Koïnzell

Nom:Inconnu

Prénom :Koïnzell

Âge :Difficile à déterminer, selon certains, koïnzell aurait environ 125ans…

Sexe :Masculin

Race :Demi-Elfe

Métier :Voyageur Guerrier

Équipement:Koïnzell garde en permanence avec lui une vieille épée accompagnée d’un bouclier gravé de symboles mystérieux. Le fourreau de son arme se situe dans son dos et est maintenu grâce à une grosse lanière de cuire passant obliquement sur son poitrail. Le bouclier s’accroche facilement par-dessus le fourreau. Il porte quotidiennement une vieille tunique en laine verte typique à une guilde elfique peu connue et qui vénère la Muse de la Lune. Il porte en dessous une légère chemise blanche ainsi qu‘une fine cotte de maille pour faciliter le déplacement. A sa large ceinture est accrochée une petite bourse ainsi qu’un poignard de seconde zone, dans le dos. Pour finir Koïnzell a un ocarina en ivoire dont il sait merveilleusement bien jouer.

Description Physique: Koïnzell est de petite taille pour un elfe et moyen pour un homme:environ 1m75, son corps est fin et élancé bien qu’il manipule avec aisance et brutalité son arme de prédilection :l’épée, complétée par l’art de manier son bouclier. Son visage semble angélique et est légèrement efféminé, les cheveux blonds et lisses, les yeux bleus cristallins.

Description mentale: Le demi-elfe à prit depuis longtemps l’habitude de vivre et combattre seul pour de multiples raisons à la fois personnelle et celles que tout le monde connaît : ce n’est ni un elfe, ni un homme. Toutefois cela ne le gêne en rien de vivre en communauté. Son côté humain fait de lui une personne assez expressive et communicative à travers son optimisme, mais jamais il ne se plaindra ou ne laissera transparaître ses craintes et ses inquiétudes. Il aime se battre et bien qu’il se donne une image de quelqu’un étant bien dans sa peau et heureux de vivre, son cœur est brisé et empoisonné par une soif de sang insatiable due à une malédiction. Sa passion est de voyager et de découvrir chaque matin de nouveaux horizons.

Histoire: Au loin, un bruit d’épées qui s’affrontent raisonnait comme deux verres de cristal que l’on entrechoque, la lune était à son apogée, claire et brillante comme une pâle lueur au centre d’une salle aussi sombre que la plus profonde des citées naines. Quelques heures plus tard, elle laissa place à un lever de soleil rouge, significatif de sang qui avait encore une fois coulé cette nuit. Au milieu de trois cadavres de bandits de grands chemins, une silhouette d’un jeune homme aux traits affinés se relèva, les mains rouges. Il rangea son arme dans son dos et se remit en route d’une démarche qui était celle d’un homme fatigué.

« Est-ce que cela durera éternellement ? Suis-je condamné à enlever la vie d’autrui pour apaiser la mienne ?? »

Des larmes se mirent à couler sur les joues rosies du demi-elfe, inlassablement elles continuaient de couler, la vie était si injuste, pourquoi devait-il payer le prix d’une faute qu’il n’avait pas commis ?! Pourquoi avait-il fallu que son père, son supposé père, tue un enfant au teint sombre, un draw. Cela remonte à si longtemps, il n’était encore qu’un adolescent, à cette époque, il vivait au milieu des siens, son entourage était composé d’Hommes et d’Elfes, il était aimé et chéri, on lui apprenait à manier la plume et les langues, chaque jour, il s’entraînait à l’art de l’épée, croyant qu’il pourrait faire le bien à l’aide de cette lame. Cette si belle lame que son grand père elfe qui était aussi son maître d’armes lui avait offert le jour de son cinquantième anniversaire.

« Elle protègera ceux qui tu chéris, elle ôtera la vie de ceux dont le cœur est corrompu et malsain. »

Ma mère était belle et bonne, elle nous protégeait avec son arc, mais prônait la parole aux mains, elle seule savait voir la beauté en chacun. Comment un ange comme elle a-t-elle pu se marier avec un monstre comme mon père…Ce dernier était un homme, un être au cœur aisément corruptible, à l’âme déchirée et à la cervelle inexistante. Il était tout le contraire de Galäde, arrogant, impétueux, et incapable de différencier le bon du mauvais. Alors qu’il se rendait à une citée humaine, il vit au bord d’un chemin, un jeune elfe noir, à peine plus âgé de 40ans, il ne portait pas d’arme, sa famille non plus, restée en retrait dans la forêt à quelques mètres, attendait la pénombre pour avancer afin de ne pas se faire lapider. Ce n’étaient pas des combattants, ni des espions, mais des gens cherchant refuge le plus loin possible de la guerre. Ce petit garçon avait commis pour seule faute d’être sorti à la lueur du jour, il voulait juste rattraper le papillon bleu, qui lui, avait le droit d’aller où il voulait. Lorsque l’enfant vit le cavalier humain approcher, la lame dégainée, il était déjà trop tard, ses grands yeux s’humidifièrent, la peur le paralysait, l’homme ne réfléchit pas avant de le décapiter d’un coup net. Les cris d’une femme à qui l’on vient de voler une partie d’elle-même s’élevèrent haut dans le ciel, le mari courait pour prendre le corps de son fils avant que le cavalier ne fasse demi-tour, la femme au teint sombre pleurait, pleurait, encore et encore…Lorsque l’homme se tint devant eux à quelques mètres, elles leva vers lui un regard où se lisait son envie de meurtre, Kaleb recula du pas, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, il entendait clairement dans sa tête la voix de la femme mais cette dernière pourtant n’ouvrait pas la bouche :

« Tu m’as tué, pis, tu m’as condamné à une vie de souffrance éternelle, tu as tué mon fils unique, ma chaire, mon cœur, il avat l’âme aussi pur que le plus pur de votre race, seule sa couleur de peau différenciait. Soit maudit, toi et toute ta famille, qu’ils meurent dans la plus terrible des souffrances !!!!!! Sois témoin de la mort qui les attend par ta faute !! Que tous tes semblables voient que c’est de ta faute !!!! Monstre !!!! »

Elle ne puit prononcer une parole de plus car l’épée de mon père s’abattit sur elle…
En seulement un an, ma famille entière ainsi que tout le clan qui s’était formé autour moururent. Certains par suicides incompréhensibles, d’autres par meurtres horribles, d’autres encore par maladies rares et atroces. La femme drow me réserva un sort différent, elle me lança une malédiction destinée à assoiffer éternellement mon cœur d’une envie de tuer, de sang. Cette journée où elle mourut, je l’ai entendu moi aussi, ses paroles étaient pareilles à celles du vent :

« Quel malheur tu as d’avoir un père pareil, quel malheur tu as de devoir payer le prix de sa faute, je te plains et te prends en pitié, j’ai vu ton âme, tu es bon, comme mon fils, pour cette raison, je te laisse la chance de pour te libérer de ton sombre destin, ton cœur ne chantera que lorsque ton voile se lèvera… »

Je vis aussi précisément que si j’y assistais le triple meurtre que mon père commis ce jour-là. Lorsqu’il rentra à la maison, je l’attendais, mon épée à la main, avant qu’il ne comprenne quoique ce soit je lui tranchais les deux bras afin qu’il ne puisse plus jamais re-commettre ses erreurs, puis, comme je ne pouvais expliquer mon geste, je fus banni.

Koïnzell releva la tête et respira à plein poumon l’air qu’apporta une légère brise. Lorsqu’il rouvrit les yeux, son visage affichait un léger sourire mélancolique, il se promit de trouver ce voile mystérieux qui permettra à son cœur de chanter, de ne plus avoir envie de tuer. Il essuya d’un revers de manche la trace que les larmes avaient faite sur ses joues puis sortit, son ocarina, se mettant à jouer un air mélodieux, il reprit sa route d’un pas assuré.


Comment trouves-tu le forum? Je le dirai plus précisément quand j’aurai commencé à rp mais ce qui est sûr c’est qu’il est très complet et bien pensé^^

Comment as-tu connu le forum? Euhhh, en trifouillant sur internet XD

Salut à toi! Très belle fiche, je te souhaite la bienvenue parmi nous^^

Rien à redire, amuse-toi bien :cheers:

Bienvenue !

Merci ! ^^

Welcome to night

Hé bien, si tout est ok.. Fiche validée !

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Amues-toi bien, bon RP
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hello, welcom

Yes merci à vous, content de pouvoir commencer à rp sur ce fofo !! ^^

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