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 Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]

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Diogene di Systolì
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MessageSujet: Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]   Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril] I_icon_minitimeDim 5 Sep 2010 - 16:37

Nom : Diogéne de Systolie
Âge : 46 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain

Particularité :
Diogéne, un être à part en soi est bien dur de sortir que quelques particularités. Notons en trois alors. La première est bien son oreille coupée à moitié, laideur sublime qui lui vaut parfois des surnoms assez étranges et peu glorieux, ou bien une fierté lorsque racontant comment cela lui fut fait, il invente une histoire différente et toujours plus délirante que l'ancienne. La deuxième reste sa capacité à pouvoir louer l’honneur tout en songeant à une dizaine de manière d’être couard, une tel capacité de mensonge dont même parfois il en devient le jouet, qu’on ne peut guère lui faire confiance si averti. Et finalement le fait assez étrange qu’il porte armure et épée même lors des nuits les plus profondes dans les lits les plus obscurs.

Alignement : Neutre
Métier : Comte d'Ydril
Classe d'arme : Corps à corps

Équipement :

Diogéne aime l’apparat, non certes point celui qu’on porte pour gambader dans la cour et flagorner, mais bien celui simple et rude qui apporte une virilité dont l’homme se complait. Aimant les belles armures, il les collectionnent avec un appétit dévorant, que ce soit le fer d’Oesgard ou l’acier nanesque, rare sont ceux qui le verront passer sans porter une cuirasse, bien qu’il arrive parfois qu’il la dissimule sous des toiles et de la soie. Dans le choix de ses linges, le rouge reste sa couleur préférée, mélangée avec du noir et glorifié par quelques coutures de pierre précieuse, il apparaît avec une forte noblesse.

Dans le choix de ses armes, sa lignée l’oblige inévitablement à s’armer de la glorieuse épée lourde familiale, fait dans un alliage étrange et inconnu de sa connaissance, même s’il la pense n’être rien de plus que de l’acier, la lame est sans nul doute un des objets les plus merveilleux de sa collection. Richement décoré, le pommeau brille de ses milles ornements. Outre cela, l’homme qui de ses jours âgées ne participe plus au combat (ou à de rare occasion), passe tout de même sa vieillesse à cacher un poignard dans ses toile, comme le serpent qui se faufile dans les pieds de sa victime avant de lui enfoncer ses crocs, Diogéne se faufile dans la demeure de sa victime avant d’y glisser son venin, et le cas échéants son poignard (notons qu’il préfère toujours dans ce cas en appeler à un sbire pour éviter d’être compromis, mais même dans ce fait là il trempe son arme dans le sang de la couardise, sois celui de l’assassin).

Description physique :

De son regard pompeux, la lèvre supérieure légèrement remuée par des petites convulsions indiquant, à qui arrive à garder ses yeux sur le visage sévère de Diogéne, un être persécuté par bien milles souffrances. Si on continue à contempler cette vaste figure on peut voir la lèvre inférieur totalement immobile, le tout pour former une bien fine bouche d’où pourtant se dégage un sourire d’un cynisme si bien prononcé qu’on en arrive parfois à s’interroger sur ce sourire, pouvant paraître d’une cruauté forte bien partagé, ou versatilement pouvant prendre un air de joie sadique. C’est ainsi que toute la figure de Diogéne apparait, incertaine, douteuse, joyeuse, triste. L’incertitude face à un visage bien marqué par le fil de l’âge et des épées, puisque sa grande fierté reste de montrer à qui veux le voir ses nombreuses cicatrices, deux fortes jolies sur ses joues faites selon son histoire par un drow si gros qu’on aurait pus en faire une bête de trait, les autres il ne les montre qu’à ses servantes dans ses faibles moments d’égarement.

Un fait pourtant marque ceux qui rencontre Diogéne, son surnom sert par ailleurs à prévenir les pauvres qui confrontés au noble découvre avec un mélange d’effroi et de rire son oreille gauche coupée en deux d’une manière si artistique qu’on raconta qu’un artiste voulu la peindre un jour, fort de son orgueil Diogéne accepta, mais les rumeurs veulent que l’artiste rata son œuvre et on n’entendit plus parler de ce tableau. L’oreille est en effet assez laide, un bout de peau pend légèrement, révélant le petit trou d’où Diogéne entend néanmoins merveilleusement bien.

Pour clôturer l’aperçu qu’on peut offrir de ce noble visage, Diogéne possède une charmante chevelure grisâtre, entremêlés de milles façons et dont il est fort fier. Marquant la peur dans les esprits faible, le respect chez ses semblables et le mépris chez d’autres, son regard d’un bleu grisâtre est emplit d’une telle cruauté qu’il arrive parfois que le rouge le transforme en un bouton de bleu perdu au milieu d’une mare de sang.

Il nous faut chercher à trouver quelques mots pour décrire le corps de ce brave Diogéne. Fort d’une bonne taille, il fut pendant son enfance un fier chevalier, vie qu’il continua à mener lui apportant une carrure impressionnante, fort musclé, pourtant l’âge détruit ce vaste empire de force, le courbant jour après jour, il a perdu aujourd’hui la majesté qui lui avait permis de courir aisément de jupon en jupon. Pour cacher les défauts que l’âge offre à son corps, le Comte porte toujours une cuirasse d’Acier aux armes de Soltariel, le maintenant droit, tandis que son épée reste accroché à son ceinturon partout là ou il peut en avoir la permission, on dit même que dans son lit il copulerait avec ne pouvant oser la poser !

Bien qu’ennemie de ceux qu’il nomme avec une joie gourmande, des maquereaux de toilette, Diogéne ne rechigne point lors de ses rencontres les plus charmantes à se caresser le poil avec un jolie peigne dorée pour donner à sa tonsure une forme plus correct et à boucler cette touffe grisâtre. Mais grand jamais, Sieur le Comte porterait quelques substances de femme sur son visage, ou le poil velu de ses sourcils volumineux, celui piquant de sa barbe, et le doux de ses narines lui semble être les seuls ornements dont l’homme doit oser se vanter.

Description mentale :

Diogéne est pris dans un grand tourbillon de pensée, il faut le reconnaître qu’on l’aime ou qu’on le rejette, il a reçu une certaine éducation qui aujourd’hui se manifeste à travers une profonde et douce sagesse. Aimant particulièrement les ouvrages, il a fait construire dans son petit manoir une bibliothèque dans une vaste tour, ou son grand rêve embrumé de folie reste de rassembler tout ce que le monde connait d’écrit digne de porter ce nom. Tout ce rêve reste bien entendu là pour combler son grand orgueil qui insatiable parmi les pires ne peut se contenter de ce que la moyenne des personnes faits, mais cours toujours après autre chose de plus grand et de plus fou. Soit Diogéne est un vieux sage dévoré par sa vanité, rien n’est trop beau pour lui.

Ce comportement le rend bien dur à supporter, complété par un narcissisme pointilleux, d’une ambition infernale, et d’une lâcheté exemplaire, il est la créature la plus répugnante que sa douce mère est mis à bas.

Tel un glorieux ver qui mange goulument sa part d’un cadavre défraichis, Diogéne à toujours sut attendre le bon moment pour sortir et prendre ce qu’il pouvait. Ainsi durant la guerre civile il resta d’une neutralité jovial, vendant armes à qui voulait en acheter, et attendant de voir sortir un vainqueur pour rentrer dans ses bonnes grâces à travers de légères flatteries mais certes sans courbettes, la dignité l’empêchant de se vendre totalement tout de même. Le Ver de Soltariel, aimant particulièrement la reconnaissance a même fait mettre en place dans son petit fief avant d’être appelé à devenir Comte, un jour spécialement fait pour lui, ou gueux et autres marauds se devait de le prier matin, midi et soir et travailler dans son domaine.

L’homme est inique, sans sens moral aucun, il prend un plaisir sadique à faire naître la souffrance chez ceux qui présenté à sa cour de justice pour un vol de pain en sortirons certes pas les mains encore attachés à leurs corps. Tyran pour certains, monstre pour d’autres, dans tout les cas ses vassaux et gueux ne peuvent point s’exprimer ainsi au risque de finir dans un état peut enviable. C’est là tout l’art de Diogéne, de réussir à faire naître la peur chez la plupart des personnes qui, construit d’une personnalité peu forte, succombe au monstre qui lui sert d’âme. Le respect, le plaisir de se sentir puissant, tout ce grand marécages de ressentit offre à Diogéne un terrain de jeu qu’il n’échangerait pour rien dans ce vaste monde. Ou bien peut être pour des monceaux d’or, car l’homme est dans cette vaste collections de valeurs, d’une cupidité adorable. Aimant or, argent, fer, sel, épice, et tout ce qui peut donner et faire naître le désir dans le regard d’autrui. Il cherche par-dessus tout à accumuler le plus de trésor, pour avoir la chance d’être le seul à les contempler.

Pourtant dans cette grande noirceur d’âme, Diogéne reste très attaché à certaines valeurs nobles, l’honneur du chevalier est pour lui très important. Assez étrange pour un lâche de son envergure, en vrai l’homme se pare d’apporter de l’importance, ce qu’il pense aimant l’esprit chevaleresque, mais s’il l’aime et le respecte en aucun cas il en fait sa manière de vivre. Accompagné d’un romantisme porté au sexe à jupon, il est capable d’une très grande douceur, mais encore une fois tant que cela ne dépasse pas le cadre de son pouvoir et de ses richesses.

Histoire :

Avant de présenter la très illustre histoire de Diogéne gorgée d’ombre et de mystère, présentons donc l’histoire de cette famille, pour cela remontons à Philibert de Systolie, le comte qui aujourd’hui n’a laissé qu’à peine de son histoire pour que l’on se souvient encore de son nom, eut deux fils, le premier et l’aîné fut kalgar I De Systolie, qui grandit dans le faste et le luxe profitant pleinement du peu que la vie lui donnait pour vivre et prenant le plus possible à ce que la vie n’aurait même pas osé imaginé. Il reste qu’il épousa Catherine de Merloc, petite noblesse mais aux ressources pécuniaires mémorable puisqu’encore aujourd’hui la famille et le comté repose en grande partie sur ces ressources. De leur union naquit Sforzar,le reste de l’histoire de cette lignée est bien connut, elle s’éteignit avec la disparition de Kalgar II de Systolie fils de Sforzar.

Maintenant revenons un peu en arrière et suivons ce le second fils de Kalar I, Pierre de Systolie. Étant cadet il ne pouvait s’attendre à devenir Comte, ce qu’il accepta, c’était selon ses contemporains un homme de bien. Il passa sa vie à se consacrer à son petit fief qu’il avait reçu, il en fit rapidement un domaine florissant et prospère, et installé en la région d’Ydril, le fief de Marcalm, devint si puissant que Pierre reçu le titre de Vicomte, là ou son père avait voulu en faire un prêtre pour pardonner ses erreurs.

Pierre se maria assez tard à une bourgeoise de Diantra, Alice Brespont riche parmi les riche elle participa à l’essor impressionnant de Marcalm. Mais la pauvre mourut bien jeune, alors qu’elle approchait de ses vingt-deux ans, l’accouchement la frappa trop violemment, et en mettant à vie Diogéne, elle disparu dans des cris et du sang. Ce qui marqua durant toute sa vie le pauvre Pierre fort amoureux de feu son aimé. Mais autant le dire pour ses affaires ce fut une aubaine, car peu après le père d’Alice mourut un an après et ce fut Diogéne qui hérita de la fortune maternel, soit Marcalm était plus puissant que jamais.

Le jeune Diogéne grandit donc dans un certain confort, mais toujours sans sa mère et avec un père mélancolique et devenu faible d’esprit par la souffrance. Passons les années ou d’abord rampant, puis titubant et enfin marchant, il bavé plus qu’autre chose et manger toutes sortes d’objet. On peut dire que c’est à ses douze ans ou sa vie prend une certaine importance. Suivant une éducation assez étrange, son père lui enseigner les lettres et les sciences mais pas du tout la guerre, en Soltariel les armes était moins prôné comme une bonne chose, le plus important était d’être un bon marchand. Ce fut les aléas de sa vie pendant trois ans, apprenant à compter, vendre, acheter, gérer, mentir, tromper,… on aurait pu croire qu’il finirait Vicomte de Marcalm, ce qu’il devint mais pourtant un autre avenir se dessina pour lui. Alors que ses seize ans sonnait le glas de la majorité, il se décida à prendre les armes. Pour dire le vrai, il agit plutôt par coup de tête, comme souvent à cet âge là ou en désaccord avec son géniteur on décide de faire ce qui pourra le répugner le plus pour essayer de se trouver.

En tout cas Diogéne se trouva plutôt bien, non comme un excellent guerrier, mis à part en tournoi ou aimant se montrer vil ou ce qu’il appelait rusé il trouvait de nombreuse combine pour favoriser sa victoire, mais sur un champ de bataille c’est bien comme meneur d’homme qu’il se dégager des autres. Jamais sur le terrain, jamais en première ligne, il arrivait pourtant à motiver les troupes et toujours à trouver une bonne tactique pleine de couardise, de malice et de ruse, qui sans gloire apparente devenait dans sa bouche des exploit digne des plus grands héros de son temps.

Il passa cinq ans dans l’armée ducal, chassant souvent des bandits plus que des drows armées, mais ces cinq ans gonflé d’histoire inventé et de mensonge en fit un grand guerrier, alors que l’arme ne sortait que rarement du fourreau. Le son de ses vingt et un ans le ramena pourtant à Marcalm. Son père disparu dans un torrent de crachas et de maladie, il souffrit d’après ce qu’on dit, et Diogéne en fut un peu chagriné, mais tellement heureux de devenir Vicomte de Marcalm.

On peu dire qu’à vingt et un ans, Diogéne était déjà prêt à devenir un très bon Vicomte, commençant par renforcer son domaine, il passa dix ans à faire la guerre judiciaire à ses voisins pour manger morceau par morceau leurs terres. Lors de ses trente ans, Marcalm avait triplé de taille, un bon petit fief qui occupait le nord du domaine d’Ydril, mais restait toujours bien trop humble face à ses lointains cousins et ancêtres. Il commença alors à vouloir non plus de place mais plus d’argent, venant de construire une nouvelle tour il fallait bien la remplir de jolie chose !

C’est là qu’il fonda une compagnie de commerçant, d’abord terrestre puis ensuite maritime. Cela se développa rapidement et l’influence arriva avec un assez important d’argent. Si ce n’est que la concurrence était rude, outre les autres petits marchand qui pour une grand moitié disparurent ou se rangèrent sous les ordres de Diogéne à coup de menace, et une autre moitié qui changea de terrain, il restait de grande puissance qui freinait toujours, dont les pirates empêchant toute expansion sur la mer, ce qui nourrit rapidement une grande haine à Diogéne contre ces rufians des mers, mais face à son impuissance il dut se résigner à clore son œuvre commerçante en Soltariel avec une ouverture sur Diantra.

Entretemps, l’homme prit femme, il faut reconnaître que ses bâtard devenait encombrant à chercher à se faire légitimer, il dut en faire disparaître deux d’ailleurs devenu trop encombrant. Trois autres se firent bandit et en échange de la protection paternel le servait avec plutôt assez bonne manière. Les autres furent jeter dans tout les sens, et Diogéne fit tout pour que nul ne sache qu’ils étaient de son sang, d’ailleurs eux ne le savaient pas plus. Enfin, il reste que Diogéne épousa la fille unique d’un bourgeois commerçant d’Ydril assez influent, rien de mieux pour faire de son affaire une réussite, comme son père le fit avec Marcalm. Ce qui arriva au bout de deux ans de bon mariage et de deux jumeaux, Richard et François, le père de la belle Lucie vint à mourir dans des circonstance étrange, un coup des pirates selon les rumeurs, et sa fortune arriva à sa pauvre fille qui dans son deuil mis une fille au monde, Marguarette.

Il advint dans tout les cas que l’ami Diogéne devint riche comme il aurait pu le rêver, et alors ce qui lui manqua ce fut a nouveau le pouvoir. Arrivant sur ses quarante trois ans, le destin frappa à sa porte un peu trop bruyamment d’ailleurs, il en perdit sa femme, qui vint à mourir dans un ultime accouchement de jumeaux, ce qui porta le nombre d’enfant sept, en plus de Richard, François et Margarette était née Charles, Isabelle, et là naquit Alice et Marion. On dit que le mari veuf ne pleura pas sa femme mais se contenta de rire en se demandant comment elle avait réussi à vivre aussi longtemps.
Diogéne dut attendre son heure, restant neutre durant la guerre civile, et se rangeant rapidement du côté du roi lorsque celui-ci semblait gagner, il avait au passage tuer trois de ses voisins, petits seigneur sans importance qu’il accusa d’avoir trahit le roi et dont personne ne pus le contredire, d’ailleurs personne n’en sut rien. Ce fut récemment qu’il apprit une bien charmante nouvelle, son cousin kalgar II de Systolie qu’il ne connaissait certes pas et dont il se réjouissait de la nouvelle de sa disparition, laissait son titre vacant et le plus proche parent restait ce brave Diogéne, qui songea alors à devenir comte ce qu'il accepta rapidement lorsque l'on se présenta chez lui !

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Dernière édition par Diogéne le Dim 28 Nov 2010 - 23:24, édité 7 fois
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Faustine d'Escault
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MessageSujet: Re: Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]   Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril] I_icon_minitimeLun 6 Sep 2010 - 16:57

Le duché de Soltariel est en stand by pour l'instant. Limite reservé.
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Diogene di Systolì
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MessageSujet: Re: Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]   Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril] I_icon_minitimeJeu 25 Nov 2010 - 0:03

Hope You Hope La, voilà Diodio qui est fin beau !
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MessageSujet: Re: Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]   Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril] I_icon_minitimeDim 28 Nov 2010 - 11:51

Alors, voyons donc à cela =)

Like a Star @ heaven Déjà, première remarque : attention aux fautes d'orthographe et de grammaire. Ton style est agréable, mais les fautes gâchent un peu l'ensemble Wink Il faudrait que tu te relises, il y a des fautes d'étourderie faciles à corriger.

Like a Star @ heaven Niveau description physique :

Diogéne a écrit:

Pour cacher les défaults que l’âge offre à son corps, le Duc porte toujours une cuirasse d’Acier aux armes de Soltariel,

Petite erreur demeurant de ton premier jet, Comte, d'Ydril pas Duc de Soltariel Wink

Diogéne a écrit:

Mais grand jamais, Sieur le Duc porterait quelques substances de femme sur son visage,

Même chose qu'au dessus ^^

Like a Star @ heaven Niveau description mentale :
Diogéne a écrit:

Le Ver de Soltariel, aimant particuliérement la reconnaissance a même fait mettre en place dans son petit fief avant d’être appellé à devenir Duc, un jour spécialement fait pour lui, ou gueux et autres marauds se devait de le prier matin, midi et soir et travailler dans son domaine.

Rebelote xD

Like a Star @ heaven Niveau Histoire :
Diogéne a écrit:


Il passa sa vie à se consacrer à son petit fief qu’il avait reçu, il en fit rapidement un domaine florissant et prospére, et installé en la région d’Ydril, le fief de Marcalm, devint si puissant que Pierre reçu le titre de Baron, là ou son pére avait voulu en faire un prêtre pour pardonner ses erreurs.
Diogéne a écrit:

on aurait pu croire qu’il finirait Baron de Marcalm,
Diogéne a écrit:

mais tellement heureux de devenir Baron de Marcalm.
Diogéne a écrit:

On peu dire qu’à vingt et un ans, Diogéne était déjà prêt à devenir un très bon baron,
Diogéne a écrit:

une bonne petit baronnie qui occupait le nord du domaine d’Ydril,

Désolée, mais non, les baronnies sont Ysari et Sybrondil. Vicomte à la limite, ou noble sans titre Wink

Donc voilà, corrige les fautes, trop nombreuses, corrige les allusions au Duc de Soltariel et au Baron de Marcam et fais moi signe quand ce sera fait Wink
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MessageSujet: Re: Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]   Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril] I_icon_minitimeDim 28 Nov 2010 - 23:26

Voilà, j'ai enlevé toute allusion à mes anciennes inspirations ducales '-' Et remplacé Baron par Vicomte.

Et honteusement j'ai corrigé mes légions de fautes ! `-`
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MessageSujet: Re: Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]   Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril] I_icon_minitimeLun 29 Nov 2010 - 14:49

Ah ça va mieux quand même xD

Je valide Wink

Voici quelques liens pour commencer :

Like a Star @ heaven Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Et je rajoute, à titre informatif, que les postes de nobles demandent une certaine régularité et assiduité, si tu ne respectes pas ces deux engagements, il te sera enlevé Wink Voilà, voilà :D

Bon jeu \o/
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MessageSujet: Re: Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]   Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril] I_icon_minitimeLun 29 Nov 2010 - 14:54

Merci mon roi !
Je m'occupe de l'inventaire et pour l'assiduité je serais présent comme un ver dans sa pomme !
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MessageSujet: Re: Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril]   Diogéne de Systolie [Comte d'Ydril] I_icon_minitime

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