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 Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ]

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Solenne de la Courcelle
Humain
Solenne de la Courcelle


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MessageSujet: Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ]   Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ] I_icon_minitimeJeu 21 Oct 2010 - 17:31

Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ] Eau

Nom/Prénom : Solenne, Mary Louise, de la Courcelle
Âge : 17 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine à 90% et elfe à 10%
Particularité : Possède un peu du sang elfe lui venant de très loin dans ses ancêtres, ce qui lui confère une peau laiteuse, incroyablement douce et un visage très harmonieux elle parait toujours plus jeune qu'elle ne l'est vraiment. Elle a des yeux d'un bleu particulier par moment et selon la lumière ils paraissent violacé, on ne sait pas vraiment d'où ça lui vient, juste que comme sa mère avant elle en a hérité et l'on sait que cette héritage remonte à au moins quatre génération avant elle. Certain se demande même si cette particularité n'a pas commencé depuis le fondement de la ligné des Courcelle et quelques serviteurs murmurent qu'ils n'auraient pas que du sang elfe dans les veines, mais ce ne sont que des bavardages de couloirs, les rumeurs vont toujours bon train chez la noblesse.

Alignement : Neutre bon, elle est encore un peu jeune pour avoir de réelle opinion, elle doit encore découvrir la vie.
Métier : Châtelaine d'Ybaen en Missède, elle en est l'héritière légitime malheureusement elle est bien trop jeune pour en occuper réellement le poste de se faite elle se retrouve sous la tutelle de Viktor de Misséde baron et chevalier de Misséde. Ce qui pour elle est un immense honneur et une grande chance, elle est fort heureuse d'avoir échappé aux griffes de sa cousine Ysera de la Courcelle pour tutrice. Magicienne en herbe !
Classe d'arme : Magie défensif (La magie de l'eau).


    Équipement : Elle ne dispose d’aucun équipement même de base en particulier pour le combat, c'est une très jeune demoiselle l'art de la bataille lui est totalement inconnue comme le veut les mœurs humaines. Les rares femmes sachant se battre étant plutôt mal vue par le peuple et toute la noblesse, la bourgeoisie ainsi que la royauté, on peut dés lors dire qu'elle ne tient pas à attirer l'attention sur elle. Solenne n'est pas du genre bagarreuse, elle ne possède donc aucune arme et encore moins d'armure, la guerre c'est une chose qui ne regarde bien que les hommes, à son avis. L'unique chose qui ai un peu d'intérêt pend à son cou, il s'agit d'un collier en argent don le médaillon est des plus intriguant. Solenne a hérité à sa naissance d'un médaillon fort ancien qui possède la forme d'un croissant de lune, don le centre est sertit d'une pierre des plus étrange, en effet cette dernière ressemble à de l'eau sous forme liquide emprisonnée dans le médaillon. Cette étrange pierre change de teinte selon le temps et surtout selon l'humeur de sa porteuse, cette gemme agit comme un catalyseur de magie. Elle aide Solenne à se concentrer, à contrôler son énergie et la puissance de son sort lancer un petit atout non négligeable.

    Description physique :C'est un joli petit bout de femme, elle n'a pas encore totalement terminé sa croissance, mais déjà tout indique qu'elle sera un charmant brin de femme plus tard. C'est une demoiselle de taille moyenne elle mesure tout juste un mètre soixante-cinq elle est mince, la taille cintrée, avec quelques forme de femme déjà plutôt bien installée chez elle. Une jeune dame à la chevelure ondulante, brillante et soyeuse, glissant avec souplesse jusqu'au creux de son dos comme une paisible rivière. Sa chevelure est d'un brun sombre tirant sur le noir aux reflets violines encore une chose caractéristique à sa famille, mais il faut le dire le plus intriguant dans l'héritage génétique de la famille c'est bien l'étrange couleur de leurs pupilles. Ce qui fait sans doute un peu leur charme, elle a donc un œil bleu quand la luminosité est forte et plus celle-ci baisse plus son regard devient violine. Son visage lisse sans doute encore un peu rond, ses joues sont rosée, ses lèvres son presque rouge légèrement pulpeuse, son teint est légèrement hâlé. Solenne à un cou gracieux et des épaules fine on pourrait même dire que ses épaules sont frêle ce qui est très féminin, sa clavicule est plutôt marquée, sa poitrine est généreuse pour son âge elle n'a plus grand chose d'une petite fille elle ressemble presque à une femme. Son ventre est lisse, elle n'a pas de poignet d'amour aucune rondeur trop prononcé mais elle n'est aucunement filiforme. Sa silhouette est longue, mince, le dos toujours bien droit, ses jambes sont longues est toute en finesse son corps est marquée d'une fine musculature. Sa peau est clair sans pour autant être totalement blanche craie et incolore, elle est légèrement rosée par endroit et elle est d'une douceur insoupçonnable, insoupçonnable car personne surtout les hommes ne l'ont encore touchée. Vierge et pure ce que beaucoup d'homme aime, mais personne au grand jamais ne se verra offrir pareil cadeau avant sa nuit de noce.
    Description mentale : Solenne ne ressemble en rien à sa cousine Ysera qui fait partie de la cours du baron de Missède, cette femme bien trop ambitieuse qui à son goût n'a vraiment aucune étique. Elle profite du malheurs des autres, non vraiment c'est une femme détestable. Alors que Solenne est une brave demoiselle au cœur d'azur, si Ysera est imbu de sa personne Solenne elle est humble et peu sur d'elle. Il ne faut pourtant pas la sous estimer c'est une jeune femme assez surprenante, une grande virtuose de la harpe, très cultivée c'est une passionnée de littérature et encore un peu rêveuse les romans de cape et d'épée sont bien ses favoris. Une jeune femme compréhensive, elle prête toujours une oreille attentive à ses serviteurs et elle essaye de trouver des idées pour leurs simplifier la vie, elle aidait parfois son père lui proposant ses idées et ils y réfléchissaient ensemble. Son père la surnommait son petit rayon de lune, il disait souvent que son sourire était aussi beau et éclatant que la lune, qu'elle était aussi douce que ses rayons argentés, il avait plus que raison. Solenne était une jeune fille douce, fragile, elle pleurait enfant à la mort d'un animal peu importe lequel, enfant la chasse pour elle était du barbarisme, il fallut lui apprendre que si on ne chassait pas il n'y aurait pas grand chose dans leur assiette. C'est une jeune femme joviale elle a toujours le sourire, tente malgré toutes les horreurs de ce monde de positiver autant que possible son sourire est toujours présent, même après l'annonce de la disparition de ses parents. Pour elle, les cinq avaient sans doute de nouveaux projets pour eux ou alors est ce pour elle qu'ils avaient de nouveaux projets... En tout les cas elle ne s'affiche jamais pleurante, à quoi bon de pareil larme ce n'est pas ceux qui pleure fort qui souffre généralement le plus...
    Comme tout ne peut pas être tout beau elle a aussi des défauts assez conséquent, c'est une demoiselle colérique non pas quel rage pour un rien, mais tout de même c'est assez impressionnant de l'entendre hurler sur une personne qui lui a accidentellement marché sur le pied, il aura beau s'excuser qu'elle ne baissera pas le ton avant d'en avoir finit et de le laisser planté là sans avoir rien écouté de ses excuses. Comme beaucoup de femme elle est possessive et jalouse, le jour où elle aura un homme elle y veillera comme sur la prunelle de ses yeux, à supposer que se dernier la trompe elle fera tout pour le chasser de ses terres sans doute un peu rancunière sur les bords.

    Histoire :

    « Une vie rencontre une autre vie pour renaitre et revivre »

    Il y a dix-sept ans de cela deux vies ce sont rencontré, l’une est comme l’autre se haïr, se trompèrent puis la paix s’installa et vient ensuite l’amour. Un amour que ses deux vies partagèrent pendant bien plus d’année que la haine et la tromperie, ses deux vies si différentes et pourtant que tout rassemblait s’unir l’une à l’autre, ses deux vies consumèrent leurs unions lors d’une fraîche nuit d’été couchée près du lac d’Afayel, sur les deux vies se posaient le large sourire de la lune seule témoin de leurs ébats. Quelque mois après cette nuit des plus magique, les deux vies qui c’était unie en donnèrent une troisième une combinaison deux leurs vies, ses deux vies qui n’en formaient plus qu’une venait de renaître et aller pouvoir vivre à nouveau. Ainsi était l’ordre des choses, cette nouvelle vie on lui donna le doux prénom de Solenne, c’était le plus beau des bébés du monde aux yeux des deux vies qui avait formé la sienne. On lui passa autour du cou le jour de sa naissance une lune argenté qui porté en elle une pierre bleu merveilleuse. Les années passèrent lentement mais surement pour la petite vie et ses parents des années de calme et de bonheur sans vraiment qu’il y ait de vague. Chaque mois de sa nouvelle vie la petite Solenne et ses parents allait au bord du lac pique niqué c’était un moment bénit de la chère enfant. Même bébé il l’avait amené au bord de se lac pour déjeuner en famille, pour Solenne c’est un lieu ou elle peut se recueillir elle se sent plus proche d’eux assise sur la rive que nulle part ailleurs dans ce monde.

    Elle avait huit ans quand la demoiselle découvrit la chasse une expérience traumatisée elle pleura durant près d’une semaine la mort du pauvre cervidé qui n’avait rien demandé à personne, pauvre être innocent. Quand elle sortit enfin de sa chambre la petite furie hurla sur son père qui avait abattu l’animal, ce qui était assez surprenant sa première colère étrange sensation après lui avoir dit ce qu’elle pensait elle se rua dans les bras de sa mère. Comme tout les enfants à cette âge elle avait besoin de réconfort et de comprendre, à huit ans on commence comprendre le monde qui nous entour, comprendre que tout n’est pas si beau. Sa colère passa, sa mère lui expliqua le véritable but de la chasse, elle lui fit comprendre que la vie était une chose qui a un début et une fin, que c’est le cycle naturel des choses qui veut que l’homme se nourrisse en tuant un cerf ou bien en cueillant une pomme. Quel ange cette mère, entre ses bras tout semblait plus facile et plus beau quelque heures à peine plus tard se petit mal entendu fut tellement oublié et la vie reprit son cours comme un long fleuve tranquille.

    Quoi que des turbulences se firent sentir quatre ans plus tard, et oui douze petites années pour notre Solenne, douze ans d’une vie assez parfaite, car quand on a douze ans rien ne va plus on voudrait faire comme les grands et on nous en empêche. Mais à douze ans nos caprice passe plus aussi aisément, les parents ressert de plus en plus la bride et ça ne passe pas, on à la sensation d’étouffer trop couvée, sans liberté, c’est ainsi que s’installe le vent de la rébellion et de la discorde. Punie alors qu’elle était innocente tout ça par la faute de sa cousine Ysera, la jeune demoiselle s’en fuit du château elle n’emporte avec que de quoi manger pour deux jours et vole un cheval dans les écuries de son père. Elle a son propre cheval ô certes il est un peu vieux, mais il a le pied sur et il est docile contrairement aux jeunes qui sont sans doute trop fougueux pour une jeune fille de douze ans. Elle selle Cicéron elle-même, l’heure du déjeuner approche il faut qu’elle se dépêche sinon on va remarquer son absence. Une fois sellait et bridait elle guide son cheval hors des murs tout le monde doit se réunir pour manger alors la surveillance se relâche l’enfant n’a pas de mal à quitter son chez elle, elle monte alors sur le dos de son cheval et talonne son cheval pour le mettre au galop.

    Le petit rayon de lune s’éloigne sur le dos de Cicéron au grand galop, heureuse, mais tout de même tracassée et triste. Elle contournera une petite demi-heure plus tard le lac d’Afayel sans doute son lieu favori sans même prendre le tant de s’arrêter. Elle coupera totalement hasard au travers la forêt, Cicéron connaissait les lieux il galopait sans hésiter entre les branches et lui buissons, sautant avec aisance les racines qui dépasser un peu trop du sol. Après deux heures de cavale la Châtelaine ralentit la cadence, offrant à son cheval un peu de repos et du pain elle quitta son dos et marcha en le tenant par la bride, l’équidé suivit sans rechigner. Elle ne savait pas vraiment où elle était ses parents ne lui avait pas vraiment accordé de voyager autant qu’eux sois disant qu’elle était trop jeune. Elle savait juste à qui appartenait les terres et qu’il n’était pas les seuls nobles à y vivre. Mais où se trouvait quoi et qui sa restait un mystère des plus entier son père lui avait pourtant montré sur une carte ce n’était pas pour autant qu’elle y avait retenu quelque chose. Elle marchait hasardeuse, dans les bois quand elle le vit assit aux pieds d’un arbre.
    Un homme qu’elle n’avait jamais vu, il était assit là, elle en savait pas vraiment combien de kilomètre elle avait parcouru. Elle le regard un moment avant de se diriger encore au hasard plus profond dans la forêt quand il l’interpella :

    « Hé qu’est ce que tu fais là, toute seule ? »

    Elle devait paraître un peu jeune pour se promener toute seule, à vrai dire ce n’était pas totalement faux.

    « Qu’est ce que ça peux te faire, on se connait même pas. »
    « Ben tu es un peu jeune pour te promener, je trouve. En plus je suis sur que tu ne sais pas où tu vas et encore moins où tu es. »

    Le vieux cheval lui donna un coup de museau dans l’épaule comme pour lui dire qu’elle devait se confier à lui. Elle lui caressa le chanfrein avant d’avouer :

    « Tu as raison, pour dire la vérité tout est de la faute d’Ysera, ma cousine, elle m’a fait punir à sa place encore une fois. Elle est vraiment méchante avec moi, et pourtant je lui ai rien fait. »
    « Elle est sans doute jalouse, ce n’est pas en quittant chez toi que tu régleras les choses. Tes parents doivent être inquiets pour toi, tu laisse gagner ta cousine en faisant ça. Tu devrais rentrer avant que le soleil ne se couche la forêt ses pas fait pour les demoiselles de ton âge. »

    Il avait sans doute raison, elle caressait Cicéron d’une main un peu distraite et elle décida de suivre les conseils de se jeune homme. Elle tapota l’encolure du cheval et remonta en selle avec quelque difficulté c’était un grand cheval pour une si petite fille. En la voyant peiner, le jeune homme l’aida comme son père le faisait souvent il souleva et la posa presque sur la selle. Solenne fit le reste toute seule. Elle claque de la langue pour faire avancer son cheval et elle commença à faire demi-tour quand elle s’arrêta pour le regarder une dernière fois.

    « Moi c’est Solenne de la Courcelle, et je vous remercie preux chevalier de m’avoir aidé. »


    Elle n’a que douze ans, elle lui fait un large sourire de gamine, quand on est jeune on est sans doute un peu bête. A son âge tout homme un peu gentil est un chevalier, il lui manquait juste le cheval… Elle n’attendra pas sa réponse et remettra son cheval en marche pour rentrer chez elle. On la retrouva bien avant qu’elle eu atteint Ybaen et elle fut ramenée à ses parents quelques heures plus tard. Elle se fit gronder, elle s’excusa partie se reposer un peu de son aventure. Elle n’oubliera jamais se jeune homme qu’elle n’a jamais eux la chance de revoir, et peu de temps après ça Ysera et Solenne se brouillèrent pour de bon à tel point que les demoiselles faisait tout pour ne plus se voir.
    De l’eau à couler sous les ponts depuis, elle a aujourd’hui dix-sept ans et quand elle repense à sa fugue et à se jeune homme, elle sourit amusé se trouvant bête d’avoir pu dire de pareil chose. Mais elle n’a plus vraiment de temps pour songer à sa bêtise enfantine, ses parents disparues alors qu’ils arpentés les routes pour revenir à Ybaen après dîner qui était organisé par de très bon ami de la famille. Elle n’y avait pas assistée elle, elle était plus ou moins souffrante une fièvre qui l’avait cloué au lit durant deux jours, maintenant elle faisait ses valises pour rejoindre Misséde, on lui a nommé un tuteur : Viktor de Misséde, le baron un grand honneur et la chance d’échapper aux griffes de son oncle et son horrible cousine. Les bagages sont près Héracles (son chien de guerre qu’elle tient à garder) et elle quitte la maison d’un pas triste et lourd, ils montent dans le carrosse et quitte Ybaen pour quelque temps…


~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : Bien très bien ^^
Comment as-tu connu le forum ? : C'était y a très longtemps là je sais plus lol
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Dernière édition par Solenne de la Courcelle le Ven 22 Oct 2010 - 18:59, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ]   Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ] I_icon_minitimeVen 22 Oct 2010 - 16:28

Bonjour joli demoiselle ! x)
Il n'y a qu'un petit détail qui me chagrine, par rapport à ton pendentif.

Il ne peut pas "accentuer ta magie", par contre si tu le désires il peut contenir un peu de magie afin de te permettre de ne pas passer toutes tes forces dans un sort ? Tu veux ? Si tu ne veux pas, supprimes le coté magique du pendentif.

Préviens moi quand tu auras édité et je validerai ! Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ] 936117
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MessageSujet: Re: Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ]   Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ] I_icon_minitimeVen 22 Oct 2010 - 16:45

Édité ^^ merci pour la précision !
Édit : Édite 2éme (Sous demande de Callista ^^)
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MessageSujet: Re: Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ]   Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ] I_icon_minitimeVen 22 Oct 2010 - 20:24

Validée *o*

Tu connais le chemin =)
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MessageSujet: Re: Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ]   Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ] I_icon_minitimeVen 22 Oct 2010 - 20:32

Merci ^^ !
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MessageSujet: Re: Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ]   Solenne de la Courcelle [ Noble de Missède ] I_icon_minitime

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