Un sort inexorable

Il faisait nuit, une tempête déchirait le ciel, la pluie tombait sur la cimes des arbres avant de se fracassé sur le sol boueux, le vent faisait craquée les branche des arbres, les plus fragiles s'écroulaient, même si cet endroit ne contient pas beaucoup d'arbres, ceux ci avait une allure térrifiante. Dans tous ces élément de la nature on ne peut voir nos pieds, là où on a l'impression de marchée le vide....
Une fine silhouette luttait pour avancée dans ce temps que l'on peut tous qualifier de ''pourri''... Elle semblait marcher sur place, tellement que le vent la secouait, elle était pliée en deux pour lui faire face, malgré tous ça la jeune fille paraissait determinée à avancer. Serrant sa cape autour de ces épaules elle continua sa route.
Isil était irascible, elle maudissait les nuages qui cachait la lune ce qui lui empêchait toute visibilité, elle haïssait le vent qui semblait interminable, elle trouvait détestable la pluie qui s'abattait sur elle comme de gouttes de plombs et ne supportait plus être sans soleil pour éclairé son chemin. Comme si tous cela ne suffisait pas elle pouvait encore en vouloir au sol qui était devenu boueux à cause de cette maudite pluie, elle devait alors fournir un effore considérable pour pourvoir marchée plus ou moins corectement. C'est par ces temps là, que la jeune fille aurait préféré être casanière et avoir une vie ennuyeuse que de se retrouva à cet endroit. Tous ça, pour elle ressemblait à un sort inexorable.
L'adolescente luttant sur chacun de ces pas pour ne pas s'enfoncer dans la boue, n'y s'écrouler à cause du vent et en essayant désespérément de se réchauffer. Devait absolument trouver un endroits pour s'abriter, car à cette allure là, elle tomberait morte avant la fin de la nuit.
Un craquement sourd se fit entendre juste au dessus de la tête d'Isil, il lui fallut trop de temps pour comprendre qu'une branche d'un grand chêne venait de se briser et allait s'écraser contre son crane. Avec beaucoup de chance et un bond spectaculaire- vu l'état dans la quel elle se trouvait- pour pouvoir échappée à ce destin tragique. La jeune fille se releva avec beaucoup de mal et continua sa route...
La pluie avait semblée redoubler en entendant le bruit, pourtant elle n'avait pas changée, c'était autre chose qui faisait ce bruit, l'adolescente réfléchit un peitit moment et comprit qu'elle devait trouvée tout près d'un cours d'eau. Aveugle à cause de la nuit et cherchant à determiner d'où venait la bruit, Isil trébucha sur une pierre et s'écroula de nouveau; maleureusement cette fois ci il y avait une pente douce, mais celle-ci boueuse, la jeune fille glissa, roula, essayant de s'agrippée à quoi que ce soit pour arrêtée cette dégringolât et pour ne pas affronter l'inconnu, ne sachant pas se qui pouvait se trouver en bas de cette pente. Sa main droit s'agrippa à un arbuste. Ayant retrouvée ces esprits, elle se laissa glissé cette fois ci plus doucement sur la pente, quand le sol paraissait plat, elle se releva cherchant à savoir où elle était, pouvant faire confiances qu'a son ouille, elle devina qu'elle se trouvait très près d'une source d'eau énorme qui fesait un bruit insuportable, elle n'entendait même plus les tonnerres grondée dans le ciel. D'un coup d'éclaire elle vit clairement où elle se trouvait, ce qui lui fit comme un choque, l'eau qui tombait était d'une quantité démesurée, cela n'était d'autre qu'une gigantesque cascada, dans la nuit, elle resemblait comme un mur d'acié infranchisable...
Cherchant un moyens de s'éloignée le plus qu'elle pouvait de la cascade - si on peut appelé cela comme ça- avec comme seuls ''éclairages'' des éclaire qui déchirait le ciel toutes la quinze, dix secondes, la jeune fille scruta les rives pour trouvée un chemin. Elle en découvrit un, a vingt mètres d'elle, marchant lentement et prudemment elle l'atteignit. L'adolescente l'emprunta avec prudence. En avançant sur le chemin et elle découvrit une sorte de renfoncement, par curiosité elle s'y approcha, et avec la plus grande surprise, là juste devant elle se trouvait une grotte qui pourrait l'abritée pour la nuit. Isil y rentra, se fut comme si on lui avait enlevée un poids d'une tonne de ces épaules, elle se sentait tellement légère. La jeune fille s'empressa de retirée ces botte de cuir noir qui ressemblaient désormais a un tas de boue, elle se changea de vétements -qu'elle avait sortit de son sac- plus ou moins secs.
A bout de force Isil s'enroula dans un couverture elle aussi humide.

Sujet: Re: Un sort inexorable Ven 4 Jan 2008 - 23:03

(HJ- J'ai commencé à écrire une réponse pour ce RP, que je finirai bientôt... Dis-moi seulement si tu es toujours prête à le tenir. :D )

Waco devait avoir entre cinq et sept ans. Il avait un visage de bambin, avec des cheveux décoiffé de couleur noir. Il était habillé de haillons et marchait pied nu.

Waco dormait profondément dans un abri de fortune, enfin plutôt sa maison, de loin ça ressemblait à un tas de branche, mais en approchant de plus près, on pouvait remarquer un sorte de porte. C’était le père du petit garçon qui avait construis la sorte de petite cabane, de l’extérieur ça ressemblait pas à grand-chose, tout le monde l’avouait, même son créateur. Mais à l’intérieur, même si l’endroit n’était pas très grand, c’était ambiance très particulière qui y régnait. Au dessus des murs de bois, la mère du petit Waco, avait disposée de grands draps de couleurs chaudes, ça donnait l’impression de se retrouvé dans une boite à bijoux géante. Les meubles, enfin on ne peut pas vraiment appeler ça des meuble il y avait une sorte d’étagère, là où reposait des casseroles des couverts en bois et un couteau de chasse. La cuisine se faisait toujours dehors sur un feu de camp, bien sur quand ils avaient quelque chose à faire cuire et à se mettre sous la dent.

Le petit Waco entendait les chants mélodieux des oiseaux, qui s’amplifiait de plus en plus, le jour se levait, pour le petit garçon, les chants de oiseaux était synonyme de nourriture, il ouvrit les yeux et s’étira. Il fut surpris de ne pas voir ces parents autour de lui, il n’y était toujours pas habitué de ne plus les voir, son estomac cria famine, et le jeune garçon replia ses mains sur son ventre et murmura entre ses dents :
-Maman…
Mais aucune réponses, avec toutes les peines du monde il se leva, se dirigea de hors et décrocha leur chien en lui murmurant :

-Vas’ y retrouve maman.

Le chien partit comme une flèche en courant, le petit garçon le suivit, malgré tout et avec beaucoup de mal. Le chien traversa le petit bois, dans le quel les pieds nus de jeune garçon souffraient énormément à cause des branche et ronces, puis l’animal s’engouffra sur un chemin, où une grande branche était tombé, - surement à cause de la tempête de la nuit. Puis le chien descendit une bute. Pour s’engouffré dans un chemin près de la cascade.
Là seulement la bête arrêta de courir laissant le jeune garçon respirer un peu, le chien rentra dans une sorte de renfoncement. Waco un peu intrigué avança doucement. Il fut surpris de voir une petite grotte. Et il le fut encore plus quand il découvrit une fille qui pourrait avoir l’âge de sa grande sœur s’il en avait une…

Isil était enroulé dans sa couverture avec une sensation de bien être, le mélodieux chant des oiseaux la réveillait doucement. Puis brutalement un souffle chaud et une haleine de viande, celle d’un chien, la réveilla un sursaut. Elle sortit un poignard et sauta sur le petit garçon, celui-ci tomba par terre en pleurant, la jeune file réalisant qu’elle s’en prenait à un enfant, rangea son arme à sa ceinture et examina l’inconnu, un petit garçon maigre et de petite taille.

Les cris des pleurs de celui-ci agaça vite Isil, d’un ton sec et tranchant elle lui ordonna de se taire, celui-ci ne dit plus rien, mais il gémissait, ce qui énerva d’autant plus la jeune fille. Elle s’agenouilla pour se trouvé à la même auteur que lui et lui dit d’un ton toujours aussi froid :

- Que fais-tu ici ? Où sont tes parents ?

L’adolescente regretta vite ces paroles le garçon se mit à sangloté de plus belle en se jetant à son cou. Pendant un long moment la jeune fille ne dit rien ne réagit même pas, pour finir le garçon se tut de lui-même, puis il se rappela de famine, celui-ci dit alors :

-J’ai faim…

-Et ?

- Je ne trouve pas à mangé…

-Et ?

-Vous avez à manger ?

-Oui.

-Je peux en avoir ?

-Non

-Pourquoi ?

Cette fois si la jeune fille répondit rien, elle était en train de rangé ses affaires de son sac, secoua ses bottes et les mirent. Elle partit avec les chien et l’enfant sur les talons, exaspérée elle donna un morceau de pain sec au garçon celui-ci le mangea vite et continua à la suivre. Isil avait déjà beaucoup progressé sur le sentier, et le petit garçon semblait tout perdu, plusieurs fois elle lui avait demandé de partir de rentré chez lui, mais celui-ci la suivait obstinément.
Pour finir la jeune fille lui tenait la main le trainant derrière elle.

{138 jours plus tard voilà la suite =D}
{Je vais faire un relecture quand je reviendrai tantôt }

» l'Inexorable goût du sang [Terminé]
» Sort de ma tête! [Uthred]
» [Les Passiflores] Éloigner le mauvais sort | Libre
» Noble dame, le sort en est-il jeté ? [Avelyne]

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