Nombre de messages : 31 Âge : 34 Date d'inscription : 05/01/2012
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Edryc Asteranyth, Fils de Lothoedus [Aventurier] Jeu 5 Jan 2012 - 21:04
Nom/Prénom : Edryc Asteranyth Âge : 32 ans Sexe : Masculin Race : Humain Particularité : Particulièrement doué au combat pour-lequel il a été formé dès le plus jeune âge par son père, Edryc manie l'épée longue à la perfection. Il sait également lire et écrire, ce qui lui permet de laisser une trace écrite de ses aventures à travers Miradelphia.
Alignement : Neutre bon Métier : Aventurier Classe d'arme : Corps à corps
Équipement : Outre l'élément indispensable pour voyager, à savoir un cheval, Edryc emporte rarement grand-chose avec lui. Voyageur, il n'occupe plus la maison familiale abandonnée à Scylla mais garde toujours sur lui suffisamment d'écus pour s'arrêter dans une auberge, bien qu'il ne se prive pas de dormir en pleine campagne lorsque les intempéries le permettent. Il ne porte que des vêtements légers, les cuirasses ne permettant pas de voyager confortablement. En cas de problème, il n'a pour sa défense que la redoutable épée de son père Lothoedus. Celle-ci est entièrement forgée d'acier, souple et flexible, elle a fait couler beaucoup de sang et est probablement le bien le plus précieux qu'Edryc possède, à ses yeux du moins. L'héritage de son père en souverains et en écus lui permettrait probablement d'en acheter d'autres, mais aucune épée au monde ne lui conviendra mieux que celle-ci.
Description physique : Le physique élancé, agile et rapide, Edryc compte davantage sur sa vivacité d'esprit que sur sa force mais n'est pas chétif pour autant. Combattant aguerri, il est de grande taille et sa grande forme physique se voit au premier coup d'oeil. Les cheveux bruns, mi-longs, tombent sur ses épaules et il ne quitte sa barbe d'aventurier que lorsqu'il s'installe quelque temps dans une ville ou un village. Ses yeux sont bruns sombres comme l'étaient ceux de son père et de ses quatre frères. C'est fièrement qu'il arbore les cicatrices des combats passés, comme pour montrer à l'ennemi qu'il en a vus bien d'autres. En dépit des airs qu'il peut se donner devant les personnes les moins recommandables, la plupart des gens qu'il croise le trouvent sympathique au premier abord. Et ils n'ont pas forcément tort.
Description mentale : Nous disions qu'Edryc est sympathique, n'est-ce-pas ? En effet, lorsque les gens le voient, ils ne constatent pas directement son goût immodéré pour l'aventure mais avant tout la façon qu'il a de vouloir rendre service à ceux qu'il croise. Ainsi est Edryc Asteranyth : là où il va, il rend service, qu'importe la récompense. Sur ce point, il se conduit de la même manière que son père, à la différence que Lothoedus ne rendait service qu'aux habitants du comté de Scylla. Leur ressemblance s'arrête là. Edryc, pour sa part, a entreprit de voyager à travers Miradelphia, de découvrir des territoires inexplorés et des cultures méconnues. Lorsqu'il entend une rumeur parlant d'un endroit maudit, il a toutes les peines du monde à se convaincre de ne pas y aller, et d'ailleurs, il ne s'en convainc pas, il prépare aussitôt son voyage. Il n'aime pas qu'on lui dise ce qu'il doit croire, il a besoin de vérifier les choses par lui-même. Lorsqu'il parcourt les vallées sauvages loin de toute civilisation connue, ce n'est pas à la recherche d'un trésor, mais parce qu'il éprouve le besoin de savoir ce que renferment ces lieux, quelle est leur histoire et pour quelles raisons sont-ils à l'abandon. Edryc est un homme curieux, et sa curiosité ne s'arrête pas à ses voyages, elle le pousse aussi à s'intéresser aux arts, à l'écriture, à l'Histoire. Il rêve par ailleurs de laisser une trace écrite de ses aventures à travers Miradelphia, car bien qu'il sache qu'en tant qu'humain son existence est éphémère, il a vite comprit que quand les hommes meurent leurs écrits restent.
Histoire :
Edryc Asteranyth, fils de Lothoedus et d'Audovera, est né à Scylla dans la 973ème année du 10ème cycle. A cette époque, Lothoedus était un serviteur dévoué du Comte de Scylla, qui venait de l'adouber. Le chevalier Lothoedus était alors un homme respecté dans le comté et sa famille était particulièrement appréciée, tant chez les notables que chez les roturiers, en raison des nombreux services qu'il rendait autour de lui. La popularité de Lothoedus fut vite rattrapée par sa fortune, et il semblait alors que les Asteranyth ne manqueraient de rien. Pour combler davantage le bonheur de son époux, Audovera remplit avec dévouement ses devoirs conjugaux et lui donna en tout cinq enfants, tous des fils, de quoi faire pâlir bien des nobles de jalousie.
C'est dans ce décor de réussite, à l'abris dans les murs de la grande maison des Asteranyth en haut de la colline qu'Edryc grandit avec ses frères, Agylus, Etienne, Adrien et Mérovée. Bien que Mérovée était l'aîné et Edryc le second, les cinq fils du chevalier étaient tous d'âge assez proche, le cadet Adrien n'ayant que six ans d'écart avec Mérovée. Lorsqu'il rentrait à l'issue d'une mission pour le Comte, Lothoedus passait le plus clair de son temps à enseigner à ses enfants l'art du combat, pour-lequel les cinq montraient d'impressionnantes prédispositions. Ils passèrent le plus clair de leur jeunesse ensemble à s'entraîner au maniement des armes, mais alors qu'ils grandissaient, l'orgueil aidant, chacun des frères semblait entrer en compétition avec les autres pour faire la fierté de leur père. Il faut dire que Lothoedus se répandait rarement en compliments. C'était un homme dur qui ne jurait que par le code du mérite, et son respect devait se gagner durement. Lothoedus encourageait d'ailleurs la rivalité entre ses fils, considérant qu'il n'y avait pas de place pour les femmelettes dans sa descendance et que cette rivalité était le meilleur moyen de faire d'eux des hommes, des vrais. Aucun des frères ne montra la moindre faiblesse, tous furent déterminés à tout mettre en oeuvre pour devenir le champion de leur père. Mais en dépit de leurs efforts, aucun d'eux n'eut droit à la bénédiction paternelle tant recherchée... à l'exception peut-être de Mérovée.
Au début de l'automne 994, Lothoedus fit de l'aîné son écuyer et annonça son intention de l'emmener avec lui pour une mission à Alëandir, la cité des elfes. Si les frères Asteranyth avaient déjà eu l'occasion de voyager dans le royaume et de visiter Diantra à plusieurs reprises, aucun d'eux ne s'était encore aventuré hors des frontières humaines et l'idée de côtoyer les elfes était un rêve d'enfance qu'ils n'imaginaient pas encore accomplir de leur vivant. Pourtant, Mérovée n'eut pas droit au privilège promis. Quelques jours avant la date du grand départ, Lothoedus contracta la peste alors qu'il revenait de Diantra. Le chevalier mourut dans les jours qui suivirent d'une lente agonie. Il fut l'une des premières victimes de la maladie introduite par les drows avant la guerre. Malgré la fortune héritée de leur père, les cinq frères eurent toutes les peines du monde à obtenir pour lui un enterrement décent en raison de l'épidémie qui se propageait et de la crainte qu'inspirait le cadavre d'un pestiféré. La perte tragique de son père marqua profondément Edryc, et s'il pleura amèrement le départ d'un homme qui ne lui avait pourtant jamais témoigné la fierté qu'il avait tant souhaitée recevoir, le malheur l'endurcit. Que Lothoedus soit vivant ou mort, Edryc se promit de se montrer digne de lui pour le restant de ses jours.
L'année suivante marquera un nouveau tournant. Alors que les hommes venaient d'éradiquer la peste, la guerre grondait dans Miradelphia et les proches des victimes de la maladie appelaient à la haine et au massacre des drows. Les cinq frères ne mirent pas longtemps à se décider de prendre les armes, et ils partirent ensemble rejoindre l'armée du Roi Ultuant. La richesse de Lothoedus fut engloutie dans leur équipement de guerre, le reste fut laissé à leur mère Audovera pour qu'elle puisse vivre décemment malgré l'absence de feu son époux et de ses enfants. Bien que chacun d'eux espérait revoir un jour le doux pays de Scylla, tous étaient bien déterminés au grand départ. Combattre sous l'étendard du Roi serait pour eux le moyen de rendre hommage à leur père et de défendre leur mère patrie. A cette époque, le simple nom d'un seigneur sombre, Tebryn Rylint'tar, faisait trembler les populations entières. Pour Mérovée, Edryc, Agylus, Etienne et Adrien, ce nom n'était que celui d'un être infâme qu'ils jugeaient responsable de la mort de leur père. C'est donc avec l'espoir de ramener sa tête en trophée qu'ils se mirent en route pour Diantra où le Roi rassemblait son armée.
Evidemment, aucun d'eux ne trancha la tête de Tebryn et ils ne le croisèrent même pas sur un champ de bataille, mais chaque fils de Lothoedus honora la mémoire du père en faisant couler beaucoup de sang drow. A l'issue des premières batailles, les frères se séparèrent, partant combattre dans des formations différentes à différents points chauds du conflit. Ironie du sort, la guerre, si terrible qu'elle fut, donna à chacun d'eux l'occasion de voir les terres qu'ils avaient tant rêvé de visiter par le passé. Etienne fut notamment envoyé en mission dans les protectorats elfiques. Edryc quant à lui demeura un temps sous les ordres du Duc de Sephren, ne prenant part au combat que de façon occasionnelle. Il devint l'un des messagers du Duc, l'art de l'écriture étant une des choses qu'il avait apprises sur le tas à côté de son entraînement au combat. Mais si sa situation lui permettait de se tenir informé de bien des choses, il n'aspirait qu'à rejoindre ses frères à la bataille pour renvoyer les drows dans leur lointain exil. Pour les autres, le prix de la gloire fut malheureusement élevé : Etienne et Agylus y laissèrent la vie, le premier très tôt lors d'une bataille en bordure de la forêt d'Anaëh, le second lors du saccage d'Ydril.
Edryc dut attendre la fin de l'année 997, avec l'assassinat du Duc de Sephren, pour être libéré de ses obligations envers ce dernier. Plutôt que de rejoindre un corps d'armée, il profita du temps qui lui était laissé pour parcourir les terres de Miradelphia pendant un an. Ce fut son premier grand voyage en solitaire, et il partit droit devant lui sans savoir vraiment où il allait, n'ayant avec lui qu'un cheval, une épée et de quoi payer quelques nuits dans une auberge. Il chevaucha notamment en bordure des protectorats elfiques malgré la réticence des Elfes à accueillir des voyageurs humains en ces temps troublés. Malgré la beauté des Elfes, il délaissa rapidement les grandes aires de peuplement pour voyager dans les terres sauvages, là où les hommes étaient rares mais où la vie existait sous d'autres formes. Combien de nuits passa-t-il à veiller à l'écoute d'un bruit suspect, s'attendant chaque instant à voir surgir la mort ? Celle-ci pouvait prendre les formes les plus diverses, d'une féroce bête sauvage à un groupe de pillards. Le grand voyage ne fut certes pas sans danger et il manqua plus d'une fois une fin tragique au fin-fond d'une région hostile. Néanmoins, il rentra à Scylla en un seul morceau, et il y retrouva ses frères Mérovée et Adrien encore en vie. Les trois frères pleurèrent ensemble la perte d'Etienne et d'Agylus, puis demeurèrent dans la maison de famille auprès de leur mère tombée malade. Ils veillèrent Audovera durant une semaine, occupant leur temps à compter leurs propres aventures ces dernières années. Mérovée et Adrien avaient continué à se battre pour Diantra. Edryc, pour sa part, avait comprit que le goût de l'aventure, de la chevauchée vers l'inconnu à travers le monde, surpassait chez lui le désir de prendre part à la guerre. Mais il s'abstint de le révéler à ses deux frères, car ceux-ci ne le comprendraient probablement pas. A la fin de la semaine, la maladie emporta Audovera. Ils enterrèrent leur mère près de la tombe de Lothoedus, et demeurèrent ensemble une semaine encore dans la belle ville de Scylla pour se remémorer leurs vieux souvenirs d'enfance.
Puis vint la Guerre civile. La trahison d'Hannibal de Roch, Comte de Scylla depuis peu, obligea les Asteranyth à choisir entre leur terre natale et leur dévotion au Roi Trystan. Mérovée et Edryc prirent le parti du Roi, et tentèrent de convaincre Adrien de faire de même. Mais celui-ci était trop attaché à Scylla qu'il considérait comme les racines de leur famille. Ils se quittèrent devant la vieille maison de leur père, et jamais Edryc ne revit son frère cadet. Il partit avec Mérovée rejoindre l'armée de Trystan, qui organisait depuis Erac sa résistance face aux seigneurs félons. Les deux frères participèrent à la reconquête de Diantra. La bataille fut d'autant plus terrible que l'ennemi n'était pas drow mais humain, et que certains des hommes qui servaient les traîtres étaient originaires de Scylla... comme Adrien. Lorsque le voile de la mort se retira, découvrant Diantra dévastée par la rage des combats, Edryc chercha son frère Mérovée. Il tomba d'abord sur la dépouille de son frère Adrien, mort en combattant pour l'ennemi. Il passa la journée entière à rechercher Mérovée, mais ne le trouva nulle part. Aujourd'hui encore, Edryc ignore si son frère aîné est toujours en vie, mais il dut se résigner à accepter l'inacceptable. La victoire des loyalistes n'apaisa guère l'amertume du dernier fils de Lothoedus.
A l'issue de la guerre, Edryc reprit sa liberté et quitta Diantra. Il décida de combler le poids de la solitude en repartant en voyage à travers Miradelphia. Il ne fit qu'un arrêt dans le comté de Scylla pour se rendre pour la dernière fois dans la vieille demeure familiale. Il prit avec lui l'épée de Lothoedus, et prépara son cheval pour le grand départ. Il n'avait plus personne dans sa vie et avait désormais tout le temps qu'il lui fallait, du moins du point de vue d'un homme. Il se mit en route à la fin du 10ème cycle et quitta le royaume des humains. Alors que l'horizon s'obscurcissait sur Miradelphia au commencement du 11ème cycle, Edryc partait confiant, décidé à explorer l'immensité des terres qu'il n'avait pas visitées lors de son premier voyage. Il prit la route vers le nord, en direction des royaumes nains. Il demeura quelque temps aux abords de Lante, où d'autres humains étaient venus s'installer pour son commerce florissant. Les dissensions locales l'incitèrent finalement à ne pas s'y attarder et il fit route vers Thanor où les humains étaient mieux vus. Il séjourna là-bas de nombreux mois et se lia d'amitié avec plusieurs nains, mais son goût de l'aventure ne lui permettait désormais plus de rester en place. Lorsqu'il annonça à ses amis nains son intention de partir, ceux-ci lui demandèrent naturellement où il comptait partir. La réponse d'Edryc fut simple : il n'en avait aucune idée, et se rendrait là où le destin guiderait ses pas. En réalité, il avait déjà un plan en tête, car il avait eu vent des rumeurs les plus folles sur les ruines de Kirgan, là où les expéditions qui s'y rendaient ne revenaient pas. L'un des nains eut néanmoins vent de ce projet fou et parvint à dissuader Edryc de s'y rendre. Mais si celui-ci promit de ne pas s'y rendre immédiatement, l'idée de visiter un lieu depuis longtemps abandonné que tout le monde évitait soigneusement le séduisait toujours. Il partit quand même, mais pour la vallée sauvage de Nerania qui n'était guère plus sûre. Il passa quelques mois dans la vallée, totalement coupé du monde mais pas totalement vide. Des groupes de pillards aux renégats en fuite, la compagnie était belle et bien présente, quoique pas très sympathique. Edryc y laissa son cheval, la malheureuse bête terminant dans les estomacs d'un groupe de créatures terrifiantes que l'aventurier n'avait vus dans aucun livre. Comment parvint-il à survivre sans son cheval, lui-même n'en avait aucune idée. Son instinct de survie l'obligea à tout mettre en oeuvre pour quitter la valée de Nerania en un seul morceau et remettre à plus tard ses voyages vers les destinations qu'il rêvait encore de visiter. Des destinations qui n'étaient pas vraiment plus sûres. En attendant, il réussit miraculeusement à regagner Thanor d'où il se procura un nouveau cheval et décida de s'accorder une pause. Il voyagea vers le sud-ouest pour regagner le royaume des hommes qu'il n'avait plus vu depuis des années, et s'installa à Diantra pour une durée indéterminée afin d'écrire ses aventures.
Au début de l'an 6, Edryc Asteranyth était prêt à repartir en voyage.
Dernière édition par Edryc Asteranyth le Ven 6 Jan 2012 - 18:03, édité 1 fois
Kassandra
Ancien
Nombre de messages : 1120 Âge : 32 Date d'inscription : 23/09/2009
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 28 ans Taille : Niveau Magique : Eveillé / Néophyte.
Sujet: Re: Edryc Asteranyth, Fils de Lothoedus [Aventurier] Ven 6 Jan 2012 - 17:53
Aloha et bienvenue ! Je vais m'occuper de ta fiche.
Alors je n'ai rien à redire dans la globalité, la fiche est concise, claire, c'est bien écrit. Juste un petit détail de pas grand chose, au niveau des classes, la classe défensive ne se justifie pas : Edryc n'a aucun bouclier ou aucun trait correspondant à la "défense" - le fait de savoir très bien se défendre avec son épée fait partie du corps à corps :p -.
Il faudra donc juste indiquer Corps à corps seulement.
Donc, voilà je te valide ! Bon jeu !
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
Code:
[Métier & Classe] : Aventurier
[Âge & Sexe] : 32 ans et masculin
[Classe d'arme] : Corps à corps
[Alignement] : Neutre bon
Edryc Asteranyth
Humain
Nombre de messages : 31 Âge : 34 Date d'inscription : 05/01/2012
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Re: Edryc Asteranyth, Fils de Lothoedus [Aventurier] Ven 6 Jan 2012 - 18:04
Merci beaucoup. J'ai retiré l'aspect défensif
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Sujet: Re: Edryc Asteranyth, Fils de Lothoedus [Aventurier]
Edryc Asteranyth, Fils de Lothoedus [Aventurier]
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