Richard, Le Marquis Marcy

Sujet: Richard, Le Marquis Marcy Dim 21 Mar 2010 - 19:35

Appellation: Richard (de) Marcy appelé communément le Marquis Marcy, où encore le Marcy Marquis, le Marquis Merci,...

Age: 25 ans

Race: Humain

Sexe : Homme

Alignement : Inconstant (Neutre)

Métier : Nobliau, Philosophe, il lui arrive d'exercer ce qu'on pourrait appeler le métier d' "enquêteur".

Classe d'arme : Corps à corps

Possession: Richard possède le domaine familiale des Marcys, ainsi que les terres environnantes. Ses principales possessions sont à Diantra, possédant un hôtel, qui par chance ne fut pas trop touché lors du siège de la ville, et en moins d'un mois fut remis à neuf, ainsi qu'une petite ferme aux alentour de Diantra, elle aussi épargner par la guerre civile.

En terme monétaire, le Marquis Marcy vit dans un certain faste, ayant d'une part l'héritage de son oncle, et tout ce qu'il as pus gagner durant son existence, il vis ainsi dans une certaine prospérité.

Œuvre Principale:

Poème:
Les Lais d'Oseille
Recueil de printemps

Livres:
De la néantisation de l'être
De la vanité humaine, où l'art de la misère

Physique

D'une taille plutôt grande, quoique petite comparée aux drows, mais certes très grand comparée aux nains des montagnes. Pour un rapport avec les humains, Richard est dans la moyenne. Possédant une taille de mouche, il ne faut pourtant pas le prendre pour un petit nobliau ne sachant pas tenir une épée, ayant bénéficié d'une entrainement militaire pendant trois années, quoiqu'il n'ai pas excellé dans ce domaine, il a en contre-partie subit les marches forcées, entrainement physique, qui lui donne aujourd'hui une force physique plutôt avancé par rapport à la plupart des nobles ne servant pas dans l'armée, mais médiocre face à un chevalier.
Son visage est ni angélique, ni laid à mourir. Possédant un visage plutôt original, avec un menton poussant en avant, ce qui lui plait de se critiquer lui même en disant qu'il a "un embonpoint du menton à force de parler". Outre celà, ses yeux sont exceptionnels pour leurs couleur vert, non un vert terne et froid, mais brillant de vie, et où l'émeraude se sentirait insulté à côté de ses derniers. Le reste de son visage est assez simple à décrire, un nez se retroussant gentiment, des petites oreilles disparaissant sous ses cheveux bruns et un front plat et gaiement doux.

Apparaissant souvent d'une manière austère et hautaine, le Marquis Marcy, à deux aspects, pour tout ceux qui ne connaisse ni sa philosophie ni sa vie, il paraît être un fils de haute noblesse, atteint par la même vanité que les autres, et d'un orgueil qui se muant en fierté, paraît être incommensurable. Alors que pour tout ceux qui connaissant la manière de penser du jeune homme, il le voit brillant, non comme un soleil, ou comme un être d'une intelligence inouïe, mais comme le philosophe qui par sa pensé réussi à s'interroger et apporter des réponses, sans pour autant remettre en cause les bases et la culture humaine, conciliant dieux et philosophie.

Son physique n'étant ni le plus beau, ni le plus laid, ne plaît pas en priorité pour son aspect, bien qu'il sois plutôt attrayant, sa vrai beauté résulte dans ce voile de charme qu'il a réussi à former autour de lui, en se donnant un aura de mystère, qui ne peut laisser autrui passer à côté du philosophe sans se questionner à son sujet.

Esprit:

Ici ne sera pas présenté la philosophie du Marquis Marcy, car vouloir le faire serait entrer dans un vaste projet qui alourdirais la taille de cette présentation, on se contenteras donc des grandes idées.

Vue Global de la Philosophie du Marquis Marcy

1. La vanité humaine est source de tout les malheurs.
Présenté dans l'un de ses écrits De la vanité humaine, où l'art de la misère, cette aspect philosophique appose que tout la malheur des hommes provient de sa vanité, et de sa fierté, en effet, à toujours chercher son bien individuel, l'homme va amener la souffrance d'autrui. Pour répondre à ce grand mot, le Marquis Marcy, opte pour une posture sarcastique, en entrant lui même dans le jeu de la vanité.

2. L'être humain et sa destiné

Ayant pour but d'expliquer l'ordre du monde, son explication reste très général, et lié à la cosmologie, selon certains, cet écrit ne serait qu'une mascarade pour ne pas être victime des foudres de la religion. Les points ressortant sont la morale, la liberté humaine et son état de conscience.

3. La logique raisonné

Bien qu'aucun écrit n'ai été fait dessus, cette vision de la raison est l'une des grands composantes du Marquis Marcy, apposant des thèses de logique, et que tout doit être raisonné, l'incompris perdant alors toute existence.

Outre la philosophie du Marquis Marcy, son état mentale est très dur à définir, étant un homme très fermé, peu si ce n'est aucun, ne peut revendiquer de le connaitre, d'ailleurs il dit de lui même qu'il est « [son esprit] aussi inconnu que je ne connais pas les limites du monde ». Sans nul doute marqué par la mort à travers la perte de ses parents, et son passé de militaire, il en parle pourtant peu

Outre cela, l'homme en tant qu'humain, est plutôt réservé, ne passant que peu de temps à parler de sa vie, il est très dur de savoir ce qu'il peut ressentir et penser. Sa philosophie pose déjà sa conception de la vie, quand à ses sentiments, ils sont à nuancer. L'homme est surement l'un des plus mélancoliques qui soit, mais non pas vraiment d'un temps ancien qu'il aurait vécu, plutôt de ses rêves et de ses pensées. Bercé dans le rêve, il se trouve être confronté à un monde dans lequel il ne trouve que peu de beauté et de plaisir, cela causant sans nul doute un mépris pour la vie, mais aussi un profond amour du à ses mêmes rêves. Cette dualité, pose en lui un combat interne, qui tel deux dragons de la même forces ne serait s'éteindre, la dualité de l'homme comme il se plait à nommer ainsi le combat interne entre deux grandes valeurs.

Histoire:

Histoire du Marquisat de Marcy:

"Il n'y a pas de vie sans la Vouivre de Marcy"

Jadis, la famille de Marcy jouissait d'une belle terre en Sainte Berthilde, le Marquisat de Marcy. Terre se situant à l'est de l'actuelle marquisat comprenant Etherna et Sharas.
Au fil du temps, les Marquis de Marcy, grands guerriers se souciant peu de la politique et des finances, furent amenés a être confronté à d'énormes problèmes économiques, n'ayant pas de ressource en grandes quantité, la vanité de leur famille les amena à emprunter à leur voisin le Marquis de Sainte Berthilde, qui bien plus riche qu'eux prêtait avec aisance.
La crise Marcienne, comme nommée par les historiens, se déclencha il y a ,à peu près trois cent ans. Arrivé à une dette imposant, leur créditeur, le Marquis de Sainte Berthilde demanda son du. Incapable de rembourser, la crise faillit tourner en bain de sang entre les deux seigneurs. Heureusement, un compromis fut trouvé, le marquis de Marcy de l'époque, Hirald II, dit le chauve, avait deux enfants, une fille et un fils.
Le compromis, qui fut illustré par le traité de Sharas, posait comme termes du contrat, une annulation total des dettes, si la fille Marcy épousait le seigneur de Sainte Berthilde, et que lorsque le père viendrait à mourir le fils n'hériterait que de Sharas, tandis que tout le reste du marquisat reviendrait à sa fille, soit au Marquis de Sainte Berthilde, la dette serait annulée.
L'accord fut signé, Hirald, très égoïste ne se soucia que très peu du sort de ses enfants, et préféra continuer à jouir de sa vie. sa mort survenu brutalement un an après l'accord, et la traité fut appliqué, le fils Marcy, Arenas, qui tout jeune, ne put poser une résistance, et ne fut plus que seigneur de Sharas.
Le deuxième tournant de la crise Marcienne, eut lieu cinq ans après, lorsque Aranas eut vingt et un ans, et que sa sœur mourut en couche. Le jeune seigneur, revendiqua les terres en contradiction avec le traité de Sharas. Une fois encore, un compromis fut trouvé, les terres resteraient à Saint Berthilde, mais le jeune Arenas recevrait le titre de Marquis de Marcy, ainsi que ces enfants, à titre de prestige. Fougueux et vaniteux, le descendant de Marcy accepta, surtout que le seigneur de Sainte Berthilde lui versait une jolie somme d'argent (à titre de prestige de son titre).
Cette situation dura dix ans, et bientôt, le jeune marquis s'endetta lui aussi, et encore une fois auprès de Sainte Berthilde. Les dettes demandaient à être remboursé, Arenas accepta alors de perdre Sharas, en échange d'une somme d'argent importante. Avec cela, il acheta un domaine près de Diantra, et continua à jouir du titre de Marquis de Marcy, qui devrait rester à vie.
Le tournant de la famille Marcy survint avec le fils d'Arenas, Philibert, qui plus ascète que son père et son grand père, n'emprunta jamais de sa vie, et se pris à rebâtir la grandeur du nom de sa famille en rejoignant l'armée. Connut comme un grand militaire, le titre de Marquis de Marcy, lui revint avec grand droit, et bien que plus que prestigieux, nul noble n'oserait l'appeler différemment. Depuis la famille Marcy vit dans la province de Diantra et bénéficie de la gloire de leur nom au sein de la noblesse par leur engagement dans l'armée.

Histoire de Richard de Marcy

Il est dit que la vie vient de la femme, que l'enfant sort des entrailles de sa mère, il en fut sans nul doute ainsi avec Richard, fils de la famille des Marcys, pourtant, si on lui pose la question, il ne répondras rien de semblable, juste qu'il est fils de la terre et du ciel, sans donner plus d'explication. Mais, le jeune Marcy est bien fils de Fitz Marcy et Maloria Marcy. Noble de sang, qui disposait d'un fief dilapidé au fil des familles, entre jeux, dépenses somptuaires, et d'autres vanité du genre humain.

Quand Richard vint à la vie, le domaine de son père, réduit à un simple manoir et quelques terres, était déjà au bord de la ruine, le seul moyen qu'avait la famille pour continuer à vivre était les crédits qu'on leur accordaient pour leur nom, en effet, les Marcys portés depuis des générations le titre de Marquis, les Marquis Marcys, comme on se plaisait à les nommer, leurs gloires ayant été faites par les armes.

La famille de Marcy comptait à l'époque de nombreux liens avec diverses familles, et de lien proche on leur trouvait deux oncles, le premier un officier de l'armée, illustre pour ses faits d'armes, mais tristement connu pour ses nombreux défauts, dont l'alcool et le jeu en faisait grandement partie. Ce dernier mourut quand le jeune Richard avait deux ans, il ne le vit jamais, et grand bien lui en soit fait.

L'autre oncle du jeune Richard, était du côté maternelle, Ephéus D'Ovion, un écrivain reconnu pour son talent et aimé auprès de la cour en ce temps là, à la différence du militaire alcoolique, celui-ci fut pour Richard un frère plus qu'un oncle, prenant le jeune Marcy sous son aile il se fit son professeur durant sa vie sur terre.

Autre fait marquant de la famille Marcy, est la naissance de leur fille, Héloise, cadette de cinq ans de son grand frère. Les deux rejetons de la famille Marcy était plus proche que de simple frère et sœur, et durant toute leur jeunesse, rien ne semblait pouvoir les séparer. Éduquer dans une petite noblesse de campagne, les deux aimaient profiter des moments les plus simples qui leur était donner d'avoir, se promener dans la nature, et rien de la souffrance humaine ne les atteignait dans le domaine Marcy, cela durant les douze premières années du jeune Richard.

L'oncle intellectuel, enseigna à son neveu tout ce dont il était capable, l'art, la philosophie, et bien d'autres sciences,... cette enseignement forçait le dernier représentant de la famille à couper court à la culture familiale, car ne prenant pas le temps d'apprendre l'art de la guerre, et se faire aussi fort qu'un Marcy devait l'être comme souvent on lui reprochait. Mais le jeune Richard ne trouvait en l'exercice physique aucune noblesse, aucune beauté, tout ce qui l'intéressait dans cette activité là était l'harmonie du corps, soit musclé ses petits muscles pour qu'ils représentent aux mieux la beauté, mais en rien apprendre à tirer à l'arc ou à se servir d'une épée.

Ce fut à douze ans que la vie au domaine changea, de plus en plus endetté, Fitz n'arrivait plus à tenir le domaine, et il dut vendre des terrains, ses possessions en ville, licencié les serviteurs, mais cela ne suffisait pas. Rien ne pouvait persuadé le vieux marquis à vendre le domaine familiale. La vie était donc continuellement bercé par les problèmes d'argents, et bien qu'on prit soin de ne pas lier fortune et enfant, pour les isoler des soucis, le jeune Richard grandit avec ces problèmes ci, qui l'amenèrent dès son plus jeune âge à détester l'or. Et c'est lors de cette même année, que le vieux Marquis Marcy, vient à décéder, sa santé fragile fut mis à trop rude épreuve par les créanciers.

La mort de son paternel transforma totalement Richard, lui qui aimait la vie, s'endurcit, et ne fut plus jamais comme avant à s'émerveiller devant un papillon passant de fleur en fleur, il devient austère, et froid, tandis qu'Héloise, prit le deuil avec sa mère, et s'écarta de son frère, sans vraiment y trouver de raison.

Le domaine fut sauvé par l'oncle Ephéus qui attaché à l'avenir des enfants, remboursa l'intégrité des dettes, ce que le vieux marquis avait refusé par fierté, et continua à éduquer son neveu. Durant quatre ans, Richard passa ses journées à étudier, apprendre, réfléchir, ne voyant pas le monde vivant, il préférait vivre dans ce cercle fermé que formait le domaine des Marcys.

Pourtant sa vie devait à nouveau changer, lorsqu'à ses seize ans, Fizt mourut à son tour, de maladie, sans qu'aucune science ne pu le sauver. Ce choc, fut encore plus intense pour Richard, qui se retrouvait vraiment seul dans un monde si obscur. Mais, ne restant pas dans son austérité de jeunesse, il changea sans rien que pus l'expliquer.

Alors que sa mère, cherchait mari à sa fille, pour essayer de régler tout les problèmes d'argent et l'avenir de son enfant, Richard se voyait hérité de l'intégralité des biens de son oncle. Cela, amena de nombreux changement dans sa vie, mais non dans celle de sa famille, car il ne donna rien pour améliorer la situation, et ne dépensa d'ailleurs pas la moindre pièce de l'argent hérité, il la plaça, et n'y toucha pas.

Mais outre l'or, il possédait maintenant l'hôtel de son oncle à Diantra, et quittant le domaine pour l'une des rares fois seul, il entreprit de voyager à pied. Ce voyage fut des plus fondamentales dans sa vie, il y découvrit la pauvreté, la faim, le malheur, et la mort si autant banalisé qu'il en fut tellement frappé, que selon une anecdote il en tomba de cheval.

Ce voyage, est assez peu connu des gens qui daigne le questionner sur sa vie, seul en ressort, cet prise de conscience que tout le malheur humain ne vient de rien d'autre si ce n'est sa vanité.

A Diantra, le jeune marquis, bénéficia de l'aide de nombreux des anciens amis de son oncle, qui choisit soigneusement par le défunt Ephèus, permirent au pupille de leur ami de s'avancer dans la vie de la haute noblesse. Richard vit la cour, il y vécu, il vit le pouvoir royal, la vie à Diantra, et découvrit tout le faste et la richesse. Tout ce qu'il retenu de cet vie ce n'était que la vanité humaine était poussé si loin que le malheur humain atteignait des sommets semblables.

Il passa trois ans à la cour, préférant fréquenter les salons d'intellectuels et de philosophe, son nom fut rapidement connu dans ce milieu, tandis qu'à la cour il restait un parfait inconnu jusqu'à l'année de ses dix huit ans. Ce jour là, le jeune Richard se promenait dans le jardin du château, marchant comme à l'accoutumé, d'un regard fier et hautain, pour cacher sa tristesse, et son mépris de la vie, il rencontra ce jour là, ce qu'il avait attendu toute sa vie, la seul vrai lumière et réconfort sur terre. Le nom de sa dulcinée n'est hélas pas connu, car personne ne connait son identité, et personne ne connait leur véritable relation, certain dise de Richard qu'il fut l'amant d'une femme marié, d'autre celui d'une jeune fille de haute noblesse, et d'autre que sa relation secrète n'était rien de plus que celle de deux âme se racontant leur interrogation sur la vie.

Si ce secret est connu, ce n'est que grâce au changement de comportement qu'adopta Richard, il se remit à aimer la vie, à contempler la nature, et écrire des poèmes. Il ne disait de son état qu'il avait enfin trouver son ciel. Cela dura, un an, long et éternel, sans aucune explication, sa vie resté secrète, et même les rumeurs de cour ne le touchait pas, parmi les nobles il devient connu, par ses nombreux poèmes qu'il produisait en un nombre incalculable, et qui touchant émouvaient tout un chacun. Il écrivit aussi un livre, qui parlait de ses interrogations sur la vanité, le malheur, et l'argent, sans rien remettre en question, son œuvre ne donnait qu'une conclusion, celle de vivre comme chacun entendait vouloir vivre, pour que le soleil ne s'éteigne jamais, et que l'astre terrestre continu à exister.

Pourtant à chaque chose, il y a une fin, et la fin de sa vie heureuse de courtisan poète, arriva lors de sa dix-neuvième année, alors que la gloire de la littérature et de sa beauté qui émerveillait tant de monde, l'avait placé dans cette position de richesse, tout s'arrêta, et du jour au lendemain, il disparut. En, vrai, il regagna le domaine de Marcy, et y retrouva sa mère et sa sœur, avec qui il n'avait pas eut de lien durant ses trois longues années, mais les retrouvailles furent courtes, beaucoup trop, sa mère mourut deux semaines après son retour, une maladie la rongeant. Ne restait des Marcys que lui et sa sœur, qui s'y proche jadis, n'était aujourd'hui rien de plus que des inconnues. Héloise, avait grandit et murit, haute de ses seize ans, le mariage devait l'emmener loin, si ce n'était que l'état de la fortune des Marcy était trop faible pour trouver un mari digne de l'ambition de sa mère. Richard laissa à sa sœur la moitié de ses bien hérité de son oncle, car bien que l'héritage soit sien, il pensait qu'elle devait en toucher la moitié. Ce don généreux au lieu de les rapprocher, les sépara, et le Marquis Marcy quitta le domaine à peine six semaines après son arrivé.

Richard, par une raison inexplicable, décida alors de s'engager dans l'armée, sous le nom d'emprunt de Walnar MacVirsh, il participa à plusieurs bataille, dont celle d'Allona, l'érudit de son enfance n'aimant pas les armes, les appris comme simple homme d'armes, et dans cet art ne s'illustra pas, son maniement des armes ne dépassa pas la normal, mais par ses stratégies raisonné, et il ne tarda pas à se faire aimer de ses officiers et autres nobles. Durant trois ans, il vécu ainsi, passant d'homme d'armes, à plus haut, sans briller pour autant. Ce ne fut qu'à sa quatrième année d'homme militaire qu'il fut reconnu par un noble, l'ayant jadis rencontré comme étant le Marquis Marcy.

De ses quatre années, Richard fut confronté à la mort, qu'il vit autour de lui, qu'il cru recevoir de nombreuse fois, et qu'il donna trop de fois aussi, quand on lui demanda une fois reconnu pourquoi il avait agis ainsi, sa seule explication fut, qu'il en avait besoin, sans approfondir d'avantage.

A la suite de cela, il resta que quelques mois dans l'armée, devenu officier, il dirigea sa troupe avec bravoure et intelligence, ce qui lui valu d'être bien reconnu comme Marquis de Marcy, et digne représentant de ses ancêtres militaires. Pourtant, il quitta cela, et regagna son domaine, alors que ses vingt quatre ans arrivées.

Le retour à la maison, fut des plus dur, sa sœur était morte de la même maladie que sa mère, et le domaine laissé à l'abandon, aux pillages et vols. Il n'y avait plus rien à faire dans son passé. Pourtant, Richard fit réparer la bâtisse, et alla même à racheter les terre vendu par son paternelle, grâce à son argent resté à Diantra sous la garde d'un de ses rares amis des salons de philosophes. Le Marquis Marcy retourna très vite à Diantra, où il ne pus retrouver son ancienne vie dans le faste de la cour, il se contenta de participer aux salons philosophiques et intellectuels, mais sa vie changea une autre fois, arrêtant l'écriture de poème et de livre, il organisa sa vie en deux grandes parties, tout d'abord, il était le Marquis Marcy, philosophe connu et reconnu, qui enseignait à tout ceux venant assister à ses discours ou aux différents salons qu'il fréquentait, tandis que l'autre partie de son être, tourné vers une quête de la raison, pris le métier, bien qu'il ne se revendiquait jamais comme tel, de ce qu'on pourrait assimiler à enquêteur, se plaisant à confronter sa logique et sa raison à des problèmes qui pour la plupart semble incompréhensible, il fut l'auteur de la solution de quelques affaires qui semblait destinée à être éternellement laissé dans le flou.

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Comment as-tu connu le forum ? Oh, I'm not a new member.

Comment trouves-tu le forum ? Good

Sujet: Re: Richard, Le Marquis Marcy Jeu 25 Mar 2010 - 9:27

Allez, on est parti. Accrochez vos ceintures, et installez vous confortablement pendant toute la durée de cette validation.

Like a Star @ heaven

La description physique doit décrire le physique. La manière dont il est perçu entre en compte, certes, mais ne fait pas tout. Tu dois dire à quoi il ressemble, et ça prend en compte la forme de son nez et la couleur de ses cheveux Wink

Connaître les théories philosophiques de ton philosophe est intéressant, mais il est dommage de le réduire à ça. Encore une fois, j'aimerai que tu détailles. Il reste un homme, a donc des aspirations, des peurs, etc.

Like a Star @ heaven

Passons à l'histoire, maintenant.

Citation :: Le domaine fut sauvé par l'oncle Fitz qui attaché à l'avenir des enfants

Fitz est le père, pas l'oncle, ou alors j'ai pas suivi
Sinon, dans l'ensemble, j'ai rien à redire réellement, si ce n'est qu'il faudrait développer un peu plus l'histoire même de ton ancien Marquisat. Car qui dis marquis dit forcément terre, à un moment où à un autre. Il ne suffit pas de s'illustrer dans les armes pour en devenir un.

Il y a plusieurs contraintes à respecter, mais une est plus importante que les autres : il a forcément disparu il y a 250 ans ou plus. Pourquoi ? Parce que la dernière grande guerre inter-humains a eu lieu il y a environ 200 ans et concerne la chute du marquisat de Sephren... Ce qui signifie ta propre chute a eu lieu avant. Dans l'absolu, il serait intéressant que le domaine se situe dans le Nord... Je ne suis pas un expert de l'histoire de Sainte Berthilde, mais ça me semble être le seul domaine possible. Il faudrait que tu entres en contact avec Godfroy pour voir si vous pourriez pas vous mettre d'accord, et surtout si c'est possible

Pour conclure, si je pouvais me permettre un conseil au niveau de la rédaction... Pas mal de virgules sont utilisées "inutilement" et cassent le rythme de la lecture. Genre... "Richard (de) Marcy, appelé communément, le Marquis Marcy, où encore le Marcy Marquis, le Marquis Merci,...", la virgule après "communément" est superflue. C'est un point de vue subjectif, et tu n'es pas obligé d'en tenir compte, ça ne jouera pas dans la rédaction, mais c'est juste une petite remarque en passant.

Sujet: Re: Richard, Le Marquis Marcy Ven 26 Mar 2010 - 21:35

Voilà, j'ai amélioré la description physique, et le mental (pour ce dernier j'ai beaucoup de mal, parce qu'en fait l'homme en tant qu'humain est très proche de sa philosophie).

Pour l'inversion Fitz/Ephéus, j'ai inversé les deux noms x), désolé, mais c'est bon c'est modifié.

Pour le marquisat, c'est vu avec Godefroy.

Sujet: Re: Richard, Le Marquis Marcy Sam 27 Mar 2010 - 20:23

Validé

Tu connais le chemin ^^

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