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 Astradée [Dundun] {Validée}

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Astradée
Humain
Astradée


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MessageSujet: Astradée [Dundun] {Validée}   Astradée [Dundun] {Validée} I_icon_minitimeMer 27 Avr 2011 - 22:29

Nom/Prénom : Adrastée Laonnis
Âge : 19
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Particularité : Elle est une très bonne musicienne, mais refuse d’en vivre, tout comme elle n’a jamais voulu vendre ses bijoux.

Alignement : Neutre mauvais
Métier : Voleuse, et parfois assassin s’il le faut
Classe d'arme : corps à corps / défensif

Équipement : Son équipement est sommaire. Elle possède deux dagues accrochées à sa ceinture, et un petit poignard attaché à son avant bras. Dans sa besace se trouve le nécessaire, quelques vêtements, une bourse presque continuellement vide, et une gourde. Elle garde son violon dans un étui qu’elle ne quitte quasiment jamais. Quant aux bijoux, souvenirs de sa famille, elle les porte toujours sur elle, de peur qu’on les lui dérobe.

Description physique : Malgré son accoutrement masculin et la cape a capuche qui la dissimule presque entièrement aux regards, on ne peut douter qu’elle est une femme. Sa démarche féline et légère la trahit facilement, tout comme ses formes qu’elle ne parvient pas toujours à cacher. Sa silhouette mince, cambrée, est très souple, ce qui parfois l’aide pour son travail de voleuse et compense un peu son manque de force. C’est une belle femme, mais qui pourrait l’être encore plus si elle s’y appliquait un peu. Elle n’a que faire de son apparence, de la coquetterie (sauf ses bijoux, ses précieux bijoux !). Elle préfère les habits d’hommes, plus pratiques que les robes, ce qui ne la met pas du tout en valeur, il faut dire…
Son visage est fin, délicat, encadré de longs cheveux roux foncés qui lui tombent jusqu’au fond du dos en une longue masse soyeuse, lorsqu’elle ne les noue pas en une tresse. Ses yeux possèdent aussi cette couleur orange ardente, qui contraste avec son regard vide, qui s’illumine lorsqu’elle joue du violon. Sa bouche sensuelle d’un rose doux et pâle est rarement traversée d’un sourire. Même si Astradée reste souvent la plus impassible possible, elle ne répugne pas à montrer ses émotions. Il arrive même parfois que la peau blanche de ses pommettes rougisse, sous l’effet d’une parole trop flatteuse à son goût…


Description mentale : Elle parait froide et distante, à première vue, et même un peu hautaine, mais ce n’est qu’une façade. Elle a édifié un masque dur pour se protéger des aléas que la vie peut lui réserver. Elle reste en fait une jeune fille douce et gentille, sensible. Elle tente de maitriser le plus possible ses émotions, qui peuvent s’avérer parfois handicapantes. Bon, ce n’est bien sûr pas encore une totale réussite. Il est en fait assez facile de la déstabiliser, de faire vaciller sa carapace, si on sait quelle corde toucher. Astradée n’est pas encore la ‘’parfaite petite criminelle’’, même si elle se débrouille quand même bien. Son esprit vif et sa rapidité l’ont, heureusement, maintes fois servie pour la sortir d’un mauvais pas. Elle est capable de manipuler les gens, s’il le faut, et de même de se montrer d’un caractère plus vil et retord qu’elle ne l’aurait cru. Néanmoins, elle ne fait pas de mal au gens par pur plaisir, loin de là. Elle n’a pas vraiment le choix. Elle accepte les contrats de vols lorsqu’on lui en propose, mais elle n’irait pas vraiment en chercher à tout prix. Par contre, lorsqu’elle en a vraiment besoin, elle accepte les assassinats. Ce n’est certes pas une partie de plaisir, d’ailleurs elle manque encore un peu d’expérience, mais elle y met de la bonne volonté. Un contrat est un contrat, et elle l’exécutera toujours du mieux qu’elle peut. Loyale, elle se plie aux exigences de ses patrons, avec rigueur. On lui a appris l’obéissance, et le dépassement de soi, deux habitudes dont elle ne se départira jamais, et qui lui permettent de survivre encore.

Histoire :
Elle naquit il y a 19 ans, dans une famille de bijoutiers de Diantra. Leur affaire avait une bonne renommée, mais pas suffisamment pour que les parents d’Astradée puissent assouvir leur plus grande ambition : appartenir à la noblesse. Ils étaient prêts à tout pour y parvenir. Même à utiliser leurs enfants.
Leur fils ainé devait bien évidemment leur succéder dans la joaillerie, il montrait d’ailleurs un talent inné à fabriquer des pièces sublimes. Que faire d’Astradée, deuxième de la fratrie? Elle était très jolie, intelligente, agréable à vivre…Son caractère conciliant se pliait volontiers aux exigences, avec joie. Ainsi, ses parents lui prodiguèrent une éducation toute sévère et dure, afin que ce soit elle qui puisse un jour mener la famille jusqu’à la noblesse tant convoitée, ce qui évidemment ne manqua pas de susciter la jalousie de ses cadets...
Astradée acceptait la volonté de ses parents avec docilité. Etre présentée à des inconnus à tout va, sourire, parler peu mais bien, toujours être tirée à quatre épingles. Elle prenait ça comme un jeu, être une fille qu’elle n’était pas. Elle préférait aller dehors, au grand air, faire de longues balades, grimper aux arbres, rire, courir, et faire fi des bonnes manières,…Mais ses parents la réprimandaient à la moindre sortie ; trop de liberté n’était pas bon pour elle… Elle acceptait leurs blâmes, déçue, et se sentait fautive.
Elle en vint à regrette d’être elle, de n’être pas vraiment celle que voulaient ses parents. Ainsi, elle s’acharna encore plus à devenir ce qu’on attendait d’elle. Elle alla même à réfléchir comment se parfaire, encore et toujours, et elle vint à la conclusion qu’il lui fallait jouer de la musique. Son père lui céda donc volontiers son vieux violon, qu’il n’avait plus touché depuis des années. Il lui apprit les rudiments, puis lui trouva un professeur, ce qui ne fut presque pas nécessaire. Dès qu’Astradée posa l’archet sur les cordes, elle ressentit quelque chose d’énorme. C’était mieux que tout ce qu’elle avait connu dans sa vie d’enfant, mieux que regarder les étoiles, que rêver, que manger des sucreries, que courir pieds nu dans l’herbe encore fraiche du matin, oui, mieux que tout cela réuni, et bien plus encore. Elle frémissait, ses yeux s’écarquillaient et se fermaient, ses mains s’animaient. Son esprit était vide, et plein à la fois. Plein, de bonheur, de sensations inconnues, d’ahurissement ravi, et vide, vide de tout ce qui la rattachait encore à son humanité. Et il lui semblait qu’elle s’élevait dans des sphères célestes, là ou personne ne pouvait l’atteindre, au-delà de tout entendement. Elle s’oubliait, elle devenait la musique, le violon était son partenaire. Il prenait vie, il possédait ses mains, c’était lui qui jouait, et elle son instrument…Elle était en transe.
La musique devint sa vie. Elle s’y enferma, et elle s’éloigna même de son frère ainé, celui qu’elle chérissait plus que les autres. Ils dormaient dans la même chambre. Ils se comprenaient et se disaient tout. Ils vivaient la même chose : en eux reposaient de grandes ambitions. Ils se soutenaient mutuellement, et l’un n’existait sans l’autre. Il avait peur pour elle, qu’elle s’en aille, qu’elle se marie à un homme inconnu, qui pourrait lui faire du mal, et qu’elle ne soit pas heureuse. Il regardait sa sœur se faire modeler, comme une poupée de cire, aux exigences des parents, et il soupirait. Ce ne fut pas eux qui les séparèrent, mais la musique. Au début, il fut ravi de la voir si heureuse, et il fut surpris de son talent. Mais il la vit s’isoler de plus en plus, avec son violon. Il s’en attristait, et le lui faisait souvent remarquer, avec désespoir:

-Astradée, tu t’en vas, tu t’éloignes de moi. Ton instrument, ton art te dévore ! Tu ne me parles presque plus, tu t’es construit un monde de musique, mais pourquoi ne veux-tu pas que j’y soies ? Tu sais comme je tiens en toi, s’il te plait ! Reviens vers moi. N’abandonne pas ton violon, tu ne le feras jamais. Mais pitié, pitié, donne moi l’occasion d’être encore avec toi, aussi longtemps qu’il le faudra. Ne te laisse pas partir à la dérive…

-Tu te fais des idées, voyons ! Rien n’a changé, la musique me prend du temps, c’est tout. Je ne suis pas moins proche de toi qu’avant. Tu seras toujours avec moi, le violon ne changera rien. Je ne t’abandonnerai pas. Tu sais comme je tiens à toi, et s’il le faut, j’arrêterai de jouer, pour te rassurer !


Elle mentait, bien sûr. Jamais elle n’en aurait été capable. Elle niait l’évidence. Elle voyait le mur qu’elle construisait entre eux, mais elle n’arrivait rien à y faire, et ne se révoltait pas. Comme elle l’avait toujours fait, elle acceptait, résignée et docile…
Quant aux parents, ils s’enchantaient du talent de leur fille, et ne manquaient pas de la faire jouer devant le plus de monde possible. Elle fut souvent invitée chez des nobles, pour jouer lors de soirées, parée de nombreux bijoux, créations de ses parents. Elle y faisait bonne impression, et émerveillait souvent l’assemblée. Elle n’en ressentait que de la gêne, sous l’œil goulu des inconnus. Elle apprit à s’y faire, peu à peu.
Les années se succédaient, toutes semblables. S’entrainer à devenir meilleure, encore et toujours. Sa vie battait à ce rythme sourd et profond, qui se mit à faiblir. Elle se mettait à sentir une erreur dans son mécanisme bien huilé, une écharde dans le pied qu’on n’arrive pas à localiser. Jusqu’à ses 17 ans, son agitation grandissait de plus en plus, grondant de plus en plus en elle, pour enfin céder lorsque ses parents lui annoncèrent qu’ils avaient trouvé un mari. Un homme d’une famille très respectable, dont l’avenir brillant était assuré. Un parti excellent.
Cette nouvelle, bouleversa Astradée. Bien sûr, elle savait que cela devait arriver. Mais face à cette évidence, elle ressentit un choc immense. Elle se mit à réfléchir pour elle-même, pour la première fois. Jusqu’alors, elle avait tout accepté, tout fait. Mais ça, elle ne le pouvait pas. La révolte explosa en elle. Elle tenta de fuguer plusieurs fois ; ses parents finirent par la ligoter. Sa détresse était plus forte que tous les liens. Elle en devint fébrile, malade et perdit la raison. Ils la menaçaient de brûler son violon, de lui briser les mains, mais elle riait. Elle ne disait plus rien, et se contentait de ce rire saccadé, fou. Son grand frère venait parfois lui parler, tenter de la calmer. Mais elle ne pouvait pas l’écouter, elle lui souriait avec douceur. Elle aurait aimé revenir en arrière, mais elle savait qu’il était trop tard. Son père aussi, le savait. Il se résigna enfin, excédé.

-Va-t-en. Prend tes affaires, pars, et ne revient pas. Ne dit jamais d’où tu viens, tu ne fais plus partir de cette famille…Tu as jusqu’à ce soir pour disparaitre, ou bien je te tuerai.

Elle dit adieu à son frère, avec un pincement au cœur, se para de ses bijoux, et elle s’en alla. Une fois dehors, une joie intense la tenait. Elle connut le gout fabuleux de la liberté. Elle se dirigea dans les quartiers les plus pauvres de Diantra, et toute la nuit elle joua dans la rue. Nombre de miséreux vinrent l’écouter. Les femmes, les enfants, les malades, les vieillards, les hommes, tous furent émus, et oublièrent cette nuit là leur vie infâme. Et c’est en voyant leur joie, qu’Astradée se rendit compte que jamais elle n’oserait accepter le moindre argent en échange de sa musique…
A ce rythme, bien vite le peu d’argent que son père lui avait donné fut épuisé, et elle finit par s’effondrer dans une ruelle, fiévreuse, affamée. Elle ferma les yeux en souriant, il lui était égal de mourir, et s’il fallait que ce soit ainsi, tant mieux. Elle serra son violon contre elle, et perdit connaissance.
Mais elle ne mourut pas. Elle se réveilla, allongée sur un matelas rudimentaire, dans une sorte de petit cabanon en bois. Un homme était assis à coté d’elle, il sourit.

-Tu t’es enfin réveillée ? Allons, bois un peu ça va te faire du bien…

Sans un mot, elle avala quelques gorgées de la bouteille que lui tendait l’inconnu. L’alcool lui brula délicieusement la gorge, elle en ressentit un soulagement profond. Elle jeta une œillade reconnaissante à son sauveur.

-Pas trop vite quand même, ce n’est pas de l’eau, et en plus c’est ma dernière bouteille !

-Merci Monsieur…Je vous suis redevable.

-Alors, tu me tutoies d’abord, et pas de monsieur qui fasse ! Appelle-moi Mikae. Comment tu t’appelles ?

-Enchantée, je m’appelle Astradée.

-Bien ! Dis-moi juste, comment ça se fait que tu te trouvais à l’article de la mort, alors que tu portes tous ces bijoux sur toi?


Elle avait oublié qu’elle les avait pris avec elle. C’était des pièces que ses parents et son frère avaient confectionnés pour elle. Elle ne voulait pas s’en séparer…

-Hé bien, quoi alors ? je suis indiscret, c’est ça ? Bon, ça m’a l’air de valoir beaucoup d’argent. T’aurais pu vendre ça et te faire du fric, mais non. Je suppose que ça a un lien affectif. Souvenir de famille, hein ?

Il eut un rire, et elle se contenta de lui jeter un regard froid.

-J’ai touché dans le mile, n’est-ce pas ? Bon, hé bien, regarde moi pas comme ça, je t’ai quand même sauvé la vie !

Et ce n’allait pas être tout ce qu’il fit pour elle. Il la prit sous son aile, d’une certaine façon. C’est lui qui lui apprit à survivre lorsqu’on n’avait pas d’argent. C’était un voleur, et il lui inculqua les ficelles du métier. Il lui montra comment être silencieuse et discrète, comment se battre en cas de besoin, comment faire les poches des passants sans qu’ils s’en aperçoivent,... Pendant un peu plus d’une année, il fut son mentor. Puis d’un commun accord, leurs chemins se séparèrent. Elle apprit l’assassinat, seule, et cela devint son deuxième gagne-pain, en cas de besoin extrême, dira-t-on. Elle se débrouille dans cet art, sans pour autant exceller, encore encombrée de quelques états d’âme.
Ainsi, Astradée erre seule, volant ou tuant pour survivre, et parfois errant dans la rue cheveux défaits, violon en main, prête à ravir les foules...




Comment trouves-tu le forum ? : Il m'a l'air vraiment bien, très organisé, agréable, un chef d'oeuvre! \o/
Comment as-tu connu le forum ? : On m'en a parlé ^^
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : Je ne m'en souviens plus...




Dernière édition par Astradée le Jeu 28 Avr 2011 - 12:42, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Astradée [Dundun] {Validée}   Astradée [Dundun] {Validée} I_icon_minitimeJeu 28 Avr 2011 - 12:27

Bien le bonjour et bienvenue, c'est moi qui vais m'occuper de ta fiche What a Face

Alors, c'est tout bon, rien à redire \o/
Mais parce que j'aime critiquer, je vais simplement te demander de remplir la fin de la fiche, que voici :

Code:
~~~~~

[b]Comment trouves-tu le forum ? :[/b]
[b]Comment as-tu connu le forum ? :[/b]
[b]Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : [/b]

C'est principalement le crédit avatar qui importe (et « Je ne sais plus » est une réponse acceptable, bien sûr).
Dura lex...

Remplis cette petite formalité, et tu seras walidatouillée :)
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MessageSujet: Re: Astradée [Dundun] {Validée}   Astradée [Dundun] {Validée} I_icon_minitimeJeu 28 Avr 2011 - 12:30

Ah oui, le crédit avatar...^^'' Donc en fait, effectivement, je ne sais plus, mais je vais quand même essayer de retrouver ça! :)
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MessageSujet: Re: Astradée [Dundun] {Validée}   Astradée [Dundun] {Validée} I_icon_minitimeJeu 28 Avr 2011 - 14:29

Allons, c'est tout bon, tu es validée What a Face

Code:
[Métier & Classe] : Voleuse & Assassin.

[Âge & Sexe] : 19 ans & Féminin.

[Classe d'arme] : Corps à Corps & Défensif.

[Alignement] : Neutre Mauvais.


Like a Star @ heaven Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Bon jeu à toi :)
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MessageSujet: Re: Astradée [Dundun] {Validée}   Astradée [Dundun] {Validée} I_icon_minitime

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