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 Baron Harnyll de Hetalia [Baron d'Ysari]

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Harnyll de Hetalia
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Harnyll de Hetalia


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MessageSujet: Baron Harnyll de Hetalia [Baron d'Ysari]   Baron Harnyll de Hetalia [Baron d'Ysari] I_icon_minitimeSam 14 Nov 2009 - 17:41

Nom/Prénom : Harnyll de Hetalia

Âge : 25 ans

Sexe : Masculin

Race : Humain

Alignement : Neutre bon

Métier : Baron D'Ysari

Classe d'arme : Corps à corps




Histoire :
[extraits du journal personnel du baron Harnyll de Hetalia


Premières années (12 ans)

Je ne vois pas l’intérêt d’écrire ce journal mais mon précepteur, le vieux Cardil, m’assure qu’il s’agit là d’une obligation pour un fils de baron. Selon lui, les pensées et les actes des nobles du royaume ne doivent pas sombrer dans l’oubli à leur mort. Cardil est un traditionaliste dans l’âme mais mon père ayant lui aussi insisté, je me vois contraint de m’exécuter.

[Note en marge d’une autre main que celle de l’auteur :] Mon fils, sache que l’Histoire est basée sur de tels écrits. Il s’agit là d’une arme plus puissante même qu’une épée, ne l’oublie jamais.

Mon nom est Harnyll de Hetalia, fils puîné du baron d’Ysari, né voici 12 ans. Depuis mon plus jeune âge, je sais que je suis un jour destiné à devenir baron d’Ysari. Je ne suis en effet que le troisième enfant mais c’est bien moi l’héritier présomptif. Mon frère aîné était un enfant mort-né, et ma sœur a quitté le domaine familial pour épouser un chevalier rencontré lors d’une joute.

Mon éducation s’est focalisée sur les points importants pour un futur baron : entraînement militaire, gestion économique ou judiciaire, code de la noblesse. Je dois bien admettre que je prends plus de plaisir à comprendre les subtilités d’un traité d’alliance qu’à m’entraîner à l’épée. Mon père regrette un peu mon manque d’attirance pour les activités violentes mais je suis ainsi et je ne changerai pas.


Rencontre avec le roi (13 ans)

Depuis plusieurs semaines, nous ne parlions que de cela : nous allons à Diantra voir le roi en personne ! J’étais impatient, ravi de voir cette cour dont on me vantait tant les merveilles. Je me voyais déjà m’avancer fièrement vers le roi au milieu des regards admiratifs des nobles. Illusions d’un enfant !

Au côté de mon père, j’ai en effet remonté la grande salle du trône jusqu’au monarque mais jamais je ne me suis senti aussi insignifiant qu’au milieu de cette assemblée des grands seigneurs du royaume. Fiers barons, ombrageux chevaliers, dames clignant doucement des yeux derrière leurs éventails, courtisans parfumés. Il s’agit là d’un monde qui ne ressemble en rien à notre manoir familial et je m’y suis senti perdu.

J’ai bafouillé le compliment que Cardil m’avait fait apprendre. Un des nobles présents eu un petit ricanement qu’Ultuant fit cesser d’un simple froncement de sourcil. Mais par tous les dieux, j’en rougi encore de honte ! J’ai vraiment du passer pour un provincial attardé aux yeux de tous. Mon père a beau dire que cela n’est rien et que tout le monde est ainsi mal à l’aise lors de sa première apparition, je jure de ne jamais remettre les pieds à la cour à moins d’y être forcé !


La mort du baron (14 ans)

Ma main tremble alors que j’écris ces lignes. Je sais qu’il ne sied point à un noble de pleurer mais aujourd’hui, ma douleur est trop profonde pour que je puisse retenir mes larmes.

Mon père, le baron d’Ysari est mort ce matin. Son décès ne fut pourtant précédé d’aucun signe annonciateur. Nous venions de partir pour la chasse lorsqu’il poussa un cri de douleur et tomba de sa monture. Le temps que nous le ramenions au château, il agonisait déjà et les médecins ne purent rien y faire.

Cardil frappe à la porte et me demande si j’ai besoin de quelque chose. Mais non, rien ne remplacera et ne pourra remplacer la présence rassurante de mon père. Je me rends bien compte désormais à quel point il comptait pour moi. Un hochement de tête approbateur la première fois que je suis monté à cheval, le petit sourire en coin lorsque j’arrivais à percer la garde de notre maître d’armes lors des entraînements… ces souvenirs comptent parmi les plus heureux de mes jeunes années.

[Note en marge apparemment ajoutée quelques années plus tard :] Reprendre ce passage si jamais je voulais écrire mes mémoires. Et penser également à rajouter quelques phrases sur l’oeuvre de mon père.


Sous tutelle (14 ans)

Les funérailles de mon père se sont achevées hier, mais je suis encore trop jeune pour devenir officiellement baron d’Ysari. C’est donc ma mère, la baronne Clothilde Enimia qui va gérer mes affaires pendant les quatre prochaines années. Je ne pourrais pas dire pas que ma mère et moi soyons vraiment proches l’un de l’autre mais elle a à cœur les intérêts d’Ysari, cela je le sais.

Les serviteurs affirment tous que dans un dernier souffle mon père a murmuré « Roi et patrie ». J’étais à ses côtés et je n’ai rien entendu de tel mais j’ai décidé de ne pas faire taire ces rumeurs. Il est de bon ton qu’un noble reste digne et loyal envers son pays jusqu’à la fin, et mon père aurait sûrement aimé que l’on raconte cette histoire.

Ma mère commence à parler de mariage pour moi. Le nom qui revient le plus souvent est celui de Lucrèce Théodora d'Adamantine, ma cousine, de 9 ans plus jeune que moi. Elle est la fille de ma tante Adélaïde que j’ai peu vue mais dont je garde le souvenir d’une femme d’une grande beauté et aux manières douces. Je me préoccupe peu de cette affaire, les nobles ne se marient de toute façon pas par amour mais par intérêt. A voir l’éclat d’avidité qui passe dans les yeux de ma mère lorsqu’elle évoque la dot de Lucrèce, je devine aisément l’intérêt qu’elle y trouve.


Première rencontre avec Lucrèce (17 ans)

J’ai demandé au printemps dernier à tante Adélaïde de m’envoyer Lucrèce. Bien qu’elle n’ait que 8 ans, d’elle dépendra l’avenir de ma lignée et je voulais la rencontrer. Mère m’a prévenue que Lucrèce n’est pas au courant des projets de mariage et qu’il me faudra donc éviter les impairs. Jusqu’à nouvel ordre, elle ne vient ici que pour y rencontrer sa famille et s’éloigner de l’agitation de la cour.

J’ai discuté avec Normis, l’orfèvre du village, du cadeau que je vais lui offrir. Normis eut une excellent idée : un petit pendentif en forme de rose qui est également la clé d’une boîte à musique. Je compte lui offrir le pendentif dès aujourd’hui et la boîte à musique lors de notre nuit de noces.


Une funeste nouvelle (17 ans)

Voilà quelques mois que Lucrèce vit avec nous. Je ne l’ai vu de près qu’une seule fois lors de son arrivée, mais je l’observe parfois derrière les rideaux de mon cabinet lorsqu’elle sort se promener. Ce n’est encore qu’une enfant mais elle aborde déjà les traits d’une beauté prodigieuse.

Nous avons hier reçu l’annonce de la mort sa mère lors d’un tragique accident à Diantra. La baronne m’a persuadée que ce n’était pas à moi d’aller annoncer cette triste nouvelle à ma cousine et d’essayer de la consoler, qu’agir ainsi serait déchoir de mon rang. « Les nobles ne doivent pas montrer leur douleur » a-t-elle dit en quittant la pièce. Au vu de son absence totale de réaction à l’annonce de la mort de sa sœur, elle est passée maître dans cet art. Ou peut être les deux femmes ne s’entendaient-elles pas ?


Premiers pas d’un nouveau baron (18 ans)

Me voilà donc officiellement baron d’Ysari ! De ma fenêtre, je vois Cardil courir partout pour organiser la cérémonie d’investiture. D’après lui, ce genre de cérémonie doit être grandiose pour que l’autorité du nouveau baron, la mienne donc, soit profondément ancrée dans l’esprit de tous.

J’ai ce matin envoyé une missive au roi Ultuant pour lui renouveler mon serment d’allégeance. Il va bien sur me falloir aller à Diantra afin d’officialiser tout cela. Cela ne me réjouit guère mais il faut en passer par là. Je me suis donc replongé dans le protocole abyssal de la cour en me demandant à chaque page comment l’auteur n’était pas devenu fou. Salutations, génuflexions, formules de politesse, ordre de précédence, etc. Comment diable peut-on arriver à gouverner un royaume au milieu d’une telle toile d’araignée ? Non, vraiment, je n’envie pas le roi.

Lucrèce vit toujours parmi nous mais je ne la croise quasiment jamais. Il ne serait pas correct que nous nous voyions avant notre mariage. Je ne suis d’ailleurs guère pressé, les servantes du château me satisfont amplement en attendant.


Un nouveau roi (24 ans)

Assis dans mon fauteuil préféré devant la grande cheminée de la salle du conseil, je relis encore une fois la missive qui vient de m’arriver en urgence de Diantra. Ultuant a abdiqué et son frère bâtard Trystan vient de monter sur le trône. Cette nouvelle ne me réjouit pas, un changement aussi brutal de monarque est annonciateur de troubles dans le pays. Certains barons ambitieux risquent de contester la légalité de l’accession au trône de Trystan afin de satisfaire leurs propres ambitions.

Personnellement, je réprouve l’acte d’Ultuant. « Être roi est quelque chose de tellement grand qu’on n’existe plus qu’en tant que roi » a écrit un jour un philosophe dont je n’arrive plus à me souvenir du nom. Cette phrase est restée gravée dans ma mémoire et une abdication est à mes yeux un acte contre-nature.

Mais cependant je vais envoyer une lettre au nouveau roi afin de lui renouveler mon serment d’allégeance. En mon âme et conscience, je ne peux agir autrement. Les drows s’agitent à l’Est et les risques de guerre civile secouent déjà le pays. Ma famille a toujours été loyale à la couronne de Diantra et je ne jetterai pas l’opprobre sur mon nom en trahissant mon suzerain.


Le mariage (25 ans)

Le royaume fourmille d’intrigues, et à chaque instant la guerre peut éclater. Après avoir une dernière fois consulté mes conseillers, j’ai décidé d’épouser Lucrèce. Je comptais attendre encore un an ou deux, mais les événements extérieurs me forcent la main. Cardil me manque lors de ces réunions. Cette vieille canaille était d’une rare intelligence et sa mort l’hiver dernier m’a privé de mon plus fidèle assistant.

La cérémonie de mariage fut un franc succès : la beauté virginale de ma femme a conquis le cœur de tous les présents. Le banquet que je fis donner ensuite se transforma en immense beuverie et quelques bagarres d’ivrognes se déclenchèrent. On compta au matin quelques os brisés et quelques dents déchaussées, mais aucune blessure grave. Somme toute, les participants estimèrent tous que ce mariage fut un franc succès.

La nuit de noces fut hélas moins réussie. Les larmes de Lucrèce lorsque je l’ai rejointe dans le lit m’ont émue. Bien que son corps soit celui d’une femme, elle n’est pas prête à le devenir réellement. Je n’ai pas eu le cœur de la prendre de force ce soir là. Pour éviter les ragots, je me suis entaillé la main afin que les domestiques trouvent au matin la tâche de sang tant attendue.


Préparatifs (25 ans)

Je n’aime pas la cour. Je ne l’ai jamais aimé. Je ne m’y suis pas rendu depuis des années et cela ne me manquait pas. Les courtisans, les intrigues de palais… non, ces jeux là ne sont pas pour moi. La place d’un noble est sur ses terres, à les faire fructifier, pas à mener des intrigues politiques. Peut être fais-je preuve de naïveté en disant cela, mais moi je puis traverser mes terres sans escorte et sans risque. Combien de grands barons peuvent-ils en dire autant ?

Mais Diantra est en état de guerre. Les barons rebelles ont mis le siège devant la cité et je ne peux pas rester indifférent. Si la capitale tombe, le royaume tout entier sombrera dans le chaos.

J’ai donc réuni les troupes dont je pouvais me passer pour la défense d’Ysari, soit environ un millier d’hommes. Ysari n’a jamais été une grande puissance militaire, mais mes hommes sont des professionnels, pas des conscrits levés en masse. Cela compensera quelque peu leur nombre assez faible face aux grandes armées qui parcourent le pays. Je partirai d’ici une semaine pour la capitale afin de renforcer la garnison.

Lucrèce m’a demandée ce matin de venir avec moi afin de pouvoir se recueillir sur la tombe de sa mère. Bien que Diantra soit un endroit dangereux ces temps ci, j’ai accepté. Mes relations avec ma femme restent tendues. Chaque soir, je dors à ses côtés sans pouvoir me décider à la toucher. Peut être voyager ensemble nous rapprochera-t-il ? Je ne peux que l’espérer.





Description physique :

« Un grand et puissant guerrier au regard flamboyant encadré d’une longue chevelure d’ébène » dit de moi le barde de la cour. Tel est le portrait que je désire laisser à la postérité mais je serai honnête avec vous.

Tous les bardes enjolivent la réalité car nous les payons pour cela. En réalité, je mesure à peine plus d’1,80m et je n’ai pas la carrure des guerriers qui s’entraînent chaque jour, ayant pour ma part préféré me consacrer à l’art de la diplomatie qu’à celui de la guerre. Et s’il est vrai que je laisse mes cheveux pousser jusqu’à mes épaules, je n’ai pas la moindre idée d’où ce conteur a sorti son regard flamboyant. Une licence poétique sans doute…

On dit que le style défini le dirigeant. Je ne sais si cela est vrai mais j’ai choisi un style tout en sobriété qui sied bien à mon caractère. Lors des cérémonies officielles, je porte une tunique noire à liserés d’or, un pantalon gris et des bottes en cuir noir à boucles d’argent. Ma seule coquetterie est alors un bandeau d’argent qui me ceint la tête. Le reste du temps, je suis simplement vêtu de noir, sans fioriture aucune. Lorsque l’hiver arrive, je m’autorise en plus une cape bordée d’hermine.

Je ne suis pas non plus amateur de bijoux, au grand dam des orfèvres d’Ysari. Avoir vu des courtisans à la cour parés comme des femmes m’a profondément choqué. Ils portent sur eux de quoi nourrir un village pendant une année ou assurer le support logistique d’une centaine de guerriers. Mon seul bijou est le sceau d’Ysari que je porte à la main droite.

Je suis certes loin d’être un grand bretteur mais un baron ne peut être pris au sérieux si il ignore totalement le métier des armes. Aussi je porte une rapière à la ceinture. Je me suis essayé à tous les types d’armes au cours des années mais l’élégance et la finesse de la rapière m’ont finalement amené à me spécialiser sur le maniement cette arme.


Description mentale :

« Honneur et courage », telle était la devise de mon père. L’honneur... oui, si je devais me résumer en un seul mot, c’est bien celui là que je choisirais. J’aurai cependant tendance à remplacer le terme « courage » par celui de « justice ». Voyons voir le résultat : « Honneur et justice »... oui cela sonne bien.

A relire mes notes, je vois que je m’éloigne du sujet. Il ne s’agit pas là de devises mais d’essayer de percer l’homme derrière le baron, le réel derrière l’officiel.

Mais il faut un début à tout. Quelle est donc l’image que je donne de moi ? Celle d’un noble qui se préoccupe avant tout de ses domaines, et de cela j’en suis fier. Depuis que je suis devenu baron d’Ysari, j’ai commencé un vaste programme de rénovation du duché. Les anciennes coutumes sont peu à peu remplacées par un code judiciaire strict, l’autarcie économique qu’avait choisi mon père n’est plus que du passé.

Pourquoi me demanderez-vous ? Pourquoi ne pas chercher à agrandir mes terres aux détriments de voisins plus faibles ? Pourquoi ne pas aller comploter à la cour, trahissant les uns puis les autres ? Parce que tel n’est pas mon objectif, voilà tout. Mon père m’a laissé en héritage la baronnie d’Ysari et je compte la transmettre à mon fils intacte et prospère.

Je ne rentrerai donc sans doute pas dans l’histoire des grands hommes d’état de Miradelphia mais j’ai plaisir à penser que sur mes terres la justice est rendue aussi équitablement que possible, que mes chevaliers ne peuvent pas forcer les jeunes filles dans les villages impunément, que les paysans n’ont pas à craindre que j’envois leurs fils se battrent au loin pour une querelle mesquine à laquelle personne ne comprend rien.

Je n’aime pas la guerre, et je ne comprends pas l’intérêt que mes pairs y portent. L’histoire fourmille de récits de grandes batailles, de gestes chevaleresques. Cela est certes très beau vu de loin, mais les auteurs se sont-ils jamais attardés sur les bilans ? Des milliers de morts, des terres dévastés pour un gain de quelques arpents de terres ?

Non, décidemment, la guerre ne crée rien, elle ne peut que détruire. Les troubadours chantent les grands généraux de l’histoire, mais ils oublient que les empires qu’ils créèrent s’effondrèrent en général à leur mort, entraînant le chaos et l’anarchie pour plusieurs siècles. Par contre, qui connaît l’histoire des rois qui maintinrent la paix et la prospérité dans leurs frontières ? Personne bien sur.



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MessageSujet: Re: Baron Harnyll de Hetalia [Baron d'Ysari]   Baron Harnyll de Hetalia [Baron d'Ysari] I_icon_minitimeSam 14 Nov 2009 - 21:27

Baron Harnyll de Hetalia [Baron d'Ysari] Tampon13
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