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 Lalwendë Aëvyn [TEBI ]

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Lalwendë Aëvyn
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Lalwendë Aëvyn


Nombre de messages : 4
Âge : 39
Date d'inscription : 23/07/2011

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MessageSujet: Lalwendë Aëvyn [TEBI ]   Lalwendë Aëvyn [TEBI ] I_icon_minitimeSam 23 Juil 2011 - 9:22

Nom/Prénom : Lalwendë Aëvyn
Âge : 183 ans
Sexe : Féminin
Race : Trois quart elfe
Particularité : Danseuse a ses heures perdues dirons nous.

Alignement : Communauté de la Lumière
Métier : Capitaine en second de la garde du palais D’Ardamir
Classe d'arme : Corps à corps / A distance ( a condition de ne pas être sur la trajectoire malencontreuse de la flèche décochée )

Équipement :

Lalwendë possède, outre ses plaques de cuir aux couleurs du Protectorat qu’elle représente, une épée de belle facture, héritage de son père gravée a son prénom en langue elfique. Cadeau précieux si il en est, Lalwendë aime a la porter souvent, fière de ce qu’elle représente, un souvenir de famille. Bien que la poignée fut refaite quelques fois patinée par l’usure des mains des mâles Aëvyn, la lame reste inébranlable et ne fut qu’une unique fois reforgée. Outre cette épée, la jeune sang mêlée possède aussi un arc, arme presque indispensable et apanage des elfes, mais, contrairement a ses semblables, il semblerait qu’elle ne sache pas viser avec justesse, ceci ne l’empêche pas de s’acharner sous l’œil rieur de son père. Outre cet uniforme insigne de son rang et fonction, la jeune demie possède tout une panoplie de robe aux matières légères et volantes, voiles et autre quolifichets qu’elle revêtit lorsqu’elle oublie son rôle de garde pour se consacrer a sa passion qu’est la danse.


Description physique :

Lalwendë a malheureusement hérité du sang mortel une petite taille et des formes, certes moins appuyées que les femmes humaines, mais toujours plus présente que celles des elfes. Avoisinant a peine les 1m70, il lui ai souvent arrivé de complexer devant l’immensité de son demi frère, cela dit, elle a, depuis, apprit a tirer avantage de cet inconvénient. De sa mère, demie elfe, elle gagna une chevelure aussi noire que la nuit et des prunelles chocolat, étrangement rare au milieu du peuple éternel, mais terriblement commun chez les hommes. La finesse de ses traits et la pointe de ses oreilles en font d’elle un exemple de la race éternelle, si on oublie sa petite taille évidemment. La danse a doté son corps d’une souplesse extrême ainsi que de réflexes fulgurants très utile en combat rapproché, seul combat qu’elle maitrise grâce a l’entrainement de son père et de son frère.


Description mentale :


Ah…La belle est difficile a cerner, tout dépend de quel coté vous allez la regardez. Vive et enjouée lorsque glisse sur elle l’importance de sa charge, elle laisse alors éclater ce petit coté piquant, chaleureux qui la caractérise. Ce sourire facile qui lui vient de sa mère et ce rire léger qui lui vient de son père. Elle adore d’ailleurs sa famille, ce père qui l’éleva a la mort de sa mère, tolérant quand a son sang et ce frère bien plus âgé et sage qu’elle et lorsque le voile de la danse l’habille, elle devient interprète de ces propres songes et rêves, distillant dans ses pas ses pensées et ses sentiments, rendant hommage a Kyria ou Nééra avec grâce et magie. Mais Lalwendë n’est pas que cela, pas qu’une fée qui gambade sur les chemins de la vie. Perspicace, précise, consciencieuse et professionnelle jusqu’au bout des ongles, elle sait se faire silence, froideur et retenue lorsque l’habit de la garde la revêt. Consciente d’être l’héritière de son père, elle est minutieuse, attentive et observatrice, discrète aussi, il est rare qu’on la remarque sachant si bien se fondre dans le décor. Un dés a multiples facettes qu’elle lance comme un jeu bien souvent.


Histoire :

10ème jour du mois de Verimios,

Un cri déchire le silence. Explosion de joie et de mort. Comme un dernier hurlement de victoire alors que s’enfuie la vie. Un mort. Une vie. Triste échange qui vit la naissance de Lalwendë. Lorsqu’elle ouvrit les yeux sur le monde, sa mère fermait les siens a jamais. Une vie pour une vie. Ainsi est l’existence dirons nous. Fort heureusement, si sa mère ne pu la prendre dans ses bras, elle eut le temps d’admirer son visage, d’entendre son cri et de sourire avant que son époux ne lui ferme les yeux éternellement, murmurant pour Tyra l’ode d’une vie qui s’éteint.

Ainsi naquit Lalwendë.

Fille d’un petit seigneur elfique qui était allé contre les siens en épousant en seconde noces une femme marquée du sang des hommes. Mais qu’il importe, il combla d’amour le dernier cadeau qu’elle lui fit. Une petite fille lui déjà nanti d’un fils âgé de presque 300 ans a la naissance de sa sœur. Aluindil éleva sa fille avec amour et attention, tolérant quand a son esprit exubérant, pétillant. Il revoyait en elle celle qu’il avait aimé, celle qui lui avait réapprit a vivre après la mort atroce de sa première épouse. Mandelil, lui, fils ainé et sage, couvait sa sœur d’un œil attendri mais était beaucoup plus sévère avec elle que ne l’était leur père.

Lalwendë développa très tôt une attirance frisant l’obsession pour la danse. Artiste comme sa mère, elle n’avait de cesse d’observer les prêtresses de Kyria dans leur hommage a la déesse. Observant leur pas, petite fille encore si frêle accrochée au pantalon de son frère, si grand, si beau dans sa tenue de soldat royal. Lalwendë avait prit l’habitude de se cacher derrière ses jambes immenses, elle si petite mais retenait chaque geste, enviant la grâce et la légèreté. Si son père lui permit de se livrer a sa passion, il ne l’en responsabilisa pas moins a sa tache future. Mandelil ayant choisit l’armée royale, Aluindil ne pouvait que laisser en héritage a sa fille sa charge, moins glorieuse mais tout aussi honorifique de capitaine de la garde du Seigneur Protecteur d’Ardamir. Aussi forgea-t-il très tôt l’esprit de sa fille a ce but. Il travailla subtilement son sérieux, sa capacité de concentration, aiguisa son sens de l’observation par des jeux d’apparence enfantins mais qui ne l’étaient pas réellement.

Contrebalançant son éducation parfois sévère, il permettait a sa fille d’apprendre la danse. Mais il y eu une chose qu’il ne réussit jamais a lui enseigner, ce fut bien le tir à l’arc. Sa fille, si adroite, si souple, pouvant manier une épée avec une maestria que d’aucun aurait qualifiée de démoniaque, n’était absolument pas capable de toucher le centre d’une cible. Chaque tir était raté, un peu plus que le précédent et ce, sous le rire amusé de la jeune sang mêlé et le regard désespéré de son père. Comment pourrait elle supporter sa charge si elle restait si faible a l’arc ?

En désespoir de cause, il demanda un jour a son fils de bien vouloir entrainer sa jeune sœur, mais, malgré le sérieux et la rigidité de Mandelil, celui-ci n’arriva a aucun résultat. Lalwendë demeurait plus que médiocre au tir a l’arc mais excellait a l’épée malgré sa petite taille. Souple et plus rapide que beaucoup, elle tirait avantage de ses inconvénients, prouvant par là que son père l’avait bien enseignée, et lorsque celui-ci n’eut plus rien a lui apprendre, il a confia a un maitre d’arme qui la faisait progresser encore plus. Cependant, Lalwendë n’oubliait pas pour autant sa passion première et même si croiser le fer était comme danser, il restait cette ombre mortelle qui n’existait pas dans la danse. Aussi monta-t-elle avec quelques amies une petite troupe. Agée d’à peine 60 ans, elles aimaient se produire pour de petit événement, comme un anniversaire, une fête, un mariage parfois, ravissant les spectateurs par leur grâce et leur légèreté. Cette petite troupe ne gagna jamais la célébrité mais cela était suffisant pour épanouir Lalwendë.

Ainsi passa prêt d’un siècle et ces années virent la jeune fille devenir femme, plus éclatante sans doute, heureuse de vivre entourée de son père et de son frère. Redoutable combattante au corps à corps, elle demeurait toujours aussi obstinément médiocre a l’arc mais au fil du temps, Luindil avait abandonné cet espoir de faire d’elle une archère émérite. Après tout, il était assez sage pour comprendre lorsqu’il n’y a plus d’espoir n’est ce pas ? Ceci dit, ce petit défaut demeura une tache sur l’avenir de sa fille, en effet, elle ne pouvait pas prétendre a le succéder, c’était impossible, pas avec cette lacune, bien qu’elle compensait très largement a l’épée aussi dut il se résoudre a ne lui laisser qu’un rang second. La charge de capitaine fut donnée a l’un de ses élèves alors que sa fille n’hérita que de la seconde place. Cela étant, elle n’en fut jamais amère et se démena pour prouver a son père que, malgré tout, elle était capable du meilleur. Excellente tacticienne et brillante observatrice, elle était d’un conseil précieux et écoutée malgré son jeune âge. Supervisée parfois par les conseils de son père qu’elle n’hésitait pas a aller quérir, elle sut se faire une place. Discrète, on ne pouvait pas réellement la remarquée, bien que très belle ( mais tous le sont au sein du Peuple Eternel ) son attitude en faisait d’elle une ombre, mais une ombre efficace, une ombre qui s’écroulait lorsque la danse la rappelait et d’ailleurs, elle ne perdait jamais une occasion de danser, comme un besoin qui lui permettait d’oublier un instant le sérieux de son rôle au sein de la garde.

Cela fait maintenant presque 55 ans qu’elle occupe ce rang. Elle a vu le jeune Seigneur se marier, enfanter, défier les lois établis avec un léger sourire. Elle a vu sa femme disparaitre, sa douleur aussi mais n’a jamais rien dit. Cela ne la regardait pas, elle n’était qu’une main armée en charge de sa sécurité. Elle a vu la victoire d’Alonna, sans doute y a-t-elle un peu participer et sans doute a-t-elle craint pour la vie de son frère mais Mandelil brava la mort et revint blessé mais vivant, souriant par cette victoire écrasante. Elle a vu Anaëh violée par les drows, a compatis avec son frère sur cette défaite absurde, idiote. A l’abri au palais d’Ardamir, elle avait tremblé pour son frère mais n’avait jamais dévié de sa conduite, froide, silencieuse, efficace, elle n’était que cela mais une fois qu’elle en franchissait les murailles, elle devenait Lalwendë la souriante, l’éclat de rire qui ravissait son père alors « à la retraite », coulant ces jours entourés des fleurs de son jardins, des servants qui étaient devenus au fil des années des amis, comblé par le rire de sa fille si semblable a celui de sa mère. Malgré tout, il restait fier d’elle et n’avait cure des mauvaises langues arguant le sang corrompu par celui des mortels. Sa fille ne serait peut être pas immortelle, mais elle demeurerait éternelle a ses yeux.

Aujourd’hui, le soleil brillait , dernier éclat avant une nuit qui durerait si longtemps qu’elle terrifierait le monde et là, cette silhouette qui s’encadrait dans la porte de la serre la fit rire aux éclats avant qu’elle n’abandonne les roses et ne traverse la serre en criant sa joie, soulevant ses jupons. Mandelil ouvrit les bras pour sa sœur, la dépassant de plusieurs têtes, il était fin, musclé et il l’accueillit sans vaciller malgré la force qu’elle mit dans son étreinte.

« Tu es rentré ! »
« Oui, t’ais je manqué ? »
« Evidemment ! Viens vite ! Père doit avoir hâte de te voir ! »

Conciliant, le fier guerrier se laissa entrainer par sa sœur a travers les jardins en direction de la petite maison construite en harmonie avec la nature environnante, souriant malgré l’exubérance de sa sœur et sa propre fatigue. Mais à peine Lalwendë avait mit un pied dans la maison qu’un coursier se présenta, tenant entre ses doigts un plis du palais. Le sourire de la jeune femme mourut lorsqu’elle s’en saisit avant de le décacheter et de soupirer.

« Bon, il semblerait que je parte pour la terre des hommes….Prends soin de père pour moi Mandelil ! »

Lança-t-elle avant de disparaitre dans sa chambre…Les hommes…Elle était curieuse de savoir a quoi ils pouvaient ressembler…Elle qui n’avait que très peu quitté les terres elfiques….Et dire qu’elle devait y rester quelques saisons !

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Tebirahc Zaurahel
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MessageSujet: Re: Lalwendë Aëvyn [TEBI ]   Lalwendë Aëvyn [TEBI ] I_icon_minitimeSam 23 Juil 2011 - 17:34

Je valide, tu connais le chemin.


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