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| Odric Parangus, Main de la justice | |
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Odric Parangus
Humain
Nombre de messages : 14 Âge : 32 Date d'inscription : 09/07/2013
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
| Sujet: Odric Parangus, Main de la justice Mer 10 Juil 2013 - 3:27 | |
| Nom/Prénom : Odric Parangus, Fils de Rilord Parangus Âge : Le poste de capitaine du guet de Diantra fait vieillir davantage, mais Odric fête très prochainement ses 32 ans. Sexe : Masculin Race : Humain Particularité : Une posture hautaine qui, associé à un regard autoritaire et glacial, peut se traduire par une arrogance sans égale, sinon celle des nobles. Une longue balafre traverse son visage, du menton jusqu’à la pommette droite.
Alignement : Loyal neutre Métier : Capitaine de la garde de Diantra Classe d'arme : Corps à corps
Équipement : Odric n’est pas un homme corrompu par la luxure et le besoin matérialiste qui se trouve chez la grande majorité des humains qui peuplent Diantra. Ses objets les plus précieux sont directement relié à son travail, et, comme son devoir, il les chérit plus ardemment que l’or pour un avare. Lors qu’il est en devoir, Odric porte son harnoi de couleur argent, brillant plus que la lumière du soleil grâce à des heures de polissage, ainsi qu’un tabard aux couleurs de la capitale. Sous le harnoi se trouve une armure de cuir légère protégeant les articulations, une armure plus usée que les bottes d’un voyageur. Il n’a jamais considéré la remplacer. Comme tout garde, il ceint à sa ceinture poignard, épée longue et instruments de détention. Il porte aussi un bouclier arborant le blason de Diantra afin de démontrer son grade supérieurs aux gardes normaux. Une grande cape bleue couvre le dos, flottant au vent tel un drapeau de la justice. Lors de ses sorties publiques et officielles, il se déplace à dos de cheval afin de montrer sa supériorité aux criminels enchaïnés à ses pieds.
Description physique : Dès ses débuts dans la vie, il était évident qu’Odric était destiné à une vie de guerrier. Fasciné dès sa naissance par les armes, si brillantes et magnifiques (et dans la maison d’un garde, on trouve notamment des armes) il prit une arme dès qu’il eut la force d’en prendre une. Une enfance d’entraînement fit d’Odric un homme solide digne d’endosser le manteau de la justice. Mesurant facilement deux mètres, pesant environ 110 kilogrammes (et non, il ne passe pas ses journées à manger) Sur un visage carré et autoritaire, déformé par une énorme balafre causé par un criminel plutôt récalcitrant, se trouve un nez large et rond et une bouche mince, le tout dominé par deux yeux aussi bleus que le ciel, si froid qu’un regard pourrait geler une rivière en plein été. Il porte les cheveux courts et est, en tout temps, fraîchement rasé. Son corps Blanc comme neige (il n’a pas le loisir de se prélasser au soleil) arbore nombreuses cicatrices, notamment au niveau des articulations et des ouvertures de son armure. Il possède une force non négligeable et son bras est toujours prêt à porter l’épée pour défendre Diantra.
Description mentale : Odric est justice. Contrairement aux autres enfances, celle du garde était régulée par un entraînement rigoureux, aussi physique que mental. Voulant suivre les traces de son père, il s’efforca de connaître toutes les lois qui régissent Diantra. Odric est autant un ange gardien pour le peuple de Diantra qu’un démon pour les criminels. Autant peut-il être bienveillant, protecteur et bon pour l’un, peut-il être froid, implacable et hargneux envers les autres. Dans tous les cas, toutefois, il est juste; jamais ne traitera-t-il un criminel comme tel tant qu’il n’en aura pas la preuve formelle. Il est un excellent soldat, un formidable enquêteur et un garde hors pair, mais, en toute honnêteté, il fait un très mauvais ami. Il ne possède aucune émotion n’a aucun sens de l’humour, ne connait pas le mot « sarcasme », ne trouve aucun plaisir à la bagarre et à la buverie, ne trouve aucun intérêt dans le sexe opposé autant que dans le sien. Certains croient qu’Odric n’est qu’en fait un automate crée par un magicien fou. Sa vie est régulée par les lois, par son devoir de protection et son besoin de justice.
Histoire :
-Alors, c’est vrai? Je suis un garde de Diantra?
Le jeune garçon trépignait d’impatience devant le bureau de bois sombre. La pièce, éclairée par deux torches et une maigre chandelle, ne laissait qu’à Odric que peu de lumière pour identifier le jeune homme. Thomas, s’appelait-il, selon le parchemin étalé devant lui. Jeune – 17 ans -, chétif –à peine 55 kg-, Thomas avait tout l’air du jeune garçon de ferme en manque d’aventure ayant paqueté son baluchon le matin même.
Odric leva le papier, ses yeux bleus le parcourant rapidement du regard. D’un air pensif, il hocha la tête avant de reposer le papier, de sortir une plume, de la tremper et d’apposer une signature. Il prit ensuite la chandelle à sa droite, fit couler un brin de cire fondue sur la feuille, reposa la chandelle et apposa son sceau officiel.
-En effet, jeune homme, dit Odric alors qu’il glissa la feuille sous une pile -une montagne- de feuilles du même genre. Bienvenue dans la Garde de Diantra. Odric se leva solennellement de sa chaise alors qu’il invita Thomas à ouvrir la porte à sa droite, le dirigeant vers la caserne du poste de garde. Après tout, aussi chétif soit-il, il fallait « l’armurer » un petit peu!
-Je n’en reviens toujours pas! Jubila le garçon. J’ai toujours rêvé de ce jour! Combattre les criminels, imposer l’autorité! Montrer aux autres que je ne suis pas qu’un vulgaire paysan, pouv…
Alors qu’il se rendait avec son protégé dans l’armurerie, Odric le coupa sèchement :
-Du calme, mon garçon. Le travail de garde n’est pas aussi facile et gai que tu ne le crois. Le danger y est plus présent que sur les routes, car chaque ruelle possède son lot de malfrats. J’espère que tu sais te battre, fiston, car les criminels ne te laisseront pas de chances. Ils ne sont pas du genre à se laisser capturer facilement.
Alors que l’armurier se tourna vers le duo, Odric pointa du pouce gauche la jeune recrue. L’armurier le toisa du regard, sourcil arqué. Après tout, pensa Odric,
il n’était pas le seul à douter de la pertinence de la présence de Thomas dans le corps des guetteurs. L’armurier haussa les épaules et disparu derrière un rideau.
-Ne t’inquiètes pas, grand-père, je vais tous les mater! De la racaille, voilà ce que c’est! Rien de plus! Que peuvent-ils nous faire?
Odric ne répondit pas. Après tout, il n’apprendrait pas s’il lui dictait tout sur les criminels de Diantra. Il apprendrait rapidement. Et de plus, un criminel le punira mieux que lui-même pour avoir manqué de respect à son supérieur.
L’armurier revint avec l’équipement approprié et Thomas lui arracha quasiment des mains pour l’enfiler. C’est avec peine et misère qu’il l’enfila. Odric lui flanqua une tape dans le dos, le dirigeant vers la sortie :
-Allez. Tu commences maintenant.
-Je n’attends que ça!
***
Trois fois. Ils avaient fait le tour des quartiers importants de Diantra trois fois. Des heures de marche et rien d’autre. Thomas, en sueur sous le soleil ardent de Miradelphia, s’écria :
-Quel travail stupide! Quatre heures et rien à faire autre que marcher! J’aurais pu faire ça tout seul! Où sont les criminels, les mécréants, j’ai l’épée qui démange!
-Une épée ne peut démanger, répondit simplement Odric. C’est le lot du garde de Diantra : regarde et surveille. Il est mieux d’empêcher un crime que d’agir après le crime. Il en va de la sécurité des gens. Une journée sans intervention est une journée réussie dans la vie d’un garde.
-Ouais, sans plaisir non plus…
-Tu n’es pas ici pour avoir du plaisir, gamin! Tu es ici pour servir et protéger l’innocent! Pas pour assouvir ton autorité et trucider tout ce qui veut croiser l’épée!
Thomas ne répondit pas, surpris, voire outré, qu’Odric brise à jamais l’illusion du travail parfait de garde invincible et surpuissant.
Ce n’est que quelques moments plus tard, probablement par désir de se racheter aux yeux de son supérieur, qu’il demanda, timidement :
-Vous… Vous travaillez ainsi depuis longtemps?
-Aussi loin que ma mémoire me le permette, répondit froidement Odric sans même jeter un œil à son interlocuteur. Et Je me souviens de mon enfance.
-Allons! Je sais que vous engagez jeune, mais à ce point?
-Tu n’as pas idée…
« Je suis né d’un garde et d’une mère fille de garde. La justice et le devoir coule dans mes veines. Tout jeune grâce à mon père, je me suis initié à l’art du combat, afin de posséder le bras du protecteur. Tout jeune, je me suis initié à l’art de la tactique, afin de posséder l’esprit du défenseur. Alors que les enfants jouaient, je m’entraînais. Alors qu’ils dormaient, je m’éduquais. Alors qu’ils vivaient, je me sacrifiais afin que d’autres puisse vivre éventuellement.
Dès que j’ai atteint l’âge requis, je me suis engagé et j’ai suivi les traces de mon père, qui mourut deux ans plus tard suite à une altercation dangereuse. C’est en sa mémoire que j’ai persévéré, c’est pour son idéal de justice que j’ai décidé de gravir les échelons de la garde urbaine de Diantra. Car trop de nos confrères abusent de leurs pouvoirs. Trop grand nombre d’entre nous corrompt la justice et pervertit notre titre. Je me fais un devoir de protéger non seulement Diantra, mais aussi les gardes d’eux même. Je ne suis capitaine que depuis trois ans. Mais je n’abandonne pas. Un jour, Diantra sera libéré du mal qui habite en son sein.
Je sers la justice. Mais, par ce devoir, je sers également tout Diantra. »
Thomas le fixait, l’air admiratif et sérieux, puis, soudainement prit d’un désir de justice, se redressa et regarda la foule qui s’étalait devant lui, tentant de détecter quelconque anomalie.
C’est alors qu’Odric vit la foule s’écarter prestement, comme si quelqu’un tentait de se forcer un passage. Craignant qu’un homme ne prenne la fuite après un crime, il s’avança prudemment vers la raison de tout ce vacarme. À son grand soulagement, ce n’était que Tarmin, le sergent sous ses ordres. Pressé ainsi, il avait probablement de mauvaises nouvelles…
-Sir! Sir! Venez, vite! L…Le rapace! Nous l’avons trouvé!
Le rapace? Ce bandit crapuleux qui volait les caravanes sur les routes de la péninsule et réussissait à chaque fois à échapper à la garde? Ils l’avaient retrouvé?
-Alors, que faites vous ici! Arrêtez-le! Nous recevons un mandat par jour pour ce bâtard!
-Il…Il s’est réfugié dans une taverne! Une taverne pas très fameuse en fait, alors excepté l’aubergiste et quelques serveuses, il ne doit y avoir personne. Mais nous soupçonnons le fait qu’il puisse être accompagné et qu’il tende un piège. Il n’est pas du genre à se tenir à découvert!
Il avait en effet raison. Le rapace était connue pour sa subtilité et sa discrétion. Il ne paraissait pas dans les rues, pas mêmes les plus désertes. C'était suspect.
-Conduis-nous, ordonna Odric. Toi, dit-il en pointant Thomas, tu viens.
***
Il s’agissait bel et bien d’une auberge mal famée. « Le rat Buveur ». Odric ignorait s’il s’agissait de l’auberge en tant que telle, son emplacement ou son nom qui faisait peur aux clients.
N’empêche qu’il s’agit d’une auberge isolée aux murs fatigués et sales. Il n’y avait aucune sortie non surveillée. Si le rapace s’y trouvait, il ne pouvait pas sortir. Mais il ne se rendrait pas.
-Il faut user de stratégie, déclara Odric. Il ne sortira pas seul et je ne veux pas d’effusion de sang. Je veux que ce bâtard face face à la justice comme il se doit. Nous devr…
À peine eut-il terminé sa phrase que Thomas, ayant entendu l’appel inaudible du héros téméraire, défonça la porte d’entrée d’un coup de pied en s’écriant :
-Vous êtes cernés! Rendez-vous!
Tarmin, incrédule, souffla à Odric :
-D’où il sort, celui-là?
La main au visage, Odric murmura :
-De l’enfer.
-Eh bien, conclut Tarmin, je lui donne deux minutes pour y retourner!
La bonne nouvelle, c’est que le rapace se trouve effectivement dans l’auberge.
La mauvaise, c’est qu’il était en compagnie d’une dizaine de compagnons. Et ils ne semblaient pas être des enfants de chœur.
Odric lança à la ronde :
-Au diable la stratégie! Allez-y et ramenez-moi le vivant! Peu m’importe ses complices!
Un cri de guerre de fit entendre de la plupart des guetteurs tandis qu’ils entraient par toutes les issues possibles. Rapidement, le rapace et sa bande était cernée, mais tous avaient l’arme à la main. Odric, épée et bouclier levé, annonça :
-Rogir, le rapace, vous êtes officiellement en état d’arrestation pour banditisme, vol et meurtre. Rendez les armes et nul mal ne vous ser…
-Mon cul! S’écria le dit-Rogir. Vos pov’ cul terreux peuvent bien crever, j’me rendrai jamais!
Quelle surprise, pensa Odric. Il s’agissait du protocole d’annoncer au criminel qu’il devait se rendre, mais il ignorait s’il verrait un jour un contrevenant y obéir.
-Alors, vous ne nous laissez pas le choix Monsieur Rogir.
Les gardes présents refermèrent davantage le cercle.
-Arrêtez-le.
Ce fut un bandit qui prit l’initiative de démarrer la dance.
Le combat faisait rage dans la minuscule taverne, les bandits acculés au mur et les guetteurs tentant par tout les moyens de libérer un chemin pour prendre le rapace du lot.
Cette fois, ce fut Odric qui prit l’initiative.
Chargeant bouclier levé, il repoussa l’épée d’un bandit avant de lui asséner un solide coup au nez, puis, comme une porte, lui enfonça le pied dans la poitrine, l’envoyant s’écraser sur les bandits derrière. Les gardes adjacents, encouragés par la réussite du supérieur, se lancèrent sur les bandits restants, les transformant rapidement en tas de chair sanguinolent. Le cercle s’était définitivement refermé sur le mur. Et, dans le coin, se trouvait Rogir, un bras en sang, à genoux devant Odric, Résigné face à l’exécution qui l’attendait.
Odric se retourna vers Thomas, Derrière la foule, terrifié, et prit sont tabard dans les mains.
-heureux d'avoir travaillé avec toi, gamin.
Puis, d'un coup sec, arracha le tarbard de Thomas.
Dernière édition par Odric Parangus le Ven 12 Juil 2013 - 4:20, édité 4 fois |
| | | Hans
Ancien
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| Sujet: Re: Odric Parangus, Main de la justice Jeu 11 Juil 2013 - 0:53 | |
| Salut Odric,
Tu t'en doutes, c'est moi qui vais m'occuper de ta fiche. J'vais procéder points par points.
D'abord, l'équipement :
- pour aller plus loin dans la précision concernant l'armure, on appelle le vêtement matelassé (en cuir, en lin, laine, au choix) un gambison ou un jacque. C'est ce qui se porte sous l'armure pour absorber les choc (ça peut aussi se porter sans rien au dessus, auquel cas ils sont plus épais généralement, mais c'est une protection assez pauvre comparée à une armure de métal). L'armure "de couleur argent" est une armure de plate, qu'on peut nommer harnoi, blanc harnoi, harnoi poli si on veut faire bien. - il y a une petite confusion quand tu dis : "[...] ainsi qu’un tabard aux couleurs de la capitale. Sous celle-ci se trouve une armure de cuir légère protégeant les articulations [...]" puisque soit l'armure de cuir est sous le tabard, auquel cas c'est au masculin ; mais c'est pas logique du point de vue de l'armure, soit l'armure de cuir est sous l'armure de métal, auquel cas la phrase ne marche pas - on dira plutôt le blason de Diantra, ou le blason royal, que le "symbole de diantra" - le codex des lois de diantra me semble assez hors de propos : le rôle de la Garde n'est pas de juger ou de lire les lois (c'est le rôle du chancelier et ses juges, dont tu obtiens tes ordres) mais bien d'être le bras armé de la justice. En outre, je verrais difficilement des moines copier en boucle des codex pour qu'ils aillent se faire déchirer par des gardes, dont la plupart ne sauront ni lire ni écrire! - petite note finale, par rapport à cette phrase : "Outre ces changements hiérarchiques, Odric ne peut se permettre de se différencier des autres gardes, par soucis d’uniformité." Ne te méprends pas : il n'y a pas, dans ces époques médiévales, de notion d'uniforme. Même entre deux armures de plate, les formes et les styles seront différents (normal, c'est fait artisanalement), et on ne produit pas en série. De fait, les membres de la garde ont un équipement "standard" (une cotte de maille ou d'écaille par exemple), mais jamais identique au sens strict. Après, on peut aussi tout à fait imaginer que les gardes normaux aient des armures "moyenne" (genre cotte de maille), et leur capitaine une armure "haute qualité" comme une armure de plate.
La description physique :
- pareil que pour l'équipement, quand tu dis : "Comme tout soldat digne de ce nom, il porte les cheveux coupés ras et est, en tout temps, fraîchement rasé." Là encore, il ne faut pas oublier que nous ne sommes ni à l'armée, ni au 21ème siècle : l'aspect hétéroclite des hommes d'un même corps, avec les moustaches, les cheveux longs et tutti quanti est un trait habituel.
La description mentale :
- là encore, même rengaine : il n'y a pas d'entrainement, ou de formation standardisée dans nos univers. La garde de diantra ne demande au bas mot à ses hommes que de savoir se battre convenablement, et d'appliquer les ordres de la chancellerie. Un quidam sachant se servir d'une épée peut aisément rentrer dans la garde. Néanmoins, ça n'exclut en rien que le père d'Odric l'ait destiné à un avenir guerrier au sein de la garde, et l'ait soit entrainé lui même, soit lui ait alloué l'enseignement d'un maître d'arme, s'il en avait les moyens.
L'histoire :
- par rapport à "l'instruction" de ton personnage, je me demande si tu n'en fais pas un peu trop. Je compare à une "formation" pour être chevalier : au final, un page, puis écuyer, puis chevalier, apprend d'abord à entretenir les armes de son maître, puis à se battre, tout en ayant une éducation sur les mœurs, les valeurs, la vertu, etc. J'aime bien l'idée que le père d'Odric l'ait destiné à poursuivre son travail, et redorer le blason de la garde, mais je me demande si ça passe par cette sorte d'académisme que tu décris dans ton post, et pas plutôt par une transmission de père en fils.
Voila, mis à part pour l'équipement, c'est des remarques pas très formelles, c'est juste pour essayer de poursuivre la réflexion sur le personnage |
| | | Odric Parangus
Humain
Nombre de messages : 14 Âge : 32 Date d'inscription : 09/07/2013
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
| Sujet: Re: Odric Parangus, Main de la justice Jeu 11 Juil 2013 - 1:19 | |
| -Les petits détails concernant les mots justes ont été corrigés. Il s'agissait essentiellement d'un "blanc" dans le choix de mots^^ et d'erreurs grammaticales mineures. Mais il s'agissait en fait de détails minutieux qui ne rendent le personnage que plus précis. -L'éducation d'Odric a été faite par son père et que par lui, qui voulait que son fils continue le travail qu'il avait commencé. Avec un tel idéal, le père d'Odric se devait d'être préparé: pour lui, être un garde digne de ce nom est de savoir ce qui est juste et pas, ce que l'on a pas le droit de faire ou pas. Il ne voulait pas qu'un homme lui montre un "mandat" quelconque sans qu'il ne sache le lire. Je pense surtout à un visionnaire qui veut faire de la garde une "police". - Après modification, le codex a été écrit par Odric lui-même. je comprends qu'il n'est pas aussi rempli qu'un recueil de loi moderne, mais un minimum de règlements, lois et sanctions doivent régir Diantra. Telle sa bible, Odric s'est fait un devoir de ne vivre que par ces lois. ( P.S. Il hésitait à bander des parchemins remplis de lois sur son armure, mais son soucis d'uniformité (:D) le fit rejeter l'idée.) -Oui, sa vie semble être très proche de celle d'un futur chevalier. Mais Rilord voyait en le code d'honneur du chevalier un moyen de faire de la garde de Diantra une protection fière et digne. C'est pourquoi il a inculqué des concepts d'extrême droiture et militaires à son fils afin qu'il puisse remettre la garde dans le "droit chemin" que celle-ci ignore. -J'ai enlevé la phrase sur l'uniformité, mais j'avais compris le principe D'ailleurs, RPment, Odric n'hésitera pas à réprimander les gardes sous ses ordres pour des manquements à des règlements qui, dans le temps, n'avaient aucun sens mais pour Odric, constitue un manque à l'idéal de son père. Les gens le prennent pour un zélé, mais c'est sa vie, son choix. Et c'est le capitaine. En bref, J'aime penser qu'Odric se démarque par le désir de faire justice honorablement dans un univers (la garde) qui n'a que faire de ce désir. Si son idéal verra le jour ou pas, c'est le temps qui le dira. (mais je veux pas tout chambouler dans Diantra non plus.^^) |
| | | Hans
Ancien
Nombre de messages : 1666 Âge : 33 Date d'inscription : 20/03/2010
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 44 ans Taille : Niveau Magique : Eveillé / Néophyte.
| Sujet: Re: Odric Parangus, Main de la justice Jeu 11 Juil 2013 - 18:15 | |
| On est bien sur la même longueur d'onde : celle d'un personnage que son père a destiné à redorer le blason de la garde de Diantra, l'ayant été lui même. Ce père aura formé Odric au combat, lui aura enseigné la morale, tout ça. D'ailleurs, ça correspond clairement à un alignement Loyal bon, et pas loyal neutre, ça.
Cependant, je comprends pas cette obsession autour des "lois de Diantra". En quoi apprendre des lois par cœur et en posséder un bouquin montre-t-il sa valeur, sa vertu ? Dans l'absolu, une bible nééresque, et un sentiment de piété infaillible, je comprendrais, mais l'obsession sur les lois, ça me dépasse. Je rappelle donc que la garde n'est pas destinée à rendre justice (ce sont les seigneurs qui le font, et à Diantra cela passe par le chancelier), ni encore à exécuter les sentences (ça c'est le bourreau), et donc la connaissance exacte des lois, leur évocation récurrente, et l'emphase mise dessus est pas nécessaire, voire dommage : ça donne un côté (attention, grande référence) "Judge Dredd", qui rend le personnage un peu caduc, à mon sens. |
| | | Odric Parangus
Humain
Nombre de messages : 14 Âge : 32 Date d'inscription : 09/07/2013
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
| Sujet: Re: Odric Parangus, Main de la justice Jeu 11 Juil 2013 - 18:51 | |
| Je comprends ton point de vue. Mais, en toute franchise, j'espérais faire d'Odric un zélé qui fait tout d'une manière extrême. Étrangement, l'inspiration n'est pas venu du fameux Dredd, mais d'un élément de Magic régi par les lois et l'autorité. (Azorius) Je pourrais aussi défendre mon argument qu'il n'est pas nécessaire d'être directement impliqué dans un domaine pour s'y intéresser, surtout pour un fanatique de justice comme Odric, même si sur le plan pratique, cela lui sera inutile (Je le vois quasiment comme un illuminé). La police, après tout, ne fait qu'appliquer les règlements; elle ne les crée pas, ni sanctionne. Elle se doit tout de même de connaître les lois. (Mais qui suis je avec ces comparaisons modernes ) Mais je n'argumenterai pas plus. J'ai simplement voulu aller trop loin avec un personnage basé sur d'autres fondations ^^. Je retire donc les éléments concernant le codex et les lois. Odric sera zélé et impitoyable, mais seulement sur les ordres qui lui seront donnés. Un vrai pantin, quoi :D |
| | | Hans
Ancien
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| Sujet: Re: Odric Parangus, Main de la justice Ven 12 Juil 2013 - 18:12 | |
| Allez, je t'ai suffisamment cuisiné, et peux te valider ; tu connais le chemin. - Code:
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[Métier & Classe] : Capitaine de la Garde de Diantra
[Race & Sexe] : Humain & Masculin
[Classe d'arme] : Corps à corps
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