Alexis d'Austra - Seigneur déchu, mercenaire

Nom/Prénom : d'Austra, Alexis
Âge : Vint-neuf ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Particularité : Son poignet droit est tatoué du blason d'Austra, et d'une marque au fer rouge de la croix sigle de la maison.

Alignement : Neutre
Métier : Seigneurie déchue - Réseau mercenaire, militaire...
Classe d'arme : Corps à corps (épée bâtarde, espadon - zweihänder, dagues...)
Slogan de la maison d'Austra: Ad gloriam, honora et cruor victis - À la gloire, l'honneur et le sang des vaincus.

Équipement :
Alexis revêt une armure de plate manifestement ancienne, mais dont la résistance est indiscutable. Quoique terni par les années, on peut encore apercevoir le blason d'Austra incrusté sur l'épicentre de la cuirasse, qui recouvre un plastron de cuir brun. Il ne possède pas de cimier, arborant uniquement une large plaque d'acier tordue en un semblant de col, recouvrant sa nuque, et ses jugulaires. Un chaperon d'un vert sombre, recouvre son épaule gauche, dissimulant à moitié la garde d'une épée bâtarde rangée dans un fourreau cuivré, frappée elle aussi par le blason d'Austra. Une dague à rouelle est glissée sous sa ceinture de cuir râpée, aux côtés d'une bourse dégonflée. Une chevalière en argent apparait sur l'annulaire de sa main gauche, lorsqu'elle n'est pas recouverte de gantelets d'aciers ou de cuir sombre. Un cordon de cuir est passé nonchalamment autour du cou.

Blason d'Austra

Spoiler:

Description physique :
Grand et empreint d'un certain charme sauvage, Alexis d'Austra allie une certaine forme de finesse, à une évidente force brute, mêlant l'un et l'autre de telle manière, que l'on ne sache pas trop quoi penser de lui, après l'avoir entrevu une première fois. Ses cheveux bruns, longs et lisses, tombant en désordre sur son crâne bien net, caractérisent une sauvagerie défiante et une négligence du rigorisme, que sa barbe taillée courte, mais fleurie, accentue. Il est certainement doté d'une grande force physique, son corps sculpté par l'acharnement du combat et l'ardeur d'un entraînement draconien - ses muscles sont nettement dessinés, bien taillés, mais fréquemment endoloris ou endommagés, par les lésions de la guerre, et l'âpre morsure de la mêlée. En outre, son corps présente un certain nombre de séquelles issues des longues années d'incessants pugilats, parsemé d'entailles et de cicatrices obtenues sur les sentiers périlleux. Une zébrure remarquable couvre une partie de sa nuque, avant d'aboutir sur son épaule droite, tracée en une courbe hésitante. Du reste, c'est son regard brûlant d'ambition, de fierté et d'un appétit sournois, qui retient le plus l'attention. Dans ces prunelles brunes, on trouve la lueur de l'espoir, mais aussi de l'être impitoyable, qui ne souffre aucun détours pour atteindre ses objectifs. Aux côtés d'ambition et férocité, on peut distinguer un éclat de malice, qui rehausse ces yeux affamés, de cruauté et de sauvagerie - une caractéristique mise en avant, par cet aspect "relâché" et authentique, qu'entretiens Alexis. Son port constant de l'armure reflète son appartenance noble, et qui plus est, son grand attachement à la culture guerrière.

Description mentale :
Féroce et doué d'une intelligence motivée par une ambition teintée de malice, Alexis est un individu nimbé d'une certaine incompréhension, quant à ce que sont ses fins. Si celles ci sont floues, il semble évident que son esprit soit exalté par la conquête du pouvoir, et la redécouverte du prestige perdu, et qu'il s'agit là de moyens de parvenir à ses objectifs - si ces deux choses ne sont pas les objets de son ambition. Quoiqu'il en soit, Alexis s'avère être un personnage usant de tout les moyens afin d'arracher ce qu'il convoite. Quoique fin, cultivé et adversaire honorable d'apparence, il dissimule un coeur sauvage, alliant barbarie et cruauté. Son amour de la guerre n'est pas sans rappeler sa nature bestiale, et son appartenance à un monde de violence, où le fort se nourrit sur les carcasse des faibles. Détenteur d'aucun autre bien que ses effets d'armes, et ses rêves effrénés, Alexis d'Austra observe l'organisation du monde tel un acteur prêt à jouer son rôle, un orfèvre sur le point d'entamer son oeuvre, un homme s'apprêtant à embraser le monde. Et c'est en usant de toute sa finesse, son charme, sa malice, son intelligence et bien entendu, sa force, qu'il compte se lancer dans les grands jeux de pouvoirs, épris de discorde.

Il est important de comprendre que les motifs d'Alexis s'expliquent uniquement en partie. Tandis que son sang noble "justifie" sa recherche du pouvoir, et sa tentative de le reconquérir, il ne semble pas y avoir d'explication logique pour les nombreux efforts qu'il déploie afin de créer des conflits, et faire s'entretuer les hommes de pouvoirs qui dominent le royaume des hommes. Sa conception du monde est telle, qu'il n'est qu'un des nombreux joueurs engagés dans une partie acharnée, avec aucun autre motif que de briser les assemblages fragiles de la paix, de l'entente...Il dira souvent que l'oeuvre de sa vie, "c'est la poursuite du divertissement". Plus qu'au nom d'un concept, Alexis agit pour lui même, et au grès de ses désirs, qui se distordent à la moindre étape, au moindre pas.

Cet état d'esprit se lit dans le comportement d'Alexis. Raffiné, et plein de manière, il possède tout de même un comportement excentrique, alliant sauts d'humeur soudains, détachement complet des normes par moments, et finalement, très peu d'intérêt pour autrui, si ce n'est par avidité pure et simple. Il est aisé de comprendre que, si cet individu est parfaitement capable de se fondre dans une foule, et de s'adapter au code comportement qu'implique la vie en société, il est complètement délié de toute éthique, morale ou lois sociales susceptibles d'entraver ses actes. En ce sens, Alexis est libre; dangereusement libre. C'est parce qu'il ne respecte ni ne crains l'autorité divine et judiciaire, qu'il est à même d'agir sans retenir ses coups, sans emprunter le moindre détour pour parvenir à sa fin. Il est impitoyable et en fin de compte, complètement hermétique (moralement - on ne sous-entend bien entendu pas qu'Alexis échappe au jugement, ou a toute forme de vindicte; posons simplement que la perspective d'enfreindre la loi, ne gêne en aucun cas sa conscience : en somme, il n'a aucun scrupules) aux codes qu'ont établi les hommes, afin d'endiguer les puissants.

Histoire :
Jadis, la maison d'Austra possédait de vastes champs, et un certain nombre de terres, qui avaient largement contribuées à son enrichissement, et à sa pérennité dans quelques petites régions du Nord-Ouest. Ou du moins, c'est ce que l'on raconte , entre quelques marmonnements, parmi les derniers partisans de la maison désormais déchue. Si les faits sont encore à prouver dans leur superbe exagérée, ils semblent suivre le parcours des ancêtres de la lignée. Lorsqu'Antoine d'Austra, dernier patriarche à posséder des landes au nom de la maison, décéda, celles ci furent rapidement accaparées par les duchés voisins et ô combien plus puissants, que la misérable propriété d'Austra. L'histoire avait eut ce sort pervers pour ces petits seigneurs de haute campagne, de leur offrir, par quelques tours du hasard, des landes riches et fertiles, dont ils furent vite dépossédés, provoquant ainsi leur chute, alors qu'ils avaient à peine entamé leur ascension.

Quoiqu'il en soit, suite à la mort du patriarche, les vestiges d'Austra n'avaient plus de possession notables à revendiquer autre que leur nom, et quelques poignées de partisans désoeuvrés. Parmi eux, Marc et Hélène d'Austra et leur progéniture : Maxime, Alexis et Laodicé. Élevés dans une pauvreté certaine, les descendants de la maison d'Austra n'eurent jamais le confort issu des privilèges, que l'on attribue souvent aux nobles. Déchus, dépossédés, la famille d'Austra n'avait plus que de vagues souvenirs, des rêves et des espoirs diffus, comme héritage. Aussi, c'est dans un culte du passé, de la mémoire, de la grandeur perdue et sournoisement volée, que furent éduqués les jeunes d'Austra.

Alexis, tout particulièrement, fut touché par ce sentiment de "blessure familiale", qui consista en la clé de voûte de ses rêves, de ses ambitions de ses désirs. Voyant son père mourir dans la paille, usé par la maladie, et sa mère sombrer dans le mutisme renfermé, il fut sans doute la cible d'un traumatisme perturbant, qui obsédait sur la dépossession familiale de son héritage. Parce qu'ils n'avaient été formés à rien d'autre qu'aux armes par feu leur père, et parce qu'il fallait bien vivre, les fils d'Austra s'enrôlèrent dans les armées du roi à plusieurs reprises, avant d'opter pour un rôle de mercenaire, qui impliquait de rejoindre le noble belliqueux aux bourses les plus pleines. Démunis, et seuls dans un premier temps, les deux frères se familiarisèrent aux guerres de ces nobles dont les dents rayaient le plancher, s'accoutument aux moeurs de l'homme d'arme, fraternisant ici et là avec quelques camarades de compagnie, alors qu'ils allaient de duché en duché, chercher le noble le plus offrant.

Après un certain temps passé à côtoyer les régiments, les deux frères avaient acquis une maîtrise des armes plus que confirmée, et appris toutes les ficelles du métier de soldat, comme de mercenaire. A l'aube de ses vingt-deux ans, Alexis avait fait rassembler tout ses partisans et fidèles camarades, rencontrés durant ses années de service, et avait fondé, en association avec son aîné, une compagnie de mercenaire, principalement composée de vétérans et de soldats de carrière ayant passé trop d'années sous le joug d'un suzerain ventripotent et alcoolisé. Le projet n'eut pas la prétention de décrocher une renommée, et par ailleurs, un succès, aussi considérable que les ordres les plus célèbres de Miradelphia, mais permit aux fils d'Austra de retrouver une certaine fortune, bien que celle ci soit toute relative. Désormais en mesure de mener un train de vie stable, et de faire subsister, les maigres restants de la maison d'Austra, il était possible de songer à l'avenir.

Alexis avait cette fibre fondamentale, dont son frère était dénué, que certains auraient appelé "insatiabilité", et que d'autres auraient nommé "ambition". Satisfait de ce modeste triomphe, et se contentant des fragiles ressources issues de son commerce de mércenariat, Maxime avait cessé de songer aux grandes aspirations, renonçant au moindre projet évoquant de grands principes de conquêtes, sans doute trop mou pour se lancer dans de grandes entreprises, et trop lâches pour risquer d'y perdre le minuscule empire financier qu'il était parvenu à sécurisé. Déçu par la passivité de son frère, Alexis entrepris de tracer son chemin seul. Ralliant à lui de nombreux fidèles issus des armées, ainsi que de vieux partisans d'Austra, Alexis tâcha de reconstruire la famille déchue, achetant un morceau de terre, et un vieux bâtiments, afin d'en faire une demeure convenable pour commencer. Sa vieille mère mourrait la même année, et il n'avait plus que sa soeur Laodicé - devenue une belle femme, hélas, sans valeur quelconque derrière, le patrimoine étant inexistant - et un frère inactif, qui lui était plus un poids qu'autre chose. Afin de dynamiser le profit, et s'assurer qu'il aurait accès à assez de fond pour lever une armée suffisante, Alexis fit éliminer quelques troupes de mercenaires, soudoyant ici, et employant la force là où la langue de l'argent n'avait pas assez d'emprise. Fondant une économie ayant un pied dans l'ombre à travers son réseau mercenaire, Alexis espérait amasser assez de fond pour se relancer, par la suite, à la reconquête du pouvoir. Il avait déjà assez pour commencer son oeuvre.

Tout était à construire. Mais, gonflé de témérité, d'ambition, d'audace, de force, et soutenu par plusieurs de ses camarades, ainsi que par quelques cohortes qu'il parvenait à financer, tout les espoirs, même les plus fous, devenaient permis. Débordant de hardiesse, et résolu à arracher le fruit de son désir, Alexis d'Austra avait constitué de toute pièce la richesse de sa lignée. C'était une richesse dans l'espoir, dans l'avenir, dans l'ambition, dans la capacité à oeuvrer pour le futur. Et chaque jour, il se consolidait sur ses positions, prêt à agir.

Maintenant, il est prêt. Tout est à construire. Mais tout les espoirs sont permis...

Remarque HRP : J'ai pris la liberté d'inventer une famille de noble sans terre ayant eut brièvement des landes - si cette initiative va contre le BG du forum, signalez le moi et je rectifierai. Si c'est le cas, je m'excuse d'avance.

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : Très complet, et vraiment très bien structuré. Je comptais m'en inspirer pour fonder mon propre forum rpg, mais ai préféré mettre ce projet en pause, pour me gorger d'une énième aventure rpg sur un forum m'étant inconnu.
Comment as-tu connu le forum ? : Les top-sites.
Crédit avatar et signature : http://www.deviantart.com/art/untitle-341185114 Artiste : Achillesliu

Fiche simple, un peu rapide mais intéressante. Je te valide.

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {facultatif}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.


Avant de pouvoir utiliser tes mercenaires dans un RP, il faudra cependant me remplir la fiche suivante, que je validerai ensuite.

Code:

[b]Nom de la compagnie :[/b]
[b]Capitaine :[/b]
[b]Créateur :[/b]
[b]Nombre d'hommes :[/b]
[b]Description (7 lignes minimum) :[/b]

Lesdits mercenaires seront plutôt convertis en troupe régulière, en raison du changement drastique d'objectifs de la part d'Alexis. Je peux toutefois remplir la fiche.

Nom de la compagnie : Main d'Ahst
Capitaine : Alexis d'Austra; Maxime d'Austra (retiré temporairement)
Créateur : Maxime d'Austra & Alexis d'Austra (co-fondateurs)
Nombre d'hommes : Une centaine d'hommes et une trentaine de chiens (en recrutement massif, actuellement)
Description (7 lignes minimum) :

Fondée en Aretria, par les frères d'Austra dans leurs vingtaine, la main d'Aost n'était à l'origine qu'un regroupement d'anciens soldats lassés par l'armée, et désireux de se consacrer à quelques objectifs plus lucratifs. En cruel besoin d'argent, les frères d'Austra avaient vu en la fondation d'une compagnie de mercenaire, l'occasion de mettre à profit leur expérience militaire, et de toucher des fonds plus conséquents, que la maigre solde des armées nobles. A son commencement, la main d'Aost ne comprenait que huit individus, à savoir Maxime et Alexis d'Austra, et six de leurs camarades de front. Vendant leurs services aux plus offrants, et profitant largement des conflits récurrentes entre les barons, ou les petits seigneurs, la main d'Aost se chargea de contrats couvrant un large spectre de variété, la plupart s'inscrivant tout de même dans l'élimination politique, l'embuscade, le renseignement, la filature etc...

Alors qu'ils prêtaient aussi leurs services à divers nobles, en tant que petites force de frappe indépendantes, les membres de la mains firent la rencontre de plusieurs autre soldats à la recherche d'une profession plus rentable, et enrôlèrent certains d'entre eux dans leur rangs, contribuant à l'augmentation des dimensions de la compagnie, qui prit une importance plus grande, petit à petit, membre par membre. Peu à peu, la main d'Aost fut capable de supporter des tâches plus ardues, forte d'une vingtaine de membres, et s'agrandissant chaque mois qui passait. Les mercenaires y obtenaient un revenu moyen, mais suffisant pour vivre, avec les aménagements financés par le trésor de la compagnie. Voyant que le corps mercenaire se développait, Maxime d'Austra prit l'initiative d'instaurer une formation essentielle aux arts militaire, pour chaque nouvel adepte. Au fil du temps, la qualité de cette formation s'est accrue.

Il est important de noter que la main d'Aost était à l'origine largement composée de vétérans usés, de canailles de bas-étage, de brigands des bas-fonds et de fripouille endurcie, et que la "professionnalisation" initiée par Maxime au bout d'un an et demi d'existence, a très largement fait muter ce corps originel, en une formation élitiste, disciplinée, performante et efficace. La plupart des membres recrutés sont désormais des militaire de carrière, encore vigoureux, souhaitant se reconvertir dans une branche moins rigide que l'armée. Les formations proposées au sein de la main d'Aost couvrent la maîtrise des armes, les arts de l'information, l'assassinat et la filature. Quoiqu'étant polyvalent, les membres de la main d'Aost sont formés pour tuer, que ce soit sur le champs de bataille, ou dans le cadre d'une opération plus délicate, dans l'ombre.

Aujourd'hui, la main d'Aost comporte près de cent-dix hommes, et possède de très nombreux contacts et informateurs à travers Diantra. Le réseau d'information de la main d'Aost est large, et permet à ces membres d'être opérationnels à travers la totalité du royaume. Plutôt petite, la main d'Aost s'est axée sur un principe d'élitisme, faisant de ses membres des combattants talentueux, aguerris et autonomes, susceptibles d'accomplir des tâches complexes, individuellement ou en groupe. Bien que localisée en Aretria durant ses premières années, celle ci a dût se déplacer à nombreuses reprises, afin de correspondre aux attentes de ses employeurs. D'une taille moyenne, mais efficace, la main d'Aost effectue des bénéfices relativement bons, quoique le flux de ceux ci, soit particulièrement instable. Prête à recevoir de tout les contrats, mais spécialisée dans le militaire, la main d'Aost, tourne son regard vers le Nord, cupide alors que la guerre dégénère. Étroitement liée au réseau d'information fondée par Alexis d'Austra au fil des ans, la main d'Aost est devenue un moyen, pour celui ci, de s'immiscer dans le paysage politique.

Aujourd'hui, c'est Alexis d'Austra qui dirige seul les membres de la main d'Aost, son frère s'étant éclipsé dans les ombres, suite à quelques affaires douteuses. Fort d'une longue expérience militaire, et endurci par les années de guerre, Alexis dirige avec une main de fer la compagnie mercenaire, qui est aujourd'hui la source de ses revenues, mais aussi son ouverture sur le vaste paysage politique, déchiré par la guerre.

Grades

Corps d'élite : Soixante-dix individus (Une dizaine d'instructeurs; trois lieutenants; six sous-officiers; effectifs militaires tout rôles confondus)

Corps basique : Vingt individus (en formation d'élite)

Corps disciple : Vingt individus (en formation basique)

Rôles

Fantassins - Archers - Rôdeurs - Instructeurs (spécial)