Le poids des guerres a pesé lourdement sur la santé physique d’Elrendil qui l’ont affaibli sur plusieurs parties de son corps. Il porte les stigmates des affrontements et arbore sous son armure plusieurs cicatrices et brûlures. La plus profonde provenant d' une flèche qui le transperça à l’épaule et qui le fait aujourd'hui encore souffrir lorsqu’il doit porter son bouclier. Mais une toute autre entaille le caractérise, elle se trouve à son cou et l’empêche de hausser la voix, le condamnant ainsi à adopter un mutisme lorsque le contexte ne nécessite pas qu’il donne des ordres ou souhaite se faire entendre.
Alignement : Loyal Chaotique Métier : Capitaine d'infanterie de l'armée royale Classe d'arme : Corps à corps (épée une main et demi) / Défensif (bouclier)
Équipement :
Elrendil n’est pas porté sur la possession matérielle bien que son statut lui impose de posséder une armure et un armement digne de son rang. Il possède tout de même en plus d’elle une tunique qu’il porte lorsqu’il ne se bat pas ou ne s’entraîne pas. Elle se compose d’habits sobres et rustiques avec ni plus ni moins des chausses en cuir noir, une paire de bottes usées et un haut gris rudimentaire fourni par l’armée royale. Lorsqu’il l’hiver vient, il se dote d’un long manteau tout aussi usé que le reste de ses habits. En ce qui concerne son équipement militaire maintenant, il a toujours gardé la même et bien qu’elle ait connu toutes les batailles, elle reste intact et toujours autant efficace. Composé d’un alliage souple de divers métaux, son père lui en fit un présent avant son entrée dans l’armée royale. Au fil du temps, le métal s’est noirci tandis que quelques éléments ont tourné au rouge écarlate. Son heaume est la pièce maîtresse de son armure. Sur le champ de bataille, il le différencie des autres mectaris grâce à ses inscriptions gravées sur toute la surface et qui sont en réalité des prières à la déesse Kyrià. Mais l’élément le plus précieux en sa possession est sans aucun doute sa longue épée bâtarde qu’il peut aisément manier à une ou deux mains selon les circonstances du combat. Lorsque son père lui offrit, il décida de l’appeler Aranel qui se traduirait par la colère des rois. Ce qui montre en parti son attachement et sa loyauté envers le roi des elfes.
Description physique :
D’une taille normale pour un elfe, il ne possède pas de démarcation bien spécifique. Svelte et agile, ce qui lui permet d’exceller dans le maniement des armes et surtout de l’épée à une main. Il possède toutefois la particularité de ressentir une profonde douleur à l’épaule lorsqu’il se bat pendant une trop longue durée. De plus, Elrendil ne possède pas tout l’allant et la beauté des autres elfes puisqu’il est depuis son enfance toujours d’un teint pâle et maladif, ce qui ne le rend pas très beau et présentable. Il se réfugie donc souvent sous son heaume pour se protéger des regards. Ne laissant ainsi apparaître seulement que ses yeux inquisiteurs et bleus glacials qui déstabiliseraient n’importe qui d’un simple regard.
Description mentale :
Elrendil paraît froid voire glacial à prime abord. Il n’aime pas les contacts avec les autres et préfère la solitude. Dans son métier, il ne tolère que la perfection, la rigueur et la discipline ce qui le rend excellent dans son domaine. Il est néanmoins un être sombre et mélancolique qui traduit en lui un profond isolement vis-à-vis de la société elfique qui le craint.
Bien qu’il soit loyal et respectueux, il a pour autant un dégout de la hiérarchie ce qui lui vaut de n’être que faiblement apprécié par ses pairs. Il ne se bat pas pour son peuple mais pour des intentions et idéaux très personnels qui pourrait se traduire par un caractère égoïste et apathique.
Concernant les autres races qui jonchent le sol de Miradelphia, il considère avec indifférence les hommes qui sont pour lui des êtres cupides et foncièrement belliqueux. Vis-à-vis des nains, il ne sait que ce qu’on lui a dit durant son enfance et se méfie donc de ces petits êtres plus intéressés par l’or que par l’honneur. Son indifférence va aussi pour les hybrides qu’il pense être des erreurs de la nature, tout comme les Drows en qui il porte une haine viscérale et irrémédiable.
Histoire :
I. Naissance et enfance
Elrendil naquit en l’an 447 du 10e cycle durant le mois de Vérimios. A en croire les archives, jamais il n’avait fait aussi froid dans les terres d’Ardamir. Né un Tariho, Elrendil était déjà placé sous le signe de la déesse Tyra. Sa naissance fut un événement malheureux puisque cela démarra par la mort de sa mère lors de l’accouchement. Fait rare chez les elfes, même si l’accouchement devait se passer sans encombre lorsqu’Elrendil prit vie, sa mère ferma les yeux et mourut sans que personne ne puisse interférer à la volonté de Tyra.
Ses parents jouissaient pourtant du parfait amour avant sa naissance. Son père était capitaine d’infanterie dans l’armée royale d’Ellyrion, il détenait une notoriété importante dans tout l’Anaëh du fait de ses compétences militaires. Il avait rencontré sa mère durant un voyage diplomatique dans la cité d’Eraison pour y rencontrer le protecteur. Son regard se porta exclusivement sur une des filles cadette d’une personnalité de premier plan de la cité, qui celui-ci, prit avec enthousiasme cette union. Elrendil était donc censé être le parfait résultat de l’amour entre ces deux elfes. Pourtant le sort en décida autrement et Elrendil fit ses premiers pas sans l’affection d’une mère et la promesse d’une vie paisible.
Son père décida de s’installer en dehors de la cité et chercha refuge dans son village natal. Il y retrouva sa petite soeur en qui il avait toujours porté un amour fraternel. Elle s'était mariée avec un druide et un enfant était né de leur union, Kelendil. Bien plus jeune qu'Elrendil et tout comme lui fils unique, ils grandirent élevés comme des frères même si Elrendil jalousait les meilleurs traitements dont son jeune cousin bénéficiait, car il avait ce que lui n'avait jamais eu dans son enfance, de l'affection.
La jeunesse d’Elrendil se passa donc à l’écart du monde avec un père qu’il ne voyait pas comme tel, mais comme un bourreau. Sans pour autant connaître les raisons qui poussèrent son géniteur à agir ainsi. Celui-ci, conscient de l’avenir difficile de son fils lui enseigna les rudiments de la religion, de l’art et surtout de la guerre. C’est dans ce domaine qu’il put s’épanouir le plus. Son tempérament calme et réservé lui permit d’acquérir toute l’agilité et l’adresse d’un épéiste hors pair qu’il peaufina avec hardiesse et détermination durant des décennies d’entraînement. Après tant d’années d’acharnement et de perfectionnement, Elrendil arriva au niveau de son père et dépassa largement tous les jeunes combattants fougueux et intrépides du village où il vivait. Cela lui valut une petite renommée et lui qui n’était pas habitué à la reconnaissance fut aussitôt applaudi. Mais un événement le ramena à la réalité lorsque son père lui ordonna de quitter sa demeure pour une raison qu'Elrendil ignore encore. Elrendil prit cet ordre comme un élément déclencheur d'un nouveau départ. Et dans sa quête d'identité, il décida de partir errer et découvrir l' Anaëh.
C’est durant son voyage qu’il rencontra celle qu’il allait aimer pour la première fois. Vodià, fille d’un marchand de passage dans les terres d’Ardamir, était la plus belle jeune femme elfe qu’Elrendil n’avait jamais vu auparavant. Ne sachant rien de lui et de son passé, la belle et séduisante Vodià se laissa séduire par cet elfe si jeune et pourtant si froid et mélancolique. Elle lui apprit l’amour, la vie et la reconnaissance de pouvoir vivre dans l’Anaëh. Elrendil commença à se détacher de sa colère et de sa tristesse et la demanda en mariage. Une année s’écoula sans que leur amour ne puisse s’interrompre, mais un événement dramatique vint bouleverser l’avenir qu’il s’était prévu. Durant une soirée d’été, des éclaireurs Sombres s’en prirent au village bordant la frontière du protectorat d’Eraison. Complétement désarmé durant l’assaut, Elrendil reçut un violent coup sur le crâne qui le fit sombrer dans un profond sommeil. A son réveil, Vodià était étendu prêt de lui et gisant dans une mare de sang. Cette image le hanta depuis et son sentiment de culpabilité ne fit qu’accroître, réveillant ainsi en lui toute la colère qu’il s’était promis de ne plus jamais laisser paraître. Sa haine envers les Drows explosa et il décida de retourner à la demeure de son enfance pour reprendre l’épée qu’il avait laissée, mais il ne vit aucune trace de son père et apprit sa mort sans éprouver le moindre remord de ne pas avoir pu ressentir le dernier souffle de son géniteur. Mais alors qu'il avait toute sa vie voulu se différencier de celui-ci, un élément le mit sans ses traces. Comme lui il décida de s’engager dans l’armée royale pour faire couler le sang de ses ennemis jurés, les Drows.
II. Le métier des armes.
Décidant de se vouer corps et âmes dans la traque et l’élimination de ceux qui avaient tué sa bien-aimée. Il décida dès son entrée dans le corps des mectaris de ne plus jamais laisser de place à un quelconque sentiment d’amour ou de bonheur. Les autres recrues avec qui il entra le craignirent du fait de sa nonchalance et de son regard glacial. Elrendil avait décidé de commencer comme simple épéiste, mais ses talents furent très vite repérés par ses supérieurs qui décidèrent de lui confier un premier poste de sergent au sein de l’unité d’élite des épéistes. Au fil du temps, Elrendil ne fit plus qu’inspirer la crainte chez ses camarades, mais la plupart d’entre eux le respectèrent pour le guerrier qu’il était. Toujours aussi rigoureux et acharné que lors de son éducation, Elrendil passa de longues années à toujours perfectionner ses gestes et à former son unité qui se devait d’être la fière représentante de l’armée royale.
Mais tout cet entraînement ne lui suffisait plus. La haine qu’il avait emmagasinée depuis tant d’années demandait à être assouvie. Et l’occasion se présenta comme il l’espérait lorsque les Drows décidèrent d’envahir Alëandir. Les Sombres réussirent à percer une brèche jusqu’au lac d’Uraal, là où l’armée royale les attendrait pour un affrontement tant attendu. Elrendil exprima sur le champ de bataille tout son art, causant la perte d’une centaine de sombres qui eurent la malchance de se trouver face à lui et à ses compagnons d’armes. Dans la mêlée du combat, c’est en repensant à son amour perdu de longues années auparavant, le corps de Vodià qui baignait dans une mare de sang tandis qu’il était évanoui et impuissant qu’Il frappa durant ce combat chaque crâne, cou, torse, jambe et bras avec une minutie effroyable. Et pour chaque goutte de sang perdue par sa femme, un drow tombait en guise de compensation. Sa furie et son exaltation durant ce massacre le mirent au premier plan de la scène militaire elfique et ses supérieurs décidèrent de lui confier le grade de lieutenant pour qu’il puisse former plus de soldats et les façonner à son image. Bien que Elrendil ne recherchât ni la gloire, ni le pouvoir, il accepta en sachant qu’il pourrait ainsi ne plus avoir à obéir à des ordres totalement incohérents et inefficaces.
III. L’isolement.
Son nouveau statut l’incitait à devoir se montrer en société et à représenter la gloire et la puissance de l’armée royale, mais cela l’importait peu et il préféra vouer son temps et son énergie à la préparation de ses hommes, ce qui ne tarda pas à le rendre profondément impopulaire et antipathique vis-à-vis des élites. Il n’y avait pour lui aucun prestige à devenir une vulgaire décoration pour une société qu’il ne comprenait pas, et surtout excédait. Dans un temps de crise ou la déesse Kyria avait le plus besoin de ses guerriers pour défendre son royaume. Les craintes d’Elrendil se confirmèrent et tandis que la plupart s’étaient évertuées à se voiler la face, la réalité des Sombres refit surface et ce fut au tour de la forteresse d’Ellyrion d’être menacée. Ellyrion était le symbole même de la puissance militaire elfique. Elle incarnait la séparation entre le beau peuple et leurs ennemis héréditaires. Pourtant, Elrendil savait que trop de laxisme avait sévi dans l’armée et ce n’était pas la présence des capitaines émérites de l’armée du sud qui changerait la donne.
Une fois de plus comme l’avait pressenti Elrendil, la bataille s’annonça mal pour les siens. Mais il était un soldat d’élite de l’armée royale et se devait de sacrifier sa vie si cela pouvait épargner celle de milliers d’autres qui pourraient continuer la lutte. Il retrouva alors sur le champ de bataille, son jeune cousin Kelendil devenu un soldat hors pair avec qui il combattit côte à côte durant plusieurs heures sans jamais baisser la garde. Mais au moment ou le sort des elfes bascula en défaveur de l'armée royale, Elrendil ordonna à ses épéistes de couvrir la retraite de l’armée elfique. Ce fut une véritable hécatombe pour lui et les siens et ils tombèrent les uns après les autres et lui en dernier. Mais leurs sacrifices permit amplement de protéger la retraite de l’armée royale. Pensant enfin rejoindre sa promise auprès de Tyra. La déesse Kyria en décida autrement et préféra le laisser vivre. Les prêtres le trouvèrent ainsi au beau milieu des centaines de corps inertes. Elrendil était transpercé de toute part, une entaille lui prenait une bonne partie du cou, mais cela n’était rien comparé à son cœur qui s’était durci et ses yeux devenus plus glacials et vides qu’avant.
Peu de temps après qu'il ait été rétablit, l'armée fit de nouveau appel à lui pour qu'il récupère son grade. Voyant ainsi un signe de reconnaissance de la part de ses supérieurs vis à vis de son sacrifice, sa foi et sa loyauté envers son peuple n'ont alors fait que s'accroître. Il est resté néanmoins énormément touché et fragilisé par la perte de ses soldats. Ne comprenant pas pourquoi lui seul fut épargné, Elrendil décida dès lors de mener une quête personnelle pour en apprendre plus sur sa foie et sur Kyria.
Mais depuis peu, la nouvelle de la reconquête des portes de l’Anaëh a fait écho dans les oreilles d’Elrendil et celui-ci ne peut se permettre d'abandonner les siens. Il y a un temps pour les interrogations et surtout un temps pour la guerre. Kyria réclame ses guerriers et Elrendil compte bien les mener pour éliminer les ennemis de son peuple.
Note:
I Mectari: Les épéistes
Dernière édition par Elrendil Silad le Dim 8 Déc 2013 - 14:05, édité 3 fois
Elrendil Silad
Elfe
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Sujet: Re: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes Mer 20 Nov 2013 - 14:23
Fiche complète normalement. Dites moi si je dois apporter des modifications et je le ferais !
Eliwa
Elfe
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Sujet: Re: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes Ven 22 Nov 2013 - 18:24
Alors, je vais te corriger. Excuse moi du petit laps de temps entre le moment où j'ai posé mon nom, et le moment où je poste mon message. Pour plus de clarté, je vais procéder point par point.
Histoire :
Citation :
un riche notable
Il n'y pas cette distinction chez les elfes, même si tu as toujours plus ou moins la notion riches / pauvres, il n'y a pas pour autant de « riche notable », comme tu le dis. J'aurais plus tendance à dire qu'il était tombé amoureux de la cadette d'un grand peut-être, je ne sais pas comment le remplacer, mais disons que je vois trop le côté humain ici.
Citation :
prit d’un très bon œil l’union de sa fille avec un soldat de cette envergure
Bon, là aussi, ça fait un peu trop humain à mon goût, les elfes s'unissent parce qu'ils s'aiment, pas pour leurs titres ou pour leurs terres, donc il me paraît un peu déplacer de dire que le seul contentement du père est de voir partir sa fille avec quelqu'un de haut placé.
Citation :
Au contraire, sa famille maternelle décida de ne pas reconnaître l’enfant
Un enfant est très précieux chez les elfes, c'est un cadeau de Kÿria disons, et étant rare, il est chérit. Surtout que là encore, ça me fait penser aux humains, qui ne reconnaissent pas leur descendance pour ne pas avoir un énième prétendant au trône, ou un énième héritier. Dans la continuité de ta phrase, tu dis que son père passe sa tristesse et sa frustration sur lui, mais là encore, je le verrais plus apathique, morne, presque mort d'ailleurs, parce que les elfes vouent un tel amour à leur moitié et sont tellement sensibles (en tout cas en ce qui concerne les elfes de pierre) qu'il me semblerait plus logique qu'il se laisse dépérir plutôt qu'il soit violent envers son fils. Et puis, comme je te l'ai dit, un enfant est précieux chez les elfes.
Pareil ensuite, il faudrait que tu trouves autre chose pour faire bouger son père, parce qu'un rejet à cause du décès de la mère, ce n'est pas très crédible, les autres auront plus tendance à vouloir l'aider qu'à le chasser et à le dénigrer. Et là encore, je retrouve l'organisation quelque peu humaine, avec des notables qui dictent à la plèbe. Attention, les elfes n'ont pas cette relation au pouvoir !
Citation :
les bruits de couloir qui l'affublaient du titre de meurtriers et de Sombres
Ca, soit il va falloir que tu développes, soit il va falloir que tu retires. Je ne saisis pas bien le sens de cette phrase, pourquoi les elfes le « traitent » de sombre ? Pourquoi est-ce qu'ils renieraient un être de leur peuple seulement parce que sa mère est morte en lui donnant la vie ? Non, à moins qu'il y ait une autre raison, ce n'est pas suffisant. Je pense que pour être affublé d'un titre pareil, il faut au moins avoir tué quelqu'un, et non simplement en naissant.
Sinon, pour la suite, j'ai un peu l'impression de voir l’ascension d'un Sombre justement, et ça me dérange. Autant au début de ton histoire, tu reprenais des termes trop humains à mon goût, autant maintenant, je trouve que tu parles trop de gloire, de popularité, d'élite, de « façonner à son image ». Pour moi, tu décris là la dure accession au pouvoir d'un humain, ou d'un sombre, mais pas la vie d'un elfe.
Sinon, je suppose que tu as vu avec Kelendil avant de l'intégrer dans ton histoire ? Je n'ai pas besoin de tout les détails, seulement savoir si tu as son accord.
J'ai peut-être été assez sèche parfois, mais j'ai seulement essayé de faire vite pour te fournir une réponse avant que je parte, et te laisser un peu de temps pour retravailler tout ça Si jamais tu as des questions, n'hésites pas à me mp tout de même, j'essayerais de passer, mais si jamais tu vois que je ne réponds pas, tourne toi vers Glinaina ou vers Johann, je pense qu'ils t'aideront sans aucun souci !
Elrendil Silad
Elfe
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Sujet: Re: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes Dim 24 Nov 2013 - 14:48
Merci pour les remarques ! Wink
Je pense avoir fait toutes les corrections des passages que tu m'as cités, et j'en ai modifié d'autres pour que tout colle normalement. J'avais peut être voulu faire un personnage trop sombre justement, il est bien de modérer la chose comme tu l'as remarqué.
Pour ce qui est de Kelendil, c'est bon j'ai son accord. C'est lui même qui m'a conseillé de rajouter une ou deux anecdotes.
Bon weekend à toi ! :)
Kelendil
Elfe
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Eliwa était en vacances et devait rentrer aujourd'hui, tu auras donc très vite la suite de ta correction. Désolé pour la latence, cependant. En attendant de plus amples informations d'Eliwa, je t'invite à revoir les dimensions de ton avatar, elles ne sont pas conformes : p. La taille maximum est de 180x400.
Elrendil Silad
Elfe
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Sujet: Re: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes Mer 4 Déc 2013 - 20:09
Up ! Fiche corrigée et avatar modifié :)
Eliwa
Elfe
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Sujet: Re: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes Jeu 5 Déc 2013 - 15:34
C'est mieux nettement mieux ! Je ne vois pas grand chose d'autre à te reprocher, juste le mot "foie" à la fin, que tu devrais remplacer par "foi".
Tu es donc validé !
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}. Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {facultatif}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
Et pour les admins :
Code:
[Métier & Classe] : Lieutenant des épéistes
[Race & Sexe] : Elfe & Masculin
[Classe d'arme] : Corps à corps & Défensif
[Alignement] : Loyal Chaotique
Bon jeu à toi !
Bol d’Jiv’elgg
Ancien
Nombre de messages : 363 Âge : 31 Date d'inscription : 13/08/2013
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 327 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Re: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes Jeu 5 Déc 2013 - 19:13
Bienvenue parmi nous! Au plaisir de te torturer en RP
Kahina d'Ys
Humain
Nombre de messages : 328 Âge : 34 Date d'inscription : 23/03/2013
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 17 ans. Taille : Niveau Magique : Apprenti.
Sujet: Re: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes Ven 6 Déc 2013 - 12:50
Félicitation pour ta validation :).
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Sujet: Re: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes
Sujet: Elrendil Silad - Lieutenant des épéistes 
Mar 19 Nov 2013 - 11:30
