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Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 24 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Atanae, Capitaine mercenaire Dim 8 Juil 2012 - 15:33
Nom/Prénom : Atanae. Ses amis l'appellent parfois Tana, et ses hommes, Capitaine. Âge : 24 ans Sexe : Féminin Race : Humaine, avec probablement une très légère touche de sang elfique, mais cela remonte à plusieurs générations. Particularité : Rien de spécial
Alignement : J'ai jamais été particulièrement fan des alignements, et j'avoue que j'hésite un peu.... quelque chose entre Neutre Bon et Loyal Neutre je pense, dépendant du contexte et de la manière dont les événements vont se présenter. Métier : Capitaine Mercenaire Classe d'arme : Corps à corps (Sait manier une arbalète mais n'en a pas fait sa spécialité)
Équipement : La possession la plus onéreuse d'Atanae est son armure de bataille : un harnois complet, de bonne facture mais relativement simple, sans ornements. En raison de son poids et de son encombrement, elle ne la porte cependant qu'au combat, lorsqu'elle a eu le temps de se préparer et de la revêtir. Au quotidien, elle préfère arborer une armure plus légère, de cuir marron recouvert de petites plaques de métal à certains endroits stratégiques. Cette tenue courante est usée ici et là, et le cuir quoique bien entretenu a de toute évidence connu des jours meilleurs. Ses armes de prédilection consistent en une épée longue d'excellente qualité, simple mais très équilibrée, et un bouclier rond frappé d'une aigle rouge. En dehors de cela, on peut citer son cheval, un destrier bai fiable et solide nommé Héral, l'équipement nécessaire au voyage et une tente militaire orné du même blason que son bouclier
Description physique : Atanae est une femme légèrement plus haute que la moyenne, et n'est pas vraiment ce qu'on pourrait appeler un jolie fille. Non qu'elle soit particulièrement laide non plus, cependant son apparence s'éloigne des normes physiques habituellement en vigueur. Ses traits sont anguleux, probablement la marque d'une ascendance elfique diluée, mais elle présente certaines caractéristiques du Beau Peuple sans en avoir la grâce : le résultat en est un visage taillé à la serpe, maigre, aux pommettes saillantes, au nez droit et fin et aux arrêtes pointues. Il en ressort une impression d'étrangeté qui peut fasciner mais qu'on ne saurait réellement qualifier de « beauté ». Sa stature n'a, elle, rien de particulièrement elfique, au contraire. Le maniement des armes lui a forgé des muscles plus visibles que ceux de la plupart des femmes, des épaules carrées et un ventre d'athlète. Sans exagération, cependant : elle reste une femme et n'en est pas pour autant une montagne de muscles. Mais son corps athlétique est à cent lieues de ce qu'on attend ordinairement d'une jeune dame. Sa peau est tannée par les éléments, brunie par le soleil malgré une complexion originellement claire. Par endroits, des marques d'une teinte plus pâle témoignent des coups qu'elle a pu prendre au combat. Ses mains aux doigts longs sont rendues calleuses par le maniement de l'épée, les ongles coupés courts pour des raisons pratiques. Ses cheveux sont ce qu'elle a de plus surprenant. Autre héritage d'un probable ancêtre elfique, ils sont d'un blond très pâle, tirant sur le blanc, effet renforcé par le soleil qui a contribué à les décolorer. Épais et très longs, généralement tressés en une longue natte pour ne pas la gêner, ils sont rendus rêches et secs par le manque de soin et l'exposition aux éléments. Il est fréquent que des mèches se détachent et viennent folâtrer devant son visage. Son regard d'acier pâle et bleuté lui donne un air dur, froid, que vient souvent souligner un pincement de la lèvre et des sourcils froncés, légèrement plus sombres que sa chevelure.
Description mentale : Atanae est une personne possédant une grande rigueur mentale. Elle fait en sorte de rester maîtresse d'elle-même en toutes situations, contrôlant soigneusement son expression, ses réactions. Pleine de sang froid, elle sait rester rationnelle même au cœur de la tourmente. Cela en fait quelqu'un sur qui on peut facilement se reposer en cas de problème, une personne sur qui l'on peut compter quelle que soit la situation. Elle y associe un esprit analytique, une réflexion fine et une bonne capacité à percevoir les nuances, ainsi qu'a trouver rapidement des solutions appropriées a un problème. En un mot comme en cent, c'est une bonne tacticienne. Elle fait également preuve d'une certaine empathie : elle sait être a l'écoute, communique facilement, sait comprendre et se faire comprendre quand il le faut. Ces trois qualités l'auréolent d'un certain charisme et font d'elle un bon chef, suscitant facilement la loyauté de ceux qui la côtoient et la suivent. Elle n'en est pas pour autant uniquement pétrie de qualités. Sous ces apparences, il s'agit en réalité de quelqu'un de très dur, à la fois envers elle-même et envers les autres. Elle est difficilement accessible, il est ardu de gagner totalement sa confiance et de parvenir à briser cette carapace. Elle n'accorde aucune place au pardon pour ceux qui la trahissent. Elle paraîtra donc facilement distante et froide. Implacable. Il y a une violence en elle qui peut la rendre dangereuse. C'est, enfin, quelqu'un d'éminemment pragmatique. Elle voit le monde sous forme de problèmes tactiques et de solutions, et peut facilement paraître obtuse. Les choses qu'elle ne comprend pas, ou qu'elle ne peut régler par cette méthode, ont tendance à l'agacer.
Histoire : Cette histoire commence il y a de cela vingt-quatre ans, dans une fermette du nord d'Odelian, par des hurlements et des cris. La fermière qui s'égosille n'a que seize ans, nous sommes à la fin de l'automne, et elle s'accroche a ses draps qui se colorent peu à peu de rouge. Il pleut à verse depuis deux jours, alors on n'est pas allé chercher le médecin. Un coup à attraper la mort, par ce froid. Il y a bien quelques regrets, maintenant qu'on voit que la camarde risque de s'inviter tout de même au chevet de l'accouchante. Mais c'est trop tard, de toute manière, à présent. Et puis la petite trainée l'a probablement mérité : voila ce qu'on récolte, à couchailler avec les soldats de passage. Un mariage fort avantageux avec un voisin très aisé est évidemment tombé à l'eau, dire que ça aurait pu les sortir de la misère ! En lieu et place de cela, une réputation souillée, des projets ruinés, et maintenant cet enfant qui va tuer sa mère. Un dernier hurlement, puis c'est une nouvelle voix qui s'élève, celle du môme. Une fille. Soupirs consternés. La drôlesse aurait au moins pu faire l'effort de fournir un gaillard solide, de quoi aider aux champs, mais non, décidément, elle semble décidée à tout faire de travers. Sous les regards lourds de reproches, la jeune femme baptise sa mioche Atanae, puis rend son dernier soupir.
La petite est plus ou moins élevée par tout le monde, dans la maisonnée, mais personne ne s'occupe spécialement d'elle. Elle apprend à se rentre utile, on la désigne à l'age de 7 ans pour garder les moutons. L'activité lui plaît : on lui épargne ainsi les innombrables autres corvées, et surtout, elle échappe aux regards accusateurs, aux grommellements et aux remarques acerbes qui l'accompagnent depuis sa naissance. Elle n'a jamais vraiment compris pourquoi tout le monde semble lui en vouloir, mais elle sait qu'elle est différente d'eux. Il suffit de la regarder, avec ses cheveux pâles, sa haute taille, et son regard de glace. Elle ne ressemble en rien au reste de la tribu, dont les cheveux bruns et les yeux noisette sont comme un uniforme, un signe de reconnaissance qu'elle ne pourra jamais partager. Ils sont une famille, elle n'est une bouche à nourrir.
La fermette est située non loin d'une route, et les voyageurs passent souvent, faisant halte pour la nuit dans les auberges du village voisin. La fillette a dix ans lorsqu'un jour, l'un d'eux s'arrête pour la regarder, sourcils froncés, comme si ses cheveux de platine doré lui semblaient familiers. Il revient la voir le lendemain et lui demande d'ou elle vient : La petite lui raconte ce qu'elle sait, c'est à dire pas grand chose, mais le ramène chez elle pour de plus amples explications. L'étranger, qui se nomme Albrecht, est un ancien soldat. Il leur explique qu'il pense connaître le père de l'enfant. Passé dans la région avec sa troupe une dizaine d'années auparavant, il avait pour camarade de régiment son propre neveu, le fils de sa sœur, qui ressemblait beaucoup à la petite Atanae. Force est d'avouer que la couleur de sa tignasse n'a rien d'habituel, dans les parages. Le jeune homme, mort au combat cinq ans auparavant, s'était d'ailleurs vanté lors de leur passage d'une amourette avec une paysanne du coin. Le vétéran n'a dans l'idée que d'offrir quelques explications, voire un peu de soutien, mais bien mal lui en prend. Le patriarche de la maisonnée a tôt fait d'entendre l'histoire qu'il décide que puisque c'est au neveu que l'on doit sa présence, c'est à l'oncle de s'occuper de la petite. Eux n'ont que faire d'une bouche de plus, la ferme est bien assez petite comme ça. Albrecht a beau protester, le voila mis à la porte aussi sec, avec la gamine dans les pattes. En pleine nuit.
Il s'en accommode bon gré, mal gré, et l'emmène avec lui sur les routes. La petite pleure peu : elle regrette plus la confirmation de son exclusion familiale que le foyer qu'elle quitte. Fataliste, elle se fait à sa nouvelle situation, et tente de comprendre un peu mieux cet homme qui a hérité d'elle. Le vieux soldat et la jeune fille parcourent les routes durant plusieurs mois, vivant sur les économies du premier, et apprennent à se connaître. Une relation complice se tisse peu à peu entre eux. Lui se prend d'une affection sincère pour sa petite-nièce présumée, et elle-même goûte enfin le plaisir d'avoir une véritable famille. Lorsque ses économies arrivent à leur terme, Albrecht décide de rejoindre une compagnie de mercenaires appelés les Aigles Rouges. Combattre, de toute manièr, c'est tout ce qu'il sait faire. Atanae l'accompagne malgré quelques réticences préalables. Les dix années qui suivent sont faites de voyages, de camaraderie et de combats. L'idée d'une fille dans les rangs ne plaît pas toujours à tout le monde, mais avec « Oncle Al » pour défendre sa cause, elle est petit à petit acceptée, jusqu'à faire partie des meubles. Elle sert d'abord d'écuyer, de page corvéable à merci, courant d'un bout a l'autre du campement ou de la colonne pour apporter de l'eau, transmettre les messages et lustrer les plastrons. Albrecht ne tarde pas à lui enseigner le maniement des armes, et elle s'y débrouille plutôt bien. A l'âge de seize ans, elle n'est plus « La Mioche », mais un membre a part entière de la compagnie, prenant part au combat et s'y débrouillant honorablement. Les contrats se succèdent, les Aigles Rouges sont une compagnie d'une certaine importance, près de trois cent hommes à l'époque, et plutôt demandée, que ce soit pour « arbitrer » des conflits entre seigneurs, défendre les frontières ou se charger de bandits tenaces. La gamine sans père ni mère s'est trouvé une famille de grande ampleur, et raye totalement de sa vie son enfance de fermière. Elle commence à se faire remarquer : bien que rigoureusement disciplinée, elle n'hésite pas à donner son avis lorsqu'elle l'estime nécessaire, et étonne plusieurs fois ses officiers avec des suggestions stratégiques plutôt judicieuses. Elle fait également preuve d'une bonne capacité à prévenir et apaiser les conflits au sein de la compagnie, ce qui en fait un élément apprécié. A la mort de l'un des plus anciens sergents, certains vont jusqu’à suggérer qu'elle pourrait prendre sa place. Le capitaine se refuse néanmoins à accorder une promotion à une femme, et elle reste donc simple soldat.
La situation bascule l'année des vingt ans de la jeune Atanae. Ils luttent alors contre les drows, en Ithri'Vaan. Envoyés en un petit village nommé Athellon, exterminer ce qui n'est censé être qu'une petite cohorte, ils tombent en réalité dans une embuscade, et c'est pratiquement une armée qui leur fond dessus, à deux contre un. C'est un véritable massacre : le chef de la compagnie et deux de ses officiers sont abattus dans les dix premières minutes de combat. Le commandement disparu, la troupe perd toute cohésion et les soldats sont décimés. La vision de l'étendard à l'aigle rouge gisant dans le sang et la boue agit comme un électrochoc pour la jeune femme. Elle se penche, le ramasse et le brandit. Elle se met à hurler des ordres, la voix forte et autoritaire, que les combattants désorientés exécutent sans se demander d’où ils viennent : dans le chaos ambiant, ils se raccrochent à ce qu'ils peuvent. Elle garde la tête froide, rassemble les hommes, organise la retraite. Son ton calme, posé, précis, rassure les mercenaires paniqués. Ils la suivent sans poser de questions, reculent peu à peu vers le couvert des arbres, tiennent leurs ennemis à distance. Elle-même reste en première ligne, brandissant toujours la bannière, faisant une cible idéale, mais par un étrange calcul du destin, ne prend aucun coup mortel. Ses compagnons d'armes l'entourent d'ailleurs bientôt, lui faisant un rempart de leurs corps, tandis qu'elle les réorganise et les mène à l'abri. Tenter d'abattre la petite centaine de survivants coûte aux drows trois fois plus de vies et d'efforts qu'il ne leur en a fallu pour tuer les deux cent premiers. Ils finissent par cesser le combat, laissant leurs adversaires se replier. Ils ne sont plus qu'une cinquantaine, mais l'aigle flotte toujours au vent. Et ils sont en vie, en vie grâce à elle. Une fois les blessures pansées, la jeune femme endosse sans résistance le rôle de capitaine : son charisme et son sang froid ont convaincu les hommes. Les cinquante survivants de cette bataille désespérée ne forment plus qu'une piètre compagnie, mais peu de choses sauraient maintenant les séparer, et rien non plus remettre en cause leur dévouement à leur jeune meneuse. Ils vivent de petits contrats sans grande ampleur, mais parviennent peu à peu à recruter, remplaçant leurs morts, grossissant lentement leurs rangs. Hormis les survivants de la bataille d'Athellon, peu nombreux sont les hommes à accepter qu'une femme les commande, mais il s'en trouve tout de même quelques uns pour vouloir les rejoindre. Une autre faune vient cependant étoffer leurs effectifs : Un certain nombre de femmes. Guerrières de profession, quand ils ont de la chance, mais plus souvent filles de cuisine, gamines fuyant le carcan familial, la vie de paysanne, la prostitution ou un mariage arrangé... Elles viennent chercher asile, pensant qu'une femme capitaine de mercenaires leur donnera leur chance. Atanae choisit de la leur accorder, à condition qu'elles se forment. On enseigne à celles qui ont la carrure le maniement de l'épée, aux autres l'arbalète, ou plus rarement l'arc. Ils ne forment certainement pas la compagnie la plus redoutable du pays, que ce soit par leur nombre ou l'expérience de leurs membres, mais ils s'aguerrissent peu à peu.
Les Aigles Rouges comptent aujourd'hui cent dix-huit hommes et femmes. Parmi eux, une trentaine seulement sont encore des survivants d'Athellon, et forment le cœur de l'infanterie la compagnie, secondés par une quarantaine d'arbalétriers. Un combattant sur cinq environ est une femme. Hormis une poignée de nouvelle recrues, leur niveau est très honorable, et la plupart des membres n'ont rien à envier à n'importe quel mercenaire patibulaire de n'importe quelle compagnie. Leur fidélité à leur leader et les talents de meneuse d'hommes et de tacticienne de cette dernière les rendent suffisamment utiles pour trouver des contrats, et leur confèrent une réputation appréciable. Atanae continue de guider les siens au combat, cherchant de nouvelles batailles auxquelles se joindre et de nouvelles causes à défendre – rémunérées bien entendu.
Dernière édition par Atanae le Lun 9 Juil 2012 - 0:56, édité 1 fois
Atanae
Humain
Nombre de messages : 49 Âge : 35 Date d'inscription : 08/07/2012
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 24 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
[On m'a signalé que je ferais mieux de poster ça ici, c'est donc fait !]
Nom de la compagnie : Les Aigles Rouges Capitaine : Atanae Créateur : Charles D'Artenis, un fils cadet de petit seigneur, a fondé la compagnie il y a 19 ans de cela. quatre capitaines différents se sont succédé depuis. Nombre d'hommes : cent dix-huit
Description : Fondée il y a dix-neuf ans, la compagnie des Aigles Rouges était autrefois un important groupe mercenaire qui comptait plus de trois cent âmes. Elle fut mise sur pied par un fils cadet de noble disposant à la fois de ressources et d'un temps libre conséquent et changea de mains plusieurs fois au gré des morts et des départs en retraite de ses capitaines, sa réputation variant selon l'homme qui était a sa tête. Il y a quatre ans de cela, les mercenaires furent cependant pris dans un piège tendus par les drows, tandis qu'ils combattaient en Ithri'Vaan. Leur commandement abattu dans les premières minutes du combat, les hommes privés de chef paniquèrent et manquèrent de se faire décimer. C'est alors qu'une jeune femme du rang, Atanae, redressa la bannière et pris le commandement. Trop heureux d'avoir quelque chose à quoi se raccrocher, les survivants lui obéirent, et elle organisa leur retraite, leur évitant de se faire massacrer jusqu'au dernier. Ils n'étaient plus que cinquante, mais très peu quittèrent les rangs a partir de ce jour. Atanae pris le commandement et entrepris de relancer la compagnie, recrutant et trouvant le travail qu'elle pouvait. Avoir une femme à leur tête a eu plusieurs conséquences. La première, c'est que ça n'a malheureusement pas facilité le recrutement. Peu d'hommes acceptent en effet d'être dirigés par le "sexe faible". Il s'en trouve cependant, et la compagnie à fini par renflouer quelque peu ses effectifs, d'autant que la prise de pouvoir d'Atanae a eu un autre effet : Celui d'attirer un nombre anormalement élevé de femmes dans leurs rangs. Quand ils avaient de la chance, elles savaient déjà se battre, et cherchaient simplement une place ou exercer leurs compétences. Quand ils en avaient moins, c'était des filles de cuisine, des fermières, parfois même d'anciennes prostituées, cherchant un moyen, n'importe lequel, de fuir leur vie, leur mariage ou leur famille et de maitriser quelque peu leur destin. Autant dire que dans un premier temps, la décision d'Atanae de les engager ne fit pas des merveilles pour le niveau global de la compagnie. Néanmoins, avec le temps, elles apprirent le métier, jusqu’à se débrouiller aussi bien que leurs confrères masculins. Aujourd'hui, bien que les femmes soient encore loin d'être majoritaires, elles représentent environ un combattant sur cinq au sein des Aigles Rouges, bien davantage que dans la plupart des compagnies. La plupart d'entre elles sont arbalétrières. S'il s'agit toujours d'une petite compagnie (Ils sont actuellement cent dix-huit), leur niveau est bien meilleur qu'il y a deux ou trois ans, et ils n'ont pas grand chose à envier à la concurrence sur le plan de la compétence. Leurs principaux atouts sont probablement leur excellente cohésion et leur loyauté les uns envers les autres, et envers leur capitaine. S'ils semblent chahuteurs, rustres et indisciplinés lorsqu'on les observe au calme, l'impression est toute autre sur un champ de bataille.
Organisation : Seuls les officiers disposent de chevaux, la plupart des combattants sont donc à pied. Ils sont répartis comme suit :
15 éclaireurs (combattants légers, rapides et agiles, se chargent des reconnaissances et de l'exploration ainsi que de la transmission de messages. Utilisent de préférence des armes courtes, parfois des arcs ou des frondes. Souvent jeunes, choisis en priorité pour leurs bonne vue. Dirigés par un officier.
40 arbalétriers On y retrouve la majorité des femmes de la compagnie. Plutôt doués, ils sont un des avantages majeurs des Aigles Rouges, et comptent une poignée de très très bons tireurs. Dirigés par un officier et un sergent
63 fantassins Le gros des troupes, environ la moitié d'entre eux sont des rescapés de l'ancienne compagnie et se considèrent donc, à tort ou à raison selon les individus, comme des vétérans aguerris. Dirigés par un officier et deux sergents.
Aetius d'Ivrey
Ancien
Nombre de messages : 1466 Âge : 34 Date d'inscription : 07/02/2010
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : La vingtaine (25+) Taille : Niveau Magique : Arcaniste.
Une fiche sans accroc. Une bonne histoire, et tu as ajouté une partie sur la "légitimité" de ta cheftaine : tu es validée !
Code:
[Métier] : Capitaine mercenaire
[Race & Sexe] : Humain & féminin
[Classe d'arme] : Corps à corps
[Alignement] : Loyal neutre
Voici quelques liens qui te seront utiles :
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
Arichis d'Anoszia
Ancien
Nombre de messages : 1618 Âge : 30 Date d'inscription : 27/05/2013
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 47 ans (né en 961) Taille : Niveau Magique : Non-Initié.