Orthungald (A FINIR)

Nom/Prénom : Orthungald Barbe-Enflammée
Âge : 155 ans
Sexe : Masculin
Race : Nain
Particularité : Borgne, Barbe étonnement rousse pour son âge.

Alignement : Neutre à tendance Bon
Métier : Ancien Garde royal de Kirgan, maintenant Voyageur.
Classe d'arme : Corps à corps Offensif/distance
Équipement : Etant un ancien garde Royal de Kirgan, Orthungald possède tout l'équipement intégral d'un Garde Royal. Il porte beaucoup d'importance à son casque ouvragé (un heaume d'or et de fer, juste ouvert en "V" pour voir), comportant plusieurs signes ancestraux nains. Ce casque fut porté par des centaines de nains avant lui, c'est pour cela qu'il y porte autant d'attention. Ses épaulières gravées à l'or fin tout comme son casque, sont toutes les deux indentiques et imposantes. Elles peuvent servir de vrais bouclier, parrant n'importe quel coup. Des runes gravées sur les bords de ces pièces d'armures sont sensée lui apporter chance et hardiesse au combat. Sa tunique, cousue d'or, de soie*et de laines verte, rouge et bleue, lui arrive jusqu'aux genoux, laissant paraitre la côte d'écailles faite d'argent lui protégeant le corps et facilitant les mouvements. Cette même tunique est tenue par une magnifique ceinture de cuir d'Ours comportant une somptueuse boucle faire d'or et de métal teinté, ornée des signes de ses ancêtres. Ses gantelets, composées de protections pour les poignets et de coudières, sont fait d'or et de métal. Leur intérieur est tapissé de laine rouge matelassée ne laissant pas passer le froid. Ses braies sont faites de laines matelassées rouges et vertes, pour ne pas laisser passer les morçures du froid, mais aussi pour permettre de créer une liaison ermétique avec les bottes. Les bottes sont faites de cuir noir, recouvert de fourrure et comportant une semelle de fer très souple et fine. Elle est protégée par deux grandes pièces d'armures d'or et de fer teinté,sécurisant la pointe et le talon du pied, mais aussi la cheville. Il portait aussi une longue cape bleue lui servant de couverture en cas d'expéditions.
Encore en ces temps de crises, Orthungald porte toujours fièrement son armure, qui est maintenant sa seule protection. Avant que les foudres de Mogar s'abattent sur Kirgan, Orthungald possèdait une hache à deux mains, une autre hache à une main et un arc court. Ayant perdus ces armes prestigieuse lors de l'attaque de Mogar, il dût se contenter d'un grand marteau à deux mains, une arbalète à répétition faite en peuplier et un vieux bouquin où il écris ses parcours .

Description physique : Orthungald est un nain ayant fait presque toute la moitié de sa vie des entrainements militaires. Il est donc très musclé et rapide au combat. Son visage, taillé à la pioche, est toujours stoïque. Son regard d'acier, fais de son visage une vraie arme de persuasion. Ses peaumettes sont légérement saillantes et rougeaudes, ses joues sont légérement creuse. Son front est très prononcé, ainsi que c'est sourcils. Son crâne est Ovale, sa machoire est carrée mais son menton est pointu et est assez petit. L'arete de son nez est bosselée et ses narines sont épathées. Ses lèvres sont plutôt imposantes, mais elles sont cachées par sa grande barbe rousse annelées d'or chatouillant sa ceinture, tout comme ses cheveux lui arrivant au bas du dos. Ses jambes, tout comme ses bras, sont robustes et musclées. Ses mains, tanées par le travail et par les guerres, sont rugueuses comme de la pierre.

Description mentale : Orthungald est quelqu'un de très sérieux et de très réservé en général, depuis toujours. Le voile et la destruction de Kirgan le rendirent encore plus imperméable. Il ne parle que très rarement, sauf pour des choses qui en valent la peine. Ayant été formé par les Gardes Royaux nains pour en devenir un a son tour, il a est d'un caractère de pierre. Il essaye de réagir le mieux possible face à des situations facheuses, même si il a tendance à absolument tout compliquer. Evidement, ce n'est pas un golem, quand il est en présence d'autres gens, ou même d'alcool, il se détend et rit un bon coup. Cette tendance à rester de marbre et a ne pas parler est dut au fait qu'il parcourut le monde de Miradelphia en tant qu'ermite, toujours en quête de savoir, car ce n'est qu'après qu'il s'engagea dans l'armée et passa les séléctions pour devenir Garde Royal. Il n'aime pas être en compagnie d'Elfes ou d'Humains qu'il ne connait pas, les trouvant trop hautain. Asocial serait trop fort pour désigner son caractère bien trempé vis à vis des personnes étrangeres, disont qu'il choisit bien son entourage. Avec le nombres de fourbes et d'hypocrite rencontré durant sa longue vie, il se méfie de tout le monde, même de certains nains.

Histoire : Tout commença un jour de rude hiver. Dans une nuit froide, la neige tappait les carreaux du bâtiments de pierre. Un cris retentit. Orthungald naquit et eut sa première vision dans cette infirmerie, en Kirgan. Sa mère rendit l'âme deux jours après sa naissance. Il se fit alors élevé par la soeur et le frère de sa mère, son père n'ayant pas le temps de s'occuper de lui, tenant un post important dans l'armée naine. Il essayait de venir voir ses fils le plus souvent, car oui, Orthungald était le frère de deux autres nains, Azarhol et Zirak. Zirak avait quatre ans d'écart avec lui et Azarhol deux. Il grandit donc dans la petite maison familiale de son Oncle Grundak et de sa Tante, Félia mais aussi avec ses deux cousins, Azarëk et Moltof, eux, déjà âgé de huit et neuf ans. Ils étaient tous les cinqs très complice, même si Orthungald était encore très jeune. Au fil des années, Orthungald grandit, il était alors âgé de dix ans. Durant ces dix ans, rien de très important c'est passé, sauf que leur père pouvait venir de plus en plus souvent. Ses cousins, âgés de de dix-huit et dix-neuf ans, s'écartèrent peut à peut d'Orthungald et de ses frères, qui eux avaient quatorze et douze ans. A cet âge là, ils jouaient ensemble avec les autres enfants du village, très jeune, ils étaient attiré par l'aventure et voulaient faire le tour du monde. Juste après avoir fait ses onze ans, Grundak et Félia, étant de grands marchant nains, durent partit vers Diantra, laissant leurs deux fils et leurs trois neveux chez leur ami de confiance, Kala. Kala était un type bien, il jouait toujours avec eux, sauf Azarëk et Moltof, qui partaient seul dans leur nouveau village. Ce village était perdus au milieu de nulle part et comportait une seule et même route. Cette route allait directement à Lante, quelques marchands étrangers avait élus domicile dans ce petit village en lien direct avec la cité marchande. Il y avait un enfant Elfe dans le village, son père était un marchand. Orthungald et ses frères avaient déjà vus des elfes de passage, mais jamais des elfes vivant en Nanie. Ils étaient intrigué par cet Elfe. Il était plutôt gentil d'ailleurs. Un jour, le soleil tappait fort sur la neige blanche et la forêt brillait de mille feu. Nos trois intrépides nains partirent alors dans la forêt avec Itrhuidil, l'enfant elfe. Les nains furent étonné en sachant son âge.

-Hé Zirak, tu es sûr que c'est par là les champs "Du Long" ?- Demanda Itrhuidil. Ce qu'il appellait le Long, c'était un humain très grand ayant élu domicile dans la forêt proche du village. A côté de sa maison, il y a avait un potagé.

-Oui ! Puisque je te le dis ! Je connais cette forêt comme le fond de ma poche. Tu sais, il y a le grand sapin avec la famille d'écureuil, et ensuite il faut prendre à droite Et il y a des lumières. Et c'est là que se trouvent les légumes.- Kala ne manquait pas d'argent, loin de là, ils étaient bien nourris. Mais c'était une sorte de défis qu'ils se lançait, ils ne mangeaient même pas les légumes. Zarak était le plus âgé des nains avec ses quinze ans, Itrhuidil en avait trente-six, Azarhol treize et Orthungald onze.
A onze ans, Orthungald était curieux de tout et aimait beaucoup se balader dans la forêt avec ses frères. Ils arrivèrent devant le jardin, le propriétaire était partit à la chasse comme tous les après-midi , il avait pris ses deux chiens. Ils piétinairent le potagé du vieux grincheux et s'amusèrent à imiter sa réaction quand il va voir se qu'il est advenue de ses légumes. Azarhol regarda l'elfe et lui pris l'épaule :

-Je suis sûr que tu n'as pas assez de cran pour rentrer dans sa maison !- Car en effet, il fermait toujours très mal sa fenêtre arrière, qui donnait vus sur le potagé. Itrhuidil eut un sourire et tappa la main d'Azarhol. Il pris appui sur une caisse et se faufila dans la fenêtre. Il ouvrit la port aux nains grâce à la clef posé sur sa table de chevet.
Les nains entrèrent alors dans la petite maison de bois. Il y avait des coffres partout Orthungald se précipita dessus et les ouvrit. Il n'y avait que des vêtements. Il jeta les vêtements en l'air et se fit interompre par son frère Zarak.

-Arrêtes ça dessuite ! On va avoir des ennuis si il retrouve tout ses vêtements chiffoné sur le sol et qu'il sait qu'il s'agit de nous !- Il remis en boules les tissus dans le coffres sans regarder et se hata d'aller dehors. Les autres firent de même, ils fermèrent la porte derrière eux et jetèrent la clefs par la fenêtre une fois dehors pour ne pas éveiller les soupçons. Ils repartirent vers le village. En chemin, Orthungald s'arrêta et fouilla dans sa poche :

-Regardez ce que j'ai ramassé chez le vieux ! Je l'ai trouvé sous ses vêtements ! Il y en avait pleins d'autres.- Il la fit tomber par maladresse dans la neige. Zarak la ramassa et la regarda. Il fronça les sourcils et serra la bague dans ses doigts.

-On dirait une bague faite d'or ! Tu dis qu'il y en avait plein d'autre dans le gros coffre à côté de son lit ?!- Zarak donna la bague à Orthungald.
-Il faut aller la reposer ! Le Long et peut-être un grand marchand humain ?-

-Oui tu as raison, donne la moi je vais la reposer !- s'exclama Itrhuidil. Il pris la bague de la poche d'Orthungald et partit en direction de la maison. Les trois nains l'attendirent à côté d'un arbre. Ils l'attendirent, encore et encore. Soudain, ils entendirent des cris, ils se précipitèrent pour voir d'où ils venaient. Et ils virent leur amis courir à toute jambe pour échapper aux chiens du Long et LeLong lui-même, armé d'une pelle rouillée. Ils prirent des pierres et les lancèrent sur Le Long, sa pelle s'en pris quelques une et tomba en morceau. Les trois frère se mirent au même niveau que l'elfe qui avait mis sa capuche, et courrurent avec lui. Zarak se retourna, le Long était très proche d'eux. Zarak les regarda tous :

-On... On se sépare... Séparez vous... Rendez... Rendez vous la où vous savez ! Viens avec moi Orthun' !- Ils se dispercèrent et le Long abandonna la chasse. Ils avaient une cachette, sous un grand sapin, il y avait un grand creux caché par un buisson touffus. Ici, ils avaient mis de l'herbe pour le confort et une rondelle de bois qui faisait office de table. Ils étaient tous réunis autour de ce bout de bois. Azarhol pris la parole :

-Le long ne peut être qu'un voleur ! Moi, si j'étais un grand marchand, j'irais pas faire une petite maison en bois perdue dans la forêt... Et de plus il avait une vielle pelle rouillées et il a des habits en haillons ! Je suis sûr que c'est un bandit !- Itrhuidil pris la parole à son tour :

-Bah, pas obligé, c'est peut-être un marchand juste Radin ?-

Zarak se gratta le front et secoua ses mains : - Je pense qu'il ne faut plus s'en approcher ! Il peut être dangeureux si ça se trouve.- Ils sortirent tous de leur cachette et revinrent au village. Le soleil commençais à décliner et Kala était entrain de préparer le repas. Itrhuidil venait souvent manger avec eux. Kala l'aimait bien.

Celà faisait déjà deux ans qu'ils n'allait plus chez Le Long. Ce vieux bougre avait déménagé dès qu'il le pouvait. Zarak avait donc dix-sept ans, Azarhol en avait quinze, Itrhuidil en avait trente-huit et Orthungald treize. Leurs cousins partirent finalement chez leur parents. Ce n'est qu'après qu'ils apprirent que LeLong était un brigand recherché par les gardes nains locaux, pour vol et meurtre. Ils s'amusaient comme ils pouvaient, Itrhuidil dût partir du village avec son père, laissant Zarak, Orthungald et Azarhol seul. Leur cachette, peut à peut, se fit oublié, comme Itrhuidil, mais pas complétement. Les années passèrent alors, la routine se perpétua, et les frères grandirent. Kala n'en avait plus pour très longtemps, car en effet, il se faisait vieux... Ils décidèrent de le laisser en paix et partirent au dela du village pour explorer une grotte qu'ils avaient découvert il y a quelques jours de celà.
Zarak avait donc vingt-quatre ans, Azarhol en avait vingt-deux et Orthungald tout juste vingt. Ils arrivèrent dans la grotte après deux heures de marche, la nuit palissais et jour commençais à se lever sur cette plaine enneigée où se trouvait la grotte. Ils étaient là, devant la grotte, ils hésitèrent avant de sauter dedans. C'était humide, et sombre, il y avait des objets dans cette grotte. Zarak, en tête de file, inspecta la grotte à l'aide de sa torche. Il y avait de vieilles tables, des tonneaux éventrés et des chaises branlantes. Au fin fond de la salle, une pâle lumière luisait. Les nains s'en approchèrent, c'était une bougie en fin de vie. Derrière elle se tenait un grand coffre de fer et de bois. Il n'était pas vérouillé, ils l'ouvrirent, dedans, il y avait un simple journal. Il était marqué dedans que cet homme, un Humain, voyageait dans tout miradelphia depuis trois ans maintenant. Orthungald, contrairement à ses frères, était intrigué par le vieux bouquin de cuir. Il le feuilleta pour enfin arriver à la dernière page, il n'avait rien lus, mais les quantités de pages couvertes d'encre en disaient long. Il décida de prendre le livret.

-Ne le prend pas !- S'exclama Azarhol - La bougie ! Regarde, elle est allumée ! Il peut revenir n'importe quand. Pose ce bouquin et partont de cet endroit.-

Il acquiessa de la tête et fit mine de le reposer. Il le cacha dans les plis de son brais et repartit en direction du village accompagné de ses frères. Kala les attendait dans sa chaise, faisant reluire ses deux fières haches, lui ayant sauvé la vie mainte fois. Ce vieux nain rieur a toujours été là pour eux, Zarak, Azarhol et Orthungald le consideraient comme un Père. Leur père, ne venant qu'une fois par mois, et si c'était possible, n'était pas vraiment présent dans leurs vie, ni leur Oncle et leur Tante, qui ont enfin envoyé une lettre expliquant qu'ils ont élus domicile à Diantra pour le commerce. Ce pauvre Kala avait plus d'une occasion de partir, mais il ne le fit pas. Il est maintenant âgé de 263 ans. C'est un être vénérable et respectable, sûrement l'un des meilleurs personnage que nos trois nains rencontrerons sur leur périlleuse route.
Reparlons de ce fameux carnet de cuir, retraçant le périple de cet homme, ayant élus domicile dans cette grotte chaude et humide. Il l'ouvrit, et le lu. Il resta, planté là, sur son lit, à lire cet ouvrage, il ne pouvait pas s'arrêter, ce livre lui prenait les tripes. Il trouvait ça fabuleux, de pouvoir lire trois années d'une vie en quelques heures seulement.
Pendant la nuit, il décida de retourner dans la grotte, pour y poser le livre. Après être rentré chez lui, il ne pouvait plus fermer l'oeil. Tant de contrées, tant de danger, tant de choses à explorer ! Il voulait partir dès le lendemain.
Le soleil se lève et chatouille le nez d'Orthungald, mais aussi de ses deux autres frères. Ils se levèrent, et laissèrent le vieux Kala en paix. Une fois assis sur une grosse pierre au milieu d'une plaine, nos trois nains discutèrent ensemble. Entre deux phrase Orthungald s'imposa :

-J'ai lus le livre, le livre du voyageur de la grotte ! C'est...- Il se fit coupé par son frère Zarak
-On te l'avais pourtant déconseillé ! Tu l'as toujours ?!-
-Non ! Non ! Je l'ai rendus pendant que vous et Kala dormiez...-
-Bien ! Donc tu disais ?-
-C'était juste génial ! Vous auriez vus toutes les aventures qu'a vécus ce pauvre type ! C'est super détaillé, il y a des croquis, des objets et des écrits ! C'est fabuleux ! Vous vous rapellez de notre vieille promesse de gosse ? Faire le tour de Miradelphia ? Moi je m'en souviens ! Et je veux le faire ce foutu tour du monde.-
Azarhol regarda Zarak :
-C'est vrais qu'on se l'était promis ! Moi aussi j'adorerais.-
Zarak se leva et soupira :
-Oui, moi aussi, mais, on ne peut pas laisser ce pauvre Kala seul ! il ne lui reste que quelques années à vivre !-
Orthungald se leva a son tour et s'exclama :
-Amenons-le avec nous ! Kala à toujours révé de voyages ! On lui doit bien ça !-
-Tu as raison !- s'exclama Azarhol-Tu n'as pas le choix Zarak ! Soit tu reste ici ou soit tu viens avec nous et Kala !

Il haussa les épaule et sourris. Il poussa son frère dans la neige et courut en direction de la maison de Kala. Orthungal et Azarhol sourrire et courrurent derrière Zarak. Ils crièrent tous ensemble le nom de Kala. Celui si se leva de sa chaise.

-Kala ! Prends tes haches, tes vêtements, tous tes vivres ta cape et tes meilleures bottes !- s'exclama Azarhol
-Qu...Quoi ? Que se passe-t-il ?!-
-C'est décidé, on fait le tour du monde et on t'emmenne avec nous Kala !- cria Orthungald.

Il ne dit mots et fit un grand sourrire, il tapa dans le dos de chaque nains et sortit de sa maison. -Vous savez, je me fait vieux...- murmura-t-il -Mais l'âge n'arrête pas l'aventure !-

HRPComment trouves-tu le forum ? : Juste magique :D
Comment as-tu connu le forum ? : Je suis un Habitué Razz

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