Mibok Norbeuk

Nom/Prénom :Mibok Norbeuk

Âge :93

Sexe :Mâle

Race :Nain

Particularité :Aucune


Alignement : Communauté de la lumière

Métier :Membre du 1er régiment d'infanterie légère de la garnison de Thanor. Si possible, je laisse les staff en décider, j'aimerais être Lieutenant.

Classe d'arme : Corps à corps

Équipement :Parlons premièrement de l'armure de Mibok. Il possède une armure d'écaille qui lui couvre tout le corps, mais qui s'arrête aux épaules. Cette armure est grise, avec des rayures jaunes à intervalle réguliers. Son casque, lui, est le symbole de son grade et il le porte fièrement presque tout le temps. Ses jambières, elle, sont fait du même matériaux que son armure: Elles sont en écaille, sauf que là, elles ne possèdent pas de rayures et sont entièrement grise. Et c'est la même chose pour ses bottes. Maintenant, passons à ses armes et à son bouclier. Il est d'une hache hache d'arme de taille standard et d'une autre, plus petite, de secours. Son bouclier, lui, est une targe en bois avec un centre de métal.

Description physique :

Nous commencerons la présentation de Mibok par la base, la première chose que vous verrez chez lui, j'ai nommé le physique. Nous commencerons par parler de son visage et plus particulièrement de ses yeux. D'un gris inhabituel, il fait penser aux montagnes et autres reliefs élevés de la région de Thanor, tant que vous pourriez presque vous croire devant une de ces hauteurs. Son nez, lui, est large à souhait, mais étrangement, il n'a que deux petites narines, séparés par une large bande de peau. Et comme les vrais nains, il ne s'est jamais retiré les poils du nez! Sa bouche, elle, est doté de fines lèvres, la majorité du temps recouvertes par la pilosité nanique de Mibok. On pourrait presque penser à un petit animal ayant un trou dans sa fourrure. Oui, à ce point. Parlant des lèvres, la lèvre du haut possède une cicatrice horizontale commençant dans le coin gauche de cette même lèvre et finissant au milieu de sa joue droite. Ses dents, elles, sont presque toutes présentes, les autres ayant soit été arraché pour prévenir l'infection, soit elles étaient tombés lors d'un combat. Heureusement, la majorité sont des dents pas très visible, alors ça ne paraît pas trop. Ses joues, elles, sont rondes et grasse, comme s'il avait une éternelle bouché de viande dans la bouche. Ses sourcils, eux, sont gros et larges, se mêlant avec la chevelure de notre fier guerrier. Tel que le reste de son corps, ses oreilles, elles, sont petites et discrètes. Néanmoins, notre guerrier possède une ouïe assez développé. Maintenant, passons aux cheveux. Blond, telle était la couleur de cheveux de Mibok Norbeuk. Son crâne étaient recouverts de cette chevelure blonde comme le blé. La majorité du temps non peignés et restant quasiment tout le temps sous le casque du nain, on ne voyait pas les cheveux du soldat. En effet, il les coupait régulièrement pour ne jamais avoir une mèche de cheveux qui lui encombrent le visage et l'empêche de se concentrer. Mais sa barbe et sa moustache, elles, Mibok les laissaient poussé sans gêne comme un vrai nain et ne comptait pas commencer bientôt. Sa barbe lui arrivait environ au niveau du haut du ventre et sa moustache lui couvrait la majeure partie du visage et avaient fini par rejoindre la barbe pour ne former plus qu'un.

Maintenant, passons au corps. Commençons par parler du buste. Ayant passé des dizaines d'années dans la garnison de Thanor, Mibok possédait une musculature assez développé. Il possédait des pectoraux développé, surtout niveau muscle, car malgré les dizaines, voir centaines de chopes de bières et les milliers de morceaux de viandes qu'il avait dévoré, il s'entraînait toujours. Au niveau du ventre, c'était un peu la même chose. Bien que notre Thanoriens soit quelque peu gros de loin, il restait musclé. Passons maintenant à ses bras, membres surement les plus polyvalents des êtres vivants. Ses épaules, larges et musclés, permettaient le mouvement du bras complet, telle que les biceps et les triceps, très musclés, qui se terminait finalement par deux mains, elles aussi musclés, dotés de jointures larges et puissantes. Passons maintenant aux jambes, elles aussi assez puissante. Bien que courte, normal, c'est un nain, elles étaient musclées et habitué à la course folle et aux virages abruptes dans les couloirs sinueux des profondeurs de la montagne.

Description mentale :

Maintenant que nous avons terminé la description physique de notre soldat, passons à son mental. Question péché, notre héros est surtout axé sur la gourmandise. Attention, quand je dis qu'il est axé sur ce péché, je ne veux pas dire qu'il est un mangeur à temps plein, mais que son principal péché est la gourmandise. Autant dans le sens qu'il mange beaucoup qu'il veut toujours avoir plus d'importance et vise des buts très grands, que nous préciserons plus bas. Deuxième pêché sur lequel il est le plus axé: la violence. Enfin, la violence est surtout portée sur les peuples humanoïde mineur de Miradelphia et aux Drow, mais bon, il est quand même violent. Avec sa race et les humains, il est cordial, sympathique, avec un elfe un peu moins, mais quand même, mais quand il y a un Orc, un Troll, un Drow, un Gobelin ou que sais-je dans la place, il a seulement envie de sortir sa hache et de faire rouler les crânes. Ah oui, il est facilement provocable, donc éviter de l'irriter ou de l'insulter serait, à mon humble avis, la meilleure à chose à faire. Vis-à-vis des péchés de l'orgueil, de la jalousie, de la luxure et de l'avarice, il n'a strictement aucun rapport ou réaction envers eux. Mais pour la paresse, il en fait son pire ennemi et regarde d'un regard accusateur tous ceux qui en sont des partisans. Tout homme devrait faire un minimum d'effort pour aider sa communauté dans sa vie. Que ceux qui n'ont jamais bougé le petit doigt pour aider les autres ne demandent pas d'aide. Voilà une des phrases clé du guerrier.

Passons maintenant à l'amour, la haine et le reste du panel émotionnel. Commençons par la première, émotion précieuse et magnifique dans ce monde sombre de guerre et de morts, mais dangereuse autant que le poison. L'amour, Mibok le connut une fois, mais perdu ensuite de vue la femme qui lui avait offert ce magnifique sentiment. Il supposa, suite à cela, que ce n'était pas la bonne et qu'elle était sûrement rendue dans une des nombreuses villes du royaume nain. Néanmoins, sa réaction face à ce déferlement d'émotions, à cette chaleur bienveillante et à tout le reste le laissa sans voix. Maintenant, parlons de la soeur jumelle de l'amour, si proche et si loin en même temps, la haine. En effet, Mibok voue une haine assez sauvage envers, comme cité plus haut, les races vertes telles que les gobelins, les Orcs et les trolls, ainsi qu'aux Drows. Passons maintenant au reste du panel émotionnel. Nous décrirons trois émotions, les plus flagrantes chez Mibok, pour ne pas trop s'attarder à ce sujet. Première émotion: le courage. Soldat et fier de l'être, Mibok n'hésitera pas à sacrifier sa vie si ça peut sauver la vie de son peuple. Je ne dis pas qu'il fera n'importe quoi et essaiera de se sacrifier à tout va. Il se sacrifiera seulement si ça peut sauver une majorité. Deuxième émotion: La joie de vivre. En effet, Mibok n'est pas du genre ténébreux avec un passé sombre. Il est plutôt du genre joyeux en presque toute circonstance. Sauf que depuis le voile, disons qu'il sourit un peu moins. Troisième émotion: l'amitié. Il ne faut pas oublier que Mibok est un nain, race qui fraternise très facilement avec les autres et qui ne connaît pas la différence entre connaissance et amitié.

L'idéologie maintenant. Une partie importante de notre Mibok. Nous commencerons par parler de ses buts. Son premier se trouve être de devenir le général du premier régiment d'infanterie légère de Thanor. Le deuxième est en ce moment oublié, mais il est de repeupler la première citée. Le dernier but, apparut récemment, lui servira à alléger sa conscience des actes terribles qu'il a commis, comme bien d'autres nain, pendant le voile. Il s'agit d'aider à reconstruire les demeures des réfugiés et, s'ils sont venus s'établir autre part, les aidés à bâtir des villages près de Thanor ou de Lante, pour leur permettre de s'entraider et de ne pas se perdre dans une grande ville. Passons maintenant à sa vision du monde. Il voit le monde comme le principe du lac des mages. C'est une étendue d'eau immense et magnifique, abritant des centaines de formes de vies, mais qui, si on l'agite trop, peut tuer petit à petit ces créatures. Il croit finalement en Mogar, mais se demande, comme tous les gens de son peuple, la raison des actes du dieu de la guerre.

Histoire :

Mibok Norbeuk est née dans la cité naine de Thanor, ayant pour père un membre de la caste guerrière et donc de la garnison de Thanor et ayant pour mère une cuisinière dans la taverne la plus proche. L'argent qu'ils obtenaient subvenant largement à leurs besoins, Mibok naquit dans un milieu confortable et calme, sans difficulté. Son père partant fréquemment dans les villes et villages environnants pour exécuter différentes missions, la mère de Mibok s'occupa de lui la majeure partie de son enfance, son père lui racontant des récits héroïques de puissants guerriers nains quand il était présent. Les sept premières années de la vie du nouveau Norbeuk fut donc bercé par les récits paternels et la réconfortante attention maternelle. Quand il atteignit enfin le stade de son enfance, Mibok était immergé dans les coutumes naines au maximum et fut envoyé étudier auprès d'un professeur et d'autres futur membre de castes comme lui. Il n'eut aucun mal à répondre aux questions sur les castes, sur les coutumes ou sur les différentes batailles et apprit très rapidement les noms des demi-dieux du panthéon de Mogar. Il apprit vite à écrire le nanique très bien et, bien que ça lui pris deux ou trois ans, il apprit tout aussi vite le langage humain. De par son caractère et son comportement, il devint rapidement un leader pour les autres jeunes et n'eut aucun mal à se faire des amis. Il passa une bonne partie de ses temps libre à grimper aux flancs de la falaise surplombant l'embouchure du fleuve, endurcissant sans le savoir ses muscles et l'habituant aux épreuves difficiles auxquels les nains devaient faire face. Et quand il fut à deux ans de l'adolescence, il commença à se tenir près des casernes des différentes unités de Thanor et plus particulièrement près de celle de l'infanterie légère. Et a quinze ans, il se dénicha un bout de bois qu'il taille maladroitement de façon à ce qu'il ressemble plus ou moins à une hache d'arme, essayant d'imiter les soldats qu'il voyait chaque jour dans leur cour d'entraînement. Inutile de vous dire qu'il ne devint pas plus doué en faisant ça.

Enfin, il atteignit l'adolescence. À ses seize ans, sa musculature avait déjà commencé à se développer, tout comme sa résistance et il n'avait pas cessé d'observer les soldats du premier et du deuxième régiments d'infanterie légère. Il savait maintenant parfaitement ce qu'il désirait faire dans la vie: Suivre la voie de son père et devenir un brave guerrier de Thanor! Avec cet objectif en tête, il ne cessa pas de s'entraîner. Enfin, il faut penser qu'il était adolescent, alors il passait aussi de long moment à faire de l'escalade, à flâner ou à faire des petits mauvais coups en compagnie de ses amis. Et ceci pendant deux ans de temps, jusqu'à l'âge de dix-huit ans, où son père fut envoyé pour rester à Thanor une année de temps, sans interruption. Une année, le père de Mibok n'avait même pas passé ce temps-là en compagnie de son fils. Peut-être neuf, voir dix mois au total, mais pas une année. Alors, il en profita pour harceler son père de question, surtout au sujet du métier de soldat et s'il pouvait l'entraîner et lui montrer les bases. C'est ainsi que, pendant une année complète, il vaqua normalement à ses occupations mais s'entraîna deux fois plus qu'avant, cette fois en compagnie de son père. À dix-neuf ans, Norbeuk était devenu beaucoup plus fort et avait déjà prit quelque chopes de bière en compagnie de son père. Alors, Mibok garda la même rythme d'entraînement et continua à profiter au maximum de sa jeunesse, pour finalement, à vingt-cinq ans, avoir sa première barbe! Il en fut tellement fier qu'il dut la flatter pendant deux bonnes semaines. Vous voyez l'image. Finalement, à l'âge de vingt-huit ans, notre bon Mibok devint officiellement un nain majeur et fier de l'être.

Est-ce que j'ai besoin de vous dire la troisième chose qu'il fit après avoir atteint l'âge adulte? Oui, la première chose fut de se saouler à mort, puis de se réveiller le lendemain, souffrant d'une gueule de bois. Après ça, il partit s'engager dans le premier régiment d'infanterie légère de la garnison naine de Thanor. Il commença, dès qu'il reçut son casque, à le porter presque toujours, sauf la nuit, exhibant avec fierté le symbole qu'il était au bas de l'échelle des castes. On lui offrit deux haches d'armes, une de taille standard et une autre plus petite [Voir équipement] ainsi qu'une targe de bois avec un centre de métal. Il découvrit bien vite que nombre de ses amis d'enfance s'étaient joint à son régiment et cinq de ses bons amis se retrouvèrent dans la même caserne que lui, faisant que Mibok se sentait encore moins seul. Ses journées se résumaient à une patrouille un jour sur trois pendant toute la matinée et la moitié de l'après-midi, de l'entraînement pendant toute la journée et une bonne lampée de bière forte à souhait le soir et la nuit. Après deux mois de cette routine, il fut envoyé, lui et sa caserne, en mission pour éliminer un groupe de bandits qui avaient massacré sans scrupule un groupe d'une dizaine de marchands qui venaient de quitter Thanor. La mission dura deux jours et, fort heureusement, il n'y eut aucun mort du côté des soldats, qui attaquaient un groupe de vingt bandits avec quatre-vingts soldats. Environ sept soldats furent blessé et un seul reçu une flèche qui lui fit perdre assez de sang pour que ça soit grave, mais il fut soigné et resta en vie. Les missions continuèrent à se succéder plus ou moins régulièrement, tandis que les nouveaux soldats voyaient leurs corps s'endurcirent et devenir celui de vrai soldats! Une dizaine d'année passa donc, après lesquels le bilan de morts dans une mission dans leur caserne était de quatorze, qui furent vite remplacé par des nouvelles recrues. Malgré tout, Mibok gardait le moral et remontait celui des autres dans les moments difficiles. Sa joie de vivre lui valu une popularité dans sa caserne et même dans tout le régiment. Il eut rapidement une bande d'amis de différente casernes, bien qu'elle ne comptait qu'une douzaine de soldats, dont six étaient de sa caserne, ils étaient étroitement lié par l'amitié avec ses gens.

Puis, le régiment envoya une caserne, celles de Mibok et le régiment des lanceurs de hache envoya lui aussi une caserne, accomplir une mission qui devait durer environ un mois et demi. C'était l'hiver et les tempêtes n'étaient pas rare dans les montagnes et les territoires nains entiers. Leur mission était d'empêcher un clan de nain vivant à l'extrémité nord de leur territoire et faisant sans cesse la guerre aux autres clans et pillant les villages de leurs cousins du Sud d'envahir un village comptant près de neuf cents habitants et de piller tout. En résumé, le clan comptait environ cent vingt individus, contre cent seize soldats. Parmi ce clan vivait une dizaine d'individus nommé "Sabreur clanique" et utilisant des épées semblables à celles que ces bandits des mers utilisaient. Seul problème: ces sabreurs avaient tous environ une centaine d'années et s'entraînaient au sabre depuis leur adolescence. La bataille fut très éprouvante pour Mibok et pour les cent cinquante-neuf autres soldats. Quand ils arrivèrent dans le village, après une semaine de voyage, ils passèrent au moins une semaine et demie à aider les habitants à barricader leurs maisons, à installer des protections devant le village, pour pouvoir se cacher et ne pas être bombardé de flèche quand l'ennemi primitif arriverait. Les nains virent arrivés les ennemis, mais un petit peu trop tard. Ce jour-là, c'était un vrai blizzard dehors et les sentinelles aperçurent les cent vingt ennemis quand ils furent seulement à quelque mètre des protections. Les soldats se mirent rapidement en place mais l'assaut avait commencé. Poussant des cris de guerre à glacer le sang, l'ennemi fonça sur les soldats qui venaient à peine de dégainer leurs armes. Mibok hoqueta de surprise quand il vit un ennemi équipé d'un grand marteau de guerre foncé sur lui, laissant à peine le temps à Norbeuk de lever sa targe pour bloquer le coup du mieux qu'il put. Mais son adversaire envoya un autre coup en direction du côté droit de la cage thoracique du nain blond qui n'eut pas le temps de déplacer sa targe à temps. Pour éviter le coup, il se jeta sur le dos, sentant le marteau frôler le devant de sa cage thoracique, ce qui lui coupa le souffle un bref instant. Le guerrier clanique lui fonça à nouveau dessus et sauta sur Mibok, qui était couché sur le dos, commençant à peine à se relever. Mais il n'eut pas le temps encore une fois et du rouler sur la droite pour éviter le poids entier de son ennemi, qui s'écrasa face première dans la neige. Alors, Mibok Norbeuk saisit l'occasion et abattit sa hache d'arme sur la nuque de son ennemi, une fois, puis deux, puis trois et enfin la tête tomba dans une explosion de sang et de résidus d'os.

Mais à peine en avait-il finit avec son adversaire qu'un autre arriva vers lui, tâché de sang, une barbe blanche démontrant qu'il venait d'atteindre la centaine il y a quelques années de ça. Dans chacune de ses mains, il y avait... un sabre. Tâché de sang eux aussi. L'homme leva la tête au ciel, poussa un cri de guerre et de rage dans sa langue de clan incompréhensible, mais dans laquel le mot Mogar fut comprit de Mibok et fonça sur Norbeuk. Il abattit d'abord son premier sabre vers l'épaule gauche de son ennemi, qui bloqua avec sa targe, encaissant le puissant impact avec cette même épaule, ce qui lui fit un mal de chien. Puis, il attaqua avec son autre sabre, que Mibok para de sa hache d'arme avant d'envoyer un coup circulaire vers la gorge du sabreur clanique, qui bloqua le coup de ses deux sabres. Mibok envoya ensuite un violent coup de bouclier vers la visage de son adversaire, qui esquiva rapidement sur la gauche avant d'envoyer ses deux sabre vers le coude gauche du soldat de Thanor, qui baissa son bras qui fut violemment éraflé quand même, deux entailles saignant à flot étant désormais présente sur le début de son avant-bras gauche. Norbeuk était épuisé. Il venait d'affronter un homme au marteau et maintenant il affrontait un des plus puissants sabreurs parmi son clan. L'adversaire leva ensuite ses lames au-dessus de sa propre tête et les descendit à une vitesse folle. Mibok plia les genoux et se donna une poussée vers l'arrière, évitant de justesse cette attaque avant de rouler vers l'arrière et de se relever. Puis, Mibok adressa une prière muette à Mogar, lui demandant de lui permettre de gagner cette bataille et de rentrer sain et sauf chez lui. Puis, il fonça en poussant un cri qui ressemblait à "Que Mogar me protège!". Puis, il envoya un violent coup de hache d'arme en direction du crâne de son ennemi qui évita de justesse. Mibok vit alors que son ennemi allait riposter, alors il bondit sur lui, le faisant basculer sous lui. Il envoya ensuite un coup de hache en direction du coeur de son ennemi, qui bloqua avec un de ses sabre et tandis qu'avec l'autre, il envoya un coup qui fut bloqué par la targe de Mibok. Les deux ennemis poussèrent de toute leur force sur leur arme, avant de voir le sabre qui frappait le bouclier voler dans les airs et la hache d'arme du Thanorien faire un tas de tour dans le ciel pour aller se planter dans la neige, plus loin. Mibok, surprit, faillit avoir le crâne tranché en deux, mais vit au dernier moment le sabre se diriger vers lui et il recula sa tête par instinct, recevant une entaille qui partit du coin gauche de la partie supérieure de sa lèvre jusqu'au milieu de sa joue droite. Comme riposte, il envoya un puissant coup de bouclier dans le visage du sabreur, qui fut sonné. Norbeuk lui donna ensuite un violent coup de poing dans la gorge, avant de lui casser le poignet et de lui voler son sabre. Il poussa alors un cri de guerre et de rage et planta la lame dans le coeur de son ennemi. Quand il se releva après son combat, le spectacle devint lui faillit le faire vomir, mais fit tout de suite monter les larmes à ses yeux. Des cadavres étaient éparpillés partout, le ventre de certains ouverts et leurs entrailles en sortant, d'autre encore avaient le crâne ouvert, un bout de cervelle sortant de la tête. Et Mibok connaissait une grande partie de ces morts.

La mission fut déclarée réussite. Sur les cent vingt ennemis, cent trois périrent, dix furent capturés et sept prirent la fuite. Du côté de la caserne de Mibok, il y avait quarante-trois morts et du côté de la caserne des lanceurs de haches, cinquante morts. Quatre-vingt-treize mort sur les cent soixante soldats à la base. Soixante-sept survivants donc. Des six membres de la bande à Mibok qui avaient fait la mission, seulement un s'en était sorti et il avait perdu la vue de son oeil droit. Le retour à Thanor fut silencieux et glauque, les larmes de certains étant resté séché sur leurs joues. À leur retour à Thanor, ils reçurent tous des condoléances et des félicitations. Félicités pour avoir tué des ennemis. Mibok Norbeuk monta en grade, car beaucoup l'avait vu affronter un sabreur clanique et il s'en était sortit indemne. Mibok noya rapidement ses chagrins à la taverne et après quelque mois, le chagrin passa et il reprit son comportement d'avant la mission et son train-train quotidien reprit. Il avait perdu le moral pendant un bon moment et il ne devait plus le perdre. C'est ainsi qu'il pensa! Même s'il perdait des amis, il devait garder le moral de ceux encore là au maximum possible. Puis, des années s'écoulèrent, la barbe poussa et Mibok finit par atteindre l'âge de soixante ans. Voilà vingt-deux ans qu'il avait accompli la mission qui lui avait valu une promotion. Il voyait de plus en plus de recrue afflué dans le régiment et il en voyait aussi d'autre le quitter pour le monde souterrain. Il devenait de plus en plus fort à la maîtrise de la hache d'arme, devenant un vrai as avec cette arme qui, avec sa targe, lui donnait une puissance inouïe. Sa bande, quand il eut soixante ans, ne comptait plus que celui qui avait fait la bataille avec la lui et qui était de sa caserne et de trois autres soldats. Les trois autres avaient péri au cours des vingt-deux dernières années. Sa mère, étant âgé de cinquante-cinq ans lors de sa naissance et son père de soixante-dix, ils étaient maintenant âgé chacun de cent quinze ans et de cent trente ans. Le père de Mibok avait, il y a environ cinq ans, acquis le grade de chef de caserne. Et de simple cuisinière, la mère de Norbeuk était devenue l'adjointe du patron de la taverne et elle s'occupait donc de gérer les cuisiniers/ières et les serveurs/euses.

Mibok étant toujours aussi populaire, il n'accepta toutefois personne d'autres dans sa bande et ceci pour une bonne raison: il ne voulait pas souffrir comme il avait souffert quand ses autres amis étaient morts. Il continua donc à vieillir et, à l'âge de soixante-quinze ans, [Cette partie sera retirée si le staff me refuse le grade de lieutenant] il accéda au grade de lieutenant. Un autre membre de sa bande décéda peu après, pas celui de sa caserne, mais un autre, mort, car il tomba du haut des falaises de Thanor pour s'écraser contre les rochers en bas et se noyer ensuite dans l'eau gelé. Il continua à vieillir, obtenant de plus en plus de maturité et finalement, à l'âge de quatre-vingt-douze ans, il y eut le "voile". Inutile de vous décrire les maux qui ont touché le peuple nain. De l'entraide la plus grande au monde, ils sont devenus des brutes qui s'entre-tuaient à cause d'un simple regard quelques fois. Mogar avait réveillé leur fureur. Mibok se leva relativement de mauvaise humeur malgré le voile ce matin-là. Il se disait que le voile était la depuis le jour précédent et qu'il voudrait revoir le soleil, pas que cette fichue éclipse qui rendait le monde ombrageux. Puis, il sortit de sa caserne. Quand il sortit, une nouvelle recrue le regardait, le visage couvert de sang et un poignard dans à ses pieds. Il avait un regard rageur et les dents serrées. Alors, Mibok haussa un sourcils, se demandant la raison qui poussait cette recrue à le regarder ainsi. Et surtout, pourquoi était-il recouvert de sang, un poignard à ses pieds? Mibok s'approcha de lui et lui posa une main sur l'épaule avant de lui demander ce qui c'était passé. Puis, le nouveau soldat de Thanor lui désigna un cadavre plus loin et sourit comme un fou. Puis, il demanda à Norbeuk s'il voulait lui donner de l'argent pour aller à la taverne, comme si de rien n'était. Mibok, écarquilla les yeux, se demandant bien ce qui se passait dans le crâne de ce soldat. Il l'ignora et se dirigea alors vers les quartiers de ses supérieurs, mais la jeune recrue l'implora de lui donner de l'argent, sous prétexte qu'il n'en avait pas assez. Puis, Mibok lança un regard au cadavre et senti la rage bouillir en lui. Mais il continua, pour aller avertir ces supérieurs. Son humeur déjà mauvaise était devenu deux fois pire.

Alors qu'il marchait, le guerrier Thanorien vit quelques soldats au terrain d'entraînements échanger quelques coups. La majorité étaient des recrues, venu très tôt dans la matinée pour pouvoir prouver à leurs supérieurs qu'ils ne manquaient jamais une séance d'entraînement. Le Thanorien s'approcha, mais ce qu'il croyait n'être qu'un combat amical vira rapidement en joute d'insultes et en coups violents et mortels entre deux des guerriers à l'entraînement. Et celui qui pris le dessus fit perdre conscience à l'autre et il ne s'arrêta pas là. Il continua, la rage de Mogar embrouillant son regard. Mibok courut vers le lieu de l'affrontement, mais il était trop tard. Et, tout meurtre cause un cercle vicieux. C'est ainsi que le meilleur ami du mort envoya un coup de marteaux de guerre dans le visage du tueur, qui s'écroula, le visage complètement déformé par le choc de l'arme. Mais le Thanorien blond réussit à retenir le "vengeur" avant qu'il ne cause plus de dommage au tueur. Qui était déjà gravement blessé. Mibok ordonna alors aux soldats sur le terrain d'entraînement de s'éloigner et de retourner dans leurs casernes ou d'aller avertir leurs supérieurs. Norbeuk reprit donc la route des quartiers des officiers plus hauts gradé et eut la chance de trouver un chef de caserne non loin de là, qu'il courut avertir de ce qui s'était passé. Le nain fut surprit et promit au nain blond de passer le message tout de suite à ses supérieurs. Mibok en fut soulagé et reprit la direction de sa caserne. Quand il fut arrivé, il constata que le soldat qui lui avait demandé de l'argent à sa sortie de la caserne et qui avait tué un homme était mort, le poignard enfoncé dans son coeur, il avait probablement mit fin à ses jours par culpabilité. Puis, Mibok entra dans sa caserne et constata que seulement quelques-uns de ses membres étaient présents. Il s'allongea sur son lit et s'assoupit, se questionnant sur les évènements et s'ils avaient un lien avec le voile. Les évènements tels qu'il avait vu ce jour-là se succédèrent alors de plus en plus fréquemment. Chez tous les habitants de Thanor, une fureur s'emparait d'eux et ils ne pouvaient s'empêcher de se bagarrer ou pire, de s'entretuer pour des choses bénignes. Tout conflit ou désaccord ou même un refus pouvait créer un combat mortel. Les soldats eurent beau tenté de maintenir le maximum d'ordre possible, eux aussi étaient emparé de cette fureur. Après quatre semaines, le nombre de civils ou de militaire que Mibok avait vu mourir était incroyable. Et ce voile qui ne s'arrêtait pas.

La cinquième semaine, Mibok alla boire un verre en compagnie d'un de ses compagnons de sa bande, celui de sa caserne. Ils rirent beaucoup, surtout à cause de l'effet de l'alcool. Puis, quand l'ami de Mibok donna une trop grande tape amicale à celui-ci, il lui lança un regard furieux, par lequel son ami répondit par un regard tout aussi rageur. Mibok réussit à se raisonner à temps et secoua la tête, posant une main sur l'épaule de son ami, lui disant qu'une dispute n'était pas nécessaire. Mais l'alcool et la malédiction avaient déjà fait effet. Le compagnon de caserne de Mibok lui asséna un puissant coup de poing au visage, avant de lui donner un formidable coup de pied dans le ventre, le faisant tomber au sol. Puis, il sauta sur le Thanorien blond lui donnant des tas de coups de poings qui firent saigner Mibok et qui risquait de mettre sa vie en danger. C'est ainsi qu'il donna un coup de tête incroyable à son ami. Ce coup l'ayant sonné, Mibok prit le dessus et voulu lui casser le nain d'un coup de poing mais son ami avait reculé, la masse d'arme en main et une chaise de bois dans l'autre. Il poussa un cri rageur et fonça sur son ancien ami. Il envoya un coup de chaise que Mibok esquiva en sautant au sol, faisant une roulade et se relevant juste à temps pour parer le coup de masse de son ami, qui continua la bataille. La fureur prit finalement la possession de Mibok Norbeuk, qui envoya, dès qu'il vit une faille dans la défense de son meilleur ami, de violents coups de hache d'arme qui furent presque tous parés, sauf les trois derniers qui heurtèrent avec violence la cage thoracique de son défunt ami. Qui tomba au sol, raide mort. Mibok ne constata son erreur qu'après et passa des jours à culpabiliser. Il avait tué un membre de sa bande, un membre de sa race, un frère! Combien de larmes versa-t-il pour cette raison? On n'en sait trop rien.

Les batailles entre anciens compagnons se succédèrent et, finalement, après un mois entier de violence et de sauvagerie chez les nains, le voile fut levé, faisant enfin voir au petit peuple ce qu'ils avaient commit. Beaucoup pleurèrent, le coeur poignardé par la culpabilité. D'autre mirent fin à leur vie. Et des gens comme Mibok décidèrent de se pardonner leurs crimes eux mêmes en aidant les milliers de réfugiés affluant du Nord ou de Kirgan. Des tas de villes et villages avaient été touchés par le voile. Et tous les membres de la bande de Mibok étaient mort, l'autre qui n'était pas de sa caserne s'étant fait tué à la septième semaine du voile. Mibok se jura d'aider les réfugiés à trouver de la place à Thanor où construire leur demeure. Il passa donc les trois derniers mois de sa quatre-vingts douzième année à creuser des demeures à flanc de falaise pour les réfugiés, à leur construire des refuges temporaires ou permanents et à accomplir un tout tas de travaux divers aidant la communauté tout entière. Même après une année, Mibok ne s'est pas encore complètement pardonné d'avoir tué un de ses meilleurs amis. Il continua donc à aider les réfugiés, reprenant peu à peu les vrai missions militaires et se demandant, comme tous les autres nains, pourquoi Mogar les avaient ainsi trahis?

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Comment trouves-tu le forum ? :Il a l'air super!
Comment as-tu connu le forum ? :Google!
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) :

C'est pour le moins... exhaustif.

Comme je te disais, il y a un effort à faire sur l'orthographe.

Ensuite, pour ce qui est de Thanor et du voile (ainsi que de l'effet du dieu de la guerre sur les Thanoriens), je pense qu'il te faudrait tempérer un peu tout ça. La Colère de Mogar a été moins forte dans le sud, donc à Thanor.

Voilà pour les premiers points.

D'accord, désolé. Je changerais les dernières parties tout à l'heure et corrigerais ensuite le tout. Merci!

Voila, j'ai corrigé les fautes et modifié la partie sur le voile.

Je te prie d'excuser le retard, j'avais beaucoup de choses en souffrance à côté.

Ca va, tu es validé.

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Code:

[Métier & Classe] : Sergent de l'armée de Thanor

[Âge & Sexe] : 93 ans & Masculin

[Classe d'arme] : Corps à corps

[Alignement] : Communauté de la Lumière