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 Jormgard, L'infâme

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Jormgard l'Infâme
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Jormgard l'Infâme


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MessageSujet: Jormgard, L'infâme   Jormgard, L'infâme I_icon_minitimeDim 20 Nov 2016 - 2:11


Nom/Prénom : Jormgard (i-yorm-gard), ou simplement l'Infâme
Âge/Date de naissance : 68 ans
Sexe : Masculin
Race : Nain
Faction : Cités Naines
Particularité : À son front, la marque de l'infamie.

Alignement : Chaotique neutre
Métier : Mercenaire
Classe d'arme : Corps à corps / Défensif

Équipement :

Sans compter son armure, dont il prend soin religieusement pour qu’elle soit toujours reluisante, et ses vêtements, Jormgard possède aussi un marteau de guerre; de fabrique modeste, alliant le simple à l’épuré. Accroché à sa ceinture, un poignard tout aussi humble, à la lame d’acier et au tranchant quelque peu usé. Il en possède un deuxième, qu’il cache la plupart du temps et dont la constitution est pratiquement identique à l’autre. Il garde le reste de son matériel de voyage dans son sac.

Description physique :

Par sa démarche élégante, sa stature imposante, son regard grave, froid et sérieux, cet individu pourrait passer pour un prince parmi les siens. Les traits de son visage, sculptés par un artiste maître des proportions, offrait un portrait mêlant grâce à vigueur; le nez, fin et droit, les pommettes saillantes, la mâchoire puissante; une fine cicatrice, roulant le long de sa joue, donnait une touche grossière qui, au lieu de gêner, s’harmonisait à l’image d’un conquérant. De longues nattes descendaient le long de ses épaules; il tressait ses cheveux en les parant d’anneaux en argent. Dans le même esprit, sa barbe ornée de bijoux s’étalait sur sa poitrine.

Il revêtait une cuirasse finement ouvragée; des motifs ornementaux couraient sur le métal, se prolongeant aux spalières d’acier protégeant ses épaules. Son armure semblait beaucoup trop lourde pour lui et, pourtant, il se mouvait avec aisance, leste dans l’air. Sous ces accoutrements guerriers, une cote de lin, rembourrée de laine, lui offrait confort tout en le gardant du froid. Impressionnant, à l’allure du guerrier héroïque, il dégageait une aura de beauté et de puissance.

Pour ceux qui ne reconnaissent pas le signe de l’infamie; un souvenir tracé au fer brûlant.

Sur son large front, plissé par des années de méfiance et de malheurs, s’inscrivait une courbe parfaite, gravitant autour d’une demi-lune, transpercée d’un trait oblique. Une cicatrice qui n’avait jamais vraiment guéri, se dévoilant à tous dans son horreur; fusion entre chair et honte. La marque à laquelle il devait tant de souffrance; une gravure permanente, qui l’empêchait de regarder ses frères dans les yeux, le tourmentant toutes ces nuits où, les yeux rougis, le sommeil se refusait à lui.

Description mentale :

Jormgard ne fait pas partie des chanceux qui, choyés par la vie, grandissent dans le confort et la complaisance. Une vie de misère et de malheur a tôt fait de tourner n’importe quel idéaliste sur le chemin du cynisme. Rien ne s’arrange, non plus, lorsque votre géniteur, entretenant des illusions de gloire et de puissance, tente de vous transformer en ce qu’il n’a jamais été. Son père était un égoïste, un voleur, un vaurien, un lèche-cul; véritable parasite. Normal, alors, que son fils hérita de certains défauts. Les vices ne tombent jamais bien loin de l’arbre parental. Il avait une qualité, néanmoins. Son fils était l’être le plus important à ses yeux; un monument qu’il devait bâtir, pierre par pierre, pour construire et exhiber la gloire familiale; une œuvre d’une vie. S’il l’encourageait, lui offrait des cadeaux et le poussait à devenir quelqu’un de mieux, meilleur que lui-même; il s’acharnait aussi sur lui, chaque échec le rapprochant plus près du désespoir.

La fierté du père termina par déteindre sur le fils. Pas la fierté de l’honneur, celle qui tend vers la noblesse et le sacrifice de soi; plutôt une fierté mauvaise, interne : celle qui dévore de l’intérieur. Celle qui pousse à toujours vouloir plus, à piler sur la tête des autres pour arriver à ses fins. Il ne faut pas croire pourtant que Jormgard est un être sans foi ni loi. Seulement, son code d’éthique est plus… élastique. C’est un opportuniste qui est le plus souvent mis à mal dans ses paris; s’il s’est assagi en vieillissant, il fut un temps où ses agissements résultaient le plus souvent d’un coup de tête.

La vie n’est pas un jeu. Jormgard l’avait compris durant ses années de mercenaire. Seuls les fous et les idiots risquent leurs vies dans du travail honorable. L’honneur? Juste le mot sonnait ridicule. Il valait mieux accepter les contrats moins dangereux, même s’ils payaient moins. C’était le concept du travail raisonnable. Réduire les risques et augmenter les profits. Après tout, à quoi sert un sac d’or lorsqu’on a plus de tête sur les épaules?

Jormgard pouvait bien se moquer, mais une autre raison le poussait à éviter le danger. C’était la peur : la mort le terrifiait. Pour un peuple qui accorde une aussi grande importance aux ancêtres, l’idée de passer l’éternité dans la solitude était terrifiante. Lorsque le fer avait gravé la marque d’infamie sur son front, il cria, mais pas à cause de la douleur; c’était son âme qui saignait à blanc. Ce lien si précieux, ce cordon qui unit l’individu à ses ancêtres, était tranché. Plus de retour en arrière, il était un monument de honte pour son clan, sa famille, pour lui-même; condamné à afficher la marque d’infamie. Un sort pire que la mort. Malgré son cynisme, ses désillusions, sa lâcheté et ses fourberies, Jormgard aspire à changer. Par ses hauts faits et ses exploits, il compte parvenir à se racheter aux yeux des siens. C’est, en fait, un miracle qu’il espère. Mais même le pire parjure rêve sa rédemption.

Capacités magiques :

Aucune.

Histoire :

Menteur, voleur, tueur. C’était ces conneries que récitait sa grand-mère lorsqu’il mentait. Le genre de phrases dites aux enfants pour mieux les contrôler, pour les empêcher de faire les cons. Sa grand-mère était comme ça. Elle commençait par sortir une de ses belles phrases, histoire de paraître intelligente, puis, pour mieux faire passer le tout, elle vous balançait une bonne claque en arrière du crâne. Les mots, c’est bien, mais une taloche ça parle plus. Elle aurait surement dû taper plus fort, Jormgard aurait peut-être mieux compris. Il n’avait jamais été doué avec les mots, de toute façon.

Jormgard était enfant unique. Le premier-né de sa famille et le dernier; sa mère mourut le jour même de son deuxième anniversaire. Suivant la tradition clanique, elle voulut offrir à son fils, pour cadeau, un morceau de gobelins; une créature perfide, grotesque et putride, s’apparentant à la vermine, foisonnante dans la contrée montagneuse. Il était dit que certaines parties de leur corps, les oreilles pointues en particulier, apportaient gloire et chance. C’était avec fierté que plusieurs s’en faisaient des colliers, des bracelets; d’autres les accrochaient au manche de leurs haches, marteaux, couteaux. À l’exception de constituer une décoration macabre, leur véritable utilité restait à découvrir. Dans tous les cas, la mère du petit Jormgard, accompagné de quelques volontaires, se lança à la chasse aux peaux-vertes. Seulement, ce fut eux qui se retrouvèrent découpés en morceaux. Ces pourritures n’apprécient pas vraiment qu’on leur coupe les oreilles. Les Anciens du clan interprétèrent cet incident d’un mauvais œil.

Le clan Sang-Gelé, auquel Jormgard appartenait, se constituait de montagnards aguerris; des guerriers sanguinaires vouant leur vie au perfectionnement de l’art martial. Ils constituaient, avec les trois autres clans qu’ils côtoyaient (Nirrog, Brise-Galet et Skaldon), un bastion important entre les contrées civilisées du sud et les dangers du Septentrion. Les pionniers originaux avaient choisi l’endroit pour son aspect économique; les montagnes regorgeaient de mines aux métaux précieux. Ils y érigèrent Fort Thurdra : construit à même la montagne, profitant des bouffées volcaniques pour se réchauffer; une merveille d’ingéniosité. Situés en retrait, isolé des autres peuplades durant les longs hivers glacials, les habitants furent forcés de diviser leurs occupations pour subvenir à leurs besoins, dépendant de leur capitale, Kirgan, pour se procurer les éléments manquants.

Son père était membre de la garde. Il n’occupait pas une position importante; au contraire, son rang était modeste. On lui reprochait son manque de courage; il parlait beaucoup, couvrait d’éloges ses supérieurs, s’enthousiasmait pour les mêlées à venir, mais lorsque venait le temps de dégainer, il devenait introuvable. Son caractère se rapprochait davantage du courtisan que du combattant. De son côté, Jormgard entreprenait son éducation martiale. S’il était doué, féroce dans le carré d’entraînement, son cœur se languissait pour des occupations moins violentes; il aspirait à devenir artisan de la pierre, façonner le roc pour lui imprimer la vie; ou encore architecte, élaborer des galeries somptueuses et massives qui surprendraient les générations futures.

Son père avait l’habitude de revenir avec plein de cadeaux. Des petites statuettes de granit, des peignes décorés de motifs artistiques, des idoles à l’effigie des Dieux. En vieillissant, Jormgard réalisa que ces soi-disant « cadeaux », son père les dérobait à la garnison. Alors il commença à faire comme lui. Cela débuta avec des choses bien innocentes. Un quartier de veau salé, quelques pièces de cuivre oubliées, une lame émoussée, parfois un livre (Jormgard ne lisait jamais). Puis le jeu se transforma en obsession. Des anneaux d’argent, un poignard rouillé, une paire de gants en laine de bouc, un fragment de saphir brut. Lorsque son père s’en rendit compte, sa réaction fut explosive; il hurla sur son fils, jurant qu’il serait leur perte à tous les deux. Jormgard haussait les épaules; lui-même rapportait souvent des choses volées de la garnison. Était-ce mal pour un fils de prendre exemple sur son père?

La petite famille n’était pas riche; depuis la mort de sa femme, le père parvenait difficilement à joindre les deux bouts. Il avait pris l’habitude, après ses tournées du soir, de tenter sa chance aux cartes. Chanceux, il parvint à se ramasser une bonne somme d’argent. Mais le jeu est un ennemi cruel, qui vous tend une main pour vous poignarder de l’autre. Le père revint, une nuit, couvert de bleues, les yeux gorgés d’eau et le nez en sang; il avait été pris en train de tricher. Après l’avoir tabassé, on lui avait pris, comme paiement, son fameux marteau, Balmung, une relique familiale, le seul objet de valeur qu’il possédait; son manche, tressé de cuir noir, était serti d’un joyau cristallisé; la tête d’acier bruni était sculptée à l’image d’un corbeau. Jormgard n’avait pas le choix. L’honneur de sa famille était en jeu; il devait reprendre le marteau.

Il connaissait la famille en question : deux fils et une fille; il confrontait régulièrement le cadet dans le carré d’entraînement. Celui-ci, à peine plus âgé que lui, était un petit maigrichon; les joues creuses, il peinait à lever le bouclier. Jormgard s’introduisit dans leur demeure après le dîner; c’était à ce moment de la journée que l’endroit était désert. Il se faufila dans les corridors, prenant soin de ne rien toucher. Lorsqu’il trouva Balmung, couché sur la table de l’atelier à la vue de tous, il fut presque déçu; c’était trop facile. Le cœur battant, il empoigna le marteau. Fait sur mesure par un maître artisan, il était vraiment impressionnant. Jormgard examina le reste de la pièce; tant qu’à être ici, autant en profiter! Il empocha quelques pièces oubliées, une poignée de pierre précieuse et un magnifique couteau dont la poignée semblait en or.

Il poursuivait sa chasse au trésor, le sourire aux lèvres, au moment où une porte claqua. Jormgard se figea. Il scruta les alentours; aucune cachette. Un frisson le parcourut. Quoi faire? Le cadet entra; son visage se mua en incompréhension. Il resta interdit, ne sachant pas comment réagir. Pendant qu’il reculait, un pas derrière l’autre, marmonnant des paroles incompréhensibles, Jormgard s’avança. Lorsqu’il se retourna, offrant son dos, une fièvre s’empara de Jormgard qui bondit. Tout se passa très vite. Le marteau tomba une fois, deux fois, trois fois. Il ne restait plus grand-chose après. Jormgard se releva. Il regarda ses mains, éclaboussées de sang et de morceaux de cervelle; était-ce les siennes? Il recula, horrifié. Le cadavre à ses pieds était méconnaissable; il eut un haut-le-cœur. Quoi faire? Il réfléchit, en vain; aucun mensonge ne pourrait le sauver cette fois.

Il fut déclaré que Jormgard serait exécuté pour ses crimes. Le vol, quoique grave, ne méritait pas la mort. Dans le pire des cas, on se contentait de crever un œil au coupable. Le meurtre d’un frère de clan, c’était une autre histoire. Tuer l’un des siens, cela revenait à s’en prendre à ses ancêtres; un acte d’infamie impardonnable. C’était projeter la honte sur soi-même et sur sa lignée. Le bourreau lui couperait donc la tête, ou le pendrait, selon son humeur.

Ce fut à ce moment que le Voile frappa.

Le verdict fut unanime. Exécuter l’infâme serait du gaspillage; il fallait le faire souffrir, en faire un bouc émissaire. Les Dieux étaient en colère; il fallait s’excuser, leur montrer notre dévotion. Un sort pire que la mort : Jormgard serait banni. Histoire d’expier la faute populaire.

Jormgard fut conduit sur l’échafaud, au centre de la grande cour. Toute la population du fort était présente pour zyeuter l’infâme, le lâche, le maudit; celui qui avait tué son propre frère. On le força à s’agenouiller devant la populace pendant que celle-ci l’injuriait, le martelant de boue et de pierres. Le bourreau s’approcha et, sans même hésiter, lui enfonça le fer brûlant dans le front. Le métal chauffé à blanc entra en contact avec la peau, produisant un grésillement infect et une douleur déchirante qui lui arracha un long hurlement, désincarné. Au travers ses larmes, il sentit sa chair rôtir, l’odeur écœurante lui faisant monter la bile à la gorge. Ce félon, maintenant et à tout jamais marqué de l’infamie, n’avait plus de nom, ni de clan; un étranger, condamné à marcher le monde, oublié, inconnu et haï des siens.

Désormais, Jormgard parcourt la lande en tant que mercenaire, survivant d’un contrat à l’autre, côtoyant voyous, bandits et meurtriers. Fort Thurdra, ainsi que la majorité de ses habitants, fut éventuellement réduit à l’oubli par des catastrophes successives, toujours plus meurtrières; les quelques survivants, perdus, parcourent maintenant le monde, cherchant à fuir les malheurs ayant causé la destruction de leur foyer.

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Dernière édition par Jormgard l'Infâme le Dim 20 Nov 2016 - 18:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Jormgard, L'infâme   Jormgard, L'infâme I_icon_minitimeDim 20 Nov 2016 - 15:38

Bienvenue parmi nous Jormgard l'Infâme !

Une fiche vraiment sympathique à lire, un nain vraiment intéressant que tu nous as construit la !
Voila donc la correction :

Citation :
Suivant la tradition clanique, elle voulut offrir à son fils, pour cadeau, un morceau de gobelins; une créature perfide, grotesque et putride, s’apparentant à la vermine, foisonnante dans la contrée montagneuse. Il était dit que certaines parties de leur corps, les oreilles pointues en particulier, apportaient gloire et chance. C’était avec fierté que plusieurs s’en faisaient des colliers, des bracelets; d’autres les accrochaient au manche de leurs haches, marteaux, couteaux. À l’exception de constituer une décoration macabre, leur véritable utilité restait à découvrir. Dans tous les cas, la mère du petit Jormgard, accompagné de quelques volontaires, se lança à la chasse aux peaux-vertes. Seulement, ce fut eux qui se retrouvèrent découpés en morceaux. Ces pourritures n’apprécient pas vraiment qu’on leur coupe les oreilles. Les Anciens du clan interprétèrent cet incident d’un mauvais œil.

Sur ce passage une petite précision sur les peaux-vertes et les gobelins, avant le Voile, il reste une menace assez faible pour la race naine, pour la bonne raisons qu'ils ne se réunissaient jamais en horde assez conséquente pour représenter une menace. Les nains avaient bien plus de soucis avec les créatures de type mammifère terrestre bien énervé qui peuple encore aujourd'hui les montagnes. C'est donc à partir du Voile et sous l'influence de Mogar, qu'ils deviennent la menace qui à fait flancher le Royaume nain. Néanmoins, comme c'est décrit ici, ça peut être une spécificité lié au clan Sang-Gelé, spécialisé dans la traque aux gobelins.

Citation :
avec les trois autres clans qu’ils côtoyaient

Pourrais tu rajouter les noms des clans et leurs fonctions primaire ? C'est dans l'optique d'un recensement des clans créer par les PJ, fussent t'ils disparut aujourd'hui.

Citation :
Les pionniers originaux avaient choisi l’endroit pour son aspect économique; les montagnes regorgeaient de mines aux métaux précieux. Ils y érigèrent Fort Thurdra : construit à même la montagne, profitant des bouffées volcaniques pour se réchauffer; une merveille d’ingéniosité. Situés en retrait, isolé des autres peuplades durant les longs hivers glacials, les habitants furent forcés de diviser leurs occupations pour subvenir à leurs besoins, usant du commerce pour se procurer les éléments manquants.

Alors, si je localise bien l'endroit, tu situes Fort Thurdra au dessus du Kirgion ?

Avant le Voile , cette zone était entièrement sous le contrôle de Kirgan, comme en réalité toutes les cités et le territoire nain. Cette zone était effectivement exploité pour ses minerais et ses métaux précieux, mais pas dans une vocation de commerce, mais d'extraction. On trouvait dans cet endroit, de nombreuses mines fortifiées qui étaient exploité par les clans de mineurs/tailleur de pierre et souvent sous la garde d'un clan de type guerrier pour leurs protections. Ca ressemble donc beaucoup au schéma de Fort Thurdra, mais l'aspect commerce est à supprimer parce que tout ce qu'on sortait des entrailles de la montagne ici, se retrouvait convoyé à Kirgan et Thanor pour la production et à Lante pour le commerce qui était leur unique enclave marchande avec l'extérieur.
Les clans tenant ce genre d'endroits faisaient donc fortune en étant rétribué par le trésor royal.

Cela change peut être un peu certaines tournures de la suite de ton histoire, notamment concernant les difficultés de du père Sang-Gelé à joindre les deux bouts. Mais on peut penser à un tarissement du filon ou que sais je, qui aurait entraîné des difficultés financière pour la mine fortifiée. En plus bien sûr de son addiction au jeux qui est une tare bien nanesque.

J'ai beaucoup aimé comment tu traites en suite le bannissement de ton personnage, la façon qu'on les nains de le laisser à l'ire de l'extérieur. Mais une nouvelle précision, cette zone du Septentrion à subit de nombreux dégats, bien avant que Kirgan fut détruite, toutes communications furent rompues avec toutes les mines et fortins. Jormgard à donc survécut grâce à son bannissement, mais si tu pouvais rajouter une ligne ou deux sur le sort de Fort Thurdra et des clans qui y vivaient, ça serait parfait.


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MessageSujet: Re: Jormgard, L'infâme   Jormgard, L'infâme I_icon_minitimeDim 20 Nov 2016 - 19:00

Alors, merci pour les compliments. :]

Concernant les gobelins : oui, c’est à peu près ce que je voulais dire. S’ils ne représentent pas une menace immédiate pour les habitants de Fort Thurdra, les Sang-Gelés font de leur mieux pour en massacrer la plus grande partie, histoire que leur population ne prenne pas trop d’ampleur.

Les Sang-Gelés côtoient les clans Nirrog (mineurs), Brise-Galet (aussi mineurs) et Skaldson (tailleurs de pierre).

J’avoue avoir été plutôt vague sur la localisation de Fort Thundra. Je pensais surtout à un endroit éloigné au nord du Kirgion, dans les Hautes-Terres; une sorte de bastion entre les contrées sauvages inhabitées et la civilisation.

Aussi pour t’éviter de tout relire je te mets en citation :

Citation :
Situés en retrait, isolé des autres peuplades durant les longs hivers glacials, les habitants furent forcés de diviser leurs occupations pour subvenir à leurs besoins, dépendant de leur capitale, Kirgan, pour se procurer les éléments manquants.

Lorsque je parlais de commerce, je pensais surtout entre les différentes peuplades du nord, ou avec Kirgan. Mais si je comprends bien, toutes les cités du territoire nain étaient sous la tutelle de Kirgan (avant le Voile), et donc essentiellement dépendantes d’elle? Style mercantilisme où la capitale reçoit les ressources premières en échange de produits/argent? Dans tous les cas, je change.

Concernant le père, disons seulement qu’il avait dépensait son argent n’importe comment (alcool pour oublier la mort de sa femme?), ou que l’administration du fort était corrompue et il ne recevait pas grand-chose. ^^

Citation :
Fort Thurdra, ainsi que la majorité de ses habitants, fut éventuellement réduit à l’oubli par des catastrophes successives, toujours plus meurtrières; les quelques survivants, perdus, parcouraient maintenant le monde, cherchant à fuir les malheurs ayant causé la destruction de leur foyer.

Pour la destruction du fort. Je crois avoir fait le tour; s’il y a d’autres détails à changer, hésites pas!
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MessageSujet: Re: Jormgard, L'infâme   Jormgard, L'infâme I_icon_minitimeDim 20 Nov 2016 - 19:30

Parfait pour les changements.

Citation :
Lorsque je parlais de commerce, je pensais surtout entre les différentes peuplades du nord, ou avec Kirgan. Mais si je comprends bien, toutes les cités du territoire nain étaient sous la tutelle de Kirgan (avant le Voile), et donc essentiellement dépendantes d’elle? Style mercantilisme où la capitale reçoit les ressources premières en échange de produits/argent? Dans tous les cas, je change.

En effet, toutes les cités étaient dépendantes de Kirgan, le pouvoir étant centraliser en ces lieux. Les principals autres cités disposant tout de même d'une influence et d'un certains libres arbitres sur les terres qu'ils occupaient. Concernant la localisation de Fort Thurda, c'est directement Kirgan qui avait poids dessus. Les nains fonctionnaient sur un modèle qu'on pourrait qualifier de "communiste", c'est plutôt la deuxième option pour ta seconde question qui prime, les nains de Fort Thurda échangeant leurs productions contre des biens/de l'argent.

Super pour le passage concernant l'avenir du fortin poste voile.

Et sur ces précisions, te voila validé !

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