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 Nieninquë, la Druidesse

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Nieninquë
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MessageSujet: Nieninquë, la Druidesse   Nieninquë, la Druidesse I_icon_minitimeDim 11 Jan 2009 - 12:23

Nom/prénom : Malwen Nieninquë
Âge : 112 ans
Sexe : Féminin
Race : Elfe Sylvain
Particularité : Son corbeau Ezel, qui l’accompagne dans ses éternels voyages à travers la forêt et en qui elle porte probablement bien plus de confiance que tout l’ensemble de son espèce.

Alignement : Neutre bon
Métier : Druide
Classe d’arme : A distance/Magie

Equipement : Un arc blanc, léger et souple, et des flèches. Ces flèches peuvent être de bois différent, puisque la plupart du temps elle se taillera des flèches à partir d’arbres morts uniquement ou alors récupérera celles de voyageurs qui ont eu le malheur de causer du tort à sa forêt. Elle rejette entièrement le métal, élément qu'elle juge impur car il se lie à l'industrie née du feu et en conséquent à la destruction de la Nature. Ainsi, toutes ses flèche ont une pointe de bois (tout aussi tranchantes que le métal, due à son expertise en tant qu'archer et à leur forme). A leurs extrémités est toujours attachée une plume d’oiseau.

Elle est toujours vêtue d’un long manteau blanc, dont la capuche semble toujours relevée afin d’ombrer légèrement son visage telles les ombres que projettent les arbres sur la clairière. Ce n’est pas un blanc pur ; cette blancheur rencontre la texture chaleureuse et sombre de la terre, et la fraîcheur des feuilles qui la tachent de palettes de brun et de vert. Cela ne semble jamais ternir sa pureté étincelante. D’une texture aussi légère que résistante, elle suit ses mouvements avec une grâce consentante, et voir cette silhouette en blanc filer à travers les arbres est une vue aussi rare que belle. Mais que se cache-t-il donc sous ce manteau ? Sa tunique est généralement d’une couleur gris pâle, sobrement belle. Ses pieds dans les belles saisons aimeront sentir la terre sous leur plante nue ; lorsque le froid s’invite, ils se glisseront dans des chaussons qui graviront ave légèreté les couches de neige.

Description physique:

…Une gardienne de la forêt enveloppée d’une couverture de neige pure…

Ecoutez, dans le silence de la forêt, où les rayons célestes arrivent dans la clairière, se faufilant tant bien que mal entre les branches et formant une douce lueur dans ce cocon de verdure. Si vous êtes assez attentifs, vous pourriez peut-être entendre ses pas sur les feuilles mortes…quand elle choisit d’y marcher. Car douée de ses mouvements et dotée de la légèreté de sa race, elle se déplacera habituellement à travers les branches des arbres, le plus près de la cime de arbres. Un mouvement aussi spontané et irrévocable qu’une plume emportée par la brise, effleurant à peine les brindilles aux pousses toutes jeunes du printemps. Qu’elle vole ou qu’elle foule la terre de tous les êtres de Miradelphia, son arrivée se fait toujours dans le plus haut respect du calme de la forêt ; ses gestes aussi tranquilles et gracieux que le mouvement du vent à travers les branches…

Nieninquë, flocon de neige dans la Langue des Hommes. On ne peut que sourire à l’évocation de ce prénom…si l’on ose sourire en confrontant celle qui le porte. Même si elle a choisi de s’éloigner du commun de sa race afin de se rapprocher de la nature dans sa forme la plus pure, elle partage cette beauté immaculée et fascinante dont ils font preuve à la fois dans leur apparence, et dans leur regard éternel.

Son corps semble refléter la légèreté de son prénom ; une légèreté froide et vivace, voletant dans les airs. Doté d’une grande agilité, elle préfère se déplacer à travers les arbres que de fouler le sol de ses pieds, sauf si elle a quelque affaire avec un être, qu’il soit humain ou animal, qui ne puisse pas la suivre. Une silhouette délicate et aérienne ; de petite taille, ce qui semble accroître la finesse de ses jambes, de ses bras. Ses hanches et sa poitrine sont des courbes à peine ébauchées sous le tissu de sa tunique ; d’ailleurs, on n’a pas réellement chance à apercevoir ces modestes mais harmonieuses courbes de féminité vu qu’elle préfèrera presque toujours de s’envelopper – presque de se réfugier – dans sa grande cape blanche.

Or, ce n’est pas cet accoutrement seul qui fait d’elle une "Dame Blanche de la Forêt", comme certains pourraient la décrire. En effet, sa peau est, comme celle de la plupart de ses frères Elfes, d’un teint pâle ; la sienne est d’une blancheur pure et douce, qui n’est que davantage accentuée dans la lueur sombre et intime de la forêt.

Venons-en à son visage ; un visage de toute beauté, aux traits des plus harmonieux ; peut-être le seraient ils plus si elle désirait ajouter à ce beau visage un sourire. Sous le pli de sa capuche, descendant sur son front, on verra plusieurs mèches de ses cheveux. La pâleur étrange et belle de sa peau semble se prolonger dans cette chevelure de soie, qui est d’un blond si pâle et doux que l’on les croirait blancs. Enfin, son regard, la chose envers vous seriez très probablement le plus attiré…car si tous les Elfes partagent une beauté commune, ils ont tous, invariablement, un regard différent. Le sien est d’un vert frais et miroitant, avec des touches d’or et de bleu. Le vert des jeunes pousses du printemps…pour un regard se voulant si dur, si froid, adapté aux dures lois de la nature et le mépris des hommes qui les enfreinent.

Entre l’aspect de ses yeux et l’expression de son regard, on dirait un combat entre le printemps et l’hiver.

Description mentale:

…Voletant dans la brise, sans regrets…

Nieninquë n’a jamais regardé en arrière. Lorsqu’elle se penche vers le cours d’eau d’un ruisseau, là où certains ne verraient que leur reflet, elle ne voit que la beauté de l’eau et les animaux qu’ils abritent. Trop généreuse dans sa mission afin de penser à elle ? Ce n’est pas là la question. Simplement, elle n’a jamais désiré se définir en tant que personne, depuis bien longtemps, et préfère se consacrer entièrement à son rôle. Dans la forêt, les animaux et les plantes ne la jugeront pas sur une simple apparence, sur les mots qui sortent de sa bouche. C’est l’une des raisons pour lesquelles, mis à part son amour pour la Nature, elle préfère largement leur compagnie.

Elle s’est depuis longtemps détachée de l’esprit de communauté, et aime à vivre dans le silence. Chacun de ses gestes est naturel ; elle fait partie de ces personnes qui n’ont pas besoin de tourner éternellement en rond, évaluant les risques et les avantages de leur décision, mais allant simplement de l’avant avec une assurance sereine. La sérénité, grand don des Elfes qui parviennent à garder leur sang-froid en toute circonstance…mais cela ne veut pas dire faire abstraction de sentiments pour autant. Ainsi, sa colère tout autant que sa tristesse peut être aussi puissante qu’elle est exprimée dans un contrôle complet. Il n’y a rien – selon, elle – que Nieninquë ne puisse pas contrôler.

D’un tempérament glacial ? Cela dépendra. De son humeur, de la direction du vent, de son interlocuteur. Nieninquë ne ressent pas le besoin d’impressionner les autres afin de se faire respecter, considérant qu’elle est suffisamment intègre afin de ne pas devoir se cacher derrière une façade. La passion qui a formé sa vocation de Druide est une chose dont elle a enveloppé son cœur, et qui la rend invincible. Malgré son calme, elle n’est pas enfermée dans un voile de glace. La vue d’êtres non-animaux ou végétaux ne l’effarouche pas ; malgré son isolement total dans la nature, elle ne porte pas son mépris à tout homme, elfe ou autre créature parlante. Son approche est plutôt de les considérer comme des animaux un peu curieux, avec qui elle partage un lien quelconque à travers la parole mais qu’elle se devra sans scrupules d’éliminer s’ils dérangent l’équilibre de la Nature…ou le sien. Elle laissera toujours quelqu’un traverser sa forêt, à condition qu’il ne tue aucun animal et n’abatte aucun arbre, et sera même apte à donner un remède et un abri à quiconque le désire, et le demande avec dignité. Mais gare à celui qui abuse des lois de la nature…

La gardienne de la forêt ne le pardonnera pas.


Dernière édition par Nieninquë le Lun 12 Jan 2009 - 16:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Nieninquë, la Druidesse   Nieninquë, la Druidesse I_icon_minitimeDim 11 Jan 2009 - 12:24

Histoire:

I.

Le Commencement. Un terme bien grand pour une vie dont elle se souvient à peine. C’est une vision bien floue de son enfance, ponctuée de visages rendus encore plus beaux par leur sourire radieux, et par la lumière dorée filtrée à travers les branches de la forêt. Elle se souvient d’une paisible vie, au sein de la forêt, dans un grand groupe de son espèce. Ils étaient vers le Nord, où la neige était magnifique alors qu’elle ornait les branches nues, mais où la brise était cruelle et sauvage. L’austérité de l’hiver ne rendait que le printemps plus désirable. Due à sa naissance dans ce dur cycle d’hiver, à l’orée du printemps, elle devint un flocon de neige, de son prénom. Une fleur glacée du ciel, argentée et scintillante telle une étoile. C’était un prénom qu’elle portait avec honneur.

Son frère était né, lui, à l’opposé, en été. Pourtant, ils s’accordaient aussi parfaitement que si ils étaient nés le même jour, malgré ses quelques dizaines années elfiques d’avance sur elle. Elle l’aimait et l’admirait profondément ; ils se plaisaient tous les deux à explorer la forêt en profondeur…de regarder et d’apprendre, tout en respectant la nature qui leur donnaient ces secrets. Ezel, le vénéré grand frère avait un grand charisme qui semblait rendre son contact facile avec tous les êtres et les animaux. Il avait apprivoisé un corbeau, et celui-ci se plaisait à l’accompagner partout où il allait. Ce n’était pas du goût de tout le monde. Les parents des deux enfants étaient des êtres sages et justes, et aimaient profondément la nature comme tous les Elfes, mais ne voulaient pas que l’aîné se consacre entièrement à la nature, au point d’en être onubilé et d’en découvrir des secrets plus sombres…cette magie étrange des druides, et leur état d’esprit empli à la fois de passion et de cruauté. Une tension silencieuse et étouffante montait. Et un autre orage approchait, son grondement devenant de plus en plus proche…

II.

La Guerre. Celle qui avait réussi à frapper même les plus isolés des Elfes, au fin fond des forêts les plus profondes. Son appel semblait résonner dans ces grandes clairières, dans le creux des arbres où ils avaient bâti leur maison. Dès lors, elle n’était plus une petite fille. Elle grandissait, et savait que les choses allaient changer bien plus rapidement qu’elle ne le voudrait.

"Que fais-tu, mon frère ?"

Cette question posée dans tout l’éclat doux de l’aube avait déjà sa réponse, alors qu’il se préparait au voyage, rassemblait ses affaires. Elle baissa légèrement la tête en voyant son arc et ses flèches. Ils s’étaient souvent entraînés ensemble.

"Tu sais bien que je ne peux pas rester ici."

"Laisse-moi au moins venir avec toi ! Pourquoi me laisses-tu seule ici ?"

Son éclat de voix résonnait dans le matin ; une voix encore bien trop jeune et frêle, bien trop…comparée à la sienne, qui était devenue grave en si peu de temps il lui semblait. Son frère esquissa un sourire triste, une main effleurant affectueusement sa joue. Elle ne comprenait pas sa décision. Pourquoi ? Pourquoi devait-il s’enrôler dans l’armée maintenant ?

"Je te laisse en bonne compagnie."

Elle savait qu’il parlait des arbres qui les entouraient. Parmi les leurs, un gouffre avait commencé à se former. A la surface, il y avait la même harmonie, le même calme…mais pendant toutes ces années, leur compagnie l’étouffait. Il était temps de prendre son envol pour d’autres contrées, afin d’empêcher que l’eau ne stagne…puis revenir afin d’apprécier ce qui avait été laissé, comme on revoit un joyau dont on avait oublié tout l’éclat. Elle avait cherché d’autres mondes dans le monde de la forêt depuis bien longtemps, attendant ce moment. Son corbeau revint atterir sur son épaule, et il caressa ses plumes doucement.

"Je t’enverrai un message à travers elle. Alors restes ici pour l’instant, et occupes-toi de ce lieu…"

L’Elfe aurait tellement voulu le retenir. Mais c’était impossible ; une personne comme lui manipulait tant et si bien les mots, bien contrairement à elle qui préférait le silence des clairières. Et tout ce qu’elle pouvait répondre était un léger hochement de tête, gardant la tête baissée afin qu’il ne voie pas les larmes s’échapper de ses yeux telles des étoiles déchues.

III.

III.

Le Temps…c’était une chose bien étrange à faire valoir pour un Elfe. Ce qui pour un être éphémère tel que l’homme être une chose oppressante car il passait trop rapidement…pour un être éternel pouvait être une chose oppressante justement car il passait bien trop lentement, sans que rien ne semble changer. Comme si ce temps s’était arrêté, l’emprisonnant dans une attente permanente. Elle grandissait, peu à peu, mais cela ne faisait que la désespérer silencieusement, car elle se rendait maintenant compte à quel point Ezel était parti longtemps. Et en même temps, elle se maudissait d’atteindre sa maturités aussi lentement car elle devait pour l’instant se restreindre d’aller le chercher.

Puis, une nuit, elle se réveilla soudainement. Etait-ce un rêve de retrouvailles ou un cauchemar de séparation ? Elle ne se souvenait plus. Mais quelque chose, un sentiment urgent, la pressant hors de cette forêt…Elle s’enveloppa d’un long manteau blanc, de son arc, et courut. En courant à travers les arbres, et s’éloignant du domaine des Elfes parmi lesquels elle était née, elle savait qu’elle s’éloignait de deux familles. Son cœur voulait se déchirer, mas était maintenu par cet espoir, et par ce rêve vaguement oublié où un corbeau était venu à elle…

Elle n’avait plus aucune notion du temps, alors qu’elle tentait tant bien que mal de rejoindre les pas de son frère…mais continua de voyager, aussi loin qu’elle le pouvait. Passant à travers les grands lieux empreints de puissance et de calme, rencontrant beaucoup d’étrangers qui devenaient des amis de quelques instants, avant qu’elle ne reparte et se souvienne à peine de leurs visages. Elle gagnait de quoi subsister en guérissant. Cette tâche la soulageait et pourtant la plongeait davantage dans la sensation que jamais elle ne retrouverait son frère…et ne pourrait le guérir. Elle avait bientôt fini de grandir, d’atteindre sa maturité elfique. D’atteindre également sa défaite…ou de conserver encore un petit espoir. C’est dans cet esprit qu’elle rentra dans sa forêt.

IV. Cendres. Cette forêt qu’elle avait aimé n’était plus que cendres. La seule vie qui y demeurait dès lors était elle-même, debout entre les troncs noircis, plus que des ruines. Et encore…était-elle réellement vivante, devant cette vision de mort ? Il n’y avait plus aucune trace de ses deux familles…la première avait sans doute fui, ou s’était battue jusqu’à la fin…la deuxième avait enduré toute la souffrance. Nieninquë ne courait plus. Aujourd’hui était le jour où sa vie éternelle commençait, le jour où son visage de changerait plus avec les aléas du temps et deviendrait éternel. Mais elle ne se sentait pas éternelle au sein de cette destruction. Atteignant la clairière principale où elle et son frère avait aimé cette forêt ensemble. Elle sentit une seule larme couler le long de sa joue, et ne tenta pas de l’essuyer. Après tout, elle n’avait plus personne de qui la cacher. Il restait un seul arbre debout. C’était un grand arbre à l’écorce blanche, qui n’avait jamais porté de feuilles ou de fleurs aussi loin qu’elle ne s’en souvienne. L’Elfe se réfugia à la base de son tronc, enveloppée dans sa solitude, dans la lueur de la pleine lune.

Une soudaine brise insufflait de la vie dans ce lieu mort, et les branches semblaient soudainement osciller dans le vent. Nieninquë ouvrit ses yeux, vers les longues branches baignées dans le clair de lune. Là, un corbeau se posait sur l’une des plus hautes branches. Il avait vieilli et ses plumes n’étaient pas aussi brillantes ; elles semblaient maculées de sang et il semblait à bout de forces. Mais Nieninquë revit soudain dans ses souvenirs le corbeau qui s’était posé sur l’épaule de son frère.

V.

Elle sentait la vie vacillante du corbeau entre ses mains, et savait qu’il allait bientôt la quitter. Mais ce ne serait pas en vain. Comme s’il avait survécu jusqu’à maintenant afin d’accomplir la dernière volonté de son maître. Elle le portait avec révérence ; le corbeau ne se débattait pas. Ezel n’avait jamais laissé celui-ci s’approcher d’elle, et pourtant à ce moment il était venu vers elle sans aucune hésitation. Son esprit était parfaitement calme ; elle savait que le corbeau n’avait jamais eu à lui transmettre un message. Le seul message qu’elle avait eu à lui transmettre… était la bénédiction de son frère qui était parti à présent.

Elle connaissait le rite de passage afin de sceller son destin.

La nature primitive du corbeau qui ne pouvait jamais être restreinte malgré des années d’apprivoisement, le savait également. Il fallait un sacrifice.

Alors qu’elle levait la pierre aiguisée en pointe, elle sentait que son geste n’était pas seulement le sien mais celui de toute la Nature, à la fois protectrice et cruelle. Et dans un grand mouvement, tout était terminé. Nieninquë se releva et sentait de nouveau la brise sur son visage ; la vie revenait enfin, maintenant que son sort était scellé. A présent qu’elle était Druidesse…et avait su renouer avec la nature, et la volonté de son frère. Se réveillant au pied de l’arbre le lendemain, elle vit que celui-ci portait dès lors une fleur blanche. Le sacrifice fut entièrement utilisé, et elle sentait une nouvelle force couler dans son sang éternel. Elle resta dans cette forêt brûlée jusqu’à ce qu’elle renaisse. Le jour où elle devait partir, 12 ans plus tard, elle se réveilla au pied de l’arbre blanc empli de feuilles et de fleurs blanches, scintillant de rosée en éclats argentés. Sur les plus hautes branches se tenait un corbeau. Il semblait l’attendre. Alors qu’elle partait en marchant gracieusement à travers les arbres, il vola auprès d’elle. Le corbeau prit le nom d’Ezel, et elle devint Nieninquë, la Dame Blanche de la Forêt, voyageant à travers les étendues de verdure et protégeant chaque tronc d’arbre, chaque animal et chaque fleur qu’elle croisait sur son chemin.

Crédit avatar: http://shirui-li.deviantart.com/art/Elf-Druidess-109255802, auteur de l'avatar: moi-même (alias Shirui-Li)


Dernière édition par Nieninquë le Lun 12 Jan 2009 - 17:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Nieninquë, la Druidesse   Nieninquë, la Druidesse I_icon_minitimeLun 12 Jan 2009 - 11:04

Bonjour et bienvenue!

Très jolie fiche =)

Je voudrais juste éclaircir un point : les flèches, elles n'ont pas d'embout en métal, elle ne sont faites que de bois, n'est-ce pas?
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MessageSujet: Re: Nieninquë, la Druidesse   Nieninquë, la Druidesse I_icon_minitimeLun 12 Jan 2009 - 16:41

Bonjour, et merci :3

Oui, les pointes également, je vais le préciser^^
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MessageSujet: Re: Nieninquë, la Druidesse   Nieninquë, la Druidesse I_icon_minitimeLun 12 Jan 2009 - 16:46

Et je continue dans ma lancée T_T

Par contre :

Citation:
Une nouvelle règle a été instaurée et la fiche de présentation légèrement changée au niveau du HRP.

Un nouveau champ est apparu : crédit avatar. Pourrais tu donner le lien de la gallerie où tu as eu l'avatar et son auteur et ensuite le rajouter dans ta signature (comme moi en fait huhu)

Après, ce sera bon Wink
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MessageSujet: Re: Nieninquë, la Druidesse   Nieninquë, la Druidesse I_icon_minitimeLun 12 Jan 2009 - 17:13

C'est de l'auto-crédit en fait, vu que je l'ai dessiné moi-même mais bon...:mrgreen: Enfin voilà, le lien est rajouté!
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MessageSujet: Re: Nieninquë, la Druidesse   Nieninquë, la Druidesse I_icon_minitimeLun 12 Jan 2009 - 17:54

Je m'en doutais un peu, mais bon xD

Validée!

Voici quelques liens pour commencer :

Like a Star @ heaven Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Like a Star @ heaven Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Bon jeu =)
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