Yvaeth vi Ilmr'il - Sorcière

Nom/Prénom : Yvaeth (Prononciation « Y-va-éf »)vi Ilmr’il
Âge : 142 ans, apparence humanisée 24/25 ans.
Sexe : Féminin
Race : Elfe sombre
Particularité : Multiple tatouages.

Alignement : Neutre mauvais.
Métier : Sorcière (pas encore attachée à l’Etude Noire ou au C’nros)
Classe d'arme : Magie / Corps à corps (Capable de trouver le bout pointu d’une dague, en somme.)

Équipement :

Yvaeth possède un nombre suffisant de robes pour satisfaire sa coquetterie Drow, et qu’il devienne laborieux de décrire sa garde-robe. Elle affectionne les teintes sombres, rouge, violet, et autres, parfois agrémenté d’une touche plus claire, sur des drapés, souvent. Tout est ce qui est de l’ordre du tissu moulant est réservé aux cérémonies et autres évènements officiels.

La jeune Sorcière ne possède pas d’armure, à l’exception d’une paire de protège-bras en cuir noir offert par son frère Molinth, avec une dague d’apparat en acier sombre incrusté de motifs d’argent. C’est sa seule arme, à moins qu’il ne lui vienne à l’esprit d’aller en « emprunter » dans l’armurerie familiale, ou parmi les affaires de son frère.

A côté, elle veille jalousement sur sa collection de bijoux, notamment la chaîne de nez, ou les ornements de ses cheveux. (Une de ses bagues porte le sceau au serpent de sa Maison, et lui sert à sceller certaines lettres. ) Dans son bureau elle possède évidemment du matériel d’écriture, plume, encre, parchemin, cire, etc. Ainsi que quelques livres, qu’ils soient de fictions, de poésie, de magie ou même de philosophie.
Les écuries de la Maison Ilmr’il abritent son Morgal (Qassem), ainsi que l’armure d’apparat de ce dernier.

Description physique :

Yvaeth répond de manière tout à fait classique aux standards des Drows, hanches larges, taille fine, poitrine que nous décrirons comme imposante, et longue chevelure blanche. De loin, il n’y a pas grand-chose d’original. En la croisant dans la rue, le premier signe distinctif qu’elle arbore est la façon de coiffer ses longs cheveux, toujours parsemés de multiples tresses, plus ou moins fines selon les jours, et parfois de mèches noires, obtenues par teinture. La jeune femme est de taille moyenne pour une drow, tout juste 1m85, elle est un peu plus petite que son frère. Elle partage avec son jumeau la forme des yeux en amande, des iris couleur d’acier, une peau grise anthracite et les reflets argenté de sa chevelure.

Sa démarche sinueuse est un héritage des longues années d’apprentissage de la danse, alors qu’elle était une Dalharen, et du plaisir égocentrique d’avoir quelques regards se retourner sur elle. En cela, ses tenues typiquement Sombre et aux tendances dénudées l’aident beaucoup. Yvaeth aime également dévoiler les tatouages blancs qui parcourent son corps et son visage, plus particulièrement le serpent stylisé qui s’enroule autour de son bras gauche, la tête sur le dos de sa main. D’autres lignes et points marquent son appartenance à la magie, du respect pour la Déesse des Âmes, ou tout simplement de l’esthétisme.

Ses mains sont fines, et ne portent aucunes cals. Si elle a, comme toute jeune fille Drow, appris à jouer de divers instruments de musique, elle n’est pas une joueuse si assidue ni si talentueuse que cela lui laisse des marques. Il y a bien quelques traces de brûlures sur ses avant-bras, héritages de son apprentissage en magie, mais les blessures apparaissent peu sur la peau des Sombres, à moins qu’elles soient profondes, et tel n’est pas le cas. (L’avantage étant que les tâches d’encre n’apparaissent pas non plus. Et elle a souvent des tâches d’encre, lorsqu’elle vient d’étudier.)
A côté de son absence de talent pour l’art de l’instrumentalité, sa voix n’est pas désagréable. Le timbre en est assez délicat pour que son entourage puisse apprécier lorsqu’elle se décide à chantonner. A condition de ne pas trop élever la voix, où cela ressemble plus au braillement d’une harengère qu’à une chanson selon Molinth. (Pour la défense d’Yvaeth, ce commentaire vient plus souvent lorsqu’elle crie après lui que lorsqu’elle s’essaie à la chanson.) En bref, une jolie voix, très utile pour faire du charme, ou autres activités du genre, mais qui ne sera jamais suffisante pour une carrière de chanteuse d’opéra.

Le visage de la jeune sorcière serait également joli, si ses lèvres n’étaient pas plissées en une moue boudeuse aussi souvent. Non qu’elle ignore les autres expressions telles que le sourire, le grincement de dents, et toute autre compagnie, mais elle tend parfois à se comporter en enfant gâtée, et la lippe boudeuse est ce qui convient de mieux pour ce caractère. Cela et les lèvres pincées pour tenter de se donner une allure sévère. Mais elle est jolie, lorsqu’elle se décide à sourire.

Plus en détails, son visage est ovale, le front haut encadré par des cheveux légèrement ondulés. Ses lèvres charnues sont surmontées par un petit nez aquilin, et deux yeux en amande aux reflets d’acier. Si vous la regardez dans les yeux, vous constaterez que le fond de ceux-ci est noir comme le fond d’un puits (ou du Puy, en l’occurrence). Il ne s’agit que des conséquences d’un accident lors de ses études, la maîtrise d’un sort ayant échappé à l’un de ses collègues étudiants, hélas pour les Sombres à proximité. (Et plus particulièrement pour l’étudiant qui y perdit ses deux bras.)
Son visage est également marqué de tatouages, l’un sous les yeux, un autre symétrique au niveau du menton, et un dernier sur le front. Une chaîne ornée relie son nez à son oreille gauche.

Description mentale :

En première strasse, il s’y trouve une enfant gâtée et capricieuse. Habituée à parvenir facilement à ses fins, à réussir ses études et exiger à peu près tout et n’importe quoi de son frère, elle peut en profiter abusivement, et se retrouve dépitée lorsque l’une des personnes habituellement ‘sous contrôle’ n’accomplit pas sa volonté. (Il se raconterait que c’est de ce désappointement que lui est venue l’envie d’invoquer divers mignons.) Elle ne pique pas des crises de colère en hurlant, mais plutôt comme son père, réfléchit longuement à comment faire payer l’affront à l’importun. Elle peut être d’une grande patience lorsqu’il s’agit de se venger, ou d’obtenir quelque chose qu’elle désire.

En dehors de ses petits caprices auprès de son entourage, que nous qualifierons d’idiosyncrasie personnelle comme en ont souvent les mages, c’est une jeune femme intelligente et surtout férocement ambitieuse. Très appliquée dans ses études et avide d’apprendre, elle est très déterminée à tirer sa Maison vers le haut, et elle-même plus encore. Tout ce qui peut servir dans ce but doit être appris, et ce qui ne l’est pas à première vue doit être appris également, on ne sait ce que l’avenir réserve. (Et elle n’avouerait jamais qu’elle aime également apprendre.) Elle est prête à beaucoup de choses pour satisfaire ses ambitions, mais ses camarades d’étude se souviendront peut être qu’elle préfère étudier longuement une situation et ses acteurs avant d’y prendre part à son avantage, en restant dans l’ombre jusqu’à là. Yvaeth n’a pas encore dévoilé sa volonté féroce de parvenir au sommet, en dehors de sa famille.

Malgré son ambition, et le fait qu’elle se soit bien tirée de la compétition des études de magie, elle manque encore de l’expérience nécessaire pour vraiment jouer dans l’arène politique du Puy, et il faut espérer que sa prudence sera plus forte que son orgueil, afin qu’elle ne sombre pas entre les querelles et les complots de ses ainées.

Pas spécialement colérique donc, la jeune Sorcière répond pourtant à quelques autres pêchés des Drows tels que la Luxure, tant pour son utilité que pour son propre plaisir, l’Envie, la Paresse de temps en temps, mais on ne l’a jamais vu vraiment faire preuve de cruauté gratuite. Manipuler quelques jeunes gens de son âge, se mêler à des complots, mais la torture, et la violence physique en général, ne sont pas de son goût.

Tout en aimant suivre les instructives conversations de ses ainées mages, Yvaeth aime aussi parfois à discuter avec quelques autres sorcières de sujets plus frivoles, et faire preuve de sa coquetterie habituelle. (Autre idiosyncrasie) Mais pas trop souvent tout de même, pour les sujets frivoles. Si elle veut vraiment se détendre, elle peut toujours aller ennuyer son frère, après tout. (Lorsqu’il est là.)

Comme tout noble Drow, elle aime la bonne cuisine –épicée- et le bon alcool –épicé et/ou fort-, il n’y a rien là-dessus à signaler. Elle aime également danser, et écouter de la musique ou de la poésie, ainsi que la philosophie et les tactiques militaires, mais de cela elle parlera moins, préférant les livres qui ne bavassent pas. (Si elle veut vraiment parler stratégie, sa mère est dans la même demeure, après tout.)

Histoire :

L’histoire des jumeaux Ilmr’il commence en automne, au Puy, dans le confort relatif de la demeure familiale, au milieu des rares mais puissants cris de leur mère. Celle-ci, Streea Jabbuk du deuxième Ost, était par ailleurs renommée pour sa voix, capable de couvrir le vacarme d’un champ de bataille pour hurler ses ordres, et elle avait démontré la puissance de son coffre lors de la naissance de ses premiers enfants. La naissance de deux petits au lieu d’un fut une immense source de fierté, et obligea Rizzen vi Ilmr’il, le ‘bienheureux’ père, à aller saluer très humblement Natha Repalninkiz, déesse de la fécondité, de la part de son épouse, plusieurs jours durant. (On soupçonne que la volonté de la Dame Ilmr’il a très fortement joué sur ce comportement pieux. Mais ce ne sont bien sûr que des calomnies.)(Bien qu’il soit exact que la Dame ait un très fort caractère, en plus de sa voix.)
Pour être plus bref, le relatif jeune couple était très heureux de la naissance de ses enfants. Bien que Rizzen retourna le plus rapidement possible à ses fonctions saccerdocales auprès d’Uriz Vyn’Het Namaz, Seigneur de la colère, pour échapper tant à Nryj vi Ilmr’il, sa ‘chère’ et ‘tendre’ épouse, qu’à leurs adorables mais bruyants marmots.

Yvaeth naquit la première, avec une volonté qui ne semble pas l’avoir quittée depuis. C’est Molinth qui lambina, comme il le fait toujours d’ailleurs, et fut responsable de la majeure partie des cris de Nryj. Celle-ci abandonna son poste à l’armée lors de leur première dizaine d’années, afin de s’occuper d’eux, en compagnie de leur nourrice. Il n’y a pas grand-chose à dire sur ce stade, comme tous les bébés ils mangeaient –souvent-, braillaient –très souvent-, rejetaient ce qu’ils mangeaient par diverses voies –beaucoup trop souvent- et dormaient –mais pas assez au goût de leurs proches-. Quoique la tendance se dessina déjà entre la très agitée Yvaeth, et son frère ensommeillé. Autant dire que selon Nryj, ce furent de bien longues années, et qu’elle accueillit avec soulagement l’arrivée du tuteur des deux enfants, et la possibilité de retourner brailler sur ses troupes, tout en frappant ceux qui étaient trop durs de la feuille. Rizzen ayant fui dès les premières semaines, fut tout aussi soulagé de pouvoir retourner chez lui sans être mis à contribution auprès des petits.

« Deux enfants à la fois sont certes sources d’une grande fierté, mais surtout source d’une grande fatigue » dit Nryj vi Ilmr’il, dans des termes moins chastes que nous ne reproduirons pas ici.

L’histoire ne dit pas si le tuteur et la nourrice apprécièrent vraiment de se retrouver avec les jumeaux sur les bras. Yvaeth était certes une élève appliquée, vive, intelligente et surtout très intéressée, mais on ne pouvait pas dire que l’obéissance était vraiment son point fort. Quant à son frère, cela se passerait presque de commentaires tant celui-ci n’était intéressé par à peu près aucun de ses cours, préférant lézarder, ou suivre quelques leçons privées dans le lit de la nourrice. (Mais sa sœur ne fut pas en reste auprès du tuteur, comme quoi.)

La jeune drow s’intéressa a à peu près tous les domaines, quoique ni la musique ni le chant ne furent vraiment sa tasse de thé, et que dire de la religion ? Il serait dit qu’elle aurait fini par porter plus particulièrement sa foi auprès de Teiweon Danath’Koor dans l’unique but de contrarier son prêtre de père. (Ce qui est tout de même, vous en conviendrez, une très mauvaise raison de choisir sa religion.)

Elle assista avec un intérêt intrigué à la mort du rat de Molinth, lors de leurs 34 ans, et se décida intérieurement à n’avoir aucun animal de compagnie avant d’être considérée comme adulte. Et d’avoir le temps de trouver quelque chose à en faire.

Il pourrait certes y avoir nombre d’anecdotes amusantes sur l’enfance des jumeaux, les multiples bêtises qu’ils accomplirent, les premiers sorts accidentels d’Yvaeth, ou comment Molinth parvint à faire envahir la chambre de sa sœur par des araignées un soir de beuverie, mais rien de cela n’est nécessaire pour expliquer leur accomplissement personnel, et ce serait se priver de matière pour les inévitables flash-back que nous aurons lors de leurs aventures. Sachez simplement que depuis leur naissance, leur relation n’a en rien évoluée, et qu’ils passent une majeure partie de leur temps à s’envoyer piques, moqueries et de la vaisselle à la tête, mais qu’ils sont chacun les seuls à avoir le droit de faire du mal à leur jumeau. Yvaeth montre admirablement les dents lorsqu’on vient empiéter sur son territoire. (Dans le cas présent, la souffrance de Molinth.) Ils passent également une bonne partie de leur temps à rivaliser sur le nombre d’amants dans leur lit (Le frère n’ayant pas vraiment d’autres domaines pour rivaliser avec sa sœur) lorsqu’ils n’occupent pas eux même celui de l’autre. Une relation drow tout à fait saine, donc.

Arrivée l’année de leurs quatre-vingt dixième anniversaires, il était temps de choisir sa voie. La jeune fille n’hésita que quelques heures –et encore-, elle serait Mage, il n’y avait pas à sourciller. Ce fut évidemment au grand damne de ses parents, qui auraient aimé qu’au moins un des enfants rejoigne son domaine –et si possible la plus capable-, mais Yvaeth fit la démonstration de son caractère de cochon entêtement habituel, et l’emporta facilement lorsqu’une boule de feu incontrôlée vint roussir la barbe du Premier Esclave de la maisonnée. (Un nain qui regardait partir les deux enfants avec un chagrin affectueux. Il était des rares à s’être bien entendu avec les jumeaux, alors qu’ils étaient Dalharens.)

Yvaeth vi Ilmr’il fit donc ses premiers pas conquérants dans l’Etude Noire, le menton haut, la démarche chaloupée et la cuisse légère, avant de se faire sévèrement recadrer. Ce à quoi, pour une fois, elle ne sourcilla pas, dans son avidité d’apprendre. Elle oublia quelque peu la notion de sommeil lors de ses premières années, en cherchant à être présente au plus grand nombre de cours possibles.

Une habitude qui lui valut malheureusement d’être présente lors d’un fameux accident, où un collègue étudiant, lors d’un cours commun à une vingtaine d’autres, perdit malheureusement le contrôle de son sort, sous l’œil impatienté du professeur qui n’avait aucune envie d’être là ce jour-là, et aurait préféré continuer à trousser quelques charmantes sorcières (et sorciers), créant ainsi une magnifique explosion magique qui resta dans les annales de l’Etude Noire comme exemple de choses à ne SURTOUT PAS faire, JAMAIS, on vous le répète JAMAIS, et occasionnât quelques dégâts à plus ou moins longs termes sur les étudiants présents. Yvaeth perdit la vue durant quelques jours. Autant dire qu’elle s’en sortit plutôt bien, l’étudiant en question perdit l’usage de ses deux bras par une gangrène insidieuse, et quelques autres ne retrouvèrent jamais une ouïe correcte. Une des demoiselles, affiliée au Givre, et qui se destinait au C’rnos en fut particulièrement désappointée, la voie du combat lui étant interdite par sa nouvelle surdité. On la dit aujourd’hui particulièrement aigrie envers les jeunes étudiants.

Il n’est pas non plus utile de développer les longues années où, après découvert son penchant pour l’Ombre et la Nécromancie, elle fut confiée à un tuteur, ou plutôt dans son cas, une tutrice, sachez seulement qu’elle eut pour cette femme un grand respect, ainsi que pour les quelques autres professeurs qui vinrent parfois lui donner des leçons. Elle allait parfois solliciter des spécialistes d’autres branches pour en savoir un peu plus, mais revint toujours à la Nécromancie. (Et l’Ombre, elle trouve que mélanger ces deux disciplines donnent des résultats plus intéressants.) Elle se tira admirablement de la compétition des études, en se faisant assez discrète pour éviter les attaques sur sa personne (en évitant le trop haut du classement donc), et observant les complots de ses petits camarades, apportant son aide –parfois- à celui qui l’amusait le plus. Ou qui payait le mieux, c’est selon.

Sur les dernières années de ses études, Nryj vi Ilmr’il revint dans la demeure familiale en accouchant d’un petit frère, Sabrarh. (Sur lequel Rizzen attend avidement de mettre la main, afin de le destiner dès le plus jeune âge au clergé.) Yvaeth accueillit ce nouvel arrivant avec scepticisme, pas certaine de ne pas se trouver en face d’un futur rival tant pour la direction de sa maison (après la mort, qui sera bien évidemment très malheureuse, de leurs parents) que dans sa future ascension sociale. Elle décida finalement qu’elle aurait autant d’influence que le tuteur lors de son éducation, et qu’elle apprendrait à ce jeune arriviste braillard à être utile à sa sœur. (En oubliant qu’elle produisait autant si ce n’est plus de bruit au même âge.)

Alors de son cent quarante-deuxième anniversaire, sa tutrice lui annonça qu’elle avait fini d’étudier sous sa houlette, et qu’elle était désormais libre de choisir à quel corps de mage elle désirait se vouer. Tout aussi désireuse d’étudier un peu les mouvements politiques de la Prime Sorcière et du Ditronw Da’re avant de choisir à qui se joindre, elle a rejoint sa Maison en s’accordant un « Temps de réflexion ».

Tatouage du Serpent :

Spoiler:

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : C’est joli, mais les informations sont difficiles à trouver lorsqu’on débute.
Comment as-tu connu le forum ? : J’en entends parler depuis un an ou deux, par diverses sources. (Mais je n’avais ni le temps ni la motivation de me remettre au Rp forum à ce moment-là.)
Crédit avatar et signature : Je ferais les dessins de Molinth et d’Yvaeth dès que je rentre chez moi. (Demain donc). Les photos de référence sont de Marcus J Ranum (Deviantart) Comme ils ne seront pas fait en un jour, j’utilise pour Yvaeth un avatar de dépannage trouvé sur le site Drakonis. (et modifié par mes soins)
C'est Molinth qui a fait le dessin du Symbole de leur Maison, ainsi que du tatouage de Molinth, bien qu'ils n'aient pas encore été postés.

Coucou et bienvenue sur le forum de Miradelphia ! C'est moi qui m'occupe de ta fiche alors accroche-toi (non je plaisante).

Dans le global, la fiche est très sympathique, agréable à lire et intéressante, et promet de bonnes choses :). Au niveau des éventuelles fautes et/ou petits soucis, voici ce que je te demanderai de modifier :

• Particularité :
Le banc des yeux noir, c'est pas possible .

Voilà, une fois ce tout petit truc de rien du tout changé, tu seras validée :) !

Je corrige ça, merci beaucoup. :)

(Pour Molinth, il est en pleine fin d'année, je ne sais pas lorsqu'il aura le temps de passer, mais je l'ai prévenu de la réponse.)

Parfait, tu es donc validée !

Tu peux aller faire tes demandes de rp, créer ton inventaire et ton journal de bord, et éventuellement chercher un parrain !

Code:

[Métier] : Sorcière

[Âge & Sexe] : 142 ans et féminin

[Classe d'arme] : Magie et corps à corps

[Alignement] : Neutre mauvais

Je te laisse poster à la suite tes 5 sorts à l'aide du formulaire ci-dessous, ton niveau magique étant : arcaniste.

Code:

[b]Nom : [/b] Le nom de votre sort, de préférence en rapport avec le détail
[b]Portée : [/b] Contact, distance, etc…
[b]Coût en énergie : [/b] Faible, modéré, élévé. Evidemment, ça doit être en adéquation avec les autres paramètres. (Même si sur Mira, il n’y a pas de jauge « énergie » il est important d’avoir un ordre d’idée des sorts que vous pouvez lancer à la suite sans être épuisé.)
[b]Détails et Fonctionnement : [/b] Explication du sort en lui-même. Il est important de définir son effet, sa mise en œuvre, etc. Cette explication sera pour le potentiel « max » de votre sort. Vous serez libre de l’utiliser à moindre puissance. (Par exemple, si vous êtes capables de faire naitre un brasier, vous serez capable d’allumer une bougie… ) Déterminez également le « domaine » magique concerné. (élémentaire (feu, eau, terre, air), guérison, nécromancie, etc.)
[b]Inconvénients et contreparties : [/b] Plus le sort détaillé sera puissant et complexe, plus la contrepartie d’une utilisation du sort devrait engendrer un effet variable sur son lanceur.

Merci M'dame.

Pour le code de la fiche de personnage, si c'est bien à moi de le mettre dans mon profil, j'ignore comment.

Pour les sorts, les voici.

Nom : Réanimation
Portée : 1 mètre.
Coût en énergie : Moyen pour un seul cadavre. Augmente rapidement selon le nombre de relevés.
Détails et Fonctionnement : Yvaeth relève un cadavre (Ou un squelette.) humanoïde ou animal de taille moyenne, afin qu'il combatte à sa place. Le corps doit être à coté d'elle pour qu'elle use de sa magie dessus.
Au niveau supérieur, elle pourra relever des corps de taille plus importante.
Au niveau maximale, en unissant nécromancie et magie de l'ombre, elle peut créer des hybrides entre divers corps. Par la partie ombre, ils peuvent un minimum de réflexion ou des initiatives au niveau des ordres, mais ils sont de taille moindre comparés aux corps relevés du niveau précédent.
Inconvénients et contreparties : Les corps relevés ne font qu'obéir aux ordres, sans prendre initiatives (au contraire des hybrides de niveau maximal) et doivent rester à une distance variant entre 100 et 50 mètres, selon leur taille, sous peine de retomber en poussière.

Nom : Appel de l'âme
Portée : Rituel, à portée de bras donc. (50cm-1mètre)
Coût en énergie : Important
Détails et Fonctionnement : En traçant un cercle de rituel traditionnel, et en invoquant le véritable nom de l'âme invoquée, Yvaeth peut communiquer avec celle-ci. A plus haut niveau, elle pourra la contraindre à accomplir sa volonté, mais pas à agir sur le monde physique.
Inconvénients et contreparties : Nécessite de connaître le véritable nom de la personne à invoquer, et peut échouer si elle n'a pas en sa possession un objet personnel de la personne. Plus la personne est morte depuis longtemps, plus il est difficile de l'invoquer, ce qui peut aller jusqu'à l'évanouissement (et le coma) de l'invocateur si la mort se compte en siècle.

Nom : Tentacules de l'Ombre
Portée : 20 mètre
Coût en énergie : Moyen
Détails et Fonctionnement : Yvaeth condense son ombre et les coins sombres qui l'entourent en des tentacules noires extensibles qui peuvent agresser ses adversaires. A ce niveau, elle ne peut prendre possession de l'ombre de ces derniers.
Inconvénients et contreparties : Nécessite une base d'ombre (au minimum celle d'Yvaeth.) Si la zone est particulièrement ensoleillée, les tentacules perdent une grande partie de leur extensibilité, et sont moins matérielles.

Nom : Portes de la mort (ou Déchirure du Voile)
Portée : 40 mètres
Coût en énergie : Faible, pour une seule Déchirure.
Détails et Fonctionnement : Ce sort s'utilise essentiellement dans une grande mêlée, de manière brève, à de très courtes intervalles. Il crée une Porte, une Déchirure, de taille variable entre ce monde et celui des morts, qui tournoie durant quelques secondes en déchirant le(s) corps ennemie(s) avant de disparaitre. La taille varie entre celle du bras d'un homme, ou celle d'un destrier en armure.
Inconvénients et contreparties : Nécessite un contact visuel. Maintenir une Porte ouverte plus de quelques secondes peut tuer le Nécromancien. L'incantation pour ouvrir la première Porte dure entre 5 et 7 minutes, ou le Nécromancien doit absolument être protégé. Les suivantes sont presque instantanées, une fois la première Déchirure ouverte.

Nom : Tissage de l'Ombre
Portée : 10 mètres pour être placés. Virtuellement illimités pour être maintenus. (Yvaeth n'a pas trouvé la limite.)
Coût en énergie : Important pour les poser. Moyen pour les diriger. Quasi-nul s'ils restent maintenus sans bouger.
Détails et Fonctionnement : Yvaeth tresse des filaments d'Ombre, qui peuvent ou non être tranchants comme des rasoirs, et les laisse suspendus à un endroit ou un autre, accroché comme une toile d’araignée, ou une tapisserie encore sur le métier de tissage. Tant qu'elle ne les contrôle pas, les fils sont parfaitement immobiles et invisibles dans les zones sombres, collant ou tranchant celui qui les touche. Si elle désire les diriger à l'équivalent de ses tentacules, Yvaeth doit les guider par des gestes de la main. Ils peuvent onduler ou se réunir en un nuage sombre qui peut obscurcir la lumière, par exemple.
A plus haut niveau, les fils deviennent solides et peuvent également former des barrières.
Inconvénients et contreparties : Une fois que les fils ont tranché celui qui les a touché, ils disparaissent. Il y a toujours un petit temps de réaction entre les gestes d'Yvaeth et les mouvements des fils, lorsqu'elle les anime. Si elle oublie qu'elle a mit un piège, elle tombe aussi bien que n'importe quel autre. Les fils ne font pas de distinction entre alliés et ennemis.


Voilà. Si les contreparties ne sont pas assez importantes, j'essayerais de les rendre plus sévères.

Normalement, les mages d'ombres et nécromanciens se doivent de choisir leurs sorts dans les listes de prédéfinis - ombre ici, nécro ici -. Toutefois, comme ta demande de sorts peut être rapporché de ses listes, nous t'autorisons à la garder. Néanmoins, comme tes deux sorts d'ombres sont directement des sorts "apprenti" - dans les prédéf'- sans passer par les sorts "basiques" du rang éveillé, nous accepterons de faire cette concession si tu retires Portes de La Mort sans le remplacer.

• Réanimation =
Coût du sort : Moyen jusqu'à 3 cadavres humanoïdes (= 10 petits animaux type chat = 3 chevaux ).
Pas possible de relever créatures de type rare du Bestiaire.
Pas possible de créer des hybrides.
Détails et fonctionnement : Les corps relevés ne font qu'obéir aux ordres sans prendre d'initiative et doivent rester à une distance maximale de 50 mètres (c'est la portée maximale pour tout le monde sauf sort extrêmement particulier), sous peine de retomber en poussière.

• Appel de l'âme est plus ou moins similaire à Intervention spectrale. Donc c'est bon.

• Tentacules de l'Ombre est plus ou moins similaire à Condensation des Ombres. Donc c'est bon.

• Portes de la Mort = Non pour ce sort. A ce niveau, le sort est trop puissant pour une arcaniste et trop dangereux dans le sens où il est 'invincible' et où il touche à un concept qui n'est pas véridique sur le monde de Mira' : le monde des morts n'est en effet pas sur un plan différent du monde des vivants.

• Tissage de l'Ombre = Il faut une limite même une fois que le sort est placé, de maximum 50 mètres, mais l'illimité n'est pas possible. Le sort te coûte toujours de l'énergie même une fois les fils posés. Par ailleurs, il faut bien que tu que si ton sort est utilisé en tant que "barrière", cette dernière sera parfaitement est destructible au même titre que les fils lorsque quelqu'un les touche, comme tu l'indiques.



Dernier point uniquement à titre informatif :
Enfin, la nouvelle version de la magie étant encore en cours de travail, je vais te rappeler quelques points de base qui s'appliquent à tous et à toutes. Sans un minimum de présence d’esprit, impossible de lancer le moindre sort sur Mira'. Alcool, drogue, fièvre, illusions diminuent les facultés mentales et la capacité à concentrer son esprit, et une manipulation magique devient plus ardue et dangereuse. Maladie et blessures altèrent les capacités physiques du mage. Comme il est nécessaire d’avoir une bonne santé ou forme car lancer un sort fatigue le corps, toutes altérations physiques augmenteront le risque de « loupé » de la manipulation. De plus, les dommages corporels influencent fréquemment la concentration et la volonté.

Nom : Réanimation
Portée : 1 mètre.
Coût en énergie : Moyen jusqu'à trois cadavres humanoïdes. (=dix petits animaux type chat = trois chevaux)
Détails et Fonctionnement : Yvaeth relève un cadavre humanoïde ou animal de taille moyenne, afin qu'il combatte à sa place. Le corps doit être à coté d'elle pour qu'elle use de sa magie dessus.
Inconvénients et contreparties : Les corps relevés ne font qu'obéir aux ordres, sans prendre initiatives et doivent rester à une distance de 50 mètres sous peine de retomber en poussière.
Pas possible de relever créatures de type rare du Bestiaire.
Pas possible de créer des hybrides.

Nom : Appel de l'âme
Portée : Rituel, à portée de bras donc. (50cm-1mètre)
Coût en énergie : Important
Détails et Fonctionnement : En traçant un cercle de rituel traditionnel, et en invoquant le véritable nom de l'âme invoquée, Yvaeth peut communiquer avec celle-ci. A plus haut niveau, elle pourra la contraindre à accomplir sa volonté, mais pas à agir sur le monde physique.
Inconvénients et contreparties : Nécessite de connaître le véritable nom de la personne à invoquer, et peut échouer si elle n'a pas en sa possession un objet personnel de la personne. Plus la personne est morte depuis longtemps, plus il est difficile de l'invoquer, ce qui peut aller jusqu'à l'évanouissement (et le coma) de l'invocateur si la mort se compte en siècle.

Nom : Tentacules de l'Ombre
Portée : 20 mètre
Coût en énergie : Moyen
Détails et Fonctionnement : Yvaeth condense son ombre et les coins sombres qui l'entourent en des tentacules noires extensibles qui peuvent agresser ses adversaires. A ce niveau, elle ne peut prendre possession de l'ombre de ces derniers.
Inconvénients et contreparties : Nécessite une base d'ombre (au minimum celle d'Yvaeth.) Si la zone est particulièrement ensoleillée, les tentacules perdent une grande partie de leur extensibilité, et sont moins matérielles.


Nom : Tissage de l'Ombre
Portée : 10 mètres pour être placés. 50 mètres pour être maintenue.
Coût en énergie : Important pour les poser. Moyen pour les diriger. Faible s'ils restent maintenus sans bouger.
Détails et Fonctionnement : Yvaeth tresse des filaments d'Ombre, qui peuvent ou non être tranchants comme des rasoirs, et les laisse suspendus à un endroit ou un autre, accroché comme une toile d’araignée, ou une tapisserie encore sur le métier de tissage. Tant qu'elle ne les contrôle pas, les fils sont parfaitement immobiles et invisibles dans les zones sombres, collant ou tranchant celui qui les touche. Si elle désire les diriger à l'équivalent de ses tentacules, Yvaeth doit les guider par des gestes de la main. Ils peuvent onduler ou se réunir en un nuage sombre qui peut obscurcir la lumière, par exemple.
A plus haut niveau, les fils deviennent solides et peuvent également former des barrières, qui peut évidemment être détruite.
Inconvénients et contreparties : Une fois que les fils ont tranché celui qui les a touché, ils disparaissent. Il y a toujours un petit temps de réaction entre les gestes d'Yvaeth et les mouvements des fils, lorsqu'elle les anime. Si elle oublie qu'elle a mit un piège, elle tombe aussi bien que n'importe quel autre. Les fils ne font pas de distinction entre alliés et ennemis.

Voile de l'ombre Le sorcier de l'ombre peut rendre son adversaire momentanément aveugle. (A noter: les sorts de guérison n'ont aucun effet sur ce type de cécité, puisqu'il s'agit d'une voile d'ombre au sens littéral du terme. Seul le temps, une quinzaine de minutes, viendra à bout de ce maléfice.

Validé ! :)

A coller dans ton inventaire :

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