[HRP] Ce RP contient des passages difficiles qui ont pour thème la violence, folie et torture, lisez le RP avec ceci en tête.
En italique ce sont les voix, donc un discoure que les passants et autres ne peuvent entendre [\HRP]
Le Puy avait été une immense déception pour le jeune assassin. Il avait joué avec la mort en présence de deux mages puissants, marché à leurs côté pendant plus de deux jours. Cette expérience avait été une des plus vivifiantes qu’il ait vécues. A chaque instant il risquait de se faire trahir, de se faire avoir par un piège et il se savait impuissant. Contre de tels êtres il n’était qu’un insecte. Pendant ces quelques jours il eu le goût de ce que ses victimes devaient ressentir, comment elles devaient en souffrir et cela le rendait extatique.
Rendu au Puy il avait facilement pu essayer des nouvelles expériences sur ses cobayes. Leurs donnés un sens de liberté que l’on rabattait au moment ou ils s’y attendaient le moins. Couvrir leurs yeux, se placer derrière eux et attendre qu’ils se croient en sécurité, qu’il se relaxe un peu. A ce moment la venait un coup sec et cinglant. Ce jeu pouvait durer des heures et avait diverti le demi-drow pendant bien des jours.
Les humains avaient été son choix le plus populaire, personne ne s’apercevait de la disparition d’un esclave et ils étaient tellement fragiles et fiers. Orëh eut la chance de capturé un Drow comme sa dernière cible. Il avait profité que ce dernier baisse sa garde dans une rue étroite et sombre. Un coup en traître à la base du cou n’avait rien d’honorable comme l’avait si bien dit son captif mais l’honneur ne disait rien à l’assassin. Il n’y avait que deux choses qui comptaient pour lui, ses sessions et les voix qui l’avaient guidés et protégée.
Cependant Orëh c’était attendu à plus du célèbre Puy et partit déçu de son séjour. Il fallait qu’il se coupe du monde encore une fois. Qu’il soit laissé seul avec les horreurs de la nature, avec sa beauté que nul ne semblait voire. Les terres stériles l’appelaient encore une fois.
Dormant le jour et voyageant la nuit, Orëh ne cessait jamais d’être intrigué et impressionné par la beauté de ses lieux. Ses plaines désertiques ou chaque pas pouvait être le dernier, ou la peur rendait les faibles d’esprit fou à lié, ce royaume était incomparable et pourtant presque tous le fuyait. Les gens le traitaient de fou mais en son avis c’était eux les imbéciles et les aveugles, la beauté se tenait trop souvent devant eux et ils l’ignoraient. La désolation et oublié était l’origine même, les arbres et fleurs ne venaient que recouvrir et cacher ce qui devait rester stérile. Un monde florissant ne faisait que naître des faibles.
Au bout de la septième nuit de marche Orëh vit des ombres se décrocher du fond noir et paisible. En se rapprochant il crut reconnaître des bâtiments, il consulta rapidement sa carte mentale du royaume Drow et se qui l’entourait mais ne trouva aucune mention d’une ville. La curiosité l’emporta largement appuyé par le consensus des voix, il fallait absolument découvrir ce qu’était ces bâtiments.
Le jour commençait à se levé alors qu’il approchait des ombres. Les bâtiments n’avait rien à voire avec une ville, c’était une suite de ruine interminable. Comme un enfant qui découvre un nouveau terrain de jeu Orëh se rua vers ce qui devait être autre fois une auberge et l’escalada, comme la vue devait être jolie de la haut, de la désolation entourant une scène qui criait par les voix des esprits morts.
Arrivé en haut il s’assit, restant la haut à observé ce lieu ou un désastre avait du ce passé il y a si longtemps.
Ne sommes t’ont pas déjà venu ici il y à des années, bien avant d’être coincé avec cet abruti de demi-drow?
Oui tu à raison, je crois même que j’ai vécu ici auparavant… mais je ne sais plus ça fait si longtemps.
Mais non abruti tu ne fait que rêver ces ruines dates évidements depuis plus longtemps que nous.
Les disputes qu’Orëh était seul à entendre, c’était une expérience bien étrange. Parfois elles lui apportaient des réponses infinis et les autres fois ne faisait que le rendre confus. Cette fois ci il avait simplement décidé de les ignorer.
Le soleil ardent commençait à peser sur le demi-drow et il décida de quitter son observatoire. Il descendit la paroi mais ses deux saïs tombèrent alors qu’il n’avait pas encore rejoint le premier étage.
Haha mais quel bouffon celui-là, quel acrobate raté.
- La ferme connard je ne te vois pas faire mieux.
Il dégagea son javelot de son dos le laissant rejoindre ses deux saïs au sol et puis sauta du mur. Cette descente finissait par l’énervé. Il se réceptionna quelques mètres plus bas en souplesse, ramassa ses armes et se redressa sous les sifflements et applaudissements silencieux.
Bravo! Bravo!
- Bouclez la je vous dis!
Tout à coup il entendit des pas au loin, le son portait bien dans ces allées désertes. Il tourna le coin et vit avec plaisir un homme en bonne santé, robuste mais pas trop costaud, il n’avait pas repéré l’assassin mais avait du l’entendre ou le voire plus tôt sur le toit. Orëh laissa ses armes caché derrière le mur et s’approcha doucement de l’homme, les mains levées en preuve de paix… si seulement ce pauvre savait ce qui allait lui arrivé.
La rencontre était beaucoup trop banale au goût d’Orëh, une simple présentation et quelques questions. Décidant de ne pas s’ennuyer plus longtemps il attendit que l’homme se retourne et l’assomma.
L’homme se réveilla immobilisé. Il était debout, ses poignets lié au plafond et ses pieds liés l’un à l’autre et aux deux coins de la salle dans lequel il se trouvait. Il réalisa avec horreur qu’il était nu.
Il est réveillé, fou de panique, vas-y fait ton entrée
A ce sujet il n’y avait jamais de discorde entre les voix et l’assassin, l’entré devait toujours être digne de leur art, instauré la peur dans l’âme de leur proie. Il était derrière l’homme et commença à tinter ses deux saïs, une douce mélodie qui annonçait une superbe fin de journée. L’homme se débâtait, il croyait pouvoir se libéré de ses liens mais il n’irait nulle part, il ne faisait que se blessé sur les cordes rêches.
Toujours caché de son regard Orëh s’approcha encore plus et tue la musique métallique, attendant que sa proie cesse de regarder dans tout les sens. Dans ce jeu la patience donnait des fruits incroyables. Quand enfin arriva le moment il passa d’un coup rapide et expert un saï sur la joue gauche de l’homme et l’autre aux côtes droites. L’homme cria de terreur alors qu’Orëh éclatait de rire. Il avait passé trop de temps sans pouvoir se divertir correctement, les souvenirs ne peuvent que subvenir aux besoins jusqu’à un certain point.
C’est alors qu’il se montra à l’homme, les cheveux lui cachant la majeure partie gauche de son visage et son visage droit teinté de rouge. Avant de se présenté Orëh s’était coupé le front afin que le sang coule assez pour qu’il puisse se l’étaler sur son visage. Il était assez fier de son masque, et voyant le visage de l’homme ce dernier croyait voire un démon. Orëh était euphorique, cette fin de journée, cette nuit même, serait magnifique. Il souri en s’approchant de l’homme afin que celui-ci sente l’odeur du sang. Après avoir lui-même sentie la peur qui émanait déjà de sa proie il fit deux petites entailles parallèles qui descendaient le long du torse, qui se séparaient à l’entre jambe et finissait aux genoux. L’homme ne cessa jamais de crié, comme un gamin perdu dans les bois.
Orëh recueilli un peu du sang de sa victime sur son gants et le suça, le gout amère, presque métallique du sang humain. Orëh se jurait qu’il allait profiter longuement de ce que les dieux l’avait offert.