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 Astoria Guhur, apprentie héroïne

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Astoria Guhur
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Astoria Guhur


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MessageSujet: Astoria Guhur, apprentie héroïne    Astoria Guhur, apprentie héroïne  I_icon_minitimeDim 5 Mar 2017 - 17:24

Identité
Nom/Prénom : Astoria Guhur
Âge/Date de naissance : Arcamenel 2ème énnéade de Favriüs 983 (26 ans)
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Faction : La péninsule
Alignement : Chaotique neutre

Particularité : Très énergique et déterminée, elle passe difficilement inaperçue lorsqu'elle se laisse aller à ses pulsions, quelles qu'elles soient.


Métier : Aventurière
Classe d'arme : Corps à corps


Possessions & Equipements :

Fidèle à son éthique de voyage et d'aventure, Astoria n'emporte généralement avec elle que ce qui lui est nécessaire. Une bourse et une gourde attachées à ses hanches ainsi qu'un sac à dos transportant victuailles, quelques mètres de corde, le dernier livre écrit par sa mère et quelques objets utiles du moment ont vite fait de constituer la quasi intégralité de son inventaire. La jeune femme garde également avec elle l'épée Guhur que lui a forgé son père ainsi que quelques dagues de secours pour pouvoir frapper à distance ou agir en toute discrétion. Astoria possède également une armure de cuir comme protection, renforcée par endroit de quelques plaques de métal. Elle préfère en effet pouvoir compter sur son agilité plutôt que de se retrouver avec très peu de marge de manœuvre dans une armure lourde et difficilement transportable.  

Apparence :

  • Taille : 1m70
  • Couleur des yeux : Bleus


Lorsqu'elle voyage sur les routes, Astoria garde généralement une cape autour d'elle surmontée d'une capuche afin d'attirer le moins possible l'attention. En dehors de ces instants, elle préfère se tenir d'une manière plus décontractée. Ses longs cheveux blonds tombent en cascade autour de son crâne lorsqu'ils ne sont pas attachées. Entre deux mèches, un regard particulièrement captivant peut être aperçu, des yeux bleus, vifs et sauvages, explorant sans cesse l’environnement dans lequel ils se trouvent. Le reste de ce visage féminin ne fait que renforcer cet aspect sauvage si particulier.

Entraînée physiquement depuis son enfance, Astoria possède un corps bien plus sculpté que pour la plupart des femmes. Elle se base sur son agilité et sa souplesse pour se sortir d'une mauvaise situation, bien plus que sur sa force brute. Elle possède d'ailleurs une allure féline qui est facilement remarquable si l'on observe ses déplacements, ce qui ne l'empêche pourtant pas de faire parfois preuve d'une grande maladresse. Ses hanches et sa corpulence typiquement féminines sont visibles même lorsqu'elle porte son armure, mais elle ne cherche en aucun cas à le cacher.

Personnalité :

Astoria est très franche, les ficelles du mensonges ne lui sont évidemment pas inconnues, mais dans la plupart des cas où elles ne sont pas nécessaire, la jeune femme dira ce qu'elle pense. Ce trait de caractère lui attire empathie comme animosité, mais elle ne cherche en aucun cas à le changer. Et elle y met un point d'honneur car elle fait ainsi opposition aux niaiseries mielleuses que la noblesse de la péninsule aime tant à utiliser. Astoria éprouve en effet une très forte aversion envers les nobles qui se vautrent dans la luxure, rendant leur vie fade et sans saveur. Seuls leurs petit jeux leur permettent d'y apporter un peu de profondeur, mais une profondeur factice et illusoire. A l'inverse, la jeune femme a beaucoup de respect envers les simples roturiers, ceux qui se donnent les moyens d'obtenir ce qu'ils veulent à la seule force de leur volonté et de leur labeur.  

Ceux qui côtoieront Astoria pourront remarquer qu'elle déborde d'optimisme, une façon de penser et de voir les choses qui sera parfois romancée mais en aucun cas grisâtre ou monotone, il est donc très rare de la voir se morfondre et ce même dans les pires situations. Elle estime en effet que chaque partie de cette épopée qui est désormais la sienne doit être savourée. Très impulsive, Astoria se laisse très facilement aller à ses envies et peut ainsi très rapidement changer de priorité.

Astoria s'avère également bien souvent espiègle et adore flirter avec les personnes qui lui sont sympathiques. Si son comportement peut parfois paraître immature voir enfantin, elle sait pourtant faire preuve d'une excellente concentration dans les situations qui l'exigent. Sa détermination et sa volonté sont puissantes et elle saura les utiliser à bon escient pour parvenir à ses fins. Loyale et reconnaissante, ceux qui la compteront parmi leurs alliés n'auront pas à s'en plaindre. Rêveuse, elle garde toujours la même imagination débordante que lors de son enfance. On peut parfois la retrouver enfermée dans son esprit et particulièrement dans les situations qui génèrent matière à réflexion.

Capacités magiques :

Aucune






Histoire

C'est en ce Favriüs de 983 du Xe cycle que naquit Astoria au sein de la cité péninsulaire d'Apreplaine. Nouvelle venue d'une famille modeste installée depuis peu dans la région, son père, maître forgeron, était le créateur des armes et armures Guhur, gages d'un labeur extrême mais d'une qualité défiant avec aisance la concurrence des environs. Sa mère était une ancienne assassin ayant raccroché sa vie de tueuse pour fonder une famille auprès de son fournisseur favori, désormais reconvertie en compteuse faisant partager au travers de ses récits les merveilles qu'elle avait pu autrefois contempler aux quatre coins de la péninsule. Et son grand frère à peine plus âgé qu'elle venait achever le tableau de cette famille perdue parmi tant d'autres, sans aucune autre intention que celle de continuer à vivre leur vie paisiblement.

Baignés très jeune dans cet univers de métal chauffé à blanc et la tête emplie des récits d'exploration de leur mère, les deux enfants grandirent des rêves plein la tête. Astoria possédait déjà une imagination débordante et semblait parfois parler toute seule peu importe la situation. La jeune fille ne faisait que communiquer avec Typhon, un jeune dragonnet devenu son ami imaginaire. Il était bien moins effrayant que ce que les légendes laissaient à entendre, mais il n'en restait pas moins magnifique à contempler, il savait parler le langage humain et possédait même un sens de l'humour que la petite Astoria adorait. Le lézard était en tout cas bien plus agréable à vivre que son grand frère avec lequel la moindre interaction dégénérait bien souvent en combat.

Son frangin souhaitait d'ailleurs pouvoir devenir un jour un puissant chevalier, c'est dans cette optique qu'il commença donc à suivre un entraînement martial auprès de sa mère, experte du maniement des armes en combat rapproché, entraînement qu'Astoria se mit un point d'honneur à effectuer également pour ne pas se laisser dépasser par son frère. La formation fut également pour eux un moyen de se battre à souhait l'un contre l'autre sans avoir à provoquer le courroux de leur parents. Autre que ce défouloir fraternel, la petite fille trouva en cette activité une manière de pouvoir s'exprimer pleinement comme elle le souhaitait, sculptant son corps au gré de ses efforts et l'utilisant pour faire parler sa volonté, un univers où elle était libre, bien loin de la mascarade que pouvait représenter la grande majorité des interactions sociales avec autrui.

Astoria commença ainsi à devenir très attachée à ces exercices physiques et à répugner les courbettes qu'elle se devait d’exécuter aux personnes de meilleure naissance, forcée de maintenir le respect que devait montrer la fille d'un grand artisan en de telles circonstances. Un mérite acquis de par un simple statut social et qu'elle rechignait à reconnaître comme justifié. Astoria mûrissait petit à petit sans prêter la moindre considération à ce que l'on attendait d'elle, au présent comme au futur.

Bientôt, les deux jeunes Guhur firent la connaissance d'un tatzelworm, fraîche acquisition des artisans logeant dans l'habitation adjacente. La créature venait parfois fureter aux alentours de la forge et savait se montrer très affectueuse, particulièrement envers les enfants, ironique lorsque l'on connaissait la nature de leurs homologues sauvages. Toujours est il qu'Astoria détestait cette créature et s'évertuait à l'éviter lorsqu'elle avait tendance à s'approcher d'un peu trop près, son aspect et ses manières provoquait chez elle une affreuse sensation de dégoût. De plus, depuis son arrivée, la petite fille avait remarqué que Typhon apparaissait beaucoup plus rarement que d'ordinaire. Un ajout qui ne la fit qu'éprouver que plus d'antipathie encore envers le félin reptilien. Mais malgré cette hostilité flagrante, la créature était trop peu présente pour impacter réellement sur sa vie quotidienne.

La situation dérapa cependant le jour où la jeune fille retrouva Typhon inanimé aux pieds du tatzelworm. Elle eut l'impression qu'une partie d'elle s'éteignit à cet instant, la plus importante création de son esprit venait de disparaître sous ses yeux. Un intense sentiment de haine s'empara d'elle, incomparable à celle qu'elle pouvait éprouver occasionnellement envers son frère. Astoria attendit la nuit pour s'emparer de l'une des armes de l'arsenal de son père et pour pénétrer dans le logement adjacent qui représentait l'antre de la bête. Fort de sa connaissance de l'agencement des lieux très similaire à son propre foyer et de sa petite corpulence, elle parvint à s'y faufiler avec discrétion, portant en ces mains une épée courte qui n'était pas faite de bois.

Astoria fut contrainte de sauter par dessus de multiples torrents de lave avant d'avoir à esquiver les pièges mortels postés un peu partout. Elle se réfugia derrière un meuble pour échapper à la vigilance d'un griffon et continua son périple dans l'antre de la bête remplie des cadavres de ses anciennes victimes, des dizaines de dragonnets morts. La jeune fille atteignit finalement le socle noirâtre et repoussant sur lequel somnolait la créature, l'une de ses pattes pendant dans le vide et le reste de son corps serpentin enroulé autour de son support. Le tatzelworm ne mit que peu de temps à réagir, sentant l'odeur de l'humaine et se redressant pour la saluer de la manière affectueuse qui lui était caractéristique. Astoria brandit son épée et se prépara à accueillir le monstre qui lui fonçait dessus toute griffes dehors. Une première attaque en travers de la gueule lui permit de le garder à distance, la jeune fille passa sous les griffes et trancha la chair située sous la tête du monstre.

Partiellement décapité, le tatzelworm s'effondra au sol tandis que son sang s'échappait du trou béant sous sa nuque. Astoria s'écarta un instant pour éviter de rentrer en contact avec le liquide sans doute dangereux du monstre avant de donner le coup fatal au niveau du crâne. Terrifiée à l'idée qu'il puisse se relever, elle frappa le cadavre du monstre encore, et encore. Le cri d'agonie du monstre n'était cependant pas passé inaperçu. Les propriétaires du logement se réveillèrent et trouvèrent la fille de Guhur tenant une épée ensanglantée face au cadavre de leur tatzelworm. Inutile de dire que la punition que reçut la jeune fille de la part de ses parents fut à la hauteur de la dangerosité de cette aventure qu'elle venait de vivre. Ils durent verser l'intégralité du prix de l'animal ainsi qu'un petit surplus pour acheter le silence des propriétaires du feu tatzelworm afin d'éviter que ne s'ébruite la rumeur que la fille de Guhur se livrait à des massacres nocturnes dans les environs.

Depuis cet événement, l'éducation d'Astoria se fit plus encadrée au grand désarroi de celle qui devenait peu à peu une jeune femme. Mais qu'importe l'influence que l'on essayait d'avoir sur elle, elle gardait cet esprit sauvage qu'elle voulait libre de toute contrainte. Elle rêvait de pouvoir explorer le monde, de rencontrer des personnes aux desseins qu'elle n'était même pas encore en mesure de concevoir et d'affronter le danger au cours d'un périple qui lui permettrait d'écrire sa légende à la seule force de son épée. La simple idée d'avoir à finir sa vie entre ces murs lui donnait la nausée.

Bientôt, la foule de la ville s'agita, petits comme grands, car le Voile approchait à grands pas, prêt à recouvrir Miradelphia de ses ténèbres. Un événement des plus marquants pour ceux qui avaient la chance de pouvoir y assister. Un nouveau cycle allait commencer, cycle où Astoria et son frère étaient persuadés de parvenir à s'y faire un nom, marquants l'histoire à tout jamais de par leurs actes. C'est d'ailleurs à cette période, suffisamment âgé pour pouvoir y prétendre, que le grand frère d'Astoria s'engagea dans l'armée afin d'y être formé et de travailler dur pour pouvoir faire ses preuves et attirer un jour le regard de la noblesse. Bien que la compétition existait encore entre eux deux, la jeune femme refusa de le suivre dans cette voie bien trop stricte pour elle.

Le tant attendu Voile fit donc son apparition, assombrissant toute création et plongeant ses adorateurs dans un excitation des plus intense. Mais ce qui fut inspirateur de joie et de fêtes devint bientôt la source d'une angoisse pesante. Car le Voile ne cessa pas, défiant tout fait chronologique sur le sujet, l'éclipse persista, répandant le doute et l'incertitude parmi les mortels. Une famille aussi modeste que les Guhur ne fut pas épargnée par le sujet et Astoria en vint presque à espérer que le Voile provoque suffisamment de discorde pour que cela puisse briser le quotidien dans lequel elle était enchaînée. Ce qui s'avéra être le cas, mais hélas, pas de la manière dont elle l'aurait espéré.

En effet, les énnéades passant, la population dû apprendre à vivre avec l'éclipse et ce même avec la présence de miracles inespérés et d'accidents beaucoup plus fréquents. Et certains esprit faibles se mirent à vénérer ce Voile qui ne pouvait être qu'un message divin à interpréter. Une secte d'adorateurs de l’éclipse s'installa dans la région et ne laissait qu'un seul choix aux itinérants qui croisaient leur chemin, la conversion ou la mort. Une purge qui attira rapidement l'attention de la milice au vu de l'agitation de la population et de la peur panique de certains marchands de quitter la ville. Une expédition punitive fut donc envoyée pour mater la menace. Le frère d'Astoria décida d'en faire partie, en effet, un jeune soldat pouvait prétendre à un éventuel adoubement s'il accomplissait un fait d'arme à la hauteur de la récompense.

Sombre période. Ceux de l'expédition qui ne furent pas tués par la secte devinrent fou en traversant la lumière qui envahissait la lande. A la mort de son frère, vint s'ajouter celui de sa mère, une maladie foudroyante et incurable l'avait frappé, et elle y avait succombé, comme de nombreux autres. L'influence de la déesse était forte et les mortels tremblaient. Astoria décida d'aider son père dans sa tâche et tous deux noyèrent leur chagrin dans un dur labeur. La jeune femme continua cependant de pratiquer les leçons de sa mère dans son coin, persuadée que ces précieuses connaissances lui seraient forcément utiles et lui permettraient peut être un jour, de venger la mort de son frère. Le Voile s'éternisait et la peur devenait une habitude pour ceux qui ne représentaient que les jouets d'une déesse reniant ses enfants.

Lorsque l’éclipse se termina enfin, elle laissa derrière elle un peuple meurtri par l'événement et dont les répercussions n'avaient pas encore fini de faire parler d'elles. La famine s'installa accompagnée de son lot de fléaux habituels. Le labeur d'Astoria et de son père payèrent et leur permis d'être relativement épargnés par la situation. Ils restaient généralement isolés dans leur travail et sortaient peu, encore traumatisés des événements du Voile. La jeune femme développa d'ailleurs une solide aversion envers les divinités, outrée par le fait que les mortels n'étaient rien d'autre que leurs jouets.

Peu à peu, la situation se redressa dans la péninsule et le seul sujet principal de conflit fut de savoir quelles fesses auraient l'honneur de pouvoir se vautrer sur le trône. Les fesses s’enchaînaient d'ailleurs, la noblesse humaine n'était rien d'autre qu'un gigantesque champ de bataille où les mots remplaçaient les lames. Pour Astoria, ce fut la période où elle décida de quitter son foyer, mais pas pour commencer son épopée. Une vengeance devait être assouvie en premier lieu. La jeune femme parcourut en effet les routes sur les traces des survivants de la secte de l'éclipse.

Avec l'aide de la milice et de mercenaires, Astoria donna aux meurtriers de son frère le jugement qu'ils méritaient depuis bien longtemps. Dans un campement en pleine nature ou dans la rue étroite d'une bourgade, la surprise permit à sa lame de faire des merveilles sur ceux qui avaient pleinement profiter de la présence d'une déesse indigne d'être vénérée. Ils avaient été purgés à leur tour, et bien que la plupart continuaient de lui échapper, chaque vie qu'elle prenait la libérait un petit peu plus du lourd regret qui pesait sur elle depuis qu'elle avait refusé de l'accompagner en expédition, ce jour là. Fort de son efficacité à éliminer les anciens sectaires, Astoria revint en peu de temps à son foyer pour réellement préparer le début de son épopée.

Son géniteur lui forgea une épée sur mesure en utilisant toute l'expertise Guhur pour obtenir une lame de grande qualité. C'est peu après que le père et la fille firent leur adieu, peu importe si cette voie allait la mener à sa mort, Astoria s'en fichait éperdument et le forgeron avait compris depuis bien longtemps que la place de sa seule héritière n'était pas ici. La jeune femme quitta donc la forge à bord d'un chariot dirigé par Gaston, une vieille connaissance de son père, marchand récemment revenu en Apreplaine.

Peu importe ce que pouvait lui réserver l'avenir, Astoria était prête à l'assumer entièrement. Qui sait, peut être deviendrait elle une légende, ou peut être aurait elle l'occasion de voir les congénères de Typhon un jour ? Toutes ces possibilités ne rendaient que l'excitation du moment plus forte encore. Dommage que la seule adversité qu'elle ait à affronter pour le moment ne soit le bruit ininterrompu des pièces de métal s'entrechoquant à l'arrière du chariot pendant qu'elle tente de dormir.

Bien moins fascinant.


HRP:


Dernière édition par Astoria Guhur le Dim 5 Mar 2017 - 23:59, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Astoria Guhur, apprentie héroïne    Astoria Guhur, apprentie héroïne  I_icon_minitimeDim 5 Mar 2017 - 21:27

Coucou!

Alors d'après ce que je vois, il n'y a pas de problème de fond, juste plusieurs détails à recentrer ou éclaircir pour montrer que tu as compris l’ambiance Wink
Ne t'étonne pas de la longueur, j'essaie d'expliquer au maximum pour t'éviter les recherches interminables. C'est comme si je te filais les réponses d'un exam avec les questions, pas mal non?  Astoria Guhur, apprentie héroïne  629873

Citation :
C'est en ce Favriüs de 1983 que naquit Astoria au sein de la cité péninsulaire d'Apreplaine.
en favriüs de 983 du Xe Cycle. 1983, c'était il y a près de 9000 ans.

Citation :
Sa mère était une ancienne cartographe ayant raccroché sa vie de nomade pour fonder une famille, désormais reconvertie en écrivaine faisant partager au travers de sa plume les merveilles que ses nombreux voyages l'avaient amenée autrefois à contempler.
Que la mère est été cartographe, quoi que très atypique n'est pas du tout un problème. Par contre un écrivain...
Il n'y a pas d'écrivain au sens actuel du terme, ce n'est pas en vendant des ouvrages qu'on peu gagner sa vie. Les chansons de gestes et les romans existent mais en petit nombre et l'imprimerie elle n'existe pas du tout en Péninsule.
Ceux qui savent lire sont rare, ceux qui savent écrire tout autant et ils se trouvent particulièrement parmi les bourgeois ou les nobles... et encore pas tous. Le papier, le vélin, l'encre, tout cela coute cher et reste très fragile. Les écrivains doivent se trouver des mécènes pour survivre.
De plus si les deux parents travaillent cela sous-entend qu'il faut du personnel pour s'occuper des enfants et de leur demeure.

Enfin bref, tu comprends, la famille que tu décris n'a rien de humble (contrairement à ce que tu dis plus tard dans l'Histoire). Ta mère peut avoir comme passion d'écrire (ce que la popularité des armes de ton père ont put lui permettre en lui achetant de temps à autre un volume vierge, de l'encre des plumes, etc...) ou de raconter des histoires mais ce n'est pas un métier a moins de s'appuyer sur une bourgeoisie encore plus haute que celle de cette famille (car la famille que tu décrit est déjà une famille de moyenne bourgeoisie) ou sur des nobles.

(Je te laisse régler les détails à ta convenance avec ces infos)

Citation :
un puissant chevalier, c'est dans cet optique qu'il commença donc à suivre un entraînement martial,
La quasi totalité des chevaliers sont nobles. Ceux qui sont adoubés en étant de basse extraction le sont pour haut faits. Il ne peut donc suivre l'enseignement d'un écuyer et doit s'enrôler dans l'armée.

Citation :
Un mérite acquis de par un simple statut social et qu'elle rechignait à reconnaître comme justifié.
C'est l'ordre établit par les dieux. Y a rien a changé comme tu dis qu'elle a une aversion plus tard, mais garde ça a l'esprit pour ton jeu Wink


Citation :
A la mort de son frère, vint s'ajouter celui de sa mère, foudroyée par un éclair au milieu d'un marché.
C'est un peu trop destructeur comme intervention de Néera (elle reste la mère des homme, tuer quelqu'un en random c'est assez incompréhensible) un groupe brigand, une maladie, le manque de lumière, les raisons de mort ne manquent pas.

Citation :
Et si son genre lui apporte parfois des ennuis sur les routes, elle fait rapidement comprendre à la force de son caractère et du maniement de son épée qu'il ne vaut mieux pas la chercher. Perdre un bras est bien souvent un risque trop important pour tenter de maitriser une simple voyageuse encapuchonnée.
C'est le point a vraiment VRAIMENT retenir de cette correction car cela impactera très durablement ton jeu.

Dans ton histoire, on voit que tu n'as pas eu de maître d'arme, que tu avais l'habitude de te battre, petite avec ton frère mais que pendant des années (estimation à la louche 7) tu t'es réfugier dans la forge donc, sans pratiquer réellement, avant de reprendre la route, toujours sans apprentissage pour tuer des gens qui ne savaient pas se défendre en les attaquant par surprise. Astoria est donc une guerrière à peine valable. Elle sait porter une frappe d'estoc et par quel bout prendre une lame (elle sait par contre entretenir son matériel comme personne vu son savoir au niveau de la forge), elle a de l'endurance grâce au travail de la forge et par des entrainements de longue date mais elle n'a aucune réelle connaissance dans l'art du combat si ce n'est quelques échauffourées avec son frère quand elle était petite...

Tu ne pourras donc pas trancher les gens sans soucis et le moindre péquenaud un peu balèze te chahute représente en effet une menace. (parce que les paysans du coin avec des cale d'un demi centimètre de profondeur sur les doigts, c'est pas les employés de bureau de maintenant... surtout si ton perso est du genre à se balader comme l'image de ta signature Wink ) De même façon, ne pense pas pouvoir tenir tête facilement à un soldat, même jeune, qui combat quotidiennement et qui a appris avec un véritable maître.

Bon courage pour ta correction, je reste à ta disposition pour toute question ici ou par MP !
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MessageSujet: Re: Astoria Guhur, apprentie héroïne    Astoria Guhur, apprentie héroïne  I_icon_minitimeDim 5 Mar 2017 - 23:58

Voici mes corrections :

Date corrigée

Citation :
C'est d'ailleurs à cette période, suffisamment âgé pour pouvoir y prétendre, que le grand frère d'Astoria s'engagea dans l'armée afin d'y être formé

Son frère possède toujours la même ambition mais il passe donc par l'armée avec l'espoir d'y accomplir un acte héroïque.

Citation :
A la mort de son frère, vint s'ajouter celui de sa mère, une maladie foudroyante et incurable l'avait frappé, et elle y avait succombé comme de nombreux autres.

La foudre remplacée par une maladie.

Citation :
Sa mère était une ancienne assassin ayant raccroché sa vie de tueuse pour fonder une famille auprès de son fournisseur favori, désormais reconvertie en compteuse faisant partager au travers de ses récits les merveilles qu'elle avait pu autrefois contempler aux quatre coins de la péninsule.

Citation :
c'est dans cette optique qu'il commença donc à suivre un entraînement martial auprès de sa mère, experte du maniement des armes en combat rapproché, entraînement qu'Astoria se mit un point d'honneur à effectuer également pour ne pas se laisser dépasser par son frère.

Changement radical au niveau de la mère xD L'idée est donc que ce soit elle qui ait enseigné l'art du combat à sa progéniture jusqu'à leur 18 ans environ ( là où le frère d'Astoria s'engage dans l'armée et où elle mourra pendant le Voile). Astoria continuera d'entretenir ce qu'elle a appris pendants ses longues années dans la forge.

L'idée est donc de donner à Astoria une maitrise de son arme élémentaire, histoire qu'elle réussisse au moins à tenir tête à un jeune soldat. Aucune volonté de grosbillisme, mais j'aimerai qu'Astoria sache au moins se défendre ^^ Si ce n'est pas possible dans ces circonstances, je remettrai l'ancienne version de sa mère et Astoria sera donc une simple voyageuse.

Voila voila =D
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MessageSujet: Re: Astoria Guhur, apprentie héroïne    Astoria Guhur, apprentie héroïne  I_icon_minitimeLun 6 Mar 2017 - 13:37

Astoria Guhur, apprentie héroïne  Tampon13
   C'est tout a fait possible! Impec! Banco! Je fais feu des deux pouces! (comment ça j'en fait trop? )
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MessageSujet: Re: Astoria Guhur, apprentie héroïne    Astoria Guhur, apprentie héroïne  I_icon_minitime

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