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 Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir

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MessageSujet: Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir   Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir I_icon_minitimeVen 24 Juil 2009 - 2:03

Nom & Prénom : Lhynn, dit de Lanthaloran & Dyarque
Âge : Son âge n’est pas connu avec précision, et il a lui-même perdu le compte exact. Il a tout de même atteint le millénaire
Sexe : Mâle
Race : Elfe

Particularité : Son ascendance lointaine, confuse mais reconnue avec Aredhel, fils de Lyra’Suan, et sa virtuosité dans les Arcanes magiques lui ont permis de faire oublier son caractère froid et ses idées parfois tranchantes, dans ses premières années. Au crépuscule de son premier millénaire, elles sont toujours une source de respect non négligeable.

Alignement : Seule compte la survie du peuple sylvain. On pourrait donc dire qu’il est de la Communauté de la Lumière, mais l’idée ne l’enchante guère et qu’il attend avec résignation la trahison des Nains ou des Hommes.
Métier : Mage & Duc de Daranovar
Classe d’arme : Magie

Equipement :

N’étant pas un guerrier, il n’y a nul équipement militaire à décrire ici. Dyarque porte les vêtements d’un duc, amples pour une plus grande liberté de mouvement. Il est tout de même à noter qu’ils sont bien ternes comparés à ce que peut aborder ces congénères. C’est d’ailleurs un sujet de disputes récurrent avec sa douce Elycia, qui aimerait bien le voir aborder plus de couleurs. Des brassards de cuir viennent couvrir des poignets que certains disent faibles, et c’est peut-être vrai. Des bottes de cuir souple couvrent ses pieds, même s’il préfère de loin sentir la pierre froide directement sous ses pieds, ce qu’il ne manquera pas de rechercher dès que l’intimité le lui permettra.

Description physique :

Il y a peu d’elfes qui pourront juger Dyarque beau, et pour cause, son visage fermé est apte à repousser nombre de ses compatriotes. A part quand le sommeil le prend ou quand ses yeux se posent sur sa famille tant aimée, ses traits durs semblent tailler dans le roc, figeant la grâce eflique dans une expression des plus austères. Un regard aux reflets d’azur, tantôt froid, tantôt inexpressif, trône fièrement sur ce visage encadré par des cheveux noirs coupés tombant jusqu’en dessous des épaules. Quelques mèches blanches viennent rappeler son âge avancé. On pourrait tout de même se questionner sur ce signe de vieillesse, bien précoce pour un elfe, et certains murmurent que chaque cheveu blanc est un fardeau déposé sur les épaules d’un magicien trop ambitieux.

Son corps possède une musculature sèche, bien que peu entretenue car délaissée au profit de l’esprit. D’un bon mètre quatre vingt-dix, il ne domine ses semblables ni par sa taille, ni par sa force. Archère de son état, sa femme le surpasse surement dans la maîtrise du corps, et si certain pourrait en prendre ombrage, lui n’y voit qu’une fierté de plus. Ses gestes sont amples et assurés, et l’économie d’énergie est de mise quand elle est susceptible d’être prélevée à tout instant.

Description mentale :

La plus part de ses proches s’étonnent qu’il ait jeté son dévolu sur la Terre, la modelant selon ses désirs, quand l’élément qui lui convenait le mieux était sans conteste la glace. Car Dyarque n’est pas un personnage chaleureux, loin s’en faut. Son visage ne laisse rien transparaître de ses émotions, à l’exception de la tristesse latente qui imprègne chacun de ses traits. Sa voix, grave et posée, ne change que rarement de tonalité, et son message n’en passe que mieux. Combien de fois ses filles auraient-elles souhaité qu’il s’énerve, qu’il crie, qu’il les gifle même, plutôt que de supporter ses insupportables leçons de morales. On dit que ses yeux sont chargés de pouvoir, que quand il vous fixe, les mots ne vous viennent plus et que vous en êtes réduit à l’écouter. Mais il ne faut voir nulle magie, et si vous trouvez le courage de l’interrompre, rien ne vous en empêchera. Il n’est pas de ces elfes à attirer la bienveillance ou la sympathie de ses sujets, mais il saura toujours s’en faire obéir.

On affirme que jadis, il n’était pas ainsi. A l’aube de son histoire, il était souriant, agréable et rêveur. Mais un matin, tout avait changé. Alors qu’il passait ses journées à contempler les feuilles des arbres danser en harmonie avec le vent, tendant l’oreille comme s’il écoutait quelque chose, il ne se laisse désormais plus attendrir à la vue d’une nature épanouie. Il sait ce qu’il a perdu, et par ce biais, sait ce que son peuple est en train de perdre. Son visage est la seule marque extérieure de son fardeau, et même s’il en meurt parfois d’envie, il ne fera plus demi-tour, préférant les arcanes aux douceurs de Kÿria. En vérité, Dyarque s’en veut, même s’il ne se l’avouera jamais. Ayant tourné le dos aux druides, il a par la même occasion tourné le dos à la Nature. Aussi s’est-il dévoué à la sauvegarde d’une autre facette de l’Œuvre de la Déesse : ses Enfants.

Sa première préoccupation a toujours été la préservation du sang. S’il ne peut décemment pas en vouloir aux hybrides (humains ou drows) d’être nés, il ne peut pas non plus accepter qu’ils restent sur les Terres Elfiques. C’est une des raisons expliquant qu’il n’apprécie pas énormément son beau-frère, bien trop violent à son goût. Il n’usera jamais de la violence ni même de menace, il se contentera d’ordonner l’exil. Il voit ensuite d’un mauvais œil les actuelles alliances liant son Peuple à ses anciens ennemis. S’il reconnaît que les drows ne sont pas à prendre à la légère, il ne peut se résoudre à faire confiance aux Hommes ou aux Nains. L’indifférence est ce qu’est en droit d’attendre les représentants de ces races, bien que ses serments envers Alëandir l’obligent à ne rien faire qui pourrait compromettre la Communauté de la Lumière.

Il reste une dernière chose à aborder, et pas des moindres. Sa famille est surement la seule source de ses rares sourires. D’abord Elycia, son rayon de soleil, celle qui a su dompter ses remords et la seule qui peut les obliger à le laisser en paix. En vérité, il ne se sent réellement apaisé qu’en sa présence et cherchera souvent sa compagnie. Extrêmement réservé, il ne prodiguera ses attentions que devant un entourage privé très restreint, et préférera les lui offrir dans l’intimité la plus totale. Il ne s’oppose jamais à elle en public et attend la même chose d’elle, préférant se concerter avec elle avant de s’exprimer sur un sujet. C’est, selon lui, la clé de la stabilité pour le duché, et c’est pourquoi il voit aussi d’un œil oscillant entre neutre et mauvais la présence d’un troisième acteur, auquel il ne pardonnera pas une remise en cause des ordres et du statut de sa sœur autre part qu’en privé.

Ses filles, enfin… La chaire de sa chaire. Nyrlae, l’aînée, suivit les traces de sa mère. Son père ne s’y opposa pas, ne découvrant en elle aucun potentiel magique qu’il trouva utile de l’aider à développer. Il lui donna même la plus belle preuve d’encouragement dont il était capable en assistant à nombre de ses séances d’entraînement. Voir sa femme et sa fille, unique alors, œuvrer à l’unisson était pour lui un plaisir simple dont il devint vite dépendant. Mais, même s’il peut être terrible de l’avouer, la naissance de la jeune Elya fut pour lui une joie bien plus intense. Car elle avait en elle un potentiel qui la destinait à être bien plus proche de son père que pouvait l’être Nyrlae. Maître dur et exigeant, il poussa la petite jusqu’à ses limites, et au-delà, pour son plus grand malheur. L’accident de sa fille le fit douter de ses capacités de professeur, et il entreprit de couver celle qu’il aurait pu tuer à cause de ses exigences.

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Dernière édition par Dyarque le Sam 25 Juil 2009 - 13:20, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir   Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir I_icon_minitimeVen 24 Juil 2009 - 14:23

Histoire :

Plus de mille ans se sont écoulés depuis le premier cri de Dyarque. Mille ans durant lesquels il s’est forgé, mille ans d’expérience amassée dans un corps qui commence à souffrir, lassé d’être poussé à bout encore et toujours. Et pourtant, rien ne destinait le jeune et calme hérité d’Arhedel à tracer son chemin d’une telle façon. Aredhel… Fils de Lyra’Suan. Si Dyarque doit quelque chose à quelqu’un, ce sera d’abord à cet illustre ancêtre, qui l’aura protégé par delà la mort. Son lien de parenté n’a jamais été réellement prouvé, et la vie du concerné remonte à plus de huit millénaires… Après tant de temps, les branches se ramifient à l’infini, et il est difficile de s’y retrouver. Pour autant, il ne serait jamais venu à l’esprit de ses contemporains de lui contester son ascendance.

Il vécu les premières années de sa vie à Alëandir. Suivant le même parcours que n’importe quel autre enfant, il eut ce que l’on pourrait appeler une enfance banale. A l’exception peut-être de l’air rêveur qu’il prenait dès que ses pas le conduisaient hors de la cité. Une fois entouré des arbres qui composaient « sa chère Anaëh », il n’était plus le même. Son visage se détendait, un sourire béat fleurissait à la commissure de ses lèvres, et sa tête dodelinait au rythme d’une musique qu’il était le seul à entendre. Il pouvait passer une journée entière, perché sur la branche d’un arbre qui semblait avoir poussé pour cet unique instant, ou assis en tailleur sur la rive d’un étang. Les manifestations de ce qui semblait tourner à l’addiction de la Nature étaient aussi nombreuses que ses sorties, toujours un peu plus longues. Personne ne s’en rendit pourtant compte. Elève naturellement doué dans ce qu’il entreprenait, son manque de travail passait alors inaperçu. Ses parents travaillaient au Palais d’Alëandir, servant le Protecteur de ces Terres comme ils le pouvaient. Parfois, son père regrettait les temps où sa famille possédait encore des Terres à défendre.

De l’âge des premiers pas à l’âge de raison, le jeune elfe fit de la forêt son Royaume, des arbres ses alliés, des animaux ses compagnons. Et puis un jour, tout bascula. Un homme vint à sa rencontre. Quand Dyarque le vit, il sut que quelque chose d’important se produisait. Son esprit emballé notait chaque détail qu’il jugeait important. Un druide, il était face à un druide, ces êtres de légende, Protecteurs impitoyables de la Forêt. Il savait ce qu’on disait d’eux, il connaissait les mythes foisonnant autour de leurs pratiques. Et de façon bien plus approfondie que la plus part des Elfes de son âge. Car au fond de lui, il avait toujours su, toujours douté qu’il n’était pas comme les autres. Ce qu’il avait pu découvrir, dans les livres qu’il avait pu se procurer, ne lui avait pas plu, loin de là. « Un os brisé pour chaque brindille rompue » était ce qui était revenu le plus souvent. Cette divise lui semblait bien trop barbare, trop éloigné de cette nature calme qu’il aimait tant et qui chantait à son approche. Il prit la fuite, et jamais ne se retourna. Le druide tenta bien de le retenir, hurlant son nom afin d’attirer son attention, rien n’y fit. Le lendemain, quelque chose avait changé. Âgé d’à peine cent cinquante ans, son visage se teinta de la tristesse du deuil. Car plus jamais il n’entendit la douce mélodie des arbres.

Ce fut à peu près à cette période qu’on décela en lui un important potentiel magique. On lui apprit à percevoir les nuages, nœuds, et autres turbulences magiques. Il y trouva un maigre réconfort à cette harmonie qu’il regrettait tant, et décida de se dévouer corps et âmes à l’apprentissage des Arcanes. Elève obéissant, calme, effacé et apprécié de ses professeurs, il apprit vite, mais il n’en avait jamais assez. Il y avait toujours une subtilité qu’il voulait maitriser, un détail qu’il voulait comprendre. Jusqu’à parfois effrayer des tuteurs qui n’arrivait pas à comprendre d’où il pouvait tirer sa motivation. Il mêla, au hasard de ses expériences, l’art de la télékinésie et celui du maniement de la terre, trouvant ou s’inventant selon les avis un lien dans ces deux disciplines qui ne manqua pas de surprendre les mages d’Alëandir. Ce lien, il le nomma Jyl’an, nom qu’il est le seul à utiliser.

Il finit par quitter l’Académie quelques deux siècles après son arrivée, et par la même occasion Alëandir. La ville était devenue trop familière, les visages trop connus, et l’on commençait à regarder d’un œil étrange cet elfe si jeune qui se conduisait comme s’il avait l’expérience d’un sage. On a souvent reproché à Dyarque un trop plein d’assurance, et c’est peut-être le cas. Il laissa de côté son caractère effacé à mesure que sa puissance augmentait, mais jamais il ne se démarqua de son impassibilité. Le visage fermé, la voix calme et posée, l’absence totale de colère jouèrent peut-être en sa défaveur, mais il s’agissait là des séquelles encore vivaces de cette fameuse nuit où il avait tourné le dos à la Nature. Ses pas le conduisirent dans une des baronnies de Daranovar, où il trouva sa place en tant que Conseiller de Magie auprès du Baron. Ce qui lui avait causé du tord jusqu’alors dans sa cité natale se révéla être un don de Kÿria dans la politique. La façon qu’il avait d’argumenter sans jamais hausser le ton surprit bien des contestataires, et il lui attira le respect de bien des elfes. Après cinquante ans, il estima avoir appris tout ce qu’il y avait à apprendre. Ne s’étant pas lié à la terre qu’il aidait à protéger, il n’eut aucun mal à la quitter, au grand damne d’un baron qui en était venu à se reposer sur lui et sur son avis.

Il arrêta sa nouvelle destination sur Lanthaloran, où, disait-on, une certaine Elycia et un certain Qeandrel étudiaient la magie sous un angle dont il ignorait tout. Inutile de préciser que, après les avoir rencontrés, la sœur attira plus son attention que le frère. Et s’il dispensa ses conseils aux deux d’une égale façon au début, la chose ne fut rapidement plus vraie. Aimait-il Elycia ? Il était alors trop tôt pour le dire. Il l’aimait bien, assurément. Leurs conversations étaient intéressantes, leurs travaux tout autant, et elle était assurément une très belle elfe. Pour autant, il n’y eut aucun coup de foudre, il ne passa pas les nuits suivants leur rencontre à penser à elle. En vérité, ils se passionnèrent tout deux dans leurs travaux, et c’est ça qui les rapprocha vraiment. Il fallut quarante longues années, presque une vie pour beaucoup d’hommes, pour voir enfin un premier baisé échangé, puis un autre. Si Dyarque put tomber amoureux d’une femme aussi pétillante et pleine de vie qu’Elycia, la réciproque ne fut jamais claire pour bien des gens, qui s’étonnèrent de la voir s’enchaîner, dix ans plus tard, à un être aussi peu démonstratif. Quoi qu’il en soit, ils se marièrent cinquante ans après l’arrivée du mage.

Ce fut pendant les années qui suivirent son mariage qu’apparurent les premiers signes de faiblesse. Dyarque est une personne exigeante, on ne peut le nier, mais ce qu’il demande aux autres il se l’inflige lui-même. Cherchant toujours à aller plus loin dans la maîtrise des flux magiques, il tenta de soulever des objets de plus en plus lourds, à façonner de la terre en quantité de plus en plus importante. Pour une raison qu’il ne comprit jamais totalement, ce fut ses poignets qui subirent le plus de contrecoups. De simples douleurs passagères d’abord, ils sont désormais fragilisés, si bien qu’il a pris l’habitude de porter des brassards afin de les soutenir. Il est probable qu’il aurait, à terme, perdu l’usage de ses bras si sa femme ne l’avait pas convaincu de ralentir le rythme… en lui annonçant la naissance prochaine de leur premier enfant, cent cinquante ans plus tard.

Cette intrusion bienvenue dans sa routine avec sa chère et tendre bouleversa tout le reste. Comme tout bon mage qui se respecte, il envisagea de devenir le professeur de sa fille avant même qu’elle ne naisse. Nyrlae… Le temps devait mettre à mal ses espoirs, la petite n’eut pas les capacités espérées. Et s’il l’aima et l’aime toujours d’un amour sincère, il ne fut jamais aussi proche d’elle qu’on aurait pu s’y attendre. Qu’à cela ne tienne, si elle ne suivit pas ses pas, elle s’engagea sur ceux de sa mère et devint, avec le temps, une archère émérite faisant la fierté de ses parents. On dit qu’un père devrait aimer ses enfants de sa même façon, aussi Dyarque doit-il être un mauvais père, car il procura bien plus d’attention à sa deuxième fille. Et pour cause, elle était pourvue d’une magie qui fit frissonner l’elfe d’excitation. Il était un père strict, Nyrlae le savait. Il l’était encore plus quand il revêtait le manteau du professeur et du guide. Intraitable quand il estimait qu’Elya, ainsi avait été nommée sa fille, n’était pas assez sérieuse, il savait tout de même la récompenser quand il pensait le contraire. Elle apprit vite, trop vite, ayant pour elle la fougue de la jeunesse, la soif de connaissance et le besoin de reconnaissance. Elle s’escrima à améliorer ses dons en cachette, jusqu’à dépasser ses limites. Elle ne survécu que grâce à l’intervention in extremis de son père qui, sans user d’une quelconque forme de guérison, rassembla une partie de son énergie vitale et la lui livra tel quel. C’est de cet épisode tragique que date l’apparition de ses cheveux blancs. Elya quand à elle vit ses cheveux virer du noir au châtain, d’étranges marques brunâtres apparurent sous ses yeux et son corps comme son don en furent grandement affaiblis. C’était il y a cinquante ans, mais c’est un nouveau fardeau qui se déposa sur ses épaules. Dyarque se consacra alors essentiellement à la protection de la miraculée, et plus généralement de sa famille.

Et puis, un jour, sa femme lui annonça qu’elle allait devenir duchesse. Jamais il ne comprit réellement comment elle avait réussi ce tour de force. Il soupçonna son beau frère, qui s’il n’avait qu’un titre de Conseiller, gouvernait le duché autant que sa sœur, d’être à l’origine de cette fulgurante ascension. Et c’est cette raison qui l’encouragea à préserver le rang d’Elycia, et par la même occasion la stabilité du Duché. Si massacre il y a eu, il n’en a pas été informé, et il vaudrait mieux pour Qeandrel que ça ne change pas.
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MessageSujet: Re: Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir   Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir I_icon_minitimeSam 25 Juil 2009 - 9:38

Il manque les trois derniers champs :niark:
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MessageSujet: Re: Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir   Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir I_icon_minitimeSam 25 Juil 2009 - 13:20

:mrgreen:

C'est corrigé.
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MessageSujet: Re: Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir   Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir I_icon_minitimeSam 25 Juil 2009 - 13:46

Puisque tout a été vu par msn, j'peux plus râler...
Wualidé, donc.


Like a Star @ heaven Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Like a Star @ heaven Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

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[Âge & Sexe] : ~millénaire (âge exact inconnu) & Masculin

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[Alignement] : Elfes - Neutre bon
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MessageSujet: Re: Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir   Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir I_icon_minitimeSam 25 Juil 2009 - 14:02

Râler tue la santé Razz
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MessageSujet: Re: Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir   Dyarque Lhynnn, dit de Lanthaloran - Seigneur protecteur d'Alëandir I_icon_minitime

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