Rencontre Inévitable [Elenna- Brennan]

Elenna peignait.

Journée resplendissante, des rayons de soleil éclairaient certains
coins de la forêt. Et un de ces rayons l’intéressait justement. Elle le
représentait sur sa toile, fine ligne brillante réchauffant quelques animaux
qui se trouvaient là, paisibles.

Une sensation de paix se dégageait d’eux.
Silencieuse Elenna les dessinait, un sourire aux lèvres. Tout près d’eux.
Aucun n’y prenait garde, son aura les mettant en confiance. Ils savaient
qu’elle ne les toucherait jamais. Trop respectueuse pour cela.
Les enfants de la nature ne se trompaient pas.

Assise en tailleurs dans l’herbe, le dos droit, elle n’avait pas bougé une seule fois depuis quelques heures. Aucune crampe, aucune douleur ne venait. Chose normale, pour une demi-elfe.

Le temps semblait s’être arrêté. Comme à chaque fois. Elenna n’appartenait plus tout à fait au Monde en cet instant-là, elle était…. Ailleurs.
Et ses défenses étaient abaissées. Elle laissait chaque odeur, chaque bruit, chaque toucher, chaque regard entrer en elle et s’inscrire profondément dans son âme, ne prêtant plus qu’attention à un point précis. Tout ce qui ne n’était pas concerné par son tableau était en retrait.
Elle ressortait plus mûre de chaque expérience.

Et son sourire ne l’abandonnait jamais.

Ses doigts suivaient les envies de la demi-elfe, exécutant ses ordres.
Profonde. Intense.
Harmonie était maître mot.

* ATTENTION !*

Des pas résonnaient, martelaient le sol.
Elenna quitta immédiatement Ailleurs. L’Harmonie se brisa, le sourire disparut.

Cette fois-ci, elle ne pouvait plus se concentrer sur sa toile. Des sons plus
inquiétants avaient pris possession de ses sens.


Elle était furieuse. Si seulement elle n’était pas partie aussi loin dans son tableau, elle les aurait entendu bien avant et aurait su avec facilité les éviter. Mais elle les avait si bien ignorés pour se concentrer sur son oeuvre que trop tard !.
Elenna se leva en un mouvement fluide et rapide.
Les animaux levèrent la tête, la regardèrent, reniflèrent l’air et comprirent.
Ils disparurent silencieusement, la laissant seule.

Elenna laissa sa toile sur le coté, adossée à un arbre, et regarda enfin la direction d’où les pas se faisaient entendre. Elle se concentra dessus. Ils n’étaient certainement pas ceux des humains, ces derniers étant beaucoup plus maladroits dans leur démarche. Non ces pas-là étaient assurés. Silencieux et minutieux pour n'importe quel humain mais pas pour elle, ayant passée de si longues heures à écouter chaque son offert à elle.

* La démarche d’un Elfe… ou d’un Drow… *

Dans ce cas-là, elle savait qu’elle avait elle-aussi était repérée depuis un moment, et que fuir ne ferait d’elle qu’une cible, traquée. Il était trop tard, elle devait faire face.


Sa posture se modifia. Défensive.
Son visage semblait concentré, mais son regard vert regardait plus loin. Cherchant le propriétaire de ses pas. Le plus tôt possible.

Sa main passa sur ses poignards et son arc, caressante.

L’inconnu arrivait.

Ce fut ni humain, ni un elfe, ni un drow, mais un métiss qui avançait. Un métis drow et humain plus présciment. Il avait hériter des ancêtres elfique une démarche fine mais ce n'est pas pour ça qu'il fesait peu de bruit et marchait finement dans la forêts. C'était plus son apprentissage acomplit de forestier qui fesait qu'il se déplachait avec tant d'aissance en lieu silvestre. Il avait tant d'aisance qu'il pouvait lire en marchant. Ses pieds esquivait méchaniquement le ronchess, les grosses racines, les roches et aures obstacle. Surement que sa mémoire procédurale avait tellement fait ces choses qu'elle le faisaient sans tout le concert du lobe préfrontale.

Le demi-drow était entrain de lire ses notes. Oui, j'ai bien des notes. Il était vrai que Brennan n'avait jamais été un grand écrivain mais il s'était découvert une nouvelle passion: l'ethnographie, la zoographie et la florographie(la description de la flore). Il avait découvert qu'il n'aimait pas juste voyager et observer mais aussi consigner ses voayages dans ses écrits. C'était bien plus de simple carnet de voyages, c'était de vrai études sur les lieux. Car seulement sa démarche était très méthodoligque et scientifique, décrivant le plus d'objectivité et le plus de vérité.

Présentement, il relisait ce qu'il écrit sur un village de montagnards. Plus particulièrement le mariage de son 'informateur', la personne qui l'avait introduit au près du peuple. Contrairement à bien des ethnographes de son temps, Brennan essayait de vivre comme les peuples qu'il décrivait pour les comprendres, ses notes étaient donc empli de Je et allait donc devaient changer quand ils les mettraient au propre.

Neufs-Nuits, son fidèle, lui fouinait aux alentours en suivant son maître. Sa truffes renifla le sol à la recherche de quelques choses pouvant atirant son attention. Neufs-Nuits était décrit par son maître comme un curieux compulsif, il avait besoin de quelque chose à inspecter. Le chien-loup renilfa un odeur au luit, une odeur alors inconnu de sa truffes. Il suivit la piste et la trouva: une dame aux traits elfiques avat avec une subtance qui dégageait cette odeur. Le chien-loup courait vers la kit de peinture de la demi-elfe et renila les pots de peinture, se tachant la truffes de peinture par le fait même.

"Neufs-Nuits!"C'était la voix d eson maître qui venait de la rejoindre et venait voir qu'il embêtait une inconnu." Viens-ici!''

Comme toujours, Brennan fit des gros yeux à son chien qui venait de faire une bétise. Et comme toujours le chien-loup fit une moue plantif et finit par se détourner de son maître pour aller fouiner ailleurs. Cette-fois, il pousruviat une petite tamia. Brenann soupira, pourrait-on un jour discipline ce chien? En tou cas, il se tourna vers la jeune demi-elfe.

"Désolé pour Neufs-nuits, il est....un pêu excité. Vous connaissez les chiens-loups? Et bien, il a toute les charactéristique emplifier"

Au même instant où des forces luttaient en la jeune fille. Pendant que son surmoi et son ça(1) ça luttaient pour avoir imposé leur décision, le cerveau analytique de son interlocuteur était entrain d’analyser ce nouvel objet. Il passait en revue les moindres détails d’elfes pour savoir comment réagir face à cette rencontre. En un tour de main, Brennan identifia rapidement la jeune fille. Elle était bien fine mais passe pour un elfe, sa poitrine trop grosses et sa peau était perlée de taches de rousseur typique des humains. Donc, d’après l’expérience et les informations qu’avait Brennan, il déduisit qu’il avait un demi-elfe devant lui, comme un son mentor. D’ailleurs, il remarqua une certaine ressemblance dans sa voix avec celle de son mentor. Même accent ou simplement un même ton? Étais-ce le même accent qu’avait les elfinophones(2) qui parlait commun ou une similarité commun à un groupe. Mieux valait s’aventurer la dessus. Mieux analyser son timbre et son non-verbal pour voir son humeur. Elle était un peu méfiante ou apeuré, comme le disait sa posture et sa voix, mais quelque chose dans ses yeux trahissait ses intérêts. La couleur de la peau du jeune homme devait causer tant de méfiance chez elle. Brennan se disait qu’avec la peau rose, il passerait plus facilement pour un demi-drow, mais voilà, on ne pouvait combattre ça, comme les préjugés. Bon, mieux valait tuer sa méfiance dans l’œuf.

‘’ Vu que vous n’êtes pas fâché par mon chien-loup donc je vais répondre à vos question mais dans une seule réponse. Laissez-moi aussi le temps de biens vous répondre.’’

Par où commencée, comment bien se présenter sans envenimer sa méfiance. Il se caressa le menton et la joue, soulevant la peau de son visage joufflu qui lui donnait l’air d’un bébé. D’abord, il devait dire qu’il n’était pas un drow et puis dire qui il était. Donner son nom était une bon départ. Son nom! Son nom n’avait rien de drow, il pourrait l’expliquer et peut-être chez quel peuple il avait grandi. Puis son métier, il devait clair sur ces sujets. Devait-il qu’il était chasseur de primes? Mauvais idée, chasseurs de prime était associer à des tueurs de criminels sans scrupules plus qu’à homme à tous faire comme Brenan. Homme à tous faire, voulait une bonne appellation. Non, il avait une meilleure appellation : routier, personne parcourant les routes en cherchant du travail. Bon, lançant-nous. Une, deux, une grand inspiration, et trois :

''Je me nomme Brennan Rox, ce nom trahit aussi bien mon sang humain que ma région natale. Bien que ma mère adoptive fut une humaine du sud, elle a choisit un nom du nord où elle habitait. À l’instar que ma ressemblances avec mes cousins ténébreux n’est que physique, mon nom est là où s’arrêtait-là avec le nord. Je n’ai ni les manières et ni la mentalité, j’aime me considérer comme multi-culturelles. Ce que je fais dans la vie? Je suis un routier : je passe ma vie sur les routes et je trouve ma substance en faisant toutes les taches que je puis faire, le plus souvent on demande mes talents d’enquêteurs pour élucider des crimes et/ou retrouver des gens. Je suis également herboriste assermenté et un ethnographe amateur. '

C’était tout, il espérait que sa curiosité fut rassasier et surtout sa méfiance apaisé. Sinon, hé bien, il ne pouvait rien faire d’autres, on ne pouvait pas forcer quelque à vous faire confiance. Maintenant que cela était fait, Brennan devenait lui curieux de savoir qui elle était.

''En retour, pourrais-je pour vos poser une question : d’où venez-vous, de quel région, car votre accent m’intrigue.''


(Notes:
1: selon la théorie freudienne, la conscience est divisé en trois parties :le moi, le ça et le surmoi. Le moi est la partie émergée visile de la personnalité, là où les décisions sont prises. Le ça est la partie des désirs et des envies et le surmoi les règles sociales et familales. Le moi doit faire avec les demandes des parties. J’ai associer la crainte au surmoi(parle pas au inconnu) et la curiosité au ça
2 : ceux qui parle l’elfique comme langue maternelle)