Elycia de Lanthaloran [Duchesse de Lanthaloran]

Prénom & nom : Elycia de Lanthaloran.

Âge : 843 ans.
Sexe : Féminin.
Race : Elfe.

Particularité :
Élevée dans cette idée de la supériorité elfique, Elycia est connue et reconnue pour ses idées conservatrices concernant le futur du royaume de ses ancêtres et son intransigeance à l’égard des bâtards, soit les demi-elfes et les hybrides.

Alignement : Décidément pas du côté de la communauté de la lumière, Elycia ne peut pas plus être considérée comme « neutre », mais, si l’alliance entre les elfes, les nains et les humains la rebute, elle considère que les drows doivent être férocement combattu. Tout comme elle est bonne avec les elfes, la noble peut aussi être tout le contraire à l’égard des autres races. Elle se range du côté des elfes qui prônent une nation fière et indépendante. De ce fait, aucun alignement ne lui convient.
Métier : Noble.
Classe d'arme : Distance.

Équipement :
Archère émérite, Elycia possède un arc long composite de conception elfique très bien entretenu et fabriqué spécialement pour elle par un artisan réputé de Orme. Les flèches sont également fabriquées sur mesure, puisque la taille de l’arc dépasse légèrement les standards habituels. Son carquois se porte à la taille et peut contenir au bas mot une trentaine de flèches. Ce dernier est de bon goût, restant simple et utilitaire.
Sa tenue pour pratiquer sa disciple, la noble aime à porte des vêtements longs. Une tunique longues aux manches serrés afin de ne pas gêner le tir est de mise et le pantalon sobre et également moulant, cela pour des fins utilitaires, sans décorations superflues, dans les teints de blanc, de violet et de noir. Les cheveux sont alors attacher par un cordon de cuir afin de ne pas nuire. Elle porte alors des bottes longues souples et légères, lui arrivant sous les genoux. Un seul gant de tir à l’arc lui recouvrant tout l’avant bras pour le protéger de la corde de l’arc complète son apparat.

Dans sa vie au quotidien, son rang oblige, l’elfe porte des robes élégantes mettant en valeur le bon goût et soulignant les talents de multiples artisans elfes. Les couleurs peuvent grandement variées, mais le blanc et le violet restent ce qu’elle préfère, mais si une tunique et un pantalon lui font souvent envi. Femme de la haute société, se devant de se montrer à son meilleur en face de ses sujets, il s’agit d’un caprice qu’elle ne s’accorde que rarement, malheureusement pour elle. En frais de bijoux, Elycia n’en est pas fringante, quoiqu’elle accepte sans réticence d’en porter ou d’en recevoir. Se parer d’atours somptueux et, surtout, coûteux ne l‘intéresse pas, jugeant que l’argent de ses terres est à sa place lorsque investit dans ces dernières. Le bijou dont elle ne se sépare jamais, et pour cause, est son alliance. Une fine bague en or incruster d’un unique diamant.

Description physique :
Au début, il y a une silhouette. Fine et élancée, les courbes sont elfiques, quoique légèrement plus prononcées sans toutefois être laid. Sur ce point, Elycia est donc dans les normes appréciées de son peuple. On peut dire là qu’il s’agit d’une part « d’exotisme » qui ne déplaît pas. Les yeux en amande sont d’un violet pâle très agréable, couleur rare, et le regard doux, mais perçant. On ne lit pas aisément dans ce regard, plutôt, il semble vous laisser entrevoir ce qu‘il veut que vous y voyez. Les cils sont longs et fournis, les sourcils, minces. Le nez est droit, sans particularité notable. Il est bien à sa place et Elycia n’a donc pas de soucis de ce côté. Les lèvres ne sont que légèrement plus foncées que le teint de peau, mais bien tracées et agréablement faites. Le visage, dans son ensemble, est purement elfique. La chevelure, longues, est d’un noir corbeau classique, mais apprécié. Le cheveu est fin et raide, ce qui fait en sorte qu‘il est difficile à coiffer, chose plutôt rare pour une telle couleur. En frais de coiffure, la noble ne fait que rarement dans le complexe, préférant la simplicité et l‘accommodation aux complications inutiles et plus souvent nuisibles. Parfois, elle aime avoir deux tresses qu‘elle glisse derrière ses oreilles pointues. Moins commun, elle mesure au minimum de huit à dix bons centimètres de plus que la moyenne de la gente féminine elfe. Cela renforce l‘impression de minceur et de finesse qui se dégage d’elle dès le départ. Le cou est long et fin, ses épaules frêles d‘apparence, mais solides, les membres, les doigts et le corps sont tout aussi fin et élancée que le reste de son anatomie. Toutefois, cela ne déséquilibre pas le tableau et le tout est en parfaite harmonie. La peau est plus ou moins mat, mais cela est facilement expliqué par les nombreuses heures qu’Elycia passe au soleil. Ainsi donc, été comme hiver, elle bronze beaucoup, quoique l‘hiver moins, car elle porte des vêtements plus épais. Sa résistance elfique face aux écarts de température la sauvegarde néanmoins de devoir toujours le faire.

Description mentale :
À la fois simple et complexe, la personnalité d’un être prend en compte une presque infinité de source. L’environnement, les proches, le vécut, les connaissances ou l’ignorance... Le tout mène à des multiples facettes qui sont toutes interconnectés pour ne former qu’un tout variant et changeant au fil du temps, ou pas. Concernant Elycia, ce qui paraît à première vu est peut-être plus profond qu’on pourrait le croire, mais rare est celui qui peut se vanter de comprendre parfaitement toute la logistique de la duchesse.
Fière, sereine, patiente, elle est un modèle de compréhension et d’amour pour ses sujets. Nul elfe ne vaut moins que l’autre et tous ont droit d’aspirer à une vie calme et paisible loin du chaos qu’engendre les autres races inférieurs et destructrices. De ce fait, Elycia prône une idéologie basée sur la pureté du sang et le rejet des bâtards et des autres races. À ses yeux, un économie autarcique est ce qui pourrait être le mieux, car l’influence des humains et des nains est mauvaise pour le peuple éternel, car même si les drows sont leurs pires ennemis, il n’est pas à oublier que les enfants de Elenwe et de Calimehtar n’ont eu de cesse, dans le passé, de vouloir s’en prendre à eux et à leur forêt bien-aimée, domaine de leur déesse mère. Cependant, et malgré sa réticence à faire confiance à un petit être ou un oreille ronde, elle s’emploiera toujours à user de diplomatie plutôt que de forces brutes. Après tout, la guerre est avant tout bonne aux êtres arriérés, incapable d’user de la parole correctement. Si les calomnies font bonnes routes auprès des grands et des petits de ce monde, on ne peut ignorer sa ferveur à défendre ce qu’elle croit juste, ses sujets et ses idéaux. La loyauté, la paix et l’obtention d’une vie meilleur pour tous, tant qu’ils sont elfes, lui tiennent à coeur et, dans ses terres, tous ne peuvent que louer sa détermination à accomplir ses objectifs. Il est toutefois important de souligner que, malgré ses louables qualités, quelques défauts plus ou moins importants sont visibles, tel le refus d’admettre ses tords, de reconsidérer ses décisions ou sa cruauté et son mépris envers les traîtres et les incapables. De plus, son pardon est presque impossible à obtenir, que ce soit pour de simples broutilles ou concernant des sujets plus importants.

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Comment as-tu connu le forum ? : Un gros hasard.
Crédit avatar et signature : Avatar fait par Deluwen Wylenaryn Image de Lympha, sur Deviantart.

Histoire :
Issu d’une lignée guerrière, le tempérament calme et les idéaux de paix d’Orore Garnat la mit directement à l’écart des droits de succession du duché. Ce fut donc son frère, Gardor le 3eme, qui monta sur le trône du duché, puis, à sa mort, son fils.
Cependant, restons à Orore.

Si la jeune noble n’accéda pas au titre de duchesse, cette dernière rencontra, assez tôt considérant sa race, un homme pour qui elle fut prête à dédier sa vie et, également rapidement, on célébra leurs épousailles. L’époux, Alanost, dirigeait des terres en Daranovar et était à la tête de l’importante ville de Lanthaloran. Ainsi donc, le couple s’installa et, de fil en aiguille, eurent leur premier enfant, Qeandrel. Pendant près de cent vingt-cinq ans, la famille vécut tranquillement, faisant prospérer les terres qui étaient sous leur juridiction. Puis vint la naissance d’Elycia. On fêta sa venue avec joie, félicitant les parents de ce deuxième enfants.

Si Orore était une femme qui détestait la guerre, lui préférant le calme et la paix, son mari, sans être une brute irréfléchis et dégainant à la moindre insulte, bien au contraire, croyait fermement que les bâtards de sang était un mal à leur nation et une insulte au miracle de la déesse mère. Le chant empoissonné de Arcamenel était un affront à la grandeur de Kÿria. Les êtres nés de son chant ne pouvait pas, ne devait pas, souiller le sol béni par la présence de la déesse, ne devait pas souiller leur sang. Ainsi donc, alors que la petite grandissait, il lui enseigna les contes et les légendes au sujet des dieux, au sujet des autres races et des guerres qui les avaient déchirés dans le passé, la m’étant en garde contre pareil contre ceux qui étaient différents. Ces gens-là ne sauraient leur apporter rien de bon. Elycia écouta et retenu ce que lui confia son père, commençant alors à forger ce qui serait plus tard ses convictions et idéaux quant à l’avenir de leur patrie.

Entre temps, on l’instruit à tout ce qui faisait l’éducation d’une elfe de son rang. Les bonnes manières, la lecture, l’écriture, la poésie, l’histoire, l’art de la guerre...
Traditionnellement, et par intérêt personnel, la jeune noble jeta son dévolu sur l’arc. L’arme demandait à la fois une grande maîtrise de soit et une souplesse contrôlée qui l’attirait. Pendant de nombreuses années, elle se perfectionna, mettant une point d’honneur à toujours surpasser ses limites, à s’améliorer. Vers ses deux cents ans, Qeandrel revint de son voyage, changé. Il lui raconta ses observations et conclusions, maintenant certains que les paroles de leur père était juste.

Ils eurent, à la même époque, l’idée, à première vue complètement saugrenue, de conjuguer leur art respectif, soit l’archerie pour Elycia et la magie pour Qeandrel. Ils passèrent de nombreuses années, remplis d’essais et d’erreurs, mais aussi de brillantes réussites, à développer le concept de l’arche-magie. Ils furent rejoint plus tard par le mage Dyarque, qui s’intéressa grandement à leur concept.

Parler d’amour serait peut-être un peu trop s’avancer. Ce que ressentit Elycia pour l’elfe aurait plutôt pu se traduire par une attirance certaine. Ce sentiment qui deviendrait mutuel dû se développer lentement, pendant plus de quarante ans, bravant les hauts et les bas du temps qui passe et des gens qui vont et viennent afin de s’affirmer clairement dans le coeur de la noble. Et donc, quarante ans plus tard, ils s’avouaient leurs sentiments conjoint. Cependant, leur mariage ne serait célébrer que dix ans plus tard. dix années où, sans afficher clairement leur relation, ils restèrent proches, devenant de plus en plus intimes. C’est pourquoi la surprise fut général alors qu’ils annonçaient leur intention de se marier et qu’ils le firent.

Leur vie conjointe commença alors tranquillement, dans ce petit nuage de bonheur qui englobe la vie de nouveaux mariés. Malgré sa puissante volonté de voir changer la nation elfique, Elycia se retira quelque peu de la vie politique, sans l’être totalement, afin de se consacrer à son aimé. Le temps passa, une fois encore, emmenant son lot de bonheur et d’inquiétudes, plus particulièrement à cause de la manie de son époux à ignorer les limites de son corps. Finalement, ce fut sa grossesse qui le convaincu de ralentir la cadence.
Nouvelle étincelle de joie dans la vie de la famille, Nylrae fut une magnifique petite fille pleine de vie, tenant de son père sa peau pâle, mais héritant de sa mère son talent et sa passion pour l’archerie. Elycia prit grand plaisir à lui enseigner les rudiments et la discipline nécessaire à cet art, quoiqu’il lui arriva souvent de manquer de sévérité envers sa fille. Nylrae grandit, devient une adolescente épanouit, puis une jeune femme remarquable, marchant dans les pas de sa mère dans bien des aspects.
Puis, il y eut la naissance d’Elya. Cette fois-ci, la fillette tint de sa mère son teint plus foncé, mais les talents naturels de son père pour la magie. Alors qu’elle avait prit plaisir et fierté à enseigner sa discipline à Nilrea, Dyarque en prit tout autant, mais avec plus d’intransigeance, à apprendre à leur fille les arts occultes. Elycia n’en pipa mot, laissant à son époux le privilège et le plaisir de former la chair de sa chair.

Le premier grand malheur qui toucha les Lanthaloran se produisit il y a de cela environs cinquante ans, alors que la cadette, à l’égard de son père, outrepassait ses propres limites. Gravement blessée, elle ne dû la vie qu’à l’intervention de son père. Elycia lui en voulu énormément, tout comme à son mari, de prendre de tels risques. Elya avait faillit mourir et garderait de grave séquelle et, Dyarque, tout autant, en plus d’accumuler le poids des années. Cependant, sa colère se calma rapidement, une totale opposition avec son caractère habituel, et la noble accepta de mettre de côté sa rancoeur pour retrouver sa famille si précieuse. Plus que tout, elle ne voulait voir la voir divisée.

Malheureusement, un malheur ne frappe jamais seul.
Lors de l’évènement de l’empoissonnement de lac d’Ulraal, Orore, sa mère, fut l’une des premières à succomber, apportant le deuil sur la maison des Lanthaloran. Quant à son père, ce dernier fut aussi gravement malade, mais survécut miraculeusement. Il garderait jusqu’à la toute fin de ses jours les graves séquelles psychologiques et physiques de cette tragédie qui coûta tant au peuple elfique. Son corps s’affaiblit drastiquement, tout comme son esprit, et la mort de sa bien-aimée grava une peine si profonde en son coeur qu’Elycia crut le perdre lui aussi. Mais, tout comme sa fille qui avait trouvé la joie et l’ardent désir de vivre au côté de sa famille, le vieux Alanost s’accrocha à ses enfants et petits-enfants, voyant en eux les vestiges précieux de sa femme disparue.

Cet épisode, récent et encore vivace dans le coeur des êtres immortels, ne fit qu’accentuer la méfiance et la haine à l’égard des étrangers. Elycia et son frère redoublèrent d’ardeur afin de débarrasser les terres de leurs ancêtres de la vermine bâtarde et ennemis de tout genre. L’occasion se présenta lors de la disparition de Jiriad Garnat, duc actuel et dernier descendant de la branche principale de la famille. Étant les membres les plus proches, on considéra les Lanthaloran. Son père, trop faible et las pour gouverner le duché, dû tout de même désigner un de ses enfants comme héritier, car, si Elycia avait été désigner comme future chef de famille, la position de duc était d’un tout autre niveau.
Toutefois, contrairement aux attentes, Alanost ne pu choisir. Plutôt, au chevet du lit auquel il était presque en permanence alité, il fit promettre au frère et à la soeur d’unir leurs forces et de faire de Daranovar des terres prospères et à l’image de leur vision, ce qu’ils firent. Par la suite, il demanda à ce qu’on le laisse en paix.

Elycia et Qeandrel se mirent d’accord quant au voeux de leur père, mais subsistait un problème : un des deux devraient être nommé officiellement duc, ne serais-ce aux yeux des autres dirigeant du royaume. Étant déjà héritière de la famille, il fut décidé que ce serait la soeur. Le frère, lui, aurait officiellement la place de conseiller même si, dans leurs terres, ils auraient le même pouvoir décisionnel.

Depuis sa récente ascension, Elycia met donc les bouchées doubles dans ses efforts pour faire en sorte de chasser les demi et les hybrides, en plus des humains ou des nains qui auraient eu l’idée de s’installer en Daranovar. Ses projets sont ambitieux, ses plans avancent.
Qui a tord? Qui a raison?

Toutébon... sauf la magie, il faut qu'on en discute par msn

Wualidée
T'connais déjà le chemin.

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[Métier & Classe] : Duchesse de Lanthaloran

[Âge & Sexe] : 843 ans & Féminin

[Classe d'arme] : Distance

[Alignement] : Elfes - Neutre bon

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