Liaisons Dangereuses...[pv Isbaut][peut être choquant]

Apres le ponton elle avait marché en trainant les pieds dans les ruelles. Au début tout au moins, ensuite son pas rapide elle finie par arriver par l’entrée de derrière. Le but était de monter a l’étage sans bruit, malgré ses bottes trempé qui faisait un bruit désagréable. Qu’as cela ne tienne ! Elle les enleva et monta les marches tel un félin. Pas un bruit, pas un son. C’était son jeux petite de ne pas faire chanter les dalles du parquet alors maintenant elle en était la maitresse.

Elle finie par arriver en haut, ses bottes sous son bras et ses yeux cherchaient du regard quelque chose de reconnaissable. Rien … rien… rien non plus ici… Puis finalement le ruban noir ! Lentement, en silence elle le dénoua, et tourna la poigner, sans bruit aucun. Tel une voleuse elle pénétra dans la pièce. Ulrich lui était en train de contempler la rue par la fenêtre et semblait presque en train de rêver.

Mais ce n’était pas un rêve, refermant d’ailleurs la porte en silence elle fit tout de même du bruit. Se bruit ? C’était celui de ses bottes tombant sur le sol alors qu’elle collait son dos sur la porte, ses vêtements ruisselant dans la chambre à demi. Elle était totalement débraillée, mais le second du Mermaid n’était guère mieux. Maintenant il fallait enlever les vêtements trempés pour ne pas avoir froid et risquer la pneumonie. Question pratique bien sur… rien d’autre. Voyons une jeune femme bien comme il faut comme elle ne pouvait y trouver aucun autre attrait… Si chaste et prude.

Deux qualificatifs qui ne lui allaient pas du tout à cet instant avec la chemise blanche translucide donnant vue sur sa poitrine opulente. D’une voix amusée elle murmura.

« Second Ulrich, je crois que vous avez oublié ceci dehors… je me suis permise d’entrer pour vous le rendre. Mais le petit problème c’est que… il vous faudra que venir le chercher vous-même la ou il se trouve. »

Alors qu’elle agitait le ruban noir devant ses yeux, le pinçant entre ses doigts. Elle prit se dernier et le glissa… Non ?! Si ! Entre ses deux seins, dans son décolleté ou il disparue pour un monde meilleur. Puis son regard prédateur et dangereux fut accompagné d’un sourire carnassier, et elle se mordilla la lèvre inférieur a l’idée de ce qu’il se passerait sans aucun doute dans cette chambre cette nuit. Les voisins avaient tout intérêt à avoir le sommeil lourd !

« Tu viens le chercher ? »

Si ça ce n’était pas de l’incitation aux violes, elle se ferais surement bonne sœur !

[Attention les enfants, mineurs, passez votre chemin! ]

Ho oui il pouvait être diablement attirant quand il s’en donnait la peine et c’est donc à pas de loup qu’il s’approcha. Il la remercia ho ce n’était rien, un plaisir même… Posant sa main contre la porte il glissa son bras autour de la jeune femme qui ne broncha, pas, un sourire entendu flottant sur ses lèvres. Elle était au comble du bonheur, amusée, joueuse, heureuse et terriblement excitée.

Passant ses doigts sur le torse du beau marin elle sourit, le laissant jouer de son souffle sur sa peau au point s’en être frissonnante. C’était si doux et agréable de sentir sa retenue alors qu’elle savait qu’il ne rêvait que d’une chose, se jeter sur elle. Enfin elle n’était pas bien mieux mais bon, faire durer un peu, le moment fatidique serait d’autant plus agréable.

Alors qu’il parlait de la récompenser il dévora sa gorge, elle ne pu bien sur qu’étira sa gorge pour lui offrir le plus de matière, fermant ses yeux. Mais elle se laissa donc surprendre par la main qui déjà se posait sur le sein rond et alourdit par l’envie et le désir. Elle en laissa échapper un léger petit gémissement, redressant son visage, ses yeux océan si sombre qu’il en devenait terrifiant. Se jetterait’ elle donc sur lui ? Lui arrachant tout ses vêtements au passage ? Non, voyons, elle était civilisée… hélas.

Il lui murmura quelque chose d’intéressant, a étudier dirait’ on même. Se dévêtir, oui elle avait aussi l’idée mais a deux c’était bien mieux. Tout en glissant ses doigts sur un pectoral agréablement dessiné elle remonta vers le col de la chemise. C’était simple, énouer le lien, puis faire remonter la chemise par-dessus les bras et le tour étai jouer. Mais la, la peau était humide, légèrement salée, et le tissus collait de manière peu agréable. En plus le tissu devenait froid donc il fallait se presser un peu tout de même. C’est d’une voix taquine elle lui fit part de sa réponse.

« Bien entendu, et si je reste collée a vous ce n’est que pour mieux vous réchauffer. Vous saviez que les corps humains étaient merveilleux ? Le meilleur moyen d’éviter de souffrir du froid est de se blottir nue l’un contre l’autre ? »

Repoussant un peu la main du second elle enleva sa chemise, très délicat mais elle réussi. Par contre une fois torse nu elle s’empourpra violement. La peau halée lui faisait envie, ainsi que le fait qu’il ne soit pas comme certain totalement imberbe. D’ailleurs sans s’en rendre compte elle glissait déjà ses doigts sur sa peau en se mordant les lèvres frénétiquement. Elle le laissa entreprendre tout dévétissage, bien trop occupée à admirer ce qu’elle touchait.

Ôh délicieux moment, ainsi, sous cette chambre, durant cette nuit étoilé, il allait oublier tout ce qu'il avait subit, oui, il oubliait tout, ses tristesses, ses peines, toutes ses horreurs qu'il avait vue pour être avec la magnifique Isabaut.
Hum, lui certes se retenait pour ne pas brusquer la relation, mais, il sentait dans chacun des mouvements de la seconde du Fossoyeur, dans chacune de ses paroles une retenante qui ne devait être égale qu'a la sienne. S'ils avaient été des animaux, ce serait déjà fini de cette parade amoureuse, d'ailleurs, un frisson terrifiant le parcouru lorsqu'elle lui retira sa chemise, puis quand elle commença a poser ses doigts magnifique sur son torse.
Hum, oui, la nuit allait être longue.
D'un mouvement doux, il retira a son tours le haut de la belle et commença a mordiller la lèvres de cette dernière, puis il descendit un peu, se réattaquant au coup, puis encore un peu pour tomber sur les épaules, petit à petit, il s'approchait de la poitrine de la jeune femme. Enfin, il arrivait à celle-ci, il se sentait comme ces conquérants, ces premiers marins, comme eux, il se sentait heureux, presque euphorique en apercevant enfin ces "collines", préludes de milliers de promesses...
Il embrassa alors la poitrine d'Isabaut avant d'attraper son bandeau entre ses dents, ce tissu dans les dents, il lâcha doucement, ses mains enlaçant la belle:

-Fous poufez partir Seconde Isabaut maintenant que fais récupéré mon dût... (ne pas oubliez, il a le tissu dans la bouche)

Il eut alors un sourire amusé, taquin puis se débarrassa du morceau de tissu, ses mains qui avait enlacé la jeune femme la tirèrent un peu plus vers lui, les torses des deux amants se serrant l'un contre l'autre, il souffla doucement:

-Cependant, votre théorie sur le réchauffement corporelle me semble bien structuré, peut être devrions nous le mettre en pratique non? Avant que vous ne retourniez a vos occupations?

Comme pour laisser la jeune femme se libéré de toute ses pulsions, les mains du marin descendirent doucement, du dos de la belle pour se positionner sur sa chute de rein, un regard coquin et bon entendeur naquit sur le visage d'Ulrich...
Une très longues nuits...

Son regard en disait long sur sa pensée et quand il repoussa la veste de cuir, Isa ne chercha pas a la retenir, tombant lourdement au sol. Puis, à sa suite, la chemise fut passée au dessus de sa tête, dévoilant sans honte son corps au second du Mermaid. Puis, l’homme vint se régaler, ni plus ni moins. Mordant sa lèvre inférieur, lui arrachant un sourire, puis son cou, sa gorge… descendant, plus bas… encore… encore…

Comme il était courageux cette explorateur ! Apres avoir enlevé la chemise et dévoilé ses atouts généreux, il osa franchir les monts jumeaux et s’y aventurer pour y retrouver sa possession, à savoir un ruban noir. L’objet entre ses dents il avoua qu’as présent si Isa désirait partir elle le pouvait. Comme si c’était possible tien ! Elle crevait d’envie et lui aussi, c’était plus que visible.

Recrachant le morceau de tissu, il se redressa, attirant à nouveau la jeune femme vers lui qui frémit du contacte de leurs torse. La différence entre la peau ferme, musclée et duveteuse, avec la sienne, imberbe, ronde et souple. Hum… comme c’était agréable ! D’ailleurs personne ne dira le contraire ici ! Bref, alors qu’elle se délectait de se contacte des plus agréables, la jeune femme ne pu que sourire a ses paroles. Ha oui… le réchauffement des corps !

« Théorie à approfondir sans nul doute Ulrich, il faut de se pas que nous vérifions si tout cela est vrai, intérêt purement pratique. »

Puis il laissa ses mains glisser sur ses reins et même plus bas, prenant position ici. La jeune femme répondit a l’appelle lancée bien sur ! Coulissant une de ses jambes contre la taille du marin et entourant de ses bras ses épaules avant d’y prendre appuient. La suite ? Simple, elle entoura de ses jambes longue et agréablement musclées, la taille du marin qui bien sur, ne restait pas a rien faire et la soutenait de ses mains posée.

« Ulrich… Je deviens folle d’attendre… s’il te plait, ne me fais pas trop languir. »

Elle lui sourit, leurs bassin collé l’un a l’autre mais séparé en même temps par le tissu restant. C’était cruel comme sensation et ce qui le fut d’avantage, fut l’ondoiement des hanches de la belle contre Ulrich. Avait’ elle donc décidée de la faire craquer à tel point qui ne pourrait plus que se laisser aller a ses instincts ?

Nous aurions été dans un autre univers, dans ce que certainement personne appel manga, nous aurions eut le droit a des saignements de nez intempestifs, nous aurions était dans ce que les américains appel un comics, nous aurions eut le droit à un tête de loup hurlant à la mort.
Mais là, en cet instant, dans cette chambre, sur Méca, nous n'avions le droit qu'à un Ulrich brûlant, brûlant de désir, brûlant d'envie.
Elle avait franchis entièrement le pas, il avait l'impression qu'a chacun de ses baisés elle demandait grâce, d'ailleurs, les paroles de Garosa résonnait dans la tête d'Andorias, elle rebondissait encore et encore pour se perdre dans son esprit muté en bête:

« Ulrich… Je deviens folle d’attendre… s’il te plait, ne me fais pas trop languir. »

Oui, elle aussi était parcourut de ce même désir brûlant, elle aussi le voulait, tout les deux ne souhaitaient que la communion de leur corps dans cette chambre. La température de la pièce augmenta encore d'un cran lorsqu'elle s'entoura autour de ses jambes, le rapport sexuel seulement inaccessible à cause de ridicule morceau d'étoffe de piètre qualité. Le paradis était pour ainsi dire à porté de main, il suffisait juste de quelques instants pour que les râles de plaisir envahisse la pièce. Que la nature humaine est difficile à supporter non?

Enfin, cette question, Ulrich ne se la posait pas, il affirma son emprise, et, d'un mouvement un peu brusque, légèrement brutale, presque animal, il s'allongea sur le lit, la jeune femme toujours serré à lui, il était au dessus d'elle, lui servait de ciel alors que le lit de cette chambre lui servait de Terre. Il commença alors à la dévorer de plus belle, couvrant chaque morceaux de peau qu'il voyait de ses tendres baisés sulfureux.
Ses mains ne restaient pas en reste et tenter, avec quelques difficultés, il faut l'avouer, d'enlever ce tissu qui servait de pantalon à la seconde du Fossoyeur. Il galérait un peu, le désir, le rendant à moitié tremblant et il devait user de toute sa volonté pour ne pas lui arracher tout simplement (ce qui, il faut l'avouer est bine plus simple); les vêtements de la belle. Il souffla, légèrement agacé par son manque de pratique:

-Si vous souhaitez m'aider à parfaire cette théorie dame Isabaut...Votre aide est la bienvenu...

La scène suivante risqué d'être un peu plus intéressante, on arrivait enfin aux dénouement de l'histoire...

/euh, je ne sais pas vraiment comment se passe les relations sexuels sur ce forum. Que fait on?
-1° choix, on décrit, tampis pour les âmes sensibles.
-2° choix, on met des spoilers en précisant que ça peut être choquant
-3° choix, une éclipse, on oubli le passage sexe et on arrive directe au petit matin, Isabaut dort.../

C’est sans grande douceur qu’il la déposa sur le lit et posant sa main sur le bandeau noir elle l’enleva, elle ne voulait pas que le moindre morceau de tissu la gêne et surtout pas celui la. Bien sur ses cheveux s’étalait sur le lit, telle une auréole flamboyante. Déjà les mains du Bosco tentaient de s’afférer sur le délestage du pantalon. Difficile ça quand on tremblait et qu’il était trempé ! Il s’énervait en même temps qu’il parlait. C’était presque mignon tout plein !

Mais bon, il y parvint finalement avec l’aide d’une Isabaut qui n’y tenait plus vraiment et la voila nue, elle ne se cachait même pas et n’était pas le moins du monde gênée. Au contraire, elle était fière du regard gourmand que lui portait l’homme. Mais voila, si la jolie Isabaut était seconde du fossoyeur ce n’était pas pour rien, et d’un mouvement de hanche elle fit basculer le marin, prenant position victorieuse en chevauchant son ventre.

Puis s’écartant elle enleva sans procès le pantalon de son homologue masculin pour revenir a sa hauteur et l’embrasser. Glissant sa main sur le ventre elle eu un sourire carnassier…Et si jamais sa main glissait plus bas ? Continuerait’ il à se retenir ? À se maitriser pour ne pas se jeter sur elle ? Il n’y avait qu’un moyen de savoir non ? Et c’est donc tout naturellement qu’elle laissa ses doigts descendre jusqu’au lieu qui faisait d’Ulrich un homme.

[j’ai prévenue :p avant huhu … donc âme sensible bas qu’il lisent pas on restera soft de toute façon]

/...huhuhu ...restons soft :p/

Gourmand? Un regard gourmand? Il avait plutôt un regard dévorante, il aurait voulu la dévoré, il aurait voulu ne laisser aucune parcelle de ce corps plein de désires sans la chaleur douce de ses baisés!
Avoir cette femme ainsi, complètement lui sur lui, il lui fallait une force totalement surhumaine pour résister à l'envie. Mais, il n'osait pas trop brusquer les chose, il ne voulait pas paraître pour une bête sans sentiments...Il ne voulait pas... La sublime seconde du Fossoyeur elle ne semblait pas vraiment se soucier des sentiments, elle était plutôt directe!
D'ailleurs, il senti les mains de déesse de cette dernière doucement glissé vers sa virilité. Nul crainte, cette dernière, dès le contacte avec les délicieuses
mains de cette dernière se dressa sans le moindre soucis! Ainsi, elle tirait la première canonnade, elle déclarait la guerre, provoquait les hostilités!
Ainsi, il pouvait laissez libre cours à ses pulsions, il pouvait libéré le féroce animal qui criait grâce depuis le début de la "parade" amoureuse.

Les mains du Marin se campèrent sur la chute de reins de la magnifique Isabaut, il approcha du cou de la belle pour y accoler un magnifique suçon. Il caressa quelques instant les formes généreuses de la belle avant de donner à son tours un léger coup de reins, inversant par la même la position des deux amants.
Il était ainsi en position dominante, au-dessus de la magnifique Isabaut, le grand mat dresser, les mains du marins s'accrochant autour des cuisses de déesse que possédait Isabaut, il sourit de plaisir, il avait une vue magnifique, il murmura alors a cette femme sublime:

-Et Bien, il est temps de partir Seconde Isabaut...

Doucement, sans rien brusquer, peut être même un peu trop doucement, il amena sa virilité près de l'intimité de la belle, il entra totu en douceur, et lentement, d'une cadence lente et régulière, il commença des mouvements de vas et viens...

Le beau marin réagit plus que bien a ses caresses et elle n’eu pas grand effort à faire pour le voir au mieux de sa forme. Sous ses caresses le second se tendit jusqu’as se que finalement son corps ne supporte plus cette torture et qu’il inverse à nouveau la position. La voila soumise en dessous d’elle alors qu’il glissa ses mains pour prendre une certaine prise sur ses cuisses. Il murmura quelques mots au qu’elle elle ne répondit que d’un sourire entendit et brulant.

Avec une douceur dont elle le maudit il uni leurs deux corps. Pourquoi l’en maudire, parce qu’il la faisait languir tout en s’offrant, ça avait quelque chose d’exaspérant et de fort. D’ailleurs elle poussa un gémissement qu’elle ravala bien vite. Non pas tout de suite, il devait mériter de la mettre dans un état pareil ! Le mouvement s’entama alors qu’il imprégnait de son corps les premiers flots d’une vague indécente qui était des plus agréables. Ondulant malgré elle ses hanches tel une mer agitée et ondoyante elle le regardait dans les yeux, le défiant presque du regard de la faire gémir.

Pendant se temps ses mains venait chercher la nuque de son amant pour l’a ramené vers elle et l’embrasser. Elle était brulante et cherchait avec de fin mouvement pour l’aider à trouver non pas son plaisir, mais leurs plaisirs. Mais cette position ne lui permettait pas grand-chose… Dommage… mais elle se vengerait, pour le moment elle était trop perturbée parce qu’elle ressentait. Elle avait connue deux hommes avant lui et son corps réagissait a chaque caresse de manière inédite.

De se mouvements plus ample, Isabaut s’en enhardit et changea à nouveau la dominance dominée. Elle prit en main la situation et la mouvance indécente de son ventre pris un rythme plus sauvage et pourtant ondulant….

De la, la nuit fut mouvementée, de plus en plus torride et rare sont les chambres voisine a la leur ayant pu avoir un sommeil réparateur. Car les deux seconds s’en étaient donné a cœur joie. Ils s’étaient aimé, encore, encore et encore, avec de courte pause agrémentée de tendresse, histoire de reprendre leurs souffle mais bien sur… Quand vous aimez quelqu’un, la moindre caresse, le moindre sourie coquin, ravive si facilement le feu brulant d’un corps.

Bref, c’est au petit matin que nous reprenons notre récit, quand le soleil pointe son nez et que les volets de bois laissent entre leurs failles, passer le jour et sa lumière condamnable. Isabaut était le visage posé sur le creux de l’épaule, le pauvre Ulrich devait avoir le bras tout engourdit. Doucement elle se réveillait, s’étirant comme un félin en ouvrant les yeux. Il était toujours la. D’une voix émoussée et brisée elle murmura les yeux à demi clos.

« Bonjour Ulrich… »

Doucement, la sublime déesse, comme l’avait nommé Ulrich, s’étira et gémit de bien être avant de poser sa main sur le torse de l’homme. Elle jouait de ses doigts sur ses muscles en se réveillant doucement. Baillant un peu, elle se redressa et le regarda droit dans les yeux, le haut de son buste sur le sien. Le regardant dans les yeux, les siens mis clos. Ses cheveux couleur de feu étaient en tous sans, sans dessus dessous, ébouriffé et sauvage. Doucement elle se pencha sur le pirate pour déposer un baiser sur ses lèvres et murmura.

« Ou vois tu une déesse ? Je ne vois Calypso, Amphitrite ou Téthys nulle part. Je ne suis pas non plus Anadyoméné. Je pense que la folie vous guète mon tendre amant, si vous vous mettez à dire de tel chose des l’éveil. »

Puis un sourire taquin naquit sur ses lèvres rosées.

« Ulrich… je… merci. Merci de ne pas avoir fuit, merci de m’avoir accordé le plaisir de me réveiller dans les bras de celui qu’on… »

Aime ? Si vite ? Non, c’était une farce de son cœur ! Sans doute oui. Mais pourtant c’était le cas. Restait a savoir si elle réussirait à assumer ses propres sentiments a l’égard du second. Déposant à nouveau ses lèvres elle murmura la fin de sa phrase de manière silencieuse au bord de ses lèvres. Se regard se posant sur une marque au creux du cou de l’homme elle sourit. Un magnifique suçon que voila donc ! Elle ne devait pas être en reste. Enfin il avait dans son dos les traces de ses doigts se crispant, le griffant sous le plaisir et sous ses cris qu’il avait osé lui faire pousser. D’une voix timide elle murmura.

« … j’ai terriblement faim… »

Ulrich quittait le lit, dévoilant a la vue de la jeune femme son corps. Bien sur elle ne se gênait pas pour se rincer l’œil et bien au contraire y pris un malin plaisir. Les yeux glissant de ses fesses a sa nuque, elle fit une petite moue déçu en voyant le tissus cachait ce qu’elle avait pris plaisir à caresser durant la nuit. Puis il se retournait, la regardant, allongée sur le ventre, ses bras sous son visage.

Elle le regardait alors attacher ses cheveux, ça lui donnait vraiment un charme fou a se grand nigot. Il semblait songeur, réfléchissant à quoi ? Leurs relations ? Ha oui, il parla pour justement mettre ça au clair et elle sourit, se redressant sans la moindre pudeur et enfilant sa chemise qui ne cachait pas grand-chose. Elle l’écouta puis lui répondit en prenant son pantalon.

« Oui… c’est dur mais c’est ainsi, je ne suis pas n’importe qu’elle femme et toi pas n’importe quel homme. Pour la marine marchande on va devoir vivre cette idylle de manière bien plus sombre que prévue. Je tiens a toi Ulrich, ne me demande pas pourquoi ni comment c’est arrivé… mais je crois éprouver pour toi des sentiments que je n’ose même pas m’avouer de peur d’en être blessée a nouveau. Mais tiens toi le pour dit, la marine marchande est ma seul et unique famille, pour moi, rien n’as plus d’importance a mes yeux.»

Doucement elle enfila son pantalon noir, grimaçant légèrement, ses muscles la faisaient souffrir, elle n’avait pas été inactive et son corps le lui rappelait de la plus désagréable des façons. Puis elle sourit, cherchant su regard son bandeau noir. Il était par terre, comme le reste de ses vêtements. Le prenant elle enfila ses bottes et se mit à regarder Ulrich.

« Mais même si c’est dangereux… je veux te revoir Ulrich, je veux pouvoir passer du temps avec toi a l’abri des regards et sentir a nouveau mon cœur s’affoler alors que tu me murmure des tendresses. »

Elle ramassa sa veste de cuir et s’approcha d’Ulrich pour déposer un baiser sur ses lèvres.

C’était clair net et sans équivoque. Entre eux pas de secret, pas de grande promesse qui ne pouvait pas être tenue. Non, rien de tout ça. Elle sourit en coin toute fois quand il vint à nouveau l’embrasser. Elle aurait eu envie d’être une de ses femmes fragiles et inquiètes pour un rien. Une de ses femmes qui avait besoin de protection… mais la était tout le problème. Elle n’avait absolument pas besoin de protection !

Le laissant partir sans un mot, il lui dit de le prévenir ou et quand ils pourraient se revoir. C’était donc elle qui avait les commandes hein ? Amusant non ? Glissant le bandeau dans ses cheveux elle laissa le lit en désordre et attendit quelques minutes. Quand les pas du second ne furent plus perceptibles, elle quitta à son tour la chambre.

Elle passa par derrière, sortant dans la cours et s’étirant finalement. Du beau temps, un peu de vent. Une journée idéale pour naviguer. Mais elle devait encore voir les préparatifs du prochain départ avec un de ses sous fifre. Intérieurement elle savait qu’il y aurait des rumeurs et des murmures sur le vent noir. Mais ce que personne ne savait, c’est que c’était un feu ardent qui avait finie par le dompter… du moins un peu.