Evrard de Brochant, le Chevalier au Cimeterre ! (Arichis)

Nom/Prénom : Evrard de Brochant, surnommé « Le Chevalier Estréventin »
Âge/Date de naissance : Né le troisième jour de la quatrième semaine du mois de Verimios lors de la Saison de l’Été en l'An de Grâce 981.
Sexe : Masculin
Race : Humain
Faction : Péninsule
Particularité : Cet ancien baroudeur possède un tatouage assez particulier dans un endroit qui l'est tout autant. Lorsque ses faits d'armes et sa recherche de gloire l'ont emmener en Estrevent, il se fit faire tatouer un superbe phénix, qui part de la cuisse jusqu'à sa région pubienne.

Alignement : Chaotique Neutre
Métier : Chevalier, Conseiller Militaire du Marquis de Serramire.
Classe d'arme : Corps à corps (Cimeterre à une main), Défensif (Bouclier)

Équipement :
Evrard est un chevalier qui est plutôt excentrique. Alors que la plupart de ses compatriotes préfèrent une épée longue traditionnelle, son passé dans l'Estrevent en tant que mercenaire lui a appris le maniement du sabre estréventin que l'on nomme Cimeterre ou dans leurs contrées le Shamshir. Cette épée particulière possède une lame recourbée d'environ soixante-dix centimètres. Sa poignée, quant-à elle, est composée de soie et de filins d'or. Cette lame est redoutable pour ses coups d'estocs, perçant les armures avec une efficacité remarquable. En outre, la lame incurvée permet d'accentuer les coups de tailles, notamment grâce à l'élargissement et l'alourdissement de la lame à sa pointe. Il porte, contrairement à ses confrères, non pas une armure de plate, mais plutôt une brigandine, lui permettant de se mouvoir bien plus aisément, aussi bien sur son destrier qu'à pied. Un écu d'une taille respectable complète son attirail de guerre.

Lorsqu'il est dans la vie civile, il préfère les tenues bien plus chatoyantes. Contrairement à ses compatriotes, qui préfèrent les tenues sobres, le Chevalier, bien que portant les fourrures dù à son environnement, préfèrent les couleurs plus chatoyantes, comme l'orange, le vert ou le rouge, tout en essayant (ce qui n'est pas évident) de garder la sobriété des hommes du Nord. Son seul bijoux consiste en une chevalière sur son annulaire droit. Rien de particulier cela dit, il s'agit simplement d'un onyx dans une bague en or.

Description physique :
Si une chose est sûr dans la famille de Brochant, c'est qu'ils sont plutôt avantagés par la nature. Son port altier, sa mâchoire, plutôt fine pour un homme du nord, est surplombé d'une barbe de trois jours faussement négligée. Ses cheveux bruns lui arrive aux épaules, lui donnant un air de baroudeur chic. Mais sa plus grande force de séduction reste ses yeux verts en amande, qui, si vous êtes une femme, vous déshabille du regard, alors que si vous êtes un homme, vous êtes jugez sur votre maintien et votre démarche. En parlant de démarche, Evrard marche avec une certaine nonchalance non dénuée de charme, lui donnant un air de dandy pas toujours apprécier par les autres Chevaliers en Serramire. Bien que n'étant pas l'homme le plus fort ni le plus imposant, il possède néanmoins une musculature largement appréciable, montrant a quel point son sérieux lors des entraînements n'est plus à démontrer. Son agilité compense son manque de force physique, ce qui change grandement des habitudes martiales de sa contrée de naissance.

Description mentale :
Le Chevalier Estréventin est quelqu'un qui a une forte ambition. La gloire, la richesse et surtout un titre sont ses souhaits qu'il désire le plus. Très imbu de lui-même, il pense qu'il mérite ses distinctions par son pragmatisme et ses prouesses martiales. Sur le plan privé, il est avant tout, particulièrement épicurien, notamment avec l'alcool, les femmes et les drogues estréventines. Mais une chose est récurrente dans ses trois passions. Le bon goût. En effet, il ne cherche nullement la médiocrité, la simplicité ou pire encore, l'ennui. Il n'apprécie que les alcools les plus subtils et les drogues les plus stimulantes. Concernant les femmes, Evrard ne vise pas les filles du peuple, non. Bien entendu, lorsque le Chevalier se retrouve avec plusieurs godets derrière le gosier, il se peut qu'une paysanne ou une bergère se fasse honorer par sa présence virile. Provocateur, il aime agacer ceux qu'ils considèrent comme des pleutres. Autant vous dire que les hommes du sud sont particulièrement mal vu par le cadet des de Brochant. Ce n'est pas comme s'il avait eût une grief contre eux, mais son éducation fait que cela reste ancrée dans sa mémoire. Il ne supporte pas les autres races, notamment les drows, pour en avoir affronter pendant de nombreuses années en Estrevent. Les Elfes lui inspirent plus de la méfiance qu'autre chose, les considérant plus comme des opportunistes et aussi le fait qu'ils sont particulièrement hautains n'arrange rien. Enfin, les Nains, eux, sont plus perçus comme des alcooliques et des paillards. Mais il n'a jamais véritablement discuté ou croisé des nains, mise à part dans les auberges. Les stéréotypes ont la vie dure …

Histoire :
L'histoire d'Evrard est on ne peut plus classique. Fils cadet d'une fratrie de quatre, il est le troisième enfant de Gaston de Brochant. Composé de sa sœur aîné Catherine de Versimilia ~épouse de Roland de Versimilia~ de son frère aîné d'Aymeric de Brochant ~Marquis de Serramire et Seigneur de Brochant~ et de sa sœur cadette Nerelles de Brochant. Très tôt dans son éducation, Evrard fût élever par son père pour être un soldat, non un seigneur. Alors que son frère préfère la politique, lui préfère la guerre. Il fût page à l'âge de 7 ans auprès du Marquis de Saint-Berthilde et devint son écuyer à l'âge de 12 ans. On lui appris, ou plutôt on lui aiguisa, ses talents à l'épée, à la lance de cavalerie et à l'arc. Il appris également les rudiments de la stratégie guerrière. Il devint chevalier à l'âge de 17 ans et le Marquis de Saint-Berthilde organisa un tournoi avec ses vassaux, qu'il remporta. Avec la prime du tournoi, il se dirigea vers les terres d'Estrevent, notamment pour faire fortune. Il devint rapidement une épée à loué, fréquentant les lieux de vices et des gens peu recommandables. Très vite, il adopta les coutumes locales, bien plus proche de son tempérament. Il découvrit les plaisirs des drogues, notamment la feuille de Khat, qui développe l'attention et la sensibilité, mais qui provoque comme effets secondaires des colères passagères et parfois des délires psychotiques. Cette drogue viendrait parait-il, de l'ancien royaume Zurthan.

C'est dans cette période sombre de sa vie qu'il apprit le maniement d'une lame typiquement orientale, le Shamshir. Il développa le maniement de cette arme lors des combats de gladiateurs auquel il participait, non pas pour l'argent (même si, bien entendu, une rémunération pécuniaire est toujours bon à prendre) mais pour la gloire. Il se fit un petit nom, même aux seins des nombreuses compagnies mercenaires d'Estrevent, et fût rapidement embauché. Il affronta plusieurs compagnies, bandes, armées pendant quelques années et devint même le second d'une de ses compagnies, notamment grâce à ce génie militaire qui le caractérise. Mais il apprit rapidement des troubles dans le Serramire. La révolte grondait, la guerre civile était aux portes du Marquisat et surtout dans les terres de sa famille. Mais il n'en était pas le seigneur, il n'avait aucun pouvoir, aucune armée et aucune richesse pour aider son sang. Alors, il resta dans les terres de l'Est, patientant et se droguant toujours un peu plus …

Ce qui le sorti de sa torpeur fût la mort de son Père. Il décida de se mettre en route. Il devrait aider son frère aîné. Il chevaucha, encore et encore, jusqu'aux terres des Brochant. Le Chevalier d'Estrevent appris que son  frère avait été enfermé comme le pire des félons. Il décida de tout faire pour le libérer. Et il parvint a accomplir cet exploit, grâce, notamment, à une corde, deux dagues et un gros steack empoisonné. Car oui, l'Estreventin avait emmener les coutumes guerrières de son pays d'adoption. Son frère était amaigri et bien plus faible qu'il ne pensait. Ils s'évadèrent dans la pénombre, ne laissant que pour seul et unique trace la gorge tranchée d'une sentinelle …

Aymeric gagna de sa superbe rapidement et aider par son frère, il repris le trône qui était sien. Des batailles furent gagnées, d'autres perdues. Mais Evrard avait acquis une réputation redoutable, notamment grâce à son sabre et de ses tactiques peu communes, même si le Marquisat était dans une période de paix plutôt relative. Néanmoins, même le plus brillant des généraux peut perdre une bataille. Notamment quand son frère n'écouta nullement ses conseils. La défaite à Amblere dans la barronie d'Oësgard fût amère pour le Chevalier et la retraite vers Serramire était rempli d'amertume ...

HRP

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Compte autorisé par : Par Gros Chat. Il se prend pour un prince Estreventin touça ... ^^