvogan du clan Sanglelaiton

Qualificatif

  • Sourcil d'Airain
  • L'Ancien
  • Sa Vénérabilité
  • Gardien du Coeur d'Ortheim
  • Dernier des colons
  • Pourfendeur de la tribu Tronsson
  • Celui-qui-connait-Vieux-Sentier
  • Vif-Mire
  • Le Chantreroux

Âge & Date de naissance : 266 ans, an 749 du 10ème cycle.
Sexe : Long.
Race : Nain.
Faction : Péninsule.
Alignement : Loyal Mauvais.
Liens notables : Seigneurs & Notables Arétans et du Nord de la Péninsule, Notables nains du Zagazorn et d'Itrhii'Vaan. Moult gens peu recommandable.

Particularité : Une maîtrise du commun et des manières à couper aux hachoirs nains. Un œil vif malgré son âge.


Métier : Ancien de Külmazad, Bourgemestre de la Ville-Forge de Külm, Grand Maistre de la guilde dite de « L'Alliance Nanienne Arétane Ortheimoise du Creuset d'Acier » dénommé plus communément du « Creuset d'Acier » , Maîtres Forgeron.

Classe d'arme : Distance / Défensif


Possessions & Equipements :
Norvogan est un nain riche, aussi riche qu'il est possible de l'être pour quelqu'un de sa condition. Administrant la Ville-Forge depuis peu maintenant, on pourrait la placer dans ses possessions - C'est du moins ce qu'il colporte - mais si la précision est de mise, alors on citera ses appartements privés, construit dans la partit troglodyte de Külm. Bien que relativement simple comparer au faste des nains du nord, l'Ancien se complet dans un luxe confortable. Ayant la main mise sur de nombreux commerces, il est détenteur d'une forge équipé d'un haut-fourneau estampillé en son nom. Pour la partit plus personnel et intime de ses biens - ceux qui compte vraiment à ses yeux - on pourrait citer son or, qu'il garde et jalouse avec la même hargne qu'un dragon, son arbalète de conception unique et à mécanisme à ressort d'on il ne se sert plus vraiment et une petite statuette de bois gravé représentant une naine nue.

Apparence :
  • Taille : 1m42
  • Couleur des yeux : Sombre


Fût un temps ou il fût beau et athlétique, un temps ou les naines de tout horizon se retournait sur sa personnage, un temps ou sa barbe lui chatouillait le service et ou il appréciait en prendre soins, fastidieusement, jours après jours. Mais le temps passe et emporta avec lui tout ce qu'il avait accordé à Norvogan dans sa jeunesse. Le cuir maintenant vieillit par des années de vie rude et remplit d'excès, les rides et les marques de la boisson repartit aux hasard,  les tâches lié à la vieillesse et les poils en batailles, autant dire qu'elles sont maintenant bien moins nombreuse à le suivre des mirettes. Du renifloir c'est autre chose, car on pourrait le suivre à la trace à certaines périodes de l'année, tant l'odeur d'un manque d'hygiène notoire ce fait sentir. Ne dépassant pas les un mètre quarante cinq, courbé par la boucle des âges, la charpente n'en reste pas moins solide. De crinière il n'en à plus, ou presque plus et de barbe, voila bien longtemps que par soucis d'intégration, il adopta les mœurs humaines en se la rasant courte, très courte.

Personnalité :
Parmis les moultes qualificatifs qu'on pourrait lui attribuer, il serait plus sage de procéder par élimination pour bien saisir le viandard. Norvogan n'est pas quelqu'un d'aimable, ses manières et son légendaire franc parlé couplé à sa morosité constante n'en font pas un nain qu'on aime fréquenter. Norvogan n'est pas quelqu'un d'honnête, roublard parmi les margoulins il est de ceux qui préfèrent arriver à leurs fins par la ruse plutôt que par la voix de la droiture. Norvogan n'est pas quelqu'un de généreux, pingre comme le plus vieux des dragons il n'hésitera pas à sacrifier fils et filles si la gagne en vaut le coup. Norvogan n'est pas quelqu'un d'empathique, dénué de la majorité des sentiments qui font qu'un nain est un nain, le meurtre, l'assassinat, l'arnaque ne le rebutent en aucun cas. On citerait en suite sûrement sa dévotion au demi-dieu Girdon et l'amour du malte qui en découle ne lésinant ainsi jamais sur les doses ainsi que sa loyauté toute relative qui se porte avec fausse affection aux membres de sa terre d'acceuil. Aimant se qualifier de Norkan dans un monde de laperot, on pourrait pour clôturer, parler de sa très basses notion de l'humilité.

Capacités magiques :
Aucunes.






Histoire



« « C'était en Favriüs, l'année  749,  dans la région du Lörn en Zagazorn, précisément en la bourgade forestière d'Al-Rintalazad,  ou moi, Norvogan, fils de Limprin et Trana du clan Sanglelaiton, je vis le jour.  Enfant unique d'un couple ou l'amour erodé par le temps était absent, on m'éleva pourtant dans la plus pure tradition naine, celle de l'honneur et de la droiture dans guibolle. Les nôtres étaient considéré comme de bien piètre artisans, en effet on accordé en ce temps bien peu de crédit à ceux qui n'avait de spécialité, que celle de réparer les bocles et les charrues, forger les fers à béliers ou rémouler haches et couteaux -Il serait étonnant que cela est changé aujourd'hui à réflexion-.  Après le moment de grâce qui touche tout nains encore trop jeune pour faire face à la réalité du brut du monde, je plongeais à corps perdu dans les idéaux et les coutumes des miens dès le jour même de mon premier poils sous le renifloir.
Et autant dire que cela ne ce fît non point sans mal.
Mon défunt paternel -Que Girdon abreuve sa dernière étincelle- n'était pour sûr pas quelqu'un de patient. Un des nombreux points qui en faisait un bien piètre forgeron, pourtant il ce fit un devoir d'honneur à m'inculquer son savoir. Et je le reçu, à coup de pince dans le dos ou de marteau sur les paluches quand j'avais la maladresse de dévier un tant soit peu du modèle initier. Je fus donc formaté par le fer et avec le fer.
Bien sûr en cette époque, il m'était difficile de prendre le recul qu'aujourd’hui je possède, néanmoins les souvenirs de ces temps me laissent toujours un gout acide au fond du claquoir.
C'est à la cinquantaine d'année passé que je pris la décision qui changerait le reste du cours de mon existence. Nous avions passé l'hivernage entre les murs du village de l'extrême Sud. Ici les nains que nous côtoyons jours après jours avaient appris à se satisfaire de notre présence,  même s'ils ne tarissaient pas de boutade pour nous décrire. Mais nous l'acceptions, car il en était ainsi depuis tout temps. Au retour du printemps et des jours beaux, ma défunte mère -Que Girdon huile ses tresses- tomba gravement malade, un mal proche de celui qu'attrape les mineurs qui hume par mégarde une trop grande quantité de fonge. Un mal qui dévorait lentement les chaires en commençant par les commissures des membres. Peu ragoutant et on ne peu plus douloureux. Nous nous mettions donc en quête,  mes cousins du clan Mangegravier et moi  -Des prospecteurs de ferrailleuse possédant la même réputation que la nôtre-, un guérisseur. Mais d'Est en Ouest, de Nord en Sud, aucuns n'accepta de venir en aide. Tous jugeant que nos fonds point ne serait assez conséquent. Trana décéda donc un mois après notre retour. Je décidais alors de quitter le Zagazorn pour de plus verts pâturages.

Nous fûmes cinq dans cette expédition, nos pas nous conduirent dans les vastes Wandres ou nous longeâmes Vieux-Sentiers. La route fût constellée d’embûches en tout genre, autant bestial que sauvageonne. Nous rencontrâmes la tribu des Tronsson dans le Pays de Soccor, composé respectivement d'un ancêtre et de sa dizaine de femelles et marmot. Ils nous accueillirent en échange d'un troc raisonnable mais j'avais personnellement sentit le coup fourré -On ne peut faire confiance aux sauvageons- .  Ainsi pendant la nuit, nous les égorgeâmes tous dans leur sommeil et quand le matin vint, nous étions déjà bien loin.
Un voyage qui ne fût pas de tout repos mais ou j'usais avec brio d'une arbalestre que j'avais dérobé avant de partir. Nous perdiment Rutrek dans le Sigolsheim, emporté dans une chute qui lui fût fatal tandis que nous grimpions. Et pour couronner le tout, nous nous perdîmes. Trois jours supplémentaire qui faillirent nous emporter tous mais qui finalement, ne choisirent de prendre avec eux que Gordan le jeunot. Lui passa la hache à gauche en s'étranglant avec l'os d'un repas enfourné à la va vite.
Nous nous savions sauvé une fois l'affluant de l'Elbre en vue, Serramire et la terre des hommes nous ouvrez les bras. Pourtant, nous ne reçurent point l’accueil escompté. Les gens du coin d'un genre méfiant n’avaient que peu d'estime pour une bande de nain en maraude à l'aspect dépareillé. Ainsi on nous chasse d'Estenhausen et d'Outremont sans merci -Mon cousin Goimdil ne l'aurait jamais avoué de son vivant, mais la faute lui en incombé en tout point. Tuer un aubergiste à coup de tabouret ne fût pas des meilleurs augures pour notre intégration- .
Nous poussâmes alors encore plus au Sud, nous aurions sans aucun doute put continuer encore bien des mois, si au hasard de notre errance, nous furent surpris de rencontre si bon accueil dans un hameau de brave gens jouxtant les Pyks d'Ortheim. Külm c'était et c'est encore aujourd'hui son nom, mais nous le renommèrent entre nous Külmazad, plus familier à nos oreilles.
Ici on ne porta point jugement, bien au contraire, nos savoirs faire furent apprécier à leurs juste valeur -A vrai dire je forgeais avec bien plus d'aisance que le jeunot Longue-jambe qui tenait les soufflets en cette époque- . Ainsi,  les paysans nous placèrent sur un pied d'estal et nous qui n'en avions point l'habitude en ce temps, en profitèrent gouluement. Goimdil des Mangegravier qui connaissait bien la pierre jugea l'endroit  propice à une construction troglodyte et c'est sans réellement en demander l'autorisation que nous nous mirent à creuser la roche pour y installer nos habitations. A n'en point douter que le spectacle en laissa pantois plus d'un, mais ils furent nombreux ceux des hommes à nous prêter de l'aide dans ses travaux. J'envoyais dans le même temps un corbeau aux miens par delà les monts en espérant les convaincre tous de nous rejoindre dans cette terre promise.
Et, ils le firent. Quelques mois après mon envoi, c'est l'intégrité du clan Sanglelaiton et Mangegravier qui vinrent toquer aux portes de Külmazad. J'appris par la même la mort de mon aïeul, qui périt lui aussi durant la traversé des Wandres, je n'en tirais d'ailleurs aucune tristesse.

L'ampleur de nos constructions souterraine dépassèrent toutes les attentes des hommes et des nains présents. Et c'est à l'aube de mes soixante dix hivers que je pouvais enfin me l'avouer, nous avions trouvé notre chez nous. Les Longues-Jambes étaient un peuple avide des prouesses des miens, bien qu'on aurait jugé nos travaux d'une qualité médiocre au dessus des frontières, ici ils se vendaient à prix d'or. Ainsi, avec l'aide de mon cousin Goïmdil, nous décidâmes de mettre en place la première corporation naine en terres pentienne. Une guilde -La fameuse et maintenant célèbre Alliance Nanienne Arétane  Ortheimoise du Creuset d'Acier-  qui nous donna rapidement un pouvoir, un pouvoir qu'on vint avec le temps à envier. Car si les hommes appréciaient le travail des nains, il n'en fût pas de même quand ils comprirent que l'or enfloué nos caisses quand eux ce devaient pour la plus pars de trimer tout du jours pour récolter à peine de quoi pitancer avec leurs marmots pour le souper. C'est donc la jalousie que nacquit les premiers heurts entre nos deux peuples. Le sang coula des deux cotés, point de bataille rangée mais nombres d'escarmouches vendettienne qui accentuèrent le brasier comme si on y avait jeter de l'huile.  Ce fût le comte de l'époque -D'on j'ai malheureusement oublié le nom- qui dut intervenir afin de calmer ses foules, et contre toutes attentes il intervient en notre faveur. Il fût dit que le plus sage et respectable des nôtres recevraient les clés de la bourgade de Külmazad en échange d'une loyauté sans faille à l'Arétria. Aussi c'est ce que nous fîment. Il fût décider qu'un chef devrait répondre des actions de la communauté naine et la place revint donc à  oncle, Orek Roche-Fier -Ancien clan Mangegravier renommé pour l'occasion- . Agé de plus de cent soixante dit ans en ces temps, il était le plus vieux des nôtres. Pourtant, celui ci n'avait jamais était d'un esprit bien vif mais j'appercevai déjà en cette époque le bénéfice de la chose. On le nomma dans le même temps Maistre de notre corporation car cela devait aller de paire.

Les ans se succèdèrent alors et Külmazad, Külm la troglodyte devint la première enclave du peuple de la montagne en terres des hommes. Nous dirigions l'endroit, établissant les règles des commerces et réglant nos affaires à nous en interne. Pour sûr le baillis du Seigneur des lieux veillé et aux grains -Bien qu'il l'est toujours plus apprécié sous sa forme distillé-, mais c'était un homme aisément corruptible et largement arrosé par nos soins. Même en Grand-Nord, nos anciens frères ne purent nous occulter totalement et les cités de Lante, Thanor et Kirgan durent se rendre à l'évidence que notre position était aventagueuse. Moulte nains en mal de découvertes nous rejoignirent une fois notre succès consolidé. Ces nains la étaient de bien meilleurs artisans -Pour la plus pars du moins- et ce mélange de savoir ne fît que nous tirer vers le haut. J'entretenais une vie paisible au seins de la guilde, me spécialisant dans le relationnel et les contracts, je maniais bien mieux parlote que mailet, bien sûr cela peut de personne le savait. Un jeune ingénieur fit irruption dans nos vies à l'aube de mes cents ans, la tête pleine d'idée et peu de moyen pour les réaliser. Je ne me souviens plus la raison de son départ du Zagazorn, mais quoi qu'il en soit il trouva nouveau foyé parmis les nôtres. Son nom est Kruntan et l'arbalestre qui me tient toujours à coeur et de sa conception, unique en son genre. Un  habile mécanisme permet le tir conjugé de plusieurs carreaux sans avoir à recharger après chaque coup. J'en faisais à l'époque une utilisation forcené pendant nos parties de chasse.
Goïmdil quelques temps après entreprit de me partager son secret, il avait continuer à creuser la roche de l'Ortheim dans un tunnel qui partait de sa chambré. Un long boyaux construit et renforcé par un seul nain pendant des années. Celui ci me disait t'il : «Mène au coeur de la Montagne ! ». Je l'y suivis, septique dans un premier temps mais quand je découvris la vérité sur le bijou qui s'y cachait, j'en restais cul coupé sans pouvoir jaqueter outre. Il serait difficile de vous décrire ce que j'ai vu, aussi devrais je vous le montrer pour que vous me croyiez. Nous allions mon cousin et moi en faire part à la communauté, mais Goimdil trouva la mort sur le retour, transpeçé par le stalagticte qui c'était déchaussé de son logis pierreux. Une perte bien cruelle pour un nain que j'estimais tant. Vraiment. Aussi décidais je de taire ma découverte par respect envers sa mort.
J'étais alors devenu le dernier des colons, le dernier de notre prime expédition et je ne peux cacher que cela me conféra une certaine aura parmis les jeunots barbus qui nous rejoignaient.
Nous avions abolis l'ancien système clanique au profit de celui de l'ancienneté, bien plus stable, bien moins contraignant. Ainsi il était possible pour chaque nains et naines de ce faire une place en ces lieux . Oh je n'irais pas jusqu'à dire que nous récoltions les meilleurs des meilleurs dans nos filets -Bien au contraire-, mais une paire de bras restait une paire de bras.
Au fil des années nous aidions comme nous le pouvions les bons gens d'Arétria et ses Seigneurs. Pour sûr que nos secrets étaient distillés avec parcimonie mais les produits de nos forges eux restaient à la solde des barons et des chevaliers qui pouvaient se le permettre. Nous évitions de nous engager dans les bourbiers batailleux, même s'il nous était impossible de retenir les plus hardis d'entre les nôtres. Bien sûr, nous étions prêt à recevoir en cas d'attaque d'une baronnie ennemis, mais les savoirs de nos barbes étaient bien trop précieux pour être gaspillé dans les guerres liés aux affres de la politique des hommes. Ma position resta stable, j'officiais en tant que second dans les affaires de notre corporation, le temps s'écoulait lentement et aussi tranquillement que la paisible Oliya. A vrai dire rien de significatif ne marqua réellement ma vie pour que j'en fasse étalage ici -Si ce n'est un nombre incalculable de faste banquet  et le surnom Sourcil d'Airain qu'on m'attribua- , du moins jusqu'à l'arrivé de la Malenuit.

Ce fût une catastrophe pour ceux du Nord, une aubaine pour les nains de Külmazad. Nous ouvrions grands les portes à tout ces exportés malchanceux sans logis, une main d'oeuvre qualifié qui surpassait toutes nos attentes. Oh ils ne furent pas nombreux à s'installer réellement, certains désirant pousser plus au sud, d'autres revenir en terres naines quand la situation se serait améliorée. Mais ceux qui restèrent suffirent au renflouement significatif et bénéfique de notre communauté. L'Ancien Orek devenu grabataire officiait toujours en tant que chef. Le viandard avait atteint l'âge canonique des trois cents cinquante neuf ans ! On louait de partout sa tenacité au détriment de son esprit qui restait continuellement embrumé depuis les vingts dernières années sans qu'on ne connaisse le mal qui l'affligeait. J'étais son officiant personnel et malgré tout mes efforts je ne réussis à le faire sortir de sa torpeur. L'Ancien rejoignit les Derniers Halls un mois et demi après la Malenuit. Trépassant dans son sommeil.

J'étais donc naturellement le candidat désigné à la succession, mon âge avancé et le respect qu'on m'accordait déjà couplé à mes ambitions pour Külmazad. »


Extrait tiré des mémoires personnel de Norvogan Limprisson Ier, écrit par Norvogan Limprission Ier et conservé par Novogan Limprisson Ier
.

Couchage à la plume du runique récit de la fin de l'an onzième à l'aube du dix septième.

Ô Kulmazad, toi qui est aussi douce que rugueuse, aussi tranchante qu'émoussée, aussi brillante qu'obscure. Toi ma belle, mon unique, mon foyer, mon antre et mon fief, sache que les mots me manquent quand vint à moi le devoir de te décrire, tant je t'aime. Oui, je t'aime.
Tu es l'unique et réel amour de ma vie, transcendant frontières, races et genre,  car de pierres te voilà faite et c'est de tes pierres que mon palpitant et tout mon être se trouve transit.

Les années que je m'apprête à décrire, furent aussi heureuses qu'ennuyante, mais permettez moi d'apprécier à mon âge avancé, les banalités d'une vie sans grand bouleversement.

Je peux bien sûr affirmer cela uniquement avec le recul, car alors que j'entrevoyais moults bénéfice quand à la présence d'une Dame sur le trône comtal - Possédant une telle croupe, qui aurait put y voir autre chose ?! La Belle de Wenden fût fauché dans son élan, promptement réduit à l'état de non-vie, en moitié moins de temps qu'il ne faut pour bafouiller Malelande. Elle est le petit Karl, injustement arraché à l'existence par une bande de fanfaronnant freluquet reluqué d'acier - On disait les Mervalois à l'origne du coup monté ! Les faquins.

Cette assassinat doucha toutes mes espérance concernant un rapprochement comtal et je déplorais de ne jamais avoir réussit à lui rendre mes hommages personnels avec plus d'intimité.
Néanmoins, elle n'était qu'une parmi tant d'autres.

Son successeur, un dénommé Leudaste le Jeune connut pareil sort funeste dans les temps qui suivirent, entraînant le comté dans une incertitude certaine qui déboucha par la récente, sur la nomination d'un fils de Terresang, un dénommé Magnus.
Mais dans la longue histoire de l'Arétria, il n'était pas rare que de tels querelles de successions se succèdent : cela ne nous atteignaient pas, nous nains, tant que nos nobles hôtes homminet se contentent d'empocher les souverains et de nous laisser, relativement en paix.

C'est ce qu'ils firent.

J'occupais alors mon temps à diverses tâches - Manger, festoyer et défourailler en tête de liste bien sûr. Concentrant le plus gros de mes forces,  à réduire les aspirations des membres de la Guilde du Creuset  d'Acier qui me pensait déjà bon à enterrer. Les malheureux ! Par le pieutard de Girdon, les vils palabreurs  en prirent pour leurs poils et je me fis un plaisir d'administrer les leçons de conduites qui s'imposèrent à ces fieffés agitateurs.
Mon principal problème, survint la ou je l'attendais le moins, mon propre fils et héritier, chair de ma chair, fluide de mes fluides, Iaropolkan, commençait à devenir un brin turbulent, j'irais même jusqu'à dire, agitateur. Mais comment pouvais-je lui en vouloir ? Lui qui vint de moi, ne pouvait que me ressembler. J’entreprenais néanmoins de refréner ses ardeurs, aussi souvent que faire ce pouvait, quitte à en subir les humeurs.
A bientôt trois siècles d'existence, me voila contraint à endosser le rôle du parent badin, jusqu'à me questionner réellement sur mes capacités à survivre à cette épreuve. L'an dix sept serait t'il l'an de trop ? Cela était du seul ressort des Dieux.




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Dernière édition par Sourcil d'Airain le Sam 22 Fév 2020 - 17:36, édité 3 fois
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Construction achevé. o7
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MessageSujet: Re: Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier   Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier I_icon_minitimeMar 13 Déc 2016 - 20:13


Lui tend les pantoufles

Bienvenue chez toi, copain ! (tu connais le ch'min)

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MessageSujet: Re: Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier   Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier I_icon_minitimeLun 17 Fév 2020 - 13:46

Présentation mise en présentoir pour mise-à-jour.

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MessageSujet: Re: Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier   Norvogan Limprisson Sourcil d'Airain Ier I_icon_minitimeMer 19 Fév 2020 - 20:06

Modification apporté en fin d'histoire :

Citation :
Couchage à la plume du runique récit de la fin de l'an onzième à l'aube du dix septième.

Ô Kulmazad, toi qui est aussi douce que rugueuse, aussi tranchante qu'émoussée, aussi brillante qu'obscure. Toi ma belle, mon unique, mon foyer, mon antre et mon fief, sache que les mots me manquent quand vint à moi le devoir de te décrire, tant je t'aime. Oui, je t'aime.
Tu es l'unique et réel amour de ma vie, transcendant frontières, races et genre, car de pierres te voilà faite et c'est de tes pierres que mon palpitant et tout mon être se trouve transit.

Les années que je m'apprête à décrire, furent aussi heureuses qu'ennuyante, mais permettez moi d'apprécier à mon âge avancé, les banalités d'une vie sans grand bouleversement.

Je peux bien sûr affirmer cela uniquement avec le recul, car alors que j'entrevoyais moults bénéfice quand à la présence d'une Dame sur le trône comtal - Possédant une telle croupe, qui aurait put y voir autre chose ?! La Belle de Wenden fût fauché dans son élan, promptement réduit à l'état de non-vie, en moitié moins de temps qu'il ne faut pour bafouiller Malelande. Elle est le petit Karl, injustement arraché à l'existence par une bande de fanfaronnant freluquet reluqué d'acier - On disait les Mervalois à l'origne du coup monté ! Les faquins.

Cette assassinat doucha toutes mes espérance concernant un rapprochement comtal et je déplorais de ne jamais avoir réussit à lui rendre mes hommages personnels avec plus d'intimité.
Néanmoins, elle n'était qu'une parmi tant d'autres.

Son successeur, un dénommé Leudaste le Jeune connut pareil sort funeste dans les temps qui suivirent, entraînant le comté dans une incertitude certaine qui déboucha par la récente, sur la nomination d'un fils de Terresang, un dénommé Magnus.
Mais dans la longue histoire de l'Arétria, il n'était pas rare que de tels querelles de successions se succèdent : cela ne nous atteignaient pas, nous nains, tant que nos nobles hôtes homminet se contentent d'empocher les souverains et de nous laisser, relativement en paix.

C'est ce qu'ils firent.

J'occupais alors mon temps à diverses tâches - Manger, festoyer et défourailler en tête de liste bien sûr. Concentrant le plus gros de mes forces, à réduire les aspirations des membres de la Guilde du Creuset d'Acier qui me pensait déjà bon à enterrer. Les malheureux ! Par le pieutard de Girdon, les vils palabreurs en prirent pour leurs poils et je me fis un plaisir d'administrer les leçons de conduites qui s'imposèrent à ces fieffés agitateurs.
Mon principal problème, survint la ou je l'attendais le moins, mon propre fils et héritier, chair de ma chair, fluide de mes fluides, Iaropolkan, commençait à devenir un brin turbulent, j'irais même jusqu'à dire, agitateur. Mais comment pouvais-je lui en vouloir ? Lui qui vint de moi, ne pouvait que me ressembler. J’entreprenais néanmoins de refréner ses ardeurs, aussi souvent que faire ce pouvait, quitte à en subir les humeurs.
A bientôt trois siècles d'existence, me voila contraint à endosser le rôle du parent badin, jusqu'à me questionner réellement sur mes capacités à survivre à cette épreuve. L'an dix sept serait t'il l'an de trop ? Cela était du seul ressort des Dieux.
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