Stanislas Duclet - Coursier à cheval

Nom/Prénom : Duclet Stanislas
Âge : 24 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Particularité :

Alignement : Chaotique neutre
Métier : Coursier à cheval
Classe d'arme : Corps à corps (épée) et à distance (arbalète à une main, secondaire)

Équipement : L’équipement de Stanislas se compose d’une chemise blanche en coton, un gilet vert pastel très clair, des gants en cuir marron, des bracelets de force vert très clair qui se ferme avec des lacets, une ceinture de torse en cuir avec une boucle en cuivre sur lequel s’attache un fourreau en bois qui contient une épée bâtarde avec une poignée de enroulé d’une lanière de cuir, des braies noirs fermés par une ceinture à laquelle est accroché une arbalète à une main faites de bois et de cuivre et des bottes de cuir avec trois fermoirs fait de boucle de cuivre. En plus de ça, Stanislas possède un cheval, nommé Zefir, sur lequel il y a une couverture, au-dessus une selle avec ses sangles et des fontes contenant un briquet d'amadou, une couverture de route, des vêtements de rechange, des couverts en bois, une gourde d'eau, de la viande séchée et une gourde de vin pour purifier l'eau que Stanislas peut ramasser sur sa route.
Il est évident que tous les biens de notre héros ne sont pas de grande facture, mais sont fait pour résister au temps et à l'usure de l'utilisation.


Description physique : Stanislas a des cheveux châtains fins, arrivant jusqu’aux omoplates, peignés, lavés et attachés en catogan au niveau de la nuque. Les sourcils bien dessinés, au-dessus d’une paire d’yeux bleus délavés qui lui donne un air inquiétant. En dessous de ses yeux, un nez fin, un peu pointu apparait, qui surplombe une bouche aux lèvres fines qui sont souvent en sourire pour contrebalancer le sérieux, voir l’inquiétant de ses yeux. S’ensuit enfin un menton carré, certains diront en taloche. Stanislas ne porte aucune pilosité faciale, à part quelque fois, des favoris discrets.
Stanislas a un physique svelte et sec de cavalier, pour pouvoir ne faire qu’un avec sa monture quand il passe au galop. En tant que cavalier, bien qu’il soit un peu grand, un mètre quatre-vingt, il possède des jambes puissantes. Ses bras sont également forts suite à l’entrainement à l’escrime qu’il a suivi durant sa prime jeunesse. Ce physique athlétique lui confère une tenue droite et élégante, autant que l’on peut quand on vient d’un milieu peu aisé.

Description mentale : Stanislas n’est ni un bon, ni un mauvais bougre, il cultive un certain sens du je m’en foutisme le plus royal. En effet, Stanislas n’est pas le premier pour se prendre la tête sur un sujet ou sur quelque chose qui pourrait lui rapporter d’éventuels ennuis. A travers une réflexion poussait, il est capable de de ne rien faire et cela pour se tirer d’affaire ou pour éviter les problèmes. De cette flegme est né un certain sens de la roublardise qui, pour certains, ferait de lui un escroc, mais lui-même s’en défend.
Le caractère de Stanislas n’est donc pas un caractère d’impulsif, mais plutôt de quelqu’un de réfléchi et diplomate, qui, sans rentrer dans la couardise, tentera par tous les moyens d’éviter un conflit qui peut l’être et se sauvegarder. Stanislas est également quelqu’un de jovial et de bon vivant qui ne rechigne pas à finir un verre ou une assiette et cela « même si ça vous remonte le gosier ! », selon ses propres termes.
En bref, Stanislas est un homme qui aime sa liberté et qui sait en profiter et la défendre si besoin est, et cela même contre son plus grand pêché, le sexe opposé.

Histoire :
« Hep ! Toi là-bas, viens donc t’asseoir à ma table, je suis d’humeur à m’faire conteur. Viens donc te dis-je, j’vais pas t’bouffer! Voiiiiiilaaaa…attends j’te commande quelque chose, c’est la moindre des choses. HOY GARCON !! Ouais, une bière pour moi et…qu’est-ce tu veux, d’ailleurs ? Commande pour toi tiens! Bon maintenant qu’on est prêt, je commence ma petite histoire. »
Nous sommes il y a vingt-quatre ans de cela, dans une petite masure pas loin de la baronnie de Haut-Val, aux alentours du printemps naquit un petit garçon dans une famille qui en comptait déjà quatre, et qui de plus avait trois filles. Ce petit môme là, les parents décidèrent de l’appeler Stanislas en l’honneur de son parrain, meilleur ami du père.
« AAAh voilà ma bière !! Voilà ton argent garçon. J’en étais où ? Ah oui !... »
Donc le meilleur ami du père qui avait été cavalier dans une compagnie mercenaire. Donc notre petit Stanislas grandit en se faisant une place parmi ses frères et en évitant les tentatives de protection des sœurs sur « le petit dernier ». Le père et la mère tenant un haras, cela permit au gamin de mettre vite le pied à l’étrier, au sens littéral du terme. Ce qui fait qu’à sept ans le petit montait aussi bien qu’il ne courait. Les problèmes apparurent un peu plus tard au sujet de l’éducation du petit, son ainé et le premier cadet s’occupant du haras avec le père, les deux autres cadet, l’un étant dans une formation d’ecclésiastique et l’autre parti chez le seul oncle qu’ils avaient, en vue d’en reprendre le commerce, l’avenir du dernier demeurait une énigme. En effet, Stanislas ne pouvait faire comme les filles et se trouver un bon parti et demeurait au foyer.
Le parrain résolut cette énigme en le prenant sous son aile et cela à partir des dix ans de Stanislas. L’ancien mercenaire était devenu tenancier d’une auberge des services de coursiers, il forma alors, en premier lieu, le jeune garçon à l’art de la lecture et du calcul et dans un second temps aux armes. Stanislas suivait donc le matin l’entrainement de l’esprit et l’après-midi celui du corps. Bien évidemment ce qu’il faisait n’était pas gratuit, il servait de garçon d’écurie et parfois de salle pour son parrain. Stanislas par sa vie dans le haras familiale était capable de s’occuper des chevaux et de les maintenir en forme, en cas de départ précipité. Pendant presque neuf ans, notre jeune garçon subit cet apprentissage et cette vie de labeur sédentaire. Bien sûr pendant cette période, son parrain l’accompagnait voir ses parents et même parfois ses frères et sœurs, ce qui permit à notre jeune garçon devenu homme de faire un choix.
"Tu dis si j'tennuis hein?...Non? Bon alors je continue, quoi qu'avant une 'tite lampée...Et hop, reprenons!"
Après mûre réflexion, notre jeune homme sachant manier l’épée et se défendre à l’arbalète, il décida qu’il pouvait vaquer à sans que personne n’est rien à redire. Or, ses parents mirent un véto à ses prétentions, en déclarant que « sans le sou, point de vie agréable ! ». Stanislas reconnu l’argument, mais dans l’entêtement de la jeunesse continuait sur son idée. C’est son parrain qui trouva la solution et qui proposa, aux parents et à l’enfant têtu, un poste de coursier, permettant au jeune homme de barouder à travers le pays et de gagner son pain un minimum. Les deux parents furent d’accord et pour sceller l’accord le père offrit à son fils un cheval marron au museau blanc, que le fils nomma Zefir. Le parrain de son côté, pour fêter la réussite de son filleul, lui donna une épée bâtarde, « aussi pratique à cheval qu’à pied », et une petite arbalète à une main, « en cas de force majeure ».
Depuis ce temps-là notre homme parcourt les routes du royaume humain et attend avec impatience, l'occasion de parcourir celles des elfes et des nains.
« Pourquoi j’vous raconte ça ? J’sais pas, j’trouve ça sympa de raconter une histoire en buvant une bière et puis notre bonhomme j’l’ai croisé y a peu, un gars sympa comme tout, si vous avez l’occasion tapez la discute avec lui, vous verrez on s’ennuie pas ! Sur ce, moi j’vais me coucher, ‘ne nuit à toi et que tes rêves soient profitables. »

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : Ma foi très bien 
Comment as-tu connu le forum ? : Je suis un ancien membre, j’ai dû arrêter pendant un temps
Crédit avatar et signature : Fable II
Compte autorisé par : Votre texte ici (Uniquement en cas de compte supplémentaire bien entendu)

Citation :

A travers une réflexion poussait, il est capable de la plus grande maitrise de la non action adéquat pour se tirer d’affaire ou pour l’éviter, l’affaire.

Cette phrase est un peu... bizarre. Et pas très claire.

Citation :

Depuis ce temps-là notre homme parcourt les routes du royaume humain et parfois elfique et nain.

Notre ami coursier a-t-il déjà été dans lesdits territoires, ou est-ce juste pour indiquer qu'il est prêt à s'y rendre si l'occasion se présente ?


Sinon, quel était ton ancien perso si ce n'est pas indiscret ? (ceci afin de satisfaire ma seule curiosité de modo-fouineur )

Voilà, j'ai corrigé les imprécisions qui ont entrainé les questions d'un modérateur ô combien observateur :)

Pour mon ancien personnage, c'était un elfe archer, Edwin quelque chose, j'avais pris des images de cloud de FF7 et j'avais fait parti de la compagnie silencieuse (si le nom est exact) avant sa dissolution. Ah oui! et j'avais un panda roux. J'espère avoir satisfait ta curiosité de, je cite "modo-fouineur" :D

Ok pour la première modif.

Concernant les voyages chez les nains et les elfes, ce n'est pas quelque chose d'insolite ni donné à tout le monde. Je dirai même que pour n'importe quel humain normal il y a de fortes chances qu'il s'agisse d'une expérience marquante qui ne le laissera pas indifférent.

Si tu veux garder cela, il serait donc bienvenu de le développer un peu dans ta fiche...

J'ai changé la formule pour la mettre en spéculative. Je ne savais pas que c'était exceptionnel pour un humain, du coup j'essayerai d'en faire un rp. Bien sur, si ma fiche est validé :)

Code:

[Métier & Classe] : Coursier à cheval

[Sexe & Race] : Humain

[Classe d'arme] : Corps à corps (épée) & Distance (arbalète de poing)

[Alignement] : Chaotique Neutre

Merci beaucoup, peut être qu'on se croisera dans un RP, qui sait? ^^

Bienvenue =D On est deux messager maintenant =D

Bienvenue !

Bienvenue

Coucou ^^

Au nom de la cité libre Sol'Dorn, bienvenue :)