Léovigild de Courreau [Gli]

Nom/Prénom : Léovigild de Courreau, surnommé l’Errant.
Âge : 20 ans
Sexe : Masculin
Race : Humaine
Particularité :
Alignement : Neutre
Métier : Nobliau & Capitaine Mercenaire
Classe d'arme : Corps à corps
Équipement :
Léovigild a une épée longue, il la possède depuis son plus jeune âge. Cette épée n’a pas été hérité ou donné, mais volé puis caché, non pas parce ce qu’il n’en avait pas le droit d’en posséder ou pas les moyen de s’en procurer mais juste par caprice. Il n’a pas jugé bon ensuite de la restituer ou la remplacer, il fait donc avec. Son armure aux couleurs d’émeraude est tout à fait décente et complète, son écu des plus communs mis à part le blason. Le faucon est bien celui des Courreau mais celui de Léo est blanc, comme pour bien se distinguer de ses autres frères.
Description physique :
Léovigild a les traits des Courreau, la ressemblance est frappante avec son frère ainé. Ses cheveux d’ébènes glissent sur ses épaules et sont rarement attaché. La jeunesse se lit sur son visage, une fine moustache trône au dessus de ses lèvres et un petit bouc à la dernière mode parsème son menton. Ses yeux châtains-noirs vous scrutent attentivement avant que sa bouche ne s’ouvre dans un rictus ou un sourire. L’insouciance peut se lire facilement sur son visage lorsqu’il n’est pas attelé à une tâche militaire. Son corps porte les traces de ses voyages et de ses combats. Son dos porte par contre porte les sévices d’un passé douloureux, les cicatrices de coups de fouet.
Description mentale :
Léovigild peut être très instable. Sa rancœur envers son géniteur l’a poussé a emprunté des voies peu recommandable. La trahison ne le gêne pas, il a déjà trahi, et le refaire ne l’embarrasserait pas plus que ça. Si son frère ainé est quelqu’un de tout à fait respectable, lui l’est beaucoup moins. Léo apprécie la lecture, mais encore plus le jeu et la bonne compagnie ! Joueur et parieur, il n’hésiterait pas à prendre des risques, qui s’avèrent souvent juste … ou pas. Très souvent spontané, Léo ne prend pas la peine de réfléchir dans la majeure partie des cas, les bagarres dans les tavernes sont déclenchées soit par lui soit par l’un de ses camarades. Ne possédant plus d’attaches avec sa terre natale, il aimerait bien gagner un fief et s’y poser.
Histoire :
Léovigild est né dans une famille comptant énormément de garçons, il était l’un des plus jeunes et dès sa naissance on le forma à soutenir et épauler ses frères mais surtout son frère ainé qui était censé hérité du fief paternel. Paternel qui ne montra aucune preuve d’affection pour son benjamin, laissant son éducation à des nourrices puis à des précepteurs peu recommandable. A l’orée de ses dix ans, Léo aventureux s’aventura dans un bosquet appartenant à un riche marchand de Dormmel. Par curiosité, plus que par nécessité, il ne se doutait nullement qu’il était interdit de pénétrer ainsi chez autrui. Le verger lui paru attirant, et il commit le pécher de cueillir une pomme. L’ayant repéré un domestique accouru le saisir par le bras et le conduisit violemment à l’intérieur de la maisonnée. Le marchand lui, en colère, décida de le punir de dix coups de fouet après l’avoir pris pour un voleur avec ses habits boueux. Les cris et les pleurs fusèrent et une fois libre, Léo accouru racontait cela à son père. Rien, aucune réaction de ce dernier envers son fils, il le réprimanda puis le gifla pour sa sottise. Ce fût le début d’une longue série d’action qui poussa à chaque fois le jeune Léo à haïr son géniteur. A l’âge de quatorze ans, alors que son père décida de l’envoyer au Fort Schorm pour l’endurcir, Léovigild se saisi de l’occasion pour fuguer avec quelques uns de ses camarades d’entrainement. Ils quittèrent Dormmel puis s’enrôlèrent dans une compagnie de mercenaire alors que les bandits et pillard pullulèrent en Oësgard. La compagnie qu’ils rejoignirent était dirigée par un certain Ornagde qui le prit directement sous son aile en faisant de lui son héritier. Léovigild devint Léovigild l’Errant, il traversa la péninsule avec ses guerriers remplissant soit des contrats soit en pillant, sa région favorite était celle d’Andelheïm en Oësgard et sa forêt, où il jouissait de faire paniquer les pauvres paysans. Il voyagea même jusqu’en Ithri’Vaan.
Vers sa dix-neuvième année, après avoir fait ses preuves au sein de la compagnie, il en hérita à la mort d’Ornagde lors d’un pillage près de la frontière serramiroise et odélianne. Les guerriers pour les plus vieux décidèrent de lui faire confiance et acceptèrent son commandement, après tout Léo était un bon joyeux camarade qui maniait l’épée aussi bien que la donzelle. Pour clôturer son histoire, alors que la guerre civile est à son apogée en Oësgard, Léo revint sur ses terres et fut surprit d’apprendre que son frère avait prit les armes et assiégeait la capitale, un frère qui lui demanda alors de l’aide et de le rejoindre sur le champ de batailles. Léovigild accepta avec réserve de le rejoindre, ne savant pas encore que son père est mort et ayant toujours cette rancœur envers sa famille. Toutefois, il était en route vers Oësgard la capitale avec ses hommes. Il se battra pour sur, mais à quel camp ? Cela reste à voir.
Comment trouves-tu le forum ? : Intéressant
Comment as-tu connu le forum ? : Au départ par un top-site
Crédit avatar et signature : Barathéon je ne connais plus l’artiste.

Ma compagnie

Nom de la compagnie : La Compagnie des Joyeux Affreux
Capitaine : Léovigild de Courreau
Créateur : Ornagde le Chanceux
Nombre d'hommes : 300
Description (7 lignes minimum) :
La compagnie a été créé par Ornagde il y a de cela une dizaine d’années, elle regroupait au tout début des oësgardiens qui désiraient gagner leurs vies et se battre plutôt que de tourner leurs pouces dans leurs vieilles chaumières. Le travail ne manqua pas, allant d’Oësgard jusqu’en Hautval la troupe commença à s’agrandir peu à peu gagnant entre temps de renommée dans certains régions. La première grande compagne de ces guerriers fut en Serramire, ils se firent engager par l’un des seigneurs pour renverser alors le duc en place, cette guerre seigneuriale si elle ne fut pas épique, leur permit au moins de se faire connaitre. Recrutant des serramirois, Ornagde mena de belles batailles contre des groupes armés brigands et autre scélérat, ils furent d’ailleurs entre autre engager par la Dame de Lourmel afin de pacifier ses terres, tâche qu’ils réussirent avant de rejoindre l’Estrevent. On murmurait parmi les mercenaires que c’est en Estrevent que l’or tombait du ciel, alors c’est en Estrevent qu’ils se rendirent. Comme il a était dit, la compagnie ne manqua pas de contrats et n’hésiter pas à se battre pour le plus offrant quitte à changer de camp à plusieurs reprises. Ces compagnes leur permirent de gagner assez de sous pour s’acheter de meilleures armes, ou de cueillir sur les morts de meilleures armes. Ainsi, des arbalètes plus fonctionnelles firent leur apparition, certains eurent même des chevaux et d’autres des boucliers. Lorsqu’Ornagde mourut et donna le flambeau à Léovigild, certains quittèrent et le reste fit serment.

Les Affreux sont composé d’une cavalerie légère d’environs cinquante hommes, meurtrière lors des charges, la plupart sont des nobles exilés à l’image de Léo ou des hommes ayant eu une expérience dans une armée régulière et l’ayant déserté. Ils portent la lance, l’épée ou la hache pour certains, la plupart du temps la cavalerie s’agrandit lorsque des chevaux sont acquis. Les arbalétriers sont la clé du succès de chaque embuscade tenu par les Affreux, leurs arbalètes aux carreaux meurtriers sont toute menu d’un épi de blé les qualifiant ainsi également de Joyeux. Le reste de la compagnie est divisé entre fantassins, piquiers et autres.
Les Affreux portent tous un écusson près du sein, à l’image de leur blason, il a été généreusement cousu par une couturière tenu prisonnière lors d’un raid plusieurs années plus tôt. Depuis que Léovigild est devenu leur capitaine, le second de la compagnie devint Procope l’Arétrian. Haut de son mètre soixante à la musculature impressionnante contrastant avec sa petite taille, il reste respecté par ses hommes pour son courage et son amour de la boisson. C’est lui qui reprend les commandes lorsque Léo s’absente pour une signature, ou s’il est indisposé à diriger. Les deux hommes sont de bons camarades et il est fréquent de les voir se battre côte à côte lors des batailles ou des embuscades.

Allo ?

Bienvenue à toi Léovigild !

C'est moi qui vait m'occuper de ta fiche.

Déjà, par soucis de bonne visibilité de ta fiche, pourrais-tu séparer les différentes parties ?^^

Ensuite, pour Oësgard... Pour faire simple, j'évite tout simplement d'entraîner de nouveaux joueurs dans cette guerre pour plusieurs raisons :
-La guerre se passe en été et nous sommes déjà en automne. Il vaut mieux que tu entres directement dans le 'timeline" du forum pour qu'on arrive bien à voir où ton personnage en est hrp.
-Comme tu as certainement pu le voir, les tensions à Oësgard durent depuis pas mal de mois hors rp et les deux joueurs principaux n'arrivent pas à se mettre d'accord. Je te conseillerais plutôt de commencer tranquillement à rp puis de t'immiscer dans une guerre le jour où il y en aura une, si tu tiens à guerroyer.

Dans ta fiche en elle-même il y a juste quelque chose qui dérange un peu : ton métier "nobliaud et Capitaine mercenaire". Léo ayant trahi sa famille, il n'est plus vraiment considéré comme noble, puisqu'il a par ce biais renié ses droits...


En ce qui concerne ta fiche de groupe mercenaire, on en parle en coulisses et je te dis quoi plus tard.

Bon courage pour la suite !

Je suis donc refusé ?

Non, pas du tout ^^ Il faut juste que tu corrige les points que Gli t'as demandé de corrigé