Nouveau départ

RP non conforme au BG actuel

Ce Rp a été écrit à une époque ou le contexte de Miradelphia n'était pas le même qu'aujourd'hui. Il décrit des éléments d'univers, des personnages et/ou des évènements qui sont susceptibles d'avoir été modifiés par les refontes successives.
Nous le laissons à la disposition des lecteurs curieux. Vous pouvez y trouver de l'inspiration, mais les BG actuels et le jeu récent priment sur son contenu.[i]

Date estimée : Barkios 995:X

Köinzell se contentait de marcher dans pas lent et monotone, elle arpentais sans joie les tristes ruelles des habitation du volcan. Depuis plusieurs mois, elle airait comme sa un peu partout au sein du volcan, plus rien ne semblais plus l'intéresser, Larciner, assassiner, voler ou d'autre diablerie encore, rien. Köinzell était éprise d'un sentiment d'ennui comme jamais elle n'avais connu au cours de son siècle d'existence.

A force de marcher de façons aléatoire au fils des virage, elle atterrit dans une petite ruelle bien sombre, elle avait déjà vue cette ruelle, elle ne lui était pas inconnu. Oui ! Maintenant elle en était certaine, elle l'avais déjà vue, pour ces onze ans, C'est la que sa mère, la faible, avait été assassiné il y a de cela quarte-vingt onze année.

**Alors c'était ici ?**

C'est ici alors que sa vie avait changer, c'est ici qu'on l'avait libérer du fardeau de la faiblesse, que ce qui aurait fait d'elle un être faible avait rendu son dernier souffle. La vue du lieu de mort de sa propre mère ne s'attristaient pas, au contraire, elle aimait bien ce lieu, elle lui était reconnaissant, au cours des décennie précédente, le nom des Ato avait été oublier, au soulagement de Köinzell, car il aurait été source de moquerie permanente. Et cela, l'oublie de son nom comme étant un nom de faible, c'était grâce a la  mort de sa famille qu'elle avait réussi a devenir forte.

Köinzell était cruel, certes, mais son destin aurait été désastreux avec ses parents, alors que maintenant elle  était rodé au combat. Un rictus apparue alors sur son visage, alors quelle imaginait a quelle vie elle avait échappé. Bon, elle avait suffisamment perdu de temps en nostalgie inutile, elle continua alors sa marche.

Voici bientôt trente ans que Köinzell arpentais les rue populaire du Puy d'Elda et pour la première fois depuis se laps de temps elle n'avait jamais penser a quitter cette endroit, et voici que la, pour la première fois elle songeât a quitter le volcan.

Köinzell tourna alors la tête en direction du "plafond" et  imaginait ce qui se trouvait au dessus, du moins, au dessus, a l'extérieur plutôt. C'est idée fut unique en presque quinze ans, et elle décida d'y succomber, elle se laissai jamais guider par des instinct hasardeux en général, mais la, elle décida d'y succombé.

- C'est décidée, j'y vais !

Köinzell, repassa alors en coup de vents dans l'espèce masure qui lui servais de maison, enfila alors les armures de cuire qui prenait la forme de son corps et garantissait en général un asse jolie paysage au Drow mâle. Elle fixa alors les épée courte dans leur fourreau derrière elle accroché a la ceinture et vérifia que sa dague était toujours a sa place. Elle fit un sac de façon précipiter en prenant quelque babiole qui lui tombait sous la main. Puis au bout de deux longue minutes passé dans sa "maison" elle ressortis.

Deuxième acte :


Köinzell était désormais sur le seuil de sa maison, le coup de tête qui l'avait pousser a partir était passé a présent, et des doutes commençait alors a surgire dans son esprit. Fallait-il vraiment qu'elle s'en aille ? Pourquoi ? Ou aller ?
A toutes ces questions, Köinzell ne connaissait de réponse, mais le fait d'avoir pour le moment passée toute sa vie dans de pauvre habitations sans jamais sortir le nez du volcan la rendais un peu déçu d'elle même.

Il est vrai que le fait de voir un paysage autre que des mur en pierre brut avait quelque chose d'attirant, elle fit alors quelque pas en direction du Nord et se stoppa, elle tourna délicatement son visage en direction de la fenêtre ou jadis elle se contentais de regarder les passant, Elle se ressaisie alors en se secouant la tête, la nostalgie n'avait pas sa place dans sa tête.

Elle continua son chemin, les bruit de ses pas faisait peu de bruit, les habitudes des assassin, son visage était fermer, son esprit occuper, sa concentration limiter... a savoir si l'on ne l'attaquerais pas d'un coter ou d'un autre, elle avait trop eu affaire au crapule et au tueur en tout genre pour passer d'en la ruelle parallèles au commerces en toute tranquillité. Ses pas la conduisit alors en direction des casernes, endroit dangereux pour elle dans le passé, la, elle n'avait eu droit qu'aux raillerie et lynchage.

Elle s'approcha alors du poste de garde, elle était un peu nerveuse, elle se rapprochait de la sortis, d'une nouvelle experience, les gardes inactif au possible se contentais de la dévisager, du moins si s'était bien son visage qu'ils regardais. Köinzell sentis le regard de tout les hommes de garde sur elle, il ne disait mot et se contentais le la voire avancé, elle de plus en plus nerveuse a l'idée de sortie n'accordait qu'une importance très minime a ses regard, elle avait désormais tournée le dos au garde, les regards se faisait plus instance, et Köinzell était désormais bientôt a la sortis.

Plus qu'un trentaine de pas...une vingtaine...une dizaine...cinq pas... un pas !
Köinzell se trouvait alors a la sortis du fameux volcan ou elle avait passé toute son existence.