Lidwina de Olille, cousine de Méliane de Lancrais

Nom/Prénom : Lidwina de Olille
Âge : 22 ans
Sexe : Féminin
Race : Humain
Faction : Péninsule
Particularité : Dame de Langehack, cousine de Méliane de Lancrais

Alignement : Neutre bon
Métier : Châtelaine
Classe d'arme : Aucune

Équipement : Il n'est pas de coutume que la damoiselle se battre, mais au besoin pour se défendre elle fera avec ce qui lui tombera sous la main. Apprenez qu'un chandelier, maniée dans la peur peut devenir une arme redoutable.


Description physique :
Lidwina est une jeune femme ayant un joli visage clair et doux. En ses traits, il est facile d'en reconnaître certains qu'elle partage avec sa cousine, Méliane de Lancrais. Les yeux bleus, la bouche pulpeuse, néanmoins au delà des ressemblances subsistent de nombreuses différences qui la dissocient parfaitement de sa cousine et font son charme. En son regard flottent quelques reflets verts qui illuminent le bleu dominant de la famille. Ses sourcils sont moins durs, plus courbés exprimant parfaitement ses états d'âme, ses sentiments. Son nez est rond et chétif. Sur son front repose en tout temps un bijoux offert par sa cousine, un de ceux ressemblant a ce que la duchesse elle même affectionne tant. Pour parfaire a son charme, elle aime porter des bijoux discrets aux petites touches colorées qui ne dévalorisent en rien le teint rose qui habille ses pommettes gracieuses. Sa longue chevelure couleur noire ébène est faite de légères ondulations naturelles. Lidwina mesure 1 mètre 62, un peu plus petite que les normes familiales, mais cela l'empêche pas d'être joliment proportionnée. Son corps, féminin, est plaisant à regarder, de petites épaules, de jolies mains douves et habiles, une poitrine menue mais adorable, bien qu'elle la cache de part des voiles, quelque peu gênée qu'elle est par cette partie de son anatomie. Ses hanches sont prononcées, pour compléter le tableau viennent de longues jambes, idéales pour pratiquer l'équitation qu'elle aime tant. C'est une damoiselle fraîche et légère, toujours le sourire aux lèvres, pourvu d'une voix mélodieuse et douce.


Description mentale :
Lidwina possède un esprit très ouvert. Elle est dotée d'une grande curiosité qu'elle nourrit en acquérant le plus de connaissances possibles. Pour cela, elle a fait de la lecture une de ses grandes passions. Lisant chaque livres lui tombant sous la main avec un intérêt non fin. Des romans aux livres de sciences, tous la captivent. Elle n'est pas du genre a tenir sa langue dans sa poche et ce fait n'hésite pas a poser toutes les questions qui lui passent en tête. Toutes, y compris les plus idiotes, qu'importe du moment qu'on lui réponde pour assouvir sa faim de savoir. A coté de ce grand savoir qu'elle entretien avec soin, elle a un petit côté maladroit. La damoiselle se laissant facilement distraire peut parfois faire rire bien malgré elle, ce qui lui confère un petit charme adorable.

Curieuse et en soif de connaissance, elle aime mettre a bon escient ce qu'elle apprend. C'est dont toujours avec entrain qu'elle se lance dans des discutions, voir même des débats. Si elle était seule maître de son emploi du temps probable qu'elle pourrait passer des heures voir des soirées entières a ne rien faire d'autre qu'à discuter. Elle est très attentive aux autres, mettant toujours a l'honneur le fait que son entourage se sentent à l'aise en sa présence. Bien que très porté sur les études et le savoir, elle n'en oublie pas de s'amuser, elle est en effet d'une nature enjouée, propice a l'amusement. Alors que tant de damoiselles fuient la compagnie des hommes, elle au contraire l'apprécie. Point de malaise quand il s'agit de converser avec un homme et d'échanger quelques propos. Quel intérêt de ne partager ses opinions qu'avec les dames ?

Malgré sa facilité à se lier, sa seule sincère amitié c'est avec sa cousine Méliane qu'elle l'a développée. Méliane de quelques années son aînée partagent avec elle bien des points de caractères, comme leurs soif de connaissance ou leur passion pour la lecture et l'équitation. Quand elles étaient plus jeunes, elles étaient rarement l'une sans l'autre, inséparables dirait-on même ! Le temps passant et des événements tels que le mariage de Méliane et les nouvelles responsabilités de sa cousine, les éloignèrent pendant quelques années. Maintenant, tout cela se trouvent derrière elles, sa cousine nouvellement duchesse l'ayant faite venir à la cour en tant que dame de compagnie. C'est dans cet environnement et entourée de sa chère cousine que Lidwina commença a réellement s'épanouir et à se sentir libre d'être enfin elle-même.

Maintenant puisque perfection il n'y a pas, je vais vous parler de ses défauts. Faut il vraiment les nommer ? Peut-être, aimerez-vous la surprise de supporter ses piques de colère. Disons le, au besoin la damoiselle sait pousser des cris à faire trembler les tympans. Ajoutons a cela sa jalousie compulsive qu'elle s'efforce de garder pour elle, en ne la manifestant qu'en vous ignorant ou en bougonnant, car apprenez qu'elle excelle dans l'art de la bouderie. Pour finir, prenez note qu'elle ne supporte pas que l'on émette quelques doutes sur sa parole. Cela a la fâcheuse tendance de la mettre en colère et de cela en découle des débats houleux. D'ailleurs la colère fait que bien souvent les mots qui glissent de ses lèvres dépassent souvent sa pensée, la poussant aux regrets de les avoir dit.

Histoire :

Lidwina naquit dans la péninsule, dans la châtellenie d'Olille sur les terres du duché de Langehack. La châtellenie familiale était une terre riche en fleurs et en fruits, propice au commerce et la prospérité des terres. Ses parents, Clément d'Olille et Elissa d'Olille (soeur de Raoth de Lancrais, père de Méliane), furent très fiers et heureux de sa venue au monde, malgré les difficultés qui précédèrent à l'accouchement. Alors que sa mère n'en était qu'au huitième mois à peine, elle fut touchée par une fièvre qui provoqua ses contractions. Malgré la douleur et la fatigue, voir son nouveau né dans ses bras fut le plus beau des cadeaux qu'elle aurait pu rêver.
Lidwina grandit dans un grand château, ou elle prit l'habitude de s'amuser à s'y cacher, à faire des blagues aux personnels ou bien à jouer à la poupée dans sa grande chambre rose. Comme la plupart des enfants, elle était adorable mais c'était aussi une petite fille un peu peste sur les bords lorsqu'on l'a contrarié. Boudant dans sa chambre et dévorant ses livres de conte pour se calmer. Elle apprit à lire et à écrire assez tôt, quémandant des cours auprès de son père qui n'osait rien lui refuser et fut plutôt content de cet engouement pour la lecture et les livres. Plus elle grandit, plus elle gagnait en beauté, en maturité et en confiance en soi. A l'âge de 11 ans, elle montait à poney comme une grande, ses parents parlaient beaucoup de sa cousine Méliane, grande cavalière et elle voulut rapidement devenir comme elle, la prenant comme exemple. Les deux cousines s'étaient croisées en deux nombreuses occasions telles que les mariages et autres grands événements familiaux, mais Lidwina encore bien trop timide, n'avait jamais réellement osait l'aborder, malgré la gentillesse évident de sa cousine qui a chacune de ses visites venaient lui ébouriffer les cheveux tendrement. Quand vinrent ses 12 ans, on lui assigna un chaperon. Elle associa cela à une prison. On surveillait désormais ses allées et venues, ses activités et son emploi du temps. Son chaperon était en fait une dame de compagnie que l'on prénommait Dame Drusila. Du point de vue de Lidwina, elle était insupportable au plus au point. La dame non contente d'imposait en tout tant sa présence, critiquait tous les faits et gestes de la petite damoiselle jusqu'à parfois l'en faire pleurer la nuit. Elle se sentait alors misérable, non à la hauteur d'être châtelaine d'Olille.

A l'aube de ses 14 ans, c'est lors d'une réunion familiale qu'elle réunit enfin tout son courage pour aller discuter avec sa chère cousine, Méliane de Lancrais devenue elle-même une adulte à présent. Elle avait ouï dire quelques mots de la mort de son époux et utilisa cela comme excuse pour venir l'aborder, présentant ses respects et condoléances. Ce premier contact en amena d'autres et au fur et à mesure de leurs rencontres, elle trouva qu'elle était plus à l'aise pour parler avec elle qu'avec n'importe qui d'autres. Il s'avérait qu'elles avaient à peu près les mêmes goûts et les mêmes passions, notamment pour la lecture et l'équitation. Lidwina n'en demandait pas mieux, elle avait enfin trouvé une personne avec qui elle pouvait discuter avec aisance et sentit même un soulagement de pouvoir s'ouvrir à quelqu'un. Lidwina racontait ses peines et ses questionnements à Méliane qui n'hésitait pas à lui donner des conseils, comme celui inestimable de remettre au besoin sa dame de compagnie à sa place ou bien s'améliorer dans les bonnes manières pour lui clouer le bec.
Elles passèrent beaucoup de temps ensemble, à faire du cheval, à s'échanger des oeuvres de lectures, à boire le thé. Lidwina sentit que leur relation devint fusionnelle comme entre deux soeurs proches, la sensation de solitude s'évanouissait en sa présence, elle était d'un réconfort énorme quel que soit la situation. Rapidement sa cousine la prit sous son aile et l'invita à passer du temps sur les terres de son défunt époux qu'elle dirigeait maintenant seule. Là-bas, elle eut la possibilité de rencontrer de nouvelles têtes, de s'épanouir en découvrant de nouvelles choses. Même si elle devait retourner chez ses parents de manière régulière et avec regret, elle le faisait avec pleins de souvenirs inoubliables.
Quand ses 22 ans arrivèrent, un cadeau inespéré lui vint de sa chère cousine. Cette dernière récemment devenue duchesse de Langehack l'invita à rejoindre le palais ducale pour devenir sa dame de compagnie. Ce fut malgré tout un déchirement que de quitter ses parents. Malgré tout elle savait qu'elle les reverrait régulièrement et c'était là une proposition qui ne se refusait pas. Voilà qui apportait un certain prestige à ses parents et a leurs terres. Son père bien que déçu se montra fier de la voir partir pour faire parti de l'entourage de la duchesse. Il espérait que la nouvelle situation de sa fille permettrait de lui arranger un mariage avantageux tout en sachant que la duchesse veillerait comme depuis toujours a ce que sa jeune cousine ne soit pas mariée en de mauvaises conditions. C'est donc une toute nouvelle vie qui l'attendait à la cour ducale et auprès de sa cousine, une vie dont elle comptait profiter pleinement.

Il manque l'alignement :).

Pour le reste, la fiche est assez simple. Quelques fautes traînent là et là (« deux nombreuses occasions ») mais la qualité est somme toute bonne. Il est « dommage » (mais ce n'est que mon avis) que ton personnage ne se définisse qu'à travers sa relation avec Mélianne.

Citation :

Son père se montra quelque peu déçue de la voir partir ayant espéré pouvoir lui arranger un mariage avantageux (...)

La présence de Lid à la Cour n'est pas un frein à son mariage. Son père n'a pas besoin d'elle pour lui trouver un mari (il n'a pas non plus besoin de son consentement) et il pourra toujours la rappeler auprès de lui quand il le désire. De plus, mettre Lid à la Cour c'est lui assurer une certaine visibilité et éducation (ça fait bien sur la CV, quoi).

Je ne sais pas comment tu te situes HRP par rapport au mariage de ton personnage, qui à l'âge pour, en tout cas. Mais il ne faut pas croire que c'est quelque chose dont elle est débarrassée.

Voilà pour les remarques.

Les corrections apportées me conviennent, pour moi c'est bon.

Dans ce cas, rebienvenue sur Miradelphia ;o.