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 Melkhart di Maldi [Maé]

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Melkhart di Maldi
Humain
Melkhart di Maldi


Nombre de messages : 113
Âge : 33
Date d'inscription : 24/12/2018

Personnage
:.: MANUSCRIT :.:
Âge : 24 ans, 29 ans en l'an 17:XI
Taille
: 1m85
Niveau Magique : Non-Initié.
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MessageSujet: Melkhart di Maldi [Maé]   Melkhart di Maldi [Maé] I_icon_minitimeJeu 27 Déc 2018 - 16:34


Identité
Nom/Prénom : Melkhart Di Maldi
Âge/Date de naissance : 24 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Faction : Péninsule
Alignement : Loyal Bon
Liens notables : Frère cadet de Maciste et Victoria di Maldi

Particularité : Beau et fort.

Métier : Chevalier et poète
Classe d'arme : Corps à corps


Possessions & Equipements :

Outre les largesses du trésor familial dont il bénéficie parfois sans en être le dépositaire, Melkhart possède finalement peu de biens propres. Fut un temps, son bien le plus précieux – tant d’un point de vue économique que sentimental – était Hannibal, un destrier que lui avait offert Maciste. La bête disparut totalement de la circulation suite à sa capture à Diantra par les Hautvalois, et Melkhart a depuis longtemps cessé d’espérer le revoir.

Comme tout bon patricien, Melkhart possède une impressionnante collection de pourpoints de toutes sortes, bien qu’il fustige la vanité avec laquelle les gens de sa condition arborent leurs vêtements pour étaler leur fortune. Il détient également une cotte de mailles avec son gambison qui commence à avoir vu du pays et qu’il serait temps de changer.


Apparence :

Son visage fin et avenant est endurci par un front large, ainsi qu’une mâchoire carrée mangée d’une barbe fournie bien que finement taillée. Sa peau pâle est légèrement parcheminée, lui conférant un air plus vieux qu’il ne l’est en réalité ; c’est la conséquence des multiples assauts du soleil du Sud et de l’Olienne, à la faveur de moult expéditions le long de la côte de sel et des rivages estréventins. Comme tous les Maldi, Melkhart est beau, bien que les filles soient toujours tombées en pamoison devant son frère tandis que le cadet demeurait dans l’ombre. Il n’y a pourtant rien chez lui qui passe inaperçu : sa silhouette haute et large impressionne le larron et rassure le gentilhomme. Il a du spadassin des contes sybronds la démarche élégante et athlétique, mais aussi une réelle habileté à l’épée. Il entretient avec sérieux sa forme physique, suivant même un régime alimentaire strict, préférant les fruits à l’abus de viande.


  • Taille : 1m85
  • Couleur des yeux : Bleus


Personnalité :

Certains hommes sont faits pour prendre des décisions. D’autres excellent à les appliquer. Fils puîné de la fratrie des Maldi, élevé dans l’ombre de son frère aîné Maciste qu’il respectait et admirait comme un second père, Melkhart fait partie de cette seconde catégorie. Homme d’action, il ne manque pas de courage quand il faut aller au-devant du danger, mais perd ses moyens quand on lui demande un conseil, terrorisé à l’idée de faire le mauvais choix. Face à une décision cruciale, Melkhart tergiverse, retarde l’échéance, et ne tranche dans le vif qu’une fois mis dos au mur. Tout cela n’aurait probablement jamais posé problème, si seulement Maciste avait vécu longtemps.

Melkhart n’a rien d’un idiot, pourtant. Il a reçu les mêmes enseignements que son défunt frère, et les jeux politiques tout comme l’art du commerce n’ont guère de secret pour lui. Il les exècre pourtant, et fuit tant qu’il peut les banquets et les réunions de courtisans, où l’hypocrisie latente lui cause des aigreurs d’estomac. De tout temps, Melkhart a toujours aimé le franc parler, chose trop rare dans le monde qui est le sien. Il méprise les banquets et autres démonstrations d’opulence, y voyant un gaspillage éhonté servant la vanité des puissants et où seuls règnent le paraître et le mensonge.

C'est lorsqu'il combat et fait face au danger qu'il se révèle et se sent pleinement vivant. Son enthousiasme dans la bataille rassure les hommes et lui attire la sympathie des plus humbles, qui louent son courage et sa simplicité. Son humour désarme parfois les situations les plus tendues et Melkhart n'est jamais avare d'un bon mot, frisant parfois l'impertinence.

Lorsqu'il n'est pas au cœur de la bataille, Melkhart aime que les choses soient faites en suivant un protocole finement défini par lui-même et est très à cheval sur ses petites habitudes. Maniaque, diront certains. Melkhart s’en défend, mais ils n’auraient pas tort.

Capacités magiques :
Aucune.






Histoire

L’histoire des Maldi débute à Aphel, opulente cité sybronde juchée au bord d’un lac, en proie aux querelles intestines opposant la noblesse marchande à la petite bourgeoisie. Un charivari aussi tortueux que la situation juridique de la cité, héritage d’Alastein et Aléandre de Systolie, deux enfants jumeaux qui, depuis la rébellion avortée de leurs parents, vivaient tous deux à la cour de Soltariel, plus otages qu’invités de marque. Soucieuse de placer ses pions là où elle le pouvait, la duchesse de Soltariel avait placé son propre gouverneur à Aphel, un administrateur d’origine olysseane nommé Cosimo. Impopulaire, parce que son habileté n’avait pu compenser sa basse extrace dans le cœur des Aphelois, Cosimo n’en jouissait pas moins d’une grande liberté, son mandat ducal le tenant par ailleurs à l’abri des ingérences du baron de Sybrondil.

C’est à Aphel que naquît Melkhart, troisième enfant et second fils de Clitus Maldi, descendant de l’illustre lignée pharétane des Sandalion. Solidement implantée à Aphel, la famille y avait ses clients et amis, et ses ambitions politiques pouvaient s’appuyer sur de florissantes affaires. Clitus Maldi mourut très tôt cependant, et ce fut Maciste, l’aîné de la fratrie qui, encore jeune, devint le chef de famille.

Melkhart fut élevé comme l’étaient les jeunes hommes dans ces familles patriciennes du sud : les yeux sur les registres de comptes et les mains sur la poignée d’une épée. Un précepteur lui bourra le crâne de poésie et de philosophie, et un maître d’armes cogna régulièrement sur ce même crâne avec une épée en bois, parce qu’un noble doit savoir se battre. On en fit un esprit raffiné et aiguisé dans un corps de combattant, peut-être parce qu’un guerrier se bat mieux quand il peut réciter sa prose en ferraillant – ou parce qu’un philosophe doit connaître le goût du sang pour mieux parler du sens de la vie ? On lui apprit à aimer et craindre les dieux, et la survenance du Voile au début du nouveau cycle, avec ses mystères et ses miracles, raffermit la foi du jeune Melkhart en la toute-puissance des Cinq et la sincérité des enseignements des prêtres. Ce qui ne l'empêchait pas de commettre de multiples écarts de conduite, les tentations d'Arcam le poussant aux jeux de hasard et dans le lit de bien des femmes pas toujours très propres sur elles.

Il n’était qu’un très jeune adolescent lorsque son frère Maciste s’illustra en déposant le gouverneur Cosimo à la faveur de la gronde populaire. Aphel applaudit l’éviction du gouverneur étranger et son indépendance retrouvée, portant en triomphe son nouveau seigneur – bien que Maciste, aussi prudent que téméraire, ne se proclama jamais que régent d’Aphel. Bien lui en prit, car l’on redoutait une réaction de la duchesse de Soltariel face à l’éviction de l’homme qu’elle avait elle-même placé à la tête de la cité.
Il n’arriva rien, pourtant. Secouées par des troubles et d’interminables querelles successorales, les duchesses qui se succédèrent avaient d’autres chats à fouetter que la préservation de leur mainmise sur Aphel.  Quant à Raoul de Santazigore, le baron de Sybrondil, la chute d’un légat ducal limitant son influence dans le pays sybrond n’était pas pour lui déplaire. Si bien que Maciste se trouva, avec une étonnante facilité et en dépit de son jeune âge – tout juste une vingtaine d’années – rapidement conforté dans son nouveau statut de maître de la cité.

Né dans une riche famille de notables, Melkhart était désormais le jeune frère d’un seigneur. Sa vie n’en fut pas fondamentalement changée, car les Maldi baignaient déjà dans l’opulence. Maciste ne lui octroya aucune charge ni aucun titre, encore moins de responsabilité. Se défiait-il à l’époque d’un potentiel rival, ou jugeait-il simplement que Melkhart n’était pas prêt ? Nul ne sait. Melkhart passa le plus clair de son adolescence loin d’Aphel, sur les côtes de péninsule et d’Estrévent, à bord de galères de la compagnie des Trois Saisons – dont les Maldi possédaient la majorité des parts – menant une vie de négociant et de mercenaire, ce qui, dans l’Olienne, va souvent de pair.
N’allez pas croire que Maciste et Melkhart étaient deux étrangers l’un pour l’autre. Il y avait entre eux une réelle affection fraternelle qui se confirmait chaque fois que Melkhart regagnait Aphel. Compte tenu de la différence d’âge et du statut de Maciste, il est vrai que Melkhart le considérait davantage comme un second père – il avait à peine connu le premier - et il subsista toujours une certaine distance entre eux, car Maciste était le chef de famille et que son autorité était indiscutable. Jamais il ne vint à Melkhart l’idée de le trahir, et il semble qu’il n’ait jamais eu d’autre ambition que celle d’accomplir la volonté de son aîné.

Avec ses sœurs, les relations étaient diverses. Julietta, d’un an sa cadette, était sa préférée. Tous deux partageaient un goût certain pour la poésie et la musique. Chaque fois que Melkhart rentrait à Aphel, ils passaient des soirées entières à évoquer les compositions de Siffrelot le Barde, et Melkhart narrait sous les yeux émerveillés de sa sœur les mille et une curiosités de Thaar et toutes ces choses qui lui étaient devenues banales mais qui, pour elle, prenaient la forme d’un mythe vivant.
Il n’avait en revanche que peu de choses en commun avec Lysandra, sa plus jeune sœur, n’ayant que trop peu passé de temps auprès d'elle et ne partageant guère ses centres d'intérêt. Toutefois, sa relation la plus complexe était sans conteste celle qu’il entretenait avec Victoria, plus âgée que lui et qui, à tout âge et en tout temps, ne cessa jamais de rappeler dans ses paroles et dans ses actes qu’elle était son aînée, le traitant parfois avec une autorité fort malvenue. Un spectateur neutre aurait pu croire le frère et la sœur en froid, mais en vérité, tous deux s'appréciaient fort bien, le caractère impétueux de Victoria n'ayant jamais véritablement froissé l'orgueil du cadet. Melkhart, d’un naturel conciliant quand il s'agissait de sa famille, ne jugea jamais nécessaire de s’offusquer des sursauts autoritaires de Victoria - d'autant qu'elle agissait de même avec leurs sœurs - et la laissa faire avec une certaine passivité.

Tant que dura le règne du baron Raoul à la tête de la Sybrondie, la cité d’Aphel n’eut à se plaindre d’aucune ingérence. La disparition soudaine de Raoul et les prétentions d’une certaine Aveline sur la baronnie mirent fin à la relative tranquillité des patriciens d’Aphel. On se défiait de cette femme et de ses ambitions, craignant de la voir se mêler des intérêts des marchands qui regardaient jalousement leurs privilèges. Une crainte partagée par les autres Cités Libres, Tosalia, Olyon, et même les bourgeois de Sybrondil. Les nobles patriciens trouvèrent le soutien de mercenaires estréventins, obtenant pour leur combat des liquidités auprès de leurs partenaires d’outre-Olienne. Maciste lui-même épousa une jeune fille venue d’Orient, Kahina, princesse d’Ys ; un mariage qui le couvrit d’or, lui qui était déjà fort riche. L’armée d’Aveline fut écrasée à la Bataille du Gué aux Chevaliers ; Melkhart lui-même connut ce jour sa première grande bataille et fut adoubé chevalier à l’issue de celle-ci. Maciste s’empara ainsi de la cité d’Euphémion, dont la population l’élut vicomte. Après quoi, l’ensemble des vassaux désigna celui qui était l’homme fort de la Sybrondie comme leur nouveau baron.

En ce temps-là, Melkhart cessa de vadrouiller de par le monde ; Maciste, entouré de nouveaux courtisans et d’intrigants, prenait soin de garder auprès de lui un cercle restreint de gens de confiance, et Melkhart en faisait partie. Le jeune Maldi faisait pourtant un piètre conseiller et n’exerçait aucune lourde responsabilité ; mais il n’en cherchait guère. Le plus clair du temps, Maciste se confiait à lui sur ses états d’âme et ses idées pour l’avenir, ne récoltant auprès de son cadet qu’un hochement de tête approbateur.
Maciste, qui s’était élevé par constante rébellion contre l’autorité ducale et baronniale, eut l’intelligence de se montrer loyal à l’égard de la couronne, en un temps où celle-ci ne manquait pas d’ennemis. Le trône de Diantra sut l’en récompenser en lui offrant l’Amirauté Royale et la gestion de Port Royal. Et lorsque la maison ducale des Soltari-Beronti fut jugée pour félonie, le trône de Diantra ne vit nulle malice à ce que Maciste soumette Soltariel par les armes et se fasse proclamer duc.
Ainsi Maciste, et les Maldi, s’élevèrent au plus haut qu’ils le purent.

Mais à compter de cette époque, Melkhart perdit peu à peu cette proximité fraternelle qu’il entretenait avec Maciste, lequel tombait de plus en plus sous l’influence de son intrigante et mystique épouse. Maciste tombait parfois malade pendant de longs mois, avant de guérir miraculeusement lorsqu’on le croyait prêt à trépasser. La politique de Soltariel et de Sybrondil se trouva conduite par Kahina, au grand dam de tous ceux – et ils étaient nombreux – qui répugnaient à voir une Estréventine gouverner les affaires. L’ascension inexorable de Maciste se poursuivait pourtant, bien que Melkhart n’en fut qu’un spectateur impuissant, car il semblait désormais que son frère aîné n’était rien de plus que la marionnette de Kahina. Las de ce spectacle, et détestant la servilité des courtisans soltaris tous plus bêtes et plus obèses les uns que les autres, Melkhart ne fréquentait guère la capitale ducale. Il préférait séjourner à Aphel lorsqu’il ne partait pas se joindre à quelque obscure équipée aventurière.

Il prenait part à une chevauchée loin des siens lorsqu'il apprit la tragique nouvelle de la disparition de Maciste. Cela lui fut douloureux, mais il y avait déjà longtemps que Maciste n'était plus lui-même. La rumeur accusait l'Estreventine, Kahina, d'être l'instigatrice du meurtre, si elle ne l'avait pas exécuté de ses propres mains. Que cela fut vrai ou non, il valait mieux pour Kahina que Melkhart se trouve loin en un tel moment.

Melkhart aurait sans doute dû gagner Soltariel à bride abattue assister aux funérailles de son frère. A sa place, bien des hommes auraient accouru avec, en ligne de lire, un riche héritage à revendiquer. Sa vie aurait alors singulièrement changé, s'il avait pu s'octroyer le duché et la baronnie, et toutes les autres possessions de son frère.
Mais Melkhart n'était pas un courtisan et n'entretenait pas de clientèle. Il n'avait jamais cherché à s'octroyer un pouvoir qui, en définitive, l'effrayait. Faisant preuve de ce que beaucoup qualifièrent de lâcheté, il demeura à l'écart. De loin, il sut que les nobles de Soltariel, échaudés par la fuite coupable de Kahina, avaient rappelé à leur tête l'ancienne famille ducale déchue, les Soltari-Beronti, et que Tiberia de Soltariel était montée sur le trône grâce à l'appui de nobles corrompus et sans scrupules.

Soltariel échappa ainsi aux Maldi, dont le règne ducal n'avait pas survécu à Maciste.

Les choses allèrent différemment à Sybrondil. Pas plus intéressé par la baronnie que par le duché, Melkhart ne prit pas la peine de faire valoir ses droits. On ne le vit guère dans les parages, puisqu'il jouait les défenseurs de la veuve et de l'orphelin en Ysari, prenait part à de petits tournois locaux et s'acoquinait avec des mercenaires, oubliant son chagrin dans le lit de jeunes filles plus très fraîches. Son insouciance et son désintérêt pour la baronnie auraient pu coûter cher à ses sœurs, qui se virent disputer l'héritage par leur cousine Camille d'Aphel. La bataille politique fut finalement remportée par sa grande sœur Victoria, qui fut proclamée baronne, tandis que Melkhart ignorait les missives de courtisans intéressés qui avaient sans doute espéré faire de lui leur champion - un synonyme commode pour une marionnette.

Sa sœur ayant repris la baronnie, Melkhart continua de mener une vie d'insouciance et d'aventure. On le vit ainsi prendre la tête d’une cohorte de combattants ysarois en route pour Diantra ; une équipée qui tourna court et aboutit à sa capture par les troupes de Blanche d’Ancenis, qui tenaient la cité royale. Il fallut plusieurs ennéades à Victoria pour obtenir de Blanche d’Ancenis sa libération. Une fois celle-ci acquise, il fallut bien que Melkhart rentre au bercail.

Lorsque Melkhart regagna Sybrondil, ils furent plus d’un à guetter sa réaction, se demandant s’il s’opposerait à sa sœur, s’il ferait valoir ses droits sur la baronnie – qui, entre temps, avait été élevée en comté par décret royal. Straton, l’un de ses amis proches, insista lourdement. « Tu es le comte légitime », disait-il. Mais de quelle légitimité parlait-on ? Maciste lui-même avait tout obtenu par un savant mélange de violence et de diplomatie. Et Melkhart n'avait pas plus envie d'assumer une responsabilité dont il n'avait pas voulu à la mort de son frère. Victoria voulait s'infliger ce fardeau et semblait y prendre plaisir : grand bien lui fasse !


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Victoria di Maldi
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MessageSujet: Re: Melkhart di Maldi [Maé]   Melkhart di Maldi [Maé] I_icon_minitimeVen 28 Déc 2018 - 14:35


Melkhart di Maldi [Maé] Tampon13

Attention à la fessée si tu n'es pas sage èé

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