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 Je m'appelle Minervia, Lyorindel Minervia.

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Lyorindel Minervia
Elfe
Lyorindel Minervia


Nombre de messages : 121
Âge : 27
Date d'inscription : 03/01/2019

Personnage
:.: MANUSCRIT :.:
Âge :  564 ans
Taille
: 1m86
Niveau Magique : Arcaniste.
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MessageSujet: Je m'appelle Minervia, Lyorindel Minervia.   Je m'appelle Minervia, Lyorindel Minervia. I_icon_minitimeJeu 3 Jan 2019 - 15:01

Identité
Nom/Prénom : Lyorindel Minervia
Âge/Date de naissance : 564 ans, né en 453:X
Sexe : Masculin
Race : Elfe
Faction : Anaëh
Alignement : Loyal neutre.
Liens notables : Artiön Laergûl: un ami, en tout cas c'est comme ça que je le considère, du temps où j'étais éclaireur à Daranovar.

Particularité : J'ai facilement tendance à tomber dans des digressions et j'entend la Symphonie.


Métier : Diplomate épervier.
Classe d'arme : Distance/Magie/Corps-à-corps


Possessions & Equipements :
J'ai un arc court que j'ai gardé de mon temps chez les éclaireurs, idem pour la dague d'ailleurs. J'ai aussi ma sacoche dans laquelle je range, entre autre, la majorité des documents que je dois transporter. Bon j'ai aussi mes vêtements mais ça va de soit, parmi ce que je porte il y a mes brassards et gants d'archerie que je porte presque tout le temps, même si ça fait très longtemps que je n'ai pas tiré à l'arc. Mais l'objet qui m'est le plus cher reste ma broche d'argent en forme de Cam en-Kÿria, c'est un cadeau de mes parents et surtout mon focaliseur.
Apparence :
J'ai de longs cheveux, comme tout elfe qui se respecte, châtains que je ne laisse que rarement lâchés par habitude plus que par commodité car si mon temps chez les éclaireurs m'a appris un truc c'est qu'il est bien dommage de se faire repérer parce qu'on a laissé des cheveux quelque part. Mes cheveux attachés encadrent un visage long, anguleux avec deux petits yeux verts enfoncés dans leurs orbites, un nez fin et légèrement aquilin, des lèvres charnues mais surtout mes longs cheveux n'arrivent que rarement à cacher mes longues oreilles pointues. Un truc qui est important à noter: je suis dans la moyenne basse pour ce qui concerne la taille, la majorité de mes congénères masculins font souvent une tête ou deux de plus que moi. Après faut aussi dire que ce n'est pas vraiment un problème dans le sens où ça aide pas mal pour se faire discret. Pour ce qui est de mes vêtements j'en ai souvent au moins deux couches. La première couche c'est souvent une simple tunique, d'ordinaire rouge, en laine et à ça je rajoute un par-dessus souvent vert avec une ceinture à laquelle est accroché une sacoche. J'ai aussi un manteau souvent brun fermé par une broche en argent représentant un Cam en-Kÿria. J'ai souvent également mes protections d'avant-bras et de main d'archerie que je porte comme une seconde peau.

  • Taille : 1m86
  • Couleur des yeux : Verts


Personnalité :
Je ne suis pas quelqu'un qui cherche le conflit. Enfin un peu mais ce sont des restes de mon entraînement martial, mon temps dans les éclaireurs m'a bien appris que notre boulot c'est pas de se battre. Du coup je l'ai gardé, je ne me bat pas, je préfère m'éloigner, fuir, ou trouver une solution plus diplomatique. C'est souvent bien plus simple. En plus ça tombe bien parce que j'aime parler, les elfes ont une belle voix ça serait dommage de ne pas en faire profiter les autres. D'ailleurs avec toutes ces années d'études chacun à tant à raconter que l'on ne s'ennuie jamais au final, c'est bien là tout l'intérêt d'être immortel. C'est bien pour ça que je ne comprends pas ceux qui sont touchés par le mal d'éternité parce qu'ils s'ennuient ; le monde est si vaste qu'il doit être impossible de faire le tour de ce qu'I Emël a bien pu y mettre. Sans parler de tout ce qu'il y a à découvrir, pas seulement à observer! Et puis je suis certain que le monde ne s'arrête pas là, les dieux seuls savent ce que nous n'avons pas encore trouvé, peut-être que d'autres terres existent, couvertes d'immenses forêts comme l'Anaëh primordiale, à l'aube du monde. Un jour il faudrait que le Trône Blanc lance une expédition, ne serait-ce que pour être certain. C'est important d'être sûr de quelque chose et encore plus d'être sûr d'une information. C'est que dans mon travail la validité d'une information c'est capitale, tant qu'on sait qu'une information est fausse ça va, on peut s'en servir sans danger mais si ce n'est pas le cas alors là c'est une autre affaire.

Si j'aime parler j'aime encore plus écouter, déjà parce que je raffole d'histoires mais surtout, comme vous l'avez peut-être vu jusqu'ici, lorsque je parle je fini toujours par me perdre en digression. Ce qui était à la base une technique pour ne pas révéler des informations lorsqu'on essaye de m'en soutirer est devenu une habitude. C'est très utile, si on essaye d'obtenir une information de moi sans que je ne m'en rende compte alors ça rend le récit confus et l'adversaire risque de se trahir en étant pressant et puis sous la torture ça peut faire gagner un temps précieux. Maintenant je le fais sans y penser ce qui peut être pénible pour mon interlocuteur, je le reconnais volontiers mais que voulez-vous, c'est ainsi, c'est parfois difficile de se contrôler.
Capacités magiques :
J'ai toujours plus ou moins senti la magie, comme la Symphonie, et la luminomancie m'a toujours fascinée, entre autre parce que je n'aime pas le noir. Du coup je m'y suis intéressé pendant et après mon siècle d'entraînement martial, à la base c'était surtout un prétexte pour attendre la tournée de recrutement de l'armée royale mais au final Fineldor Elwëndrion m'a pris sous son aile pour approfondir les bases magiques que j'ai eu entre mes quarante et quatre-vingt ans. La magie m'avait toujours intéressé, en même temps c'est fascinant, regardez ce que ça permet de faire! J'étais plutôt bon avec la théorie magique mais je n'ai jamais été assez bon pour mériter une place à l'académie de magie. La magie de la lumière en particulier m'a attiré car même si la magie élémentaire permet elle aussi de créer de la lumière c'est la luminomancie qui m'est plus pratique pour mon travail d'éclaireur. Voyez-vous contrôler la lumière a des application pratiques qui sont particulièrement utiles. Créer de la lumière semble être l'utilisation de la luminomancie qui vient tout de suite en tête mais même si c'est très pratique ce n'est pas celle que j'utilise le plus. Ce sur quoi je me suis concentré c'est la manipulation de la lumière et plus spécifiquement des rayons de lumière. C'est tout à fait incroyable pour un éclaireur de se rendre invisible. Lorsque je ne bouge pas je suis tout a fait invisible, la lumière passe autour de moi et reflète ce qui se trouve derrière moi, c'est donc bien plus simple lorsque je ne suis pas loin d'une surface plane, que ce soit un arbre ou un mur. Quand je me met à marcher je deviens détectable, pas visible mais détectable car si l'on sait quoi chercher et où l'on peut voir une fine distorsion lumineuse. Lorsque je cours la distorsion lumineuse est visible même si je ne le suis pas. En général ça ressemble à la façon qu'a la lumière de réagir aux abords d'un trou noir. En plus de ce tour très utile et qui m'a sauvé la vie de nombreuses fois j'use du même principe pour espionner plus facilement ; en ployant les rayons lumineux ayant touché un document jusqu'à moi je peux en lire le contenu par exemple ou bien voir quelqu'un ou quelque chose sans avoir à avoir de ligne de vue directe ce qui est très pratique vu que ça réduit de beaucoup les chances de se faire repérer. Sinon j'ai aussi appris un tour très sympa: concentrer la lumière en un point et la relâcher d'un coup pour aveugler, encore une fois c'est quelque chose qui permet de sauver la vie et qui n'est pas particulièrement difficile à faire même si ça demande de la préparation. Ce sont les trois tours sur lesquels je me suis concentré mais je suis aussi capable d'utiliser la luminomancie à des fins plus esthétiques, créer des lucioles et les faire bouger par exemple, c'est très beau la nuit. Le focaliseur se trouve être ma broche représentant un Cam en-Kÿria, parce que c'est, parmi mes rares objets, celui auquel je tiens le plus.





Histoire
Ma vie n'a pas vraiment été mouvementée, du moins au début. Mes quarante premières années ont été calmes car j'étais quelqu'un de taciturne et laconique, ça a bien changé depuis mais j'y reviendrai plus tard, normalement. C'est avec l’extension du curriculum que je me suis intéressé à la magie, avec les cours de théorie magique j'ai enfin compris que ce que je sentais sans pouvoir l'expliquer c'était la magie. Je n'avais avant pas posé la question à mes parents parce que je pensais que tout le monde le sentait et ne voulant pas passer pour un imbécile je n'ai rien dit. C'était stupide, je sais. C'est aussi à ce moment que je me suis intéressé à l'histoire mais ça n'est pas resté bien longtemps, un demi siècle siècle à peine. Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai perdu intérêt dans l'histoire de mon peuple, c'est partie comme ça un jour alors que la veille je dévorais les livres sur le sujet. Il faudrait que je m'y replonge, si j'ai le temps. Pourtant je ne me suis jamais passionné pour la théologie, sans doute parce que ça prenait une place si importante. Ne vous méprenez pas c'est un sujet que j'apprécie mais ça ne me passionne pas. Mais vous n'êtes sans doute pas là pour lire ce que j'aimais apprendre ou pas lorsque j'étais enfant donc je vais avancer.

Donc pour ma spécialisation j'ai voulu aller en magie mais je n'ai pas passé le test, à cause de problèmes de concentration. Le mage qui m'a testé m'a dit que mon esprit n'arrivait pas à se focaliser sur une chose en particulier et que c'était très dangereux, trop dangereux. Alors, la mort dans l'âme, je suis allé chercher une autre voie, j'ai essayé la forge ; c'était amusant un temps, cinq ans pour être précis, mais ce n'était pas pour moi. Créer quelque chose c'est très bien mais je n'arrive jamais à la fin d'une oeuvre, je perds intérêt avant et veux commencer autre chose. C'était quelque chose que je devais travailler avant de pouvoir faire quoi que ce soit alors je me suis tourné vers autre chose, mon père avait un ami diplomate alors il m'a conseillé d'aller le voir pour essayer. C'était déjà mieux que la forge et puis la diplomatie m'a fait aimer parler cependant il manquait quelque chose que j'avais tout de même aimé chez le maître forgeron: le côté physique. Alors je suis resté une dizaine d'années avant de lui dire que même si la diplomatie m'intéressait beaucoup il me manquait quelque chose, il m'a donc conseillé d'aller voir les cueilleurs, ce que j'ai fait.C'était bien mieux parce qu'il n'y avait pas d'oeuvre à terminer, il n'y a qu'à sortir, prendre ce dont on a besoin et puis rentrer. Et c'était aussi bien meilleur parce qu'évoluer dans la forêt c'était quelque chose que j'attendais depuis très longtemps, même si c'est pour cueillir des fruits. Y'a quelque chose de grisant à courir entre les arbres, esquiver les branches basses et observer les animaux interagir avec les plantes. Ce qui est fascinant c'est la vitesse à laquelle une situation peut changer, une minute je suis avec mon groupe à prendre de quoi nourrir les autres et la minute d'après les adultes ordonnent aux enfants de reculer derrière eux tandis qu'ils sortent et bandent leurs arcs, qu'ils attendent de voir si le félin à pointe va les attaquer. Puis une autre minute plus tard tout est redevenu calme. C'est d'ailleurs en faisant de la cueillette que j'ai appris que j’entendais la symphonie ; à chaque fois que quelque chose de dangereux était dans les parages mes paumes se mettaient à me démanger mais ce n'est qu'avec les expéditions dans le Jardin qu'un adulte s'est rendu compte que mon comportement changeait peu de temps avant qu'un problème ne se manifeste alors il m'a posé des questions et a déterminé que j'entendais la symphonie. C'est un peu comme pour la sensibilité innée à la magie, ça fait bizarre quand on dit que tout le monde ne sent pas forcément, c'est gratifiant parce que ça me donnait l'impression d'être spécial mais ça m'isolait un peu aussi vu que peu de personnes pouvaient réellement comprendre ce que je ressentais. Bon je dis ça comme si j'avais vécu une tragédie mais ce n'est pas le cas, loin de là. Tout le monde sait ce que c'est mais quand on n'entend pas la symphonie on ne peut que l'imaginer avec ce que l'on a entendu sur le sujet ce qui n'est pas spécialement le même effet que d'en parler avec quelqu'un qui l'entend. J'ai continué à cueillir pendant encore trente-cinq ans, je me suis arrêté juste après la Cérémonie du Choix. J'ai pris le nom de mon père: Minervia et puis je me suis porté volontaire pour rentrer dans l'armée de Daranovar.

J'ai demandé à m'entraîner pour faire parti des éclaireurs et j'ai terminé mon entraînement en quatre-vingt ans, mon expérience de cueilleur ayant bien aidé. Du coup j'ai demandé si je pouvais poursuivre autre chose en attendant, plus spécifiquement j'ai demandé à apprendre la magie ; on m'a donc autorisé à aller voir les auxiliaires et c'est là que j'ai rencontré Artiön Laergûl. Désormais passionné par la magie et avec les ambitions de m'améliorer dans l'Art je suis aller voir le capitaine des auxiliaires, Artiön, pour qu'il me conseille sur le sujet et il m'a dit d'aller voir une connaissance à lui. Je lui ai dit que ça pourrait m'être utile chez les éclaireurs et que la luminomancie pouvait sauver des vies lorsqu'il est question d'être discret. Du coup il m'a mis en contact avec un ami à lui: Fineldor Elwëndrion. Il m'a refait passer le test et cette fois je n'avais plus de problèmes de concentration, c'est sans doute la discipline militaire qui y a remédié. Alors il a accepté de m'enseigner l'utilisation de la magie, je n'étais évidemment pas assez bon pour entrer dans l'académie. Mais je me suis vite rendu compte que j'avais sous-estimé la durée que ça me prendrait donc je m'y suis dédié, laissant ma carrière chez les éclaireurs et j'ai passé vingt-cinq ans à apprendre l'usage de la magie. J'avais pensé en faire pendant quelques d'année en attendant la tournée de recrutement de l'armée royale mais au final je me suis laissé entraîné par la curiosité et la soif de savoir du coup j'ai passé vingt-cinq ans.

Vingt-cinq ans à m'entraîner, à faire et apprendre et répéter les mêmes incantations, celles qui me semblaient les plus importants, les plus utiles pour un éclaireur. Avec cet entraînement j'ai dû choisir un focaliseur et c'est là que j'ai pris le Cam en-Kÿria d'argent qui ferme mon manteau, le seul objet que je possédais vraiment et qui m'étais le plus précieux parce qu'il m'a été offert par mes parents après de la Cérémonie du Choix. C'était un objet qui m'étais cher et familier il était donc bien plus facile de focaliser mon attention à travers lui, de plus l'utiliser comme focaliseur lui rajoutait une autre valeur, outre celle sentimentale, car désormais il était particulièrement utile, il ne me servait plus à simplement fermer mon manteau. Cependant mon amour de la promenade forestière m'a vite rappelé, je me suis souvenu qu'à la base je m'étais intéressé à la magie pour, en quelques sortes, passer le temps et que mon réel objectif était d'être éclaireur dans l'armée royale alors je me suis hâté de rentrer à Daranovar dans l'espoir de ne pas louper la tournée. Je suis arrivé pile à temps et je suis rentré dans l'armée royale.

En 700:X j'ai donc quitté Daranovar et je suis allé avec les autres à Alëandir où j'ai principalement fait des patrouilles dans les forêts pendant une petite année pour m'assurer que les Noss ne soient pas dans les parages des carrières de pierre, si c'était le cas j'allais faire mon rapport à l'escorte des mineurs. Je me suis fait repérer une poignée de fois par des Noss mais je ne suis jamais resté pour me battre contre eux, ils ont quelque chose, un truc qui me fait peur. Quand j'avais le temps je me planquais derrière un arbre et je me rendais invisible puis j'attendais qu'ils abandonnent. Lorsque je n'avais pas le temps, dans la majorité des cas, je me tirai une ou deux flèches pour leur faire baisser la tête et je courrais. S'ils me poursuivaient j'essayais de former une boule de lumière que je faisais éclater, en fermant les yeux juste avant évidemment, puis je changeais de trajectoire et je me cachais. C'est cette expérience avec les Noss qui m'a sauvé la vie à Uraal. Je faisais parti du contingent parti d'Alëandir avec Caranthir. Je n'ai pas vu venir l'embuscade, trop de confiance peut-être mais qui aurait pu penser que les drows pouvaient réussir à tendre une embuscade en Anaëh avec Caranthir comme dirigeant de l'armée? Etant le caporal de mon groupe j'ai réuni mon escouade et nous avons fait le tour pour flanquer les drows. J'ai perdu deux amis et j'ai prit une flèche dans le genoux et une autre dans l'épaule dans la manœuvre mais on s'est taillé un chemin, j'ai envoyé Viathel prévenir les officiers pour qu'ils détachent une partie de l'armée afin d'en profiter. Je ne sais pas si c'est vrai mais j'aime à penser que c'est ce qui a permit aux drows de souffrir autant de pertes que nous. Après la bataille je suis allé me faire soigner, notamment mon genoux qui n'était plus tout à fait en état de marche. Qu'I Emël soit louée pour la magie de la vie. Faut admettre qu'un éclaireur boiteux c'est pas génial, surtout dans l'armée royale. Maintenant que j'y pense je suis bien content d'être un éclaireur et non pas un archer ou un fantassin, j'ai eu la chance de ne pas me retrouver au cœur des combats. C'était la première fois que j'ai perdu des gens sous mes ordres et je me demande comment font les lieutenants et capitaines. Peut-être que le recul aide. J'en sais rien mais en tout cas j'ai rendu mes insignes de caporal pour reprendre mon humble rôle de telarcar. Après la bataille j'ai repris mon poste à Alëandir jusqu'à ce qu'en 743:X un épervier me contact pour me proposer de les rejoindre. Je n'ai jamais su pourquoi mais l'honneur qui m'a été offert était bien trop important pour que je refuse. Alors je les ait rejoint. J'ai fait la dizaine d'années nécessaire pour m’acclimater, avec mon expérience j'avais pas grand chose d'autre à apprendre donc c'est allé assez vite. Puis j'ai dû me trouver un travail officiel parce que j'avais évidemment pas le droit de dire à qui que ce soit que j'étais un épervier. Là je me suis tourné vers les options que j'avais déjà explorées plus tôt dans ma vie. J'avais apprécié la cueillette mais tant qu'à faire autant rester chez les éclaireurs. La magie était exclue car je n'étais pas assez bon. Je n'ai jamais apprécié la forge donc c'était aussi exclus, il ne restait que la diplomatie. J'ai donc repris contact avec l'ami diplomate de mon père qui a eu la bonté de me prendre sous son aile pendant un siècle afin d’apprendre les ficelles du métier. Pendant ce siècle j'en ai profité pour revoir la magie, un siècle à apprendre la diplomatie le jour et de la magie le matin et le soir pour être certain de ne pas perdre la main et retravailler les rares sorts que je connaissais. Enfin je m'entraînais lorsque mon travail d'épervier me le permettait, c'est-à-dire pas si souvent que ça. Mais avec ma formation de diplomate complétée j'ai eu un peu plus de temps libre et j'ai pu pratiquer la magie un peu plus longtemps chaque jour. Je n'ai jamais appris de nouveaux sorts, je me suis simplement concentré sur ceux que je connaissais déjà. C'était déjà pas mal

Lors du Voile tout le monde s'est mit à entendre la symphonie, c'était sympa de voir tout le monde partager ça, c'était beau même. Le truc moins bien c'est que la forêt s'est mise à détruire les cités. Vu que beaucoup se sont mit à rejoindre les Noss c'était compliqué. Mon boulot a été naturellement amplifiée, notamment surveiller tout le monde pour éviter tout coup fourré. Je dois admettre que partir chez les Noss m'a tenté, après tout si la forêt s'est mise à vouloir détruire les cités peut-être qu'ils n'ont pas tout à fait tort au final. Je suis allé prier du coup en espérant que Kÿria me réponde vu qu'elle avait l'air tant active ces derniers temps. Elle ne m'a pas fait l'honneur de me répondre, en même temps je m'y attendais, par contre la prière m'a permit de réfléchir. Je me suis rendu compte que la forêt s'étendait de partout et qu'au final les cités n'étaient pas la cible de la Première Oeuvre mais bien des dommages collatéraux. Alors lorsque la question du changement d'habitat est survenue je me suis rangé du côté de ceux qui disaient qu'il n'y avait pas de raison de changer de façon de vivre, que voulez-vous, je suis réactionnaire.

Avec la stabilisation progressive de l'Anaëh suite au Voile la somme de travaille ne s'est pas amoindrie malheureusement. Le premier gros truc sur lequel j'ai travaillé post Voile c'était la prise d'Eraison. On m'a demandé, avec d'autres, de trouver comment les drows avaient pu arriver jusqu'à la ville sans qu'on ne les repère. J'ai trouvé cette histoire de tunnels grâce à la magie de la lumière qui m'a permit de regarder directement à l'intérieur des murs de la ville sans me faire voir. Par contre je ne suis pas resté bien longtemps dans les parages de peur que des magiciens drows ne sentent que j'ai utilisé de la magie. Bon vu l'usage qu'ils en faisait je ne suis pas certain qu'ils aient pu me repérer de toute façon mais sait-on jamais, j'étais pas prêt à prendre le risque et je ne le suis toujours pas. Du coup j'ai aussi aidé à la reprise d'Eraison. A ma façon, bien sûr je ne suis pas allé me battre en première ligne. Non, j'ai fait l'éclaireur, comme dans le bon vieux temps. Entre 11:XI et 17:XI j'ai traversé l'Anaëh de long en large pour transmettre des messages importants, puis j'en ai profité pour surveiller les protecteurs ; faudrait pas qu'ils profitent de l'état de l'Anaëh  pour comploter. J'ai aussi essayé de surveiller les Noss pour m'assurer qu'ils ne s'attaquent pas à des convois de personnes ou de matériaux. Puis j'ai été affecté au corps diplomatique à Celimë, ce cher Artiön voulait être certain que tout se passait correctement et que les ressources de l'Anaëh n'étaient pas gaspillées mais surtout que les diplomates fassent bien leur boulot.
HRP:
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Artiön Laergûl
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MessageSujet: Re: Je m'appelle Minervia, Lyorindel Minervia.   Je m'appelle Minervia, Lyorindel Minervia. I_icon_minitimeVen 4 Jan 2019 - 11:34


Je m'appelle Minervia, Lyorindel Minervia. Tampon13

Heeey Allez ! Fineldor approved.

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[Alignement] : Loyal Neutre

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

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