Kar'mak Carhanmir, Veldruk des Drows! [Tebirahc]

Nom/Prénom :

K

Âge :

P

Sexe :

M

Race :

D

Particularité :

I

Alignement :

T

Métier :

V

Classe d'arme :

C

Équipement :

C

P

Description physique :

Kar' Mak Carhanmir est un Drow et par conséquent, on peut dire que c'est précisément l'opposé de leur ancienne race, les elfes, dont les transformations furent autant physiques que psychologiques et il était désormais si dangereux s'approcher un Drow, que seuls les suicidaires le faisaient. Et précisément, Carhanmir est un type de personnage que des personnes normales évitantes croiser ou même d'aborder car la mort arrive extrêmement vite avec Carhanmir.
C'est un Drow qui possède un physique typique des Drows de cavalerie qui se respectent : une forme assez élancée, grand et de forte carrure, il est doté d'une musculature très forte, mais pourtant, il ne parait pas comme tels aux premiers abords, on dirait simplement un grand Drow. Pourtant, il est parfaitement capable s'accomplir des tâches physique qui lui seraient, selon les regards des autres, impossible à réaliser, à accomplir. Ses bras sont d'une puissance colossale pour pouvoir se servir d'une lance de cavalerie en pleine charge.
Au niveau de son visage, on peut voir, lorsqu'il ne possède pas son heaume, qu'une cicatrice trône sur la partie droite de son faciès, partant d'oeil et rejoignant le bas des joues, comme une sorte de larme qui n'aurait jamais séchée. Elle est parfaitement visible car la peau du Drow est noire tandis que la cicatrice est très blanche, on peut donc parfaitement l'observer. Mais c'est déconseillé de le faire. Il possède des cheveux très blancs, comme le reste de sa "famille", qu'il n'attache jamais car il ne veut pas ressembler a une femme. Et en plus de cela, il les laisse flotter sur des épaules étant donné que ses cheveux soient longs et fins. Mais ce que l'on remarque le plus dans son visage, c'est l'éclat de des deux yeux, que l'on pourraient comparer à deux améthystes, bien que la couleur de ses orifices soient plus profonde, plus sombre que celle des pierres précieuses. Il possède un nez normal, si bien que l'on ne le remarque pas obligatoirement en regardant son visage, il n'a rien d'étrange. Sa bouche est formée de petites lèvres et souvent, un petit rictus sournois et d'une sévérité atroce se forme, la plupart du temps avant un combat de quelque nature qu'il soit.

Description mentale :

Au niveau de sa psychologie, le Drow est comme tout les énergumènes de son espèce, un être plein de courroux et de haine envers les autres races qui habitent le monde de Miradelphia, notamment les Elfes, cette belle race qui est tant appréciée pour leur légendaire beauté et cette grâce reconnue qui énervent grandement les elfes noirs. Ils adorent torturer et provoquer de lentes douleurs avec des ustensiles de mort de tailles et de formes différentes, les entendre pousser des cris horriblement stridents et gémir avec intensité leur procure un plaisir comme jamais ils ne pourront l'avoir.
Carhanmir est un fanatique mais pas fou non plus, il sait prendre de bonnes décisions quand il le fait avec un temps de réflexion restreint et c'est ce qui fait de lui un Veldruk compétent et réputé. Il possède de bonnes connaissances et une qualité de combat exceptionnelle. Mais son caractère exécrable lui cause des soucis socialement, bien qu'il sache s'abstenir face à ses supérieurs, il ne pourra jamais se sentir a l'aise avec les personnes de la haute société.

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Histoire

Carhanmir naquit dans les confins des Terres Drows, de ce que l'on appelle le Puy d'Elda, un volcan actif qui abrite la capitale du monde Dro, une forteresse imprenable où se trouve plusieurs milliers de ces elfes noirs, une espèce dérivée de celle des elfes, dont la grâce et la beauté n'ont de renommé que ce qu'elles ont engendrés, le soleil et la joie comme on dit, mais les être aux oreilles pointues et vivant dans les grandes forêts du monde de Miradelphia ne pourront jamais être pardonné par les Drows qui leurs vouent une haine intemporelle et d'une violence pourtant extrêmement rare entre deux espèces. Il ne faut pas oublier qu'au départ, ils ne formaient qu'une seule et unique espèce et que bien évidement, ils vivaient ensemble. Mais nous n'allons pas faire l'hisotire de leur séparation et de tout les conflits, batailles et guerres qui s'en sont suivies, nous ne sommes pas là pour cela. Mais pour avoir une idée, nous savons parfaitement que les beaux elfes représentent la grâce, la beauté et la douceur, tandis que els Drows représentent totalement le contraire : la peur, la sournoiserie et tout simplement, la mort.

Carhanmir naquit dans les ruelles de la ville, d'une famille moyenne, mais plus orientée dans la précarité et la pauvreté que dans la richesse et le plaisir. Sa famille était une famille que l'on peut qualifier de "normale". En effet, jamais auparavant un de ses ancêtres ne les avaient déshonorés ou au contraire, attiré vers les hauteurs de la gloire et des honneurs. Non, il était tout simplement issu d'une famille méconnu de la ville, tant mieu d'un côté, car on s'apercevra que le jeune Drow pourra s'affirmer comme un nouveau, une sorte de bouffée d'air frais tandis que ce sont toujours les mêmes familles qui trônent dans les plus hauts échelons sociaux de la citée. Sa famille pourrait presque faire partie des Prima Sanguis, mais elle est issue au départ de plusieurs mariages qui ont mélangé les familles, et le nom de celle-ci est la famille des Tjoraa'uhk, peu coonnue de la haute société Drow, mais qui n'a pas à se plaindre de faire partie de la communauté des sangs impurs. Mais la guerre ruina la famille car nombre de ses membrs mourrurent pendant les guerres durant les premiers cycles et c'est se qui causa un grand malheur chez eux. Le nombre de frères, de pères, de cousins et d'oncles qui trépassèrent durant les sanglantes batailles était tels, que rien qu'y pener faisait frémir les vieilles âmes. Mais l'honneur guettait cette famille tout de même, car elle avait toujours enfanté de valeureux guerriers qui, comme dit précédement, étaient morts aux combat, au champ d'honneur. C'est ce qui forgea une sorte de réputation dans les ruelles de la citée et dans les recoins sombres: les Tjoraa'uhk n'étaient pas à chercher ni à toruver, car la mort pouvait guetter près d'eux.

Le Lerg Carhanmir restait dans sa "maison", avec sa mère qui, selon les mœurs des la race Drow, s'occupait de son fils comme une louve l'aurait fait avec son louveteau, toutes manières de le protéger, qu'elles soient hostiles ou tout simplement discrètes étaient réalisables et faisables par cette Drow qui serait parfaitement capable de tuer pour le jeune Kar'mak Carhanmir. Le petit Lerg était assez silencieux, on ne n'entendait que rarement les sons que produisait le petit organisme qu'il était. Mais tout de suite, on pût remarquer le caractère difficile du petit car très souvent, il s'échappait de son tout petit lit, situé a un bon mètre du sol et on le retrouvait en train d'admirer les armes de son père, assit, sans bouger, sans rien toucher, regarder les lames que son père avaient forgé. En effet, il était issu d'un père artisan car sa mère avait totalement refusé qu'il soit guerrier, pour ne pas que le malheur des morts tués au combat se perpétue dans la famille de Carhanmir. Son père était un très bon forgeron reconnu, forgeant des épées comme des haches, des flèches et des lances, des boucliers et des armures simples ou lourdes, la technique des armes des Drow était d'équiper leurs armes offensives comme défensives, avec toutes sortes d'améliorations dans le but de provoquer souffrances et douleurs dans le corps de leurs ennemis qu'ils attaquent, la mutilation et la mort étant leurs principales motivations guerrières et tribales.

Ainsi, le petit Drow naquit et commença tranquillement sa vie, passant ses journées à dormir et à regarder les chefs d'oeuvres de son père. Selon les coutûmes, sa mère commença à lui apprendre à parler tout d'abord, puis les lentes leçons de la vie s'installèrent. Marchant très tôt, il parlait très rarement et cela le poursuivra jusquà la fin de sa vie. Il développa déja une nature assez fermée, observateur et calculateur, il savait attendre les bons et mauvais moments. Il manipulait ses parents durant son enfance.

Le jeune Da'ren vivait alors comme un être issu des milieux populaires sans forcément être un pauvre, il pouvait bien vivre mais parfois, le prix des choses faisaient qu'elles les rendaient inaccessibles pour lui, ce qui fit naitre en lui ce sentiment d'indifférence, voir les autres Drow de pavaner avec des vêtements que sa famille ne pourrait pas de payer, avec des jeux a montrer et des exploits a raconter, toutes sortes de choses qui faisaient que Kar'mak Carhanmir ne pouvait pas de sentir attaché vis a vis des autres enfants des ruelles du Puy d'Elda comme lui. Mais encore et toujours, ses souvenirs les plus importants restent les armes de très bonnes factures forgées par son père qui, en étant un des meilleurs forgerons, fabriquaient toutes sortes de pièces de métal, autant pour la guerre, pour les incessantes tortures pratiquées dans les geôles de la ville que pour la vie de tout les jours comme des carapaçons pour chevaux que des couteaux ou des marteaux, de pieux ou toute sorte de choses qui aient un rapport avec le métal. Pour ainsi dire, Carhanmir ne manquait de rien, des qu'ils avaient besoin de quelque chose, son père était capable de le forger ou de réhabiliter des objets déjà forgé pour fournir les matériaux nécessaires aux besoins de sa famille et ainsi, Carhanmir se plaisait a voir son père manier l'acier ardent des que sa mère le laissait aller librement lorsque des leçons de vie étaient terminées, notamment l'histoire de son peuple et surtout, l'instruction au sujet de la religion car c'était un concept extrêmement compliqué mais qui berçait la vie du peuple et tout Drow devait donc impérativement en comprendre les fondements. La religion était une des plus grandes organisations dans chacun des empires qui constituaient le monde de Miradelphia et chacun avaient des croyances différentes, bien que pour certains cas il était questions de discordes ou de ressemblances éclatantes. Mais c'était les œuvres de son père qui le fascinait, elles étaient d'une grande beauté et leurs courbes étaient parfaites, le paternel sachant manier le marteau sur le métal ardent comme personne, étant un as dans ce daine et il n'était pas rate de voit des nobles arriver dans la forge pour passer des commandes pour des armes ou mêmes pour des achats tellement la qualité de l'artisanat du père de Kar'mak Carhanmir était reconnu parmis le peuple Drow qui vivait au Puy d'Elda, la capitale. Les armes qu'il forgeait était si belles que les drows ramassaient ces armes tombées dans les champs de batailles, au milieu des membres coupées et des flaques de sang encore incandescentes de chaleur, pour les récupérer et les revendre par la suite ou bien tout simplement les garder car on disait que ces armes étaient si bien réalisées, que leur résistance était intemporelle et qu'elle subissait même les siècles sans en souffrir, mais c'était bien évidemment des ragots de comptoir et il était dans les mœurs des drows de laisser meurs armes aux combattants morts au combat. Et ce fut dans cette ambiance calme et studieuse, car sa mère voulait qu'il possède une bonne éducations les connaissance intellectuelles nécessaires pour posséder une belle vie de Drow même s'ils provenaient de milieux populaires.

C'est ainsi que grandit au fil des années, dans la pénombre et l'obscurité du volcan de la capitale du monde drow - le Puy d'Elda, le jeune Kar'mak Carhanmir, dans les ruelles du monde des sombres elfes, seul, avec son caractère solitaire et indifférent des autres de son espèce qu'il n'aimait pas vraiment fréquenter, préférant rester seul a visiter la ville toujours de plus en plus loin et dans ses secrets les plus obscurs, car c'était souvent dans l'adversité que Carhanmir terminait ses errances, des insultes mal placées le mettant dans une fureur des plus noires, capable d'anéantir les bandes de Da'ren inconscients qui cherchaient à lui nuire et sa réputation de bagarreurs invaincus le suivant partout, un loup solitaire qui pourrait combattre n'importe quel ennemi qui oserait se présenter à lui. On le surnommait Rath'kot, l'imbattable car il possédait un jeu de jambes et une capacité a assener des séries de poings si impressionnante que le définition de la rapidité ou de la célérité ne lui convenait plus, c'était une furie, comme une tempête de douleur qui s'abattait sur ses adversaires qui ne pouvaient de protéger de toutes ses attaques, visant toujours les parties les plus sensibles telles l'entrejambe, le nez ou les os du sternum. Carhanmir préférait toujours mettre hors jeu par un coup rapide et précis, qui nécessitait un temps d'action limité et une très légère réflexion. Il vainquait tout les Da'ren qui se présentaient à lui pour des combats. Il parlait très peu, ne racontant jamais ses exploits de rues a quiconque, le voir dans la maison était parfois une bénédiction car il disparaissait comme il apparaissait, rapidement et silencieusement, sans jamais laisser de traces, sans n'émettre aucun sons. Mais il était toujours admiratif face aux travaux de son père. Sa renommée montait dans la citée et il n'était pas rare de voir des hommes de l'armée Drow venir faire réparer, affuter ou améliorer leurs armes et souvent, Kar'mak Carhanmir écoutait incognito les récits de combats, de morts et de désolation que racontaient les soldats à son père ou tout simplement entre eux. Des épées et des lances, des flèches et des arcs, des armures et des boucliers, tout étaient forgé chez lui. Le sang des armes étalait souvent de mauvaises appréhensions sur les soldats mais le jeune Drow comprenait leurs combats et les besoins territoriaux de l'empire des elfes sombres. Les soldats venaient de différents Osts, les célèbres compagnies militaires de l'armée Drow, l'armée toute entière étant constituée de plus de quarante mille être de leur race, divisée en ces cinq compagnies nommées Ost, chacune composée de batailles de corps d'armée différent, au nombre de batailles et de soldats totaux différents également, certains ayant des lanciers et des archers, d'autres ayant des combattants aux cimeterres et avec des arbalétriers, des cavaliers lourds ou légers, chaque Ost était différente et possédait chacune un général référant presqu' indépendant certains plus connus que les autres de par les peuples habitant les différentes citées de l'Empire Drow.

Et c'est ainsi que de déroula l'enfance du jeune Carhanmir, mêlée aux combats de rue et dans le forge de son père, toujours en quête de nouvelles histoires a entendre sur les guerres et batailles que traversent en ce moment son peuple, âge alors d'une cinquantaine d'années, ce qui lui donnait l'apparence d'un garçon d'une dizaine d'années chez les hommes, bien qu'il ait la peau sombre comme la nuit, des cheveux blancs et des yeux d'un violet extrêmement intense où l'on pourrait se perdre comme dans un labyrinthe à la couleur uniforme.

Enfin! Depuis le moment qu'il attendait ce moment! La consécration finale, la joie de découvrir une nouvelle vie pleine d'actions et de batailles, de sang et de joie, de plaisir et de souffrances, du moins, encore plus que ce qu'il avait déjà traversé pour arriver a ce moment clé de sa vie: le choix de la fameuse Voie, celle du Guerrier ou de l'Artisan, du Sorcier ou de la Religion, et il pourrait enfin prouver a tous l'honneur de sa famille, lui, l'enfant solitaire qui allait enfin prendre ses quatre-vingt dix année de vie, ses quatre-vingt dix hivers rugueux et douloureux pour un drow issu des milieux populaires de la capitale du royaume : Le Puy d'Elda. Le doute ne reignait pas dans l'esprit du jeune Drow et il savait dors et déjà la Voie qu'il allait prendre : La Voie du Guerrier. Il voulait que le malheur de la guerre et les apprioris du combat de sa famille cessent car il avait pour ambition de devenir un grand guerrier. Ses quatre vingts dix années lui seraient mémorables et il se dirigea alors vers la Caserne. Comme lui, de nombreux drows devenaient adulte et prenaient leurs quatre-vingt dix années le même jour que lui. Une partie vint avec dans la caserne pour obtenir comme lui, un avenir dans la force militaire.

Des teste physiques et mentaux lui furent appliqués. Même pour son âge, il possédait déjà une musculature puissante et des poings musclés, à cause des méandres de sa vie dans la rue. Son caractère infulença grandement sur les tests psychologiques. On remarqua de lui qu'il possédait un caractère sombre, réfléchit et qu'il ne parlait que très peu, souvent lorsqu'un plus haut gradé que lui posait des questions. Il avait un certain talent avec les armes, connaissant déja quelques bottes d'estoc et de coups avancés, ainsi qu'un esprit indépendant et capable d'agir seul. On reconnaissait déja en lui un futur officier mais rien ne lui fut dévoilé, par peur d'un bouleversement psychologique qui influencerait son comportement. Non, il commencerait comme un vulgaire Sargtlin, un soldat et peut-être qu'il pourra gravir les échelons. Après ces premiers tests, il fut renvoyé dans la caserne sans aucun mot ni aucun signe de quelconque résultats et les tests physiques commencèrent. On emmenèrent les groupes de Da'ren dans différents endroits et on leurs demandèrent de courrir vers les officers qui se situaient à un kilomètre d'eux. La course commença et Kar'mak Carhanmir se mit à courrir comme il avait du le faire dans la rue, quand des bandes d'une vingtaines d'autres Da'ren le suivait. Il arriva sans peine aux officiers mais n'était pas le premier. Ce denier était un drox extrêmement rapide et ses jambes étaient si fines que l'on ne pouvait croire qu'elles l'avaient ammenés jusque là. Carhanmir ariva tranquillement dans les six premiers, sans s'épuiser. Certains furent recalés à cause de leur manque de vitesse navrant. Peut-être auront-ils une place dans les officiers de liaisons ou aux cuisines. Puis la seconde partie du test débuta. Un parcours du combattant. Il fallait courrir sur trente mètres en sprint, passer sous des fers barbelés, sauter au dessus de brasiers ardents puis passer au dessus de cours d'eau avec des barres de bois avec les bras. Carhanmir arriva une nouvelle fois dans le peloton de tête mais sa place augmentait et il atteindrait bientôt les trois premiers. Puis les officiers en chef arrivèrent et désignèrent quels drows iraient dans quelles branches. Des tests d'aptitudes spécifiques furent réalisés et on asigna Carhanmir avec les Ur'thalrss , les cavaliers, bien qu'il n'ai jamais monté. Puis il fut emmené dans les sections où son apprentissage de cavalier débuta..

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Son apprentissage dura plus d'une centaine d'années, le jeune Carhanmir ayant dépassé le stade d'enfant, devenant un grand Drow avec une musculature imposante, un regard de braise intense dû au violet de ses yeux. Il était désormais un petit Kyorl de Cavalerie, lui qui n'avait jamais monté, il avait apprit extrêmement vite à le faire. A réussir. Son escouade d'une trentaine de cavaliers lourds était souvent demandé par les Osts qui partaient en guerre car il avait l'avantage de connaître tout ses cavaliers et n'avait pas forcément le besoin de parler pour savoir ce qu'il attendait de ses hommes. Il avait été promu car ses hommes avaient besoin d'un meneur et il était le meilleur parmis eux. Il était rattaché à un bataillon dirigé par un Veldruk, le grade au dessus de celui de Crahanmir. Il ne cherchait pas à être reconnu, simplement à se démarquer de ses hommes car il savait qu'il avait les capacités d'être un officier et le fait d'obéir sans pouvoir réagir ne lui plaisait pas vraiment, en fait, le grade de Sargtlin ne convenait pas vraiment, pas du tout même. Mais son destin allait changer.

On leur assigna une grande mission, avec des esouades du cinquième Ost, ils allaient devoir tendre une embuscade à un groupe d'hommes qui tentaient de s'avancer trop loin dans leurs terres. Près de deux cents drows furent envoyés pour une compagnie humaine d'environ quatre-vingts hommes à pieds. La compagnie de Carhanmir était présente et tandis qu'ils se placèrent, il fut envoyé en éclaireur. Trois kilomètres plus au Nord, il trouva les humains qui avançaient péniblement. Mais on les avait trompé! Ils étaient plus de trois cents, en supériorité face aux Drows! Mais au grand bonheur de Carhanmir, ils ne possédaient pas de cavalerie. Quelques lanciers de pacotille se trouvaient la mais leur nombre n'était pas assez conséquent pour gêner la cavalerie de Carhanmir qui les balaierait comme de vulgaire poussières balayées par un vent puissant. Soudain, un bruit sur la droit attira leur attention. Les éclaireurs ennemis étaient là. Carhanmir et les autres drows prirent des arcs et assassinèrent sans un bruit les humains qui avaient pénétré un peu trop près de l'armée Drow. Ces derniers rengainèrent leur armes et partirent rejoindre leurs frères qui attendaient quelques kilomètres plus loin. La compagnie forte de deux cents âmes était menée par un Veldruk fier et puissant, Korth'kilu. Il avait taillé son chemin dans l'ordre militaire comme étant un très bon joueur de cimeterre. La compagnie était composée de : trente cavaliers lourds (ceux de Carhanmir), cinquante archers, soixante manieurs de cimeterres, quarante lanciers ainsi que vingt sorciers du C'nros. Ils allaient anéantir les hommes et reviendraient victorieux dans l'empire des elfes sombres. Ils choisirent alors une passe pour tendre l'embuscade. C'était une sorte de colline parsemée de rochers, assez fermée d'aval en amont, mais dont des petites bandes de terres surélevées permettraient un tir nourri de la part des archers. Les sorciers se mettraient en haut pour pouvoir tranquillement lancer leurs sorts. Les manieurs de cimeterres et lanciers se planqueraient derrière les rochers et les archers se mettraient dans les arbres. Les cavaliers de Carhanmir attendraient quand a eux le signal de la charge, a une centaine de mètres du combat. Puis, une fois que tout les préparatifs furent mis en place, ce fut l'heure de l'éternelle attente et du morne silence de la bataille qui allait bientôt avoir lieu. Le calme avant la tempête. Puis soudain, les premiers humains apparurent. La tension monta, humectant les lèvres des soldats drows. La peur se fit ressentir dans les rangs des humains et cela ne fit qu'amplifier le désir de morts des elfes sombres. Ils commencèrent à gravir la colline. Les archers étaient entourés par les lanciers à l'avant et les guerriers à l'arrière. Il n'y avait ni signe de cavalerie, ni d'armes de guerres, ni de magie. Un vrai carnage allait avoir lieu. Le Veldruk cria. Les archers décochèrent plusieurs volées de traits meutriers qui surprirent les hommes. Ils firent mouche plusieurs fois avant que les boucliers ne soient levés. Les archers et lanciers des hommes avaient été prit pour cible. Ils étaient tombés sans un bruit. Un second cri du Veldruk mit fin aux espoirs des hommes. Une centaine de guerriers sombres sortirent de leurs cachettes et chargèrent les hommes désarconnés. Il ne savait plus où donner de la tête et les cris des sombres ne faisaient que les embrouiller. Le sang gicla, les membres volèrent, le plaisir des drows augmentait tandis que la peur des hommes s'intensifiait. C'était un luxe sans nom. Puis les sorciers balancèrent leurs incantations. Le massacre se poursuivait. Mais les lanciers humains formèrent une sorte de phalange pour protéger les guerriers qui commencèrent à se resaisir et tuèrent de nombreux manieurs de cimeterres. Puis le Veldruk cria le nom de Carhanmir. Celui-ci, aux aguets réagit instantanément. Il lança son escadrille dans une charge délibérément meutrière. La centaine de mètres fut rapidement parcouru et les cavaliers lourds chargèrent de plein fouet les rangs serrés des lanciers en phalanges. Ceux-ci n'ayant pas prévu cela, n'avaient pas pensé à positionner une arrière garde et Carhanmir les trouva sans défense, la peur luisant dans les yeux, la flamme de vie qui les quitterait bientôt. Un silence de deux secondes se fit un place dans la bataille. Puis ce fut le choc. Les chevaux pénétrèrent dans les rangs humains comme dans du coton. Les épées des cavaliers donnaient des coups de parts et d'autres de leurs montures, une vraie boucherie. En quelques minutes, ce fut la fin des hommes. On compta les blessés des drows. Une quarantaine avaient périt. Il y avait près d'une trentaine de prisonniers humains. Ils seraient rammenés dans les geôles de la capitale du monde Drow. Le Veldruk était adossé à un rocher, une flèche lui avait percé les poumons. Il tentait veinement d'appeler Carhanmir et lorsque celui-ci arriva, il lui remit l'insigne de Veldruk. Carhanmir la prit et ne la porta pas, un compte rendu de l'attaque lui sera demandé et il comptera la mettre avec. Puis, ils se rassemblèrent et quittèrent les lieux, pour rejoindre le Puy d'Elda, en compagnie des prisonniers entièrement nus, qui allaient savoir si les rumeurs sur la cruauté des sombres en matière de torture étaient réelles.

Arrivés chez eux, Carhanmir se rpésenta devant les officiers et fournit son rapport. La décision fut prise de le nommer Veldruk et en mémoire au défun Korth'kilu, le commandement du bataillon de cavalerie de la Cinquième Ost lui fut donné...

Mon message semble imposant, mais tu verras que c’est principalement juste ma tendance souvent naturelle à faire des pavés pour pas grand-chose.
En m’excusant de l’éventuelle peur que j’ai provoqué :’)

Métier : Veldruk de l’Ur’thalrss (5ème Ost)

Physique : Carhanmir est un type de personnage que des personnes normales évitent de croiser

Mentale :
- « notamment les Elfes, cette belle race qui est tant appréciée pour leur légendaire beauté et cette grâce reconnue qui énervent grandement les elfes noirs »
-
Faux.
Autant ton personnage en particulier peut être jaloux, vouloir être reconnu d’une quelconque façon pour sa beauté toute relative ou bien sa grâce aux yeux des autres races, ça peut lui être propre, autant, ce qu’on pense des elfes ailleurs, les drows s’en contrefichent et se mettront pas à les cogner parce qu’un humain utiliserait l’appellation de « Beau Peuple ».
Les drows sont en guerre contre tout le monde parce que c’est leur culture, ce sont des guerriers nés, c’est dans leur sang, le Dieu de la Guerre au sommet de leur Panthéon, reposant auprès de la Déesse des Âmes. Ils considèrent les autres peuples comme inférieurs et sont nécessairement des ennemis, et n’ont témoigné (je parle de la race, non de chacun des individus) de respect qu’aux Nisétiens parce qu’ils étaient de grands combattants et répondaient avec force à chaque coup, jusqu’à la fin, et auront tendance à faire de même vis-à-vis d’un nain, ce qui n’empêche pas de vouloir massacrer l’autre.
Quant aux elfes, leur rang particulier tient d’une conservation ou d’une association d’idée remontant à l’Histoire et surtout de leurs origines. Ils ont été abandonnés et trahis. Maintenant, certains veulent se souvenir de ça, d’autres se contentent du fait que les elfes soient des créatures détestables qu’il faut tuer ou avilir, plus encore que les autres.

C’est un gros truc pour une si petite faute, je sais, mais c’est parce que je veux être certain que tu comprennes la psychologie générale des drows.

Histoire :
Le volcan est éteint depuis bien avant l’arrivée des drows… Si il était actif, y aurait plus de drows, les chefs sont installés dans l’ancienne chambre magmatique.
Et il est inutile à chaque fois de dire « la capitale du royaume/empire : le Puy d’Elda », le Puy d’Elda suffit.

tant mieu d'un côté, car on s'apercevra que le jeune Drow pourra s'affirmer comme un nouveau, une sorte de bouffée d'air frais tandis que ce sont toujours les mêmes familles qui trônent dans les plus hauts échelons sociaux de la citée.

C’est depuis un moment le cas… La plupart des hautes fonctions ne sont pas occupés par les Prima Sanguis (actuellement, le Roi, la Prime Sorcière, les Hautes Prêtresses d’Uriz et de Teiweon et la plupart des autres, les Obok Senger d’Thalack…), car ces derniers sont trop peu nombreux d’une part, et auront sans doute plus tendance à faire jouer leur nom, leurs influences immenses et leurs richesses pour peser dans l’échiquier du Puy.
Bref, ça fait longtemps que les hautes sphères sont ouvertes à tous, au fur et à mesure que s’éteignait les lignées Prima.

Tu te répètes beaucoup je trouve… Enfin, il est plusieurs fois, et à peu près de la même façon, fait mention du fait qu’il se balade dans les ruelles, sans attache. Du talent et de la réputation montante du père etc…

Essaie de te relire et de concentrer et d’organiser un peu mieux les choses… Pour le père par exemple, fait un paragraphe ou tu parles de lui, de son talent, de ce qui fera sa réputation, mais concentre tout en une fois, parce que là, ça s’étale, y a des répétitions & cie.

Et je te conseille également d’écrire sur ton personnage, une vie, un regard et pas de partir régulièrement sur le fonctionnement de la société & cie. Je donne un exemple :

Les soldats venaient de différents Osts, les célèbres compagnies militaires de l'armée Drow, l'armée toute entière étant constituée de plus de quarante mille être de leur race, divisée en ces cinq compagnies nommées Ost, chacune composée de batailles de corps d'armée différent, au nombre de batailles et de soldats totaux différents également, certains ayant des lanciers et des archers, d'autres ayant des combattants aux cimeterres et avec des arbalétriers, des cavaliers lourds ou légers, chaque Ost était différente et possédait chacune un général référant presqu' indépendant certains plus connus que les autres de par les peuples habitant les différentes citées de l'Empire Drow.

Au final, dans l’histoire, ça n’apporte rien, pas même à ton personnage, et je trouve que ça n’est pas à sa place. Et y a plein de trucs comme ça, où tu parles de ce qui est général, du contexte lui-même, non plus de ton histoire. Bref, c’est de trop d’après moi. (relis toi, tu verras)

Pour la Voie du Guerrier :

Ce sont 20 années de formation dans toutes les disciplines, combat à l’épée, à l’arc, à cheval… On n’oriente pas une recrue vers la cavalerie si on ne sait pas ce qu’elle vaut à cheval. Jusqu’à ce qu’il obtienne le titre d’Initié, il touchera à tout, selon les aptitudes, les tendances, on cherchera peut-être à tester un peu plus certaines plutôt que d’autres pour être sûr de l’orientation, mais dans l’ensemble, c’est très général.

Pour l’Armée :

Qu’appelles-tu « leurs terres », à ce moment de l’Histoire, vu son âge, on est à la fondation de l’Ithri’Vaan, le début des colonies humaines que le Cinquième Ost a contrôlé du temps de Kaherith Da’reh.

Les autres gros soucis de la bataille :
Un Veldruk ne contrôle pas une telle variété de troupes, seul un Streea Jabbuk le peut (dans le contexte d’une escarmouche de cette ampleur). Un Veldruk commande un corps d’armée, la cavalerie, l’infanterie ou bien les archers, mais un seul, pas plusieurs.
Outre cela, ton rapport, ce n’est pas au Puy qu’il serait fait, mais à l’Obok Senger d’Thalack, et puisque le Cinquième s’occupait alors d’asseoir la domination drow sur les jeunes colonies humaines, il n’est pas question d’aller au Puy.

Donc le mieux serait de faire mourir le Veldruk durant la bataille oui, mais tu ne commanderais pas la cavalerie dans ce cas. Avec sa mort, et éventuellement ta reprise du commandement pour le reste de la bataille, on te nommerait à sa succession. (et ce n’est pas en mémoire de l’autre qu’on te confie la cavalerie du Cinquième… Tu es un cavalier, si tu as une promotion, c’est forcément dans ce corps là, ça ne change que quand on atteint le grade de Streea Jabbuk)

Voila... Disons que la maîtrise du BG est encore maladroite, y a un petit peu de travail =) Si besoin, je suis à ta disposition.

Tebirahc Zaurahel a écrit:: Faux.
Autant ton personnage en particulier peut être jaloux, vouloir être reconnu d’une quelconque façon pour sa beauté toute relative ou bien sa grâce aux yeux des autres races, ça peut lui être propre, autant, ce qu’on pense des elfes ailleurs, les drows s’en contrefichent et se mettront pas à les cogner parce qu’un humain utiliserait l’appellation de « Beau Peuple ».
Les drows sont en guerre contre tout le monde parce que c’est leur culture, ce sont des guerriers nés, c’est dans leur sang, le Dieu de la Guerre au sommet de leur Panthéon, reposant auprès de la Déesse des Âmes. Ils considèrent les autres peuples comme inférieurs et sont nécessairement des ennemis, et n’ont témoigné (je parle de la race, non de chacun des individus) de respect qu’aux Nisétiens parce qu’ils étaient de grands combattants et répondaient avec force à chaque coup, jusqu’à la fin, et auront tendance à faire de même vis-à-vis d’un nain, ce qui n’empêche pas de vouloir massacrer l’autre.
Quant aux elfes, leur rang particulier tient d’une conservation ou d’une association d’idée remontant à l’Histoire et surtout de leurs origines. Ils ont été abandonnés et trahis. Maintenant, certains veulent se souvenir de ça, d’autres se contentent du fait que les elfes soient des créatures détestables qu’il faut tuer ou avilir, plus encore que les autres.

C’est un gros truc pour une si petite faute, je sais, mais c’est parce que je veux être certain que tu comprennes la psychologie générale des drows.

Physiquement, c'est clair que l'on n'ose pas vraiment l'approcher, mais c'est ce qui est justifié par son caractère x)
Mais psychologiquement, il aborre les elfes plus que les autres races, donc c'est pourquoi rien que l'appellation de "Beau Peuple" l'ennerve.

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Tebirahc Zaurahel a écrit:: Histoire :
Le volcan est éteint depuis bien avant l’arrivée des drows… Si il était actif, y aurait plus de drows, les chefs sont installés dans l’ancienne chambre magmatique.
Et il est inutile à chaque fois de dire « la capitale du royaume/empire : le Puy d’Elda », le Puy d’Elda suffit.

Oui je crois aussi m'être répété mais j'ai tappé mes rp's sur un I Touch (ce qui explique peut-être parfois des mots incohérents et mes répétitions) et j'en suis désolé. Je vais essayer d'éclaircir tout cela.

Tebirahc Zaurahel a écrit:: Tu te répètes beaucoup je trouve… Enfin, il est plusieurs fois, et à peu près de la même façon, fait mention du fait qu’il se balade dans les ruelles, sans attache. Du talent et de la réputation montante du père etc…

Justement, je voulais bien insister sur ce fait là, au cas où des lignes auraient été sauté à la lecture et parfois sa arrive, alors je l'ai mit à divers endroits au début. Rolling Eyes

Tebirahc Zaurahel a écrit:: Pour la Voie du Guerrier :

Ce sont 20 années de formation dans toutes les disciplines, combat à l’épée, à l’arc, à cheval… On n’oriente pas une recrue vers la cavalerie si on ne sait pas ce qu’elle vaut à cheval. Jusqu’à ce qu’il obtienne le titre d’Initié, il touchera à tout, selon les aptitudes, les tendances, on cherchera peut-être à tester un peu plus certaines plutôt que d’autres pour être sûr de l’orientation, mais dans l’ensemble, c’est très général.

Ok, à modifier!

Tebirahc Zaurahel a écrit:: Pour l’Armée :

Qu’appelles-tu « leurs terres », à ce moment de l’Histoire, vu son âge, on est à la fondation de l’Ithri’Vaan, le début des colonies humaines que le Cinquième Ost a contrôlé du temps de Kaherith Da’reh.

Les autres gros soucis de la bataille :
Un Veldruk ne contrôle pas une telle variété de troupes, seul un Streea Jabbuk le peut (dans le contexte d’une escarmouche de cette ampleur). Un Veldruk commande un corps d’armée, la cavalerie, l’infanterie ou bien les archers, mais un seul, pas plusieurs.
Outre cela, ton rapport, ce n’est pas au Puy qu’il serait fait, mais à l’Obok Senger d’Thalack, et puisque le Cinquième s’occupait alors d’asseoir la domination drow sur les jeunes colonies humaines, il n’est pas question d’aller au Puy.

Donc le mieux serait de faire mourir le Veldruk durant la bataille oui, mais tu ne commanderais pas la cavalerie dans ce cas. Avec sa mort, et éventuellement ta reprise du commandement pour le reste de la bataille, on te nommerait à sa succession. (et ce n’est pas en mémoire de l’autre qu’on te confie la cavalerie du Cinquième… Tu es un cavalier, si tu as une promotion, c’est forcément dans ce corps là, ça ne change que quand on atteint le grade de Streea Jabbuk)

Bah je voulais faire en sorte d'avoir une explication "plausible" pour la montée en grade de mon personnage. C'est sûr que c'est un peu gros, mais comme j'ai pas super bien comprit toutes les chronologies, j'ai fait un truc que je connaissais ><.

Citation :: Physiquement, c'est clair que l'on n'ose pas vraiment l'approcher, mais c'est ce qui est justifié par son caractère x)
Mais psychologiquement, il aborre les elfes plus que les autres races, donc c'est pourquoi rien que l'appellation de "Beau Peuple" l'ennerve.

Bah comme je l’ai dis, l’appellation de « Beau Peuple », c’est utilisé par les humains, les drows l’emploieraient pas, d’abord parce que ce sont des ennemis, et que bon… Les drows apprécient les formes, tant les muscles, la puissance apparente chez les hommes que les courbes prononcées chez les femmes… Les elfes sont tous plat, enfin, c’est leur goût en tout cas… Donc c’est pas désirable (sauf en cas de viol, mais l’acte attire plus que le physique) un elfe, chez eux.

Citation :: Bah je voulais faire en sorte d'avoir une explication "plausible" pour la montée en grade de mon personnage. C'est sûr que c'est un peu gros, mais comme j'ai pas super bien comprit toutes les chronologies, j'ai fait un truc que je connaissais ><

Bah garde l’escarmouche mais dans un premier temps, mets y le Veldruk, il tombe au combat, tu prends le relai sur le coup et on te nommera Veldruk derrière. C’est comme ça que la plupart monte en grade, et à moins que le Veldruk fasse une connerie, qu’il monte en grade ou que tu fasses une chose exceptionnelle, la mort du prédécesseur est souvent le seul moyen d’accéder au rang supérieur.
Mais ça se fera en Ithri’Vaan donc, non au Puy d’Elda.

Le joueur n'est pas passé depuis plus de deux mois, je corbeille jusqu'à nouvel ordre.

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