Ëowendril Sùrion [Validée]

~~l Nom/Prénom l~~
Sùrion Ëowendril

~~l Âge l~~
115 printemps, soit dans les 23 ans si la demoiselle était mortelle

~~l Sexe l~~
Féminin

~~l Race l~~
Elfe-Sylvain

~~l Particularités l~~
- À le bout de son oreille gauche coupée, elle tente de cacher du mieux que possible ce membre qui lui fait honte depuis tant d'années.
- Schizophrène dû à un choc psychologique autant que physique. [Entend une voix qui lui ordonne parfois de réaliser certaines choses plus ou moins grave. Parfois, elle prend le contrôle du corps pour une durée très courte, pas plus de cinq minutes. Il semblerait que cette étrange voix soit celle de...]

~~l Alignement l~~
Neutre bon

~~l Métier l~~
Voleuse
Vagabonde

~~l Classe d'Arme l~~
Longue distance, à tendance corps à corps...

~~l Équipement l~~
Ëowendril ne possède pas d'équipement, mais plutôt de deux ou trois objets dont elle se sert principalement pour se défendre ou défendre autrui. Notamment de son arc. Sculpté dans un bois étrangement blanc, la jeune elfe acquis cette arme lors de son combat contre la mort. Une fine mèche argentée accompagnée par de petits coquillages ainsi qu'une plume bleutée, ornent l'extrémité de l'arme. Il semblerait que l'elfe attache une très grande importance à ce bout de bois qui peut paraître vulgaire aux yeux des autres. [voir l'Histoire]
L'elfe, possède, comme toute bonne archère, un carquois fait de peaux et de lianes tressées qu'elle porte bien évidement en bandoulière sur son dos. Particularité de cet objet, Ëowendril eut la bonne idée d'insérer des piques affûtés qui ne résignent pas à transpercer la moindre personne voulant lui sauter dessus par surprise. Une défense qui peu s'avérer mortelle pour elle même si jamais elle porte du mauvais côté son carquois. Elle l'utilise parfois comme arme lors de ses combats au corps à corps.
De ce carquois, s'en retire une trentaines de flèches que l'elfe s'entête à les fabriquer. Du moins, il n'est pas rare de la voir tailler une brindille.
Une ceinture, faite de lianes tressées et de morceaux de cuir, où plusieurs petites sacoches pendent tristement, abritent toutes sorte d'objets. La plus part du temps, Ëowendril fourre le peu d'argent qu'elle possède ou encore quelques racines et autres aliments qui l'aident à survivre lors de ses voyages.
Ëowendril ne se contente que de peu de choses. A l'encontre des autres, elle ne porte aucune armures, boucliers et autres protections de la sorte. L'elfe ne se balade pas nue, évidement, mais elle ne considère pas ses vêtements comme équipement...
Pourtant, plus d'un penserait que la demoiselle, portant une longue cape aussi sombre que la nuit d'où la capuche retombe joliment sur son visage blafard, cache entre autre un lourd équipement. S'ils savaient qu'elle ne porte qu'un simple bout de tissu cousu grossièrement en guise de short. S'ils avaient la moindre idée de savoir que son buste est tout bonnement caché par de simples bandelettes de soins, tachetées de sang...

~~l Description physique l~~
Grande, élancée, blonde, ensorceleuse et gaie. Voici le stéréotype de l'elfe par excellence. Alors que ces demoiselles aux oreilles pointue s'amusent à faire languire les humains de leur beauté naturel, d'autres jeunes femmes, aussi elfique qu'une huître sur patte, sont plus renfermées aussi bien mentalement que physiquement. Et pour cause, c'est le triste cas pour la jeune Sùrion. Du haut de son petit mètre soixante-dix (oui parce que c'est relativement petit pour une elfe...) Ëowendril regarde, ou plus exactement observe son entourage d'un regard plutôt basé sur la méfiance et la curiosité. Un mélange assez contradictoire mais qui concorde parfaitement avec sa petite mine de désespérée. Depuis sa captivité dans les sombres grottes des Drow [voir Histoire...] la jeune elfe acquis à son plein gré d'une pâleur à en faire jalouser plus d'un mort vivant. Le visage rond, plus tiré vers l'ovale, elle possède un teint tellement blafard que même ses pommettes ne rougissent que très peu, voir quasiment pas. Oui, la peau d'Ëowendril est tellement blanche, qu'elle n'en change jamais. Même lors des jours d'été, la demoiselle aux traits morbides ne peut caraméliser comme ses confrères ou consœurs. De toute manière, elle cache son corps au soleil, ou tout simplement à la lumière tel quel, grâce à sa longue cape noire à la doublure étrangement pourpre muni d'une capuche qu'elle laisse faner sur sa petite tête. De ce vêtement, la "belle" cache ainsi son véritable elle. Ses petits yeux d'où, jadis étaient frais et pétillants de joies, ses pupilles reste, aussi étrange qu'il en soit possible, plus large qu'une naine imbibée de bières (bien que j'aime ces jolies dames naines aux formes avantageuses :p). Plus sérieusement, ses iris, d'une prenante couleur noisette aux reflets orangés se font littéralement envahis par ses pupilles aussi noires qu'un corbeau. De son teint blanchâtre qui lui accapare son corps en entier Ëowendril, qui bien évidement ne dort que très peu de temps, possède de larges cernes qui lui donne cette étrange expression, une expression familière mais vexante. De son air blasé à souhait, l'elfe accompagne souvent ce moment d'un soupire plus ou moins long surtout si une personne quelconque l'exaspère.
L'elfe, bien que morbide soit-elle, l'est tout autant plus "grâce" à son membre découpé. Certes, l'oreille gauche de la jeune femme fut découpée, du moins une bonne partie. La malheureuse peut toujours entendre mais ce membre en moins lui procure bien des malheurs. Rejetée ou bien souvent montrée du doigts par ses confrères elfes, Ëowendril fait du mieux que possible pour rendre invisible son oreille coupée avec l'aide de ses fin cheveux. Blonde ? Non. Ëowendril n'est pas une petite poupée blonde avec laquelle on risquerait de se faire manger si jamais on l'habillait mal. Acajou ou bien roux... Nul ne saurait dire la couleur de ses cheveux, changeant suivant la perception des gens, la plus part répètent que la demoiselle n'est qu'une simple rouquine. Courts et fins, Ëowendril ne prend pas spécialement le temps pour rafraîchir sa tignasse, partant du principe qu'ils seront toujours aussi sales et répugnant tant qu'elle ne fera de halte à une auberge ou bien près d'une source ou rivière. Outre son étrange couleur de peau, Ëowendril fait également partie de ces jeunes filles particulièrement maigres. Pas qu'elle soit rachitique, loin de là, mais ses joues légèrement creusées, ses bras longs et fins tout comme ses jambes, laissent entr’apercevoir sa masse osseuse. Une qualité tout comme un défaut, l'elfe sait utiliser son physique pour tromper l'adversaire. Pas qu'elle soit dotée d'une force inouïe, mais elle possède quelques notions de bases pour survivre sans son arc et ses flèches. Entre autre sa maigreur lui facilite la vie. La demoiselle peut en effet se mouvoir plus facilement dans des lieux insoupçonnés ou encore réaliser des mouvement demandant une énorme souplesse. En tant qu'elfe sylvain, elle ne possède pas une poitrine imposante, bien au contraire. Ses petites boules de chairs se font discrètes, cachées par les bandages que l'elfe utilise bizarrement comme vêtements. Par ailleurs, ses tissus utilisés essentiellement pour les soins, sont pour la plus part tachetés de sang, du sien et peut être de ceux de ses ennemis. Seul son short, bien trop ample pour elle ainsi que ses petites bottes de cuir sont de véritable vêtements. En effet, le bout de tissu tenu par de simples lanières autour de sa taille lui sert de cache-féssier, qui en passant ne sont ni trop plates, ni trop imposantes. Ses fesses respirent le bon équilibre. Ses botes, sont en réalité de simples souillés qu'elle se confectionna dans le passé. L'une d'elle est joliment trouée au niveau de son "gros" orteil, qu'elle s'amuse parfois à sortir tel un verre sortirait de sa pomme.
Pour en finir, le dos de la jeune femme est criblé de cicatrices plus ou moins visibles. Elle n'en parle pas souvent, mais à vu d’œil il s'agirait de coups de knife ou d'épée.

~~l Description mentale l~~
On pense tous un jour, à une jeune femme seule et isolée du peuple, reclue sur son petit rocher à observer d'un air rêveur et envieux une source aussi clair que le cristal. À cette jeune elfe, ne prêtant aucune attention aux détails, à la personne qui se trouverait à ses côtés, comme si plus rien n'existait que cette stupide eau bleutée, comme si elle se matérialisait dans ses rêves de petite fille. Entre autre, Ëowendril est une jeune femme vivant au jour le jour et n'entreposant rien le lendemain. Pourtant, malgré ses airs rêveur et bohème se cache un regard aussi sombre que la nuit, un regard noir qu'elle jette à tout ceux qui la défi en lui donnant en premier ce même regard ou tout simplement lorsque qu'elle daigne observer le monde qui l'entour. Très observatrice, elle sait dès le tout premier regard si elle s'entendra ou non avec une personne, à savoir que la demoiselle voue une haine farouche envers et contre tous, d'autant plus s'il s'agit d'une personne possédant des origines proche des elfes-noires ainsi que de sa propre race, les elfes-sylvains. Les humains l'indiffère, ou presque. Ëowendril, faisant partie de ces gens dit non bavard, n'a de liens que pour ses intérêts. Il est très rare qu'elle devienne amie avec quiconque. Si cela arrive, vous pouvez en être sûr qu'elle manigance quelque chose ou ce sera contre son grés... Ses mots, lui valent une solitude qu'elle fini par aimer. D'une franchise irréparable, elle ne se cache nullement pour donner son avis ou même de critiquer certaines personnes qu'elle n'estime que très peu. D'un caractère à répondre au quart de tour, elle ne se laisse pas facilement faire, fonçant tête la première dans tout ce qui se trouve devant elle ce qui lui vaut pas mal de problèmes.
La confiance, elle ne connaît que rarement. Elle ne fait confiance à personne sauf à elle même, se méfiant un peu de tout le monde facilement.
Malgré son sale caractère, l'elfe au membre coupé, fait preuve d'une grande patience, à l'apparence calme et très sereine, Ëowendril sait ce faire discrète malgré son accoutumance. Ne bavardant que très peu, elle n'en voit pas l'utilité si ce n'est pour octroyer des informations diverses, l'elfe ne parle quasiment jamais d'elle. Méfiante comme pas une, il vous faudra du temps pour qu'elle ai enfin assez confiance en vous, pour se confier. À l'inverse, la jeune femme est d'une curiosité monstrueuse. Elle n'hésitera pas à frapper là où il faut pour connaître le fin mot de l'histoire.

Je ne vous décris pas le caractère d'"elle" étant l'intrigue de mon personnage. Malgré des suppositions, "elle" est très mystérieuse et difficile à cerner surtout pour Ëowendril. Et puis il est préférable de vous réserver des surprises dans les posts...

~~l Histoire l~~

"Laissez nous seuls !"

"À vos ordres !"

D'une vive et même voix, trois des hommes quittèrent précipitamment la pièce sombre et humide, quelques ricanements en bouches, laissant derrière eux leur supérieur ainsi que ce corps à demi-conscient d'où de faibles gémissements accompagnés de pleurs, firent vibrer les lieux. L'homme souriant d'un plaisir malsain, se mordit la lèvre inférieur l'espace d'une seconde avant de porter un coup, violent, au flanc droit du corps déjà tremblant de peur.

"Lèves toi, chienne !"

Un ordre dicté cruellement, mais en vain. Le corps refusait de bouger, ou plus exactement de se lever. Seuls quelques spasmes se faisaient voir dans la salle lugubre et vide. L'homme, frappa une seconde puis une troisième fois. Portant de larges coups de pieds sur ce corps allongé. La personne toussa violemment, crachant par la même occasion quelques gouttes de sang et suffoquant un tantinet. Une petite larme perla au coin de son oeil tandis que la naissance de sa bouche laissa échapper un peu de son sang. Combien de temps était-elle là, allongée sur se sol instable où des petits cailloux s'enfoncèrent dans sa chair, sans doute faisant partie d'elle à l'heure actuelle ? Comment était-elle parvenue entre les mains de ses barbares ? Pourquoi lui infligent-ils ses tortures aussi humiliantes les une que les autres ? La malheureuse ouvra les yeux. Elle ne l'avait fait depuis quand, déjà ? Peu importe. Elle ne comptait plus les jours, les années de souffrances qu'elle à du endurer dans cette grottes qu'elle n'aura de cesse de maudire du plus profond de son être, de son petit être...
Dans une faible tentative, elle tenta de se lever. Mais, aussi sadique de l'est son geôlier, elle s'effondra, enfonçant un peu plus profondément ces pierres dans son estomac. Le Drow la frappa une nouvelle fois.

"Dépêches toi de te lever ou je me fâche vraiment !"

C'est sur ses mots, haineux et secs, que l'homme dans une brutalité à en faire plier plus d'un, souleva d'une traite la jeune femme. Il la poussa violemment contre la parois de la pièce. La jeune fille, elle avait à peine quatre-vingt quinze ans, allait peut être une fois de plus subire l'un de ses traitements odieux que ses barbares s'amusaient à lui infliger pour leurs plaisirs personnels. Pas besoin de vous en faire un détail, tant que ces actes étaient, sont et resteront monstrueux. Le Drow, imposant soit-il, se colla sur la demoiselle, léchant son cou jusqu'à son oreille droite. Son haleine, puante donnait à l'Elfe l'envie de vomir.

"Malgré ta race angélique aux yeux des autres, petite, ce n'est pas tes ailes que je souhaite couper, mais tes oreilles ! Kru ! Kru ! Kru !"

[Kru ! Kru ! Kru ! = Rire sadique d'un Drow sadique >ô<]

Cette phrase la fit tressaillir. Elle avait subit toutes sortes de tortures depuis son emprisonnement, seulement, lui couper les oreilles serait comme ôter les nageoires d'un poisson. Mais ce rire... Le rire du Drow lui glaça le sang, autant que la roche humide sur laquelle elle était plaquée. À ces mots susurrés, l'homme traîna par la force l'Elfe de sa cellule. Il y avait des mois qu'elle n'en était pas sortie. La dernière fois, ils avaient été "généreux" de la laisser se décrasser avec l'aide d'un seau d'eau gelé...
Petit à petit, ils avancèrent dans ce long tunnel qu'elle pensait sans fin, dans cette grotte infiniment immense où elle pensait mourir dans le désespoir et la souffrance. Petit à petit, une boule de lumière se faisait apercevoir, lui offrant enfin une liberté visuelle mais qui lui brûla les pupilles.

***

La lumière l'aveuglait. Les yeux plissés, Ëowendril apparaissait comme une aveugle, tenant maladroitement l'arc qu'ils lui avaient donnés. Un simple bout de bois à peine taillé, des échardes se plantant sur la paume de sa main gauche. L'Elfe, n'ayant qu'une seule flèche en possession, le savait bien. C'étai,t soit elle, soit son adversaire qu'elle ne voyait que peu, du moins une forme sombre et svelte, peut être une femme, grâce à l'éclatante lumière du soleil qu'elle n'avait vu depuis si longtemps. Cette ombre ne parlait pas, pourtant des petits sons, sans doute des pleurs se faisaient entendre, transperçant le reste du cœur qu’Eowendril avait pu sauver de ses bourreaux.

"Commencez !"

Mais quoi ? La voix sèche et glaciale du Drow la fit trembler. Elle était enfin dehors, hors de cette grotte mais son instinct lui disait de faire attention. À quoi ? Elle n'en était pas sûre.
Un coup de vent souffla près de sa joue droite. Un effleurement peut être suivi d'un picotement. Elle ne le voyait pas, mais sur son visage devenu plus blanc que la neige, une tache rouge se dessina, coulant lentement jusqu'à perler et tomber sur le sol poussiéreux. Les quelques spectateurs hurlèrent. Des cris graves, parfois stridents. Ëowendril, ne le comprit pas de suite. Elle ne pouvait voir cette flèche que l'autre femme lui avait envoyée sans hésiter. Une archère sans doute.
Le combat fut rude. Ëowendril, ne voyant toujours pas assez pour parer les coups ou tout simplement pour observer celle contre qui elle se battait, était un véritable handicap. Mais c'est ce qu'ils voulaient, non ? L'affaiblir tant physiquement que mentalement, l'handicaper sur certains points. Certes, ces handicaps étaient plus que gênant. La vue affaiblit, les jambes titubant, l'Elfe s'agenouilla par la fatigue, implorant silencieusement celle qui allait la tuer. Mais l'ennemie hésita. Pourquoi ? Ëowendril se le demande aujourd'hui encore. Pourquoi l'avoir épargné alors que sa vie en valait plus que la sienne ? Pourtant, la Drow tenait bien en joue la demoiselle à genoux. Son arc brandit sur elle, sa flèche prête à se planter en plein milieu du front de l'Elfe. Et pourtant, elle ne tira pas, bien au contraire, elle se mit à genoux, elle aussi. Prenant la main d'Ëowendril, et la plaquant contre son sein afin de lui faire sentir son cœur battant de plus en plus vite. La jeune Elfe ouvrit de plus en plus les yeux. La masse d'ombre devenait plus nette, des formes se dessinant petit à petit, un petit nez mignon comme tout, des yeux d'une jolie couleur noisette, caramélisé plutôt, gonflés par le chagrin mais brillant. Un faible sourire, connu de ses pensées. Le visage de la Drow, si jeune d'après ses traits fins, était quelque peu caché par de fines mèches argentées, lisses, sentant la Daphné.

"Felyndiira..."

Un frisson parcourut le dos de la rouquine jusqu'à arriver à sa nuque puis son cerveau. Un flash lui vint, non plusieurs. Elle, petite, environs une soixante-dizaines d'années, accompagnée d'une autre gamine, une Drow, Felyndiira... Elle vit ses parents la renier, la supprimer de leur vie, la considérant plus comme l'une des leurs... Elle revivait cette nuit passionnée dans les bois avec cette mignonne petite Drow... Elle se souvenait comment et pourquoi ces Elfe-Noir l'ont séquestrés... Elle se souvenait de cette douce voix lui disant "Je t'aime"...
La Drow n'eut le temps de sourire une seconde fois, qu'elle tomba tout d'un coup sur le côté. Ses cheveux dansant dans l'air lorsqu'elle chuta. Mais elle ne lâcha pas la main d'Ëowendril la forçant à tomber avec elle, s'efforçant de sourire encore et encore. Retrouvant totalement la vue, l'Elfe découvrit la flaque de sang se propageant autour d'elles. Felyndiira venait de rendre l'âme, mais son sourire resta intact, comme figé dans le temps. Soulevant la tête, Ëowendril vit la cause de cette mort. Un Drow, sûrement celui qui la torturait sans cesse depuis tout ce temps. S'étant placé face contre jour, le Drow semblait avoir une sorte d'aura lumineuse tout autour de lui.

"Kru ! Kru ! Kru !"

Ce rire, oui, il s'agissait bien de lui, cet homme l'ayant maltraité durant toutes ces années, lui offrant simplement douleur et désespoir. Etrangement, les pupilles de l'Elfe grossirent. Il ne s'agissait pas d'une simple excitation, mais plutôt d'une folle envie de meurtre.

*Fais-le ! *

"..."

*Fais le, ou il te tuera !*

"..."

*Tues le !*

Elle ne fut pas surprise d'entendre cette voix. Pourtant, cela était nouveau, jamais elle ne l'avait entendue mais dans son état, Ëowendril se poserait des questions bien plus tard... Cette voix qui l'attisait encore plus, l'Elfe se leva, lâchant l'emprise de la main de la jeune Drow inerte. Elle prit en revanche son arc, qu'elle n'identifia pas tout de suite. Sa seule et unique flèche en main, elle ne regarda pas l'homme se tenant droit devant elle. La lumière continuait de lui faire mal.

"Ne t'inquiètes pas, tu vas la rejoindre... juste après avoir découpé tes oreilles pointues... Kru ! Kru ! Kru !"

Au même moment, le Drow fendit l'air avec son épée, la lame de celle si s'arrêtant juste sur l'épaule gauche de la jeune femme. Un nouveau picotement se fit, plus intense que le précédant. Malgré tout, Ëowendril ne bougea pas, ne fronça pas un sourcil ni même mordre sa lèvre. Elle se contentait d'observer les pieds du Drow. Subitement, elle leva la tête. Le côté gauche de son visage ruisselant de sang, l'homme avait enfin réussit à lui couper l'oreille, du moins une grande partie. Portant la lame de son épée devant lui, il lécha nonchalamment la lame de celle ci, la nettoyant du sang qu'elle avait versée.
Ëowendril ne le quitta pas des yeux, lui jetant des regards plus noirs que les ténèbres. Le Drow, son épée de nouveau pointée, se prépara à une nouvelle attaque, voulant sûrement couper la jumelle de l'oreille gauche de l'Elfe. Il fendit l'air une nouvelle fois, le sang coula une seconde fois...

***

Cela fait quatre années, qu'Ëowendril vagabonde sans but précis dans ce monde instable et puéril. Quatre années que l'Elfe court sans cesse, cachant se membre qui lui fait tant honte, fuyant tant bien que mal ce passé. Quatre années qu'"elle" l'accompagne pour le meilleure et surtout le pire.

~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : Hmm.... vous aimez vous faire flatter n'est-ce pas ? Les autres membres en disent bien assez et je partage leurs opinions ! Tout beau, tout sympa, tout bien quoi !

Comment as-tu connu le forum ? : Une petite lumière ma soufflée qu'un tel forum existait.... Et grâce à un minuscule top-site j'ai pu le trouver =D

Bonjour et bienvenue !

Et bien, en ce qui me concerne, c'est tout bon. Bien que j'ai pu dénoter quelques fautes par-ci par-là (rien de bien méchant) le nombre de lignes est respecté, l'histoire est bien ficelée et agréable à lire... Et j'aime l'idée d'une elfe rachitique et schizophrène. ^^

Donc, si perszonne n'y voit d'inconvénient...

*Roulement de tambours.*

Je t'annonce que tu es officiellement Validée !

A savoir :
Comptoir pour créer ton compte en banque et gérer tes finances.
Parlons RP pour trouver un compagnon de rp, demander une intervention des PNJ, etc.
Si tu as des questions, deux possibilités s'offrent à toi. Tu peux poser ta question à un membre du Staff par MP, ou bien si tu préfères va la poser dans la partie Questions et suggestions.

Bon jeu !

*siflotte joyeusement et tombe dans un gros trou*

HuHuHu... aieuh T^T

Bonjour !
Et bien merci pour ce petit accueil me validant par la même occasion *Yatta ~!*. Je suis sincèrement désolée pour les fautes, vu l'heure à laquelle j'ai postée et écrit la fin de ma présentation j'ai eue du mal à tout détecter... Désolééééééééeee !! T_____T Je vais corriger ces horribles fautes !

^o^

Mais de rien, et puis si tu as envie d'un petit rp avec moi, ben au passage je propose. :mrgreen:

*Siflotte une nouvelle fois puis retombe, dans le même trou...*

Mais Aieuh ! T^T

Hm...
Et bien se serait avec plaisir, bien évidement !
Par ailleurs, je viens de finir de corriger ces vilaines fautes ! Bouh les vils ! >ô<
Plus qu'à attendre joyeusement que ma validation soit réellement officielle avec tout le tralal des couleurs....
Ouais, parce que le vert c'est beaaauuuu *______*
Mais le orange, c'est mieux !! <3

Je viens de remarquer un truc marrant, sur ta signature...

La nénette elle a l'air complètement shootée, je sais pas ce qu'elle a fumé comme herbe à chat, mais j'en veux !

Lol.

:dehors:

Bienvenue !!!!!

Bon RP et au passage... Flood ouvert :D

*pars en courant pour pas se faire taper *

[oui oui c'est moi l'animatrice floodeuse pas sérieuse]

Bouuh... T^T
Maaaaiiis heuuu !! Pourquoi personne y me donne la couleur verteuh ? T^T
Personne y veut de moi T^T
Personne y veut me donner la couleur T^T
Personne y veut de mon elfe schizo et quelque peut éffrayante T^T

Merci pour le "bienvenue" chère consoeur Solenia !
Sa me réchauffe le coeur ! <3

Et NAON ! Ma Ëowendril, n'est pas une droguée à l'herbe à chat >_<
Okey elle est légèrement étrange physiquement... bon et aussi mentalement... mais elle est gentille sinon é___è

Pfeuh ! Une autre folle. C'quoi cette invasion ? :paf:

Bon ^^

Je te met tes couleurs, m'selle ! I love you

Et pis je déplace !

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