Sujet: Vaëlia, Prêtresse de Néera Dim 8 Mar 2015 - 21:23
Nom/Prénom : Vaëlia Âge/Date de naissance : 23 ans. Sexe : Féminin. Race : Humaine. Faction : Péninsule. Particularité : Yeux Violet et cicatrises dans le dos.
Alignement : Neutre Bon. Métier : Prêtresse. Classe d'arme : A distance (arc) / Magie.
Équipement :
Vaëlia est très attachée à son arc en bois qu’elle ne quitte pratiquement jamais. Elle porte deux carquois en cuir, un grand attaché dans le dos et contenant de nombreuses flèches à plumes courtes, idéal pour les tirs à longue distance et un autre plus petit qu’elle porte à la ceinture et qui contient quelques flèches à plumes longues cette fois-ci et qu’elle utilise pour les tirs à courtes distances. Elle ressemble à la parfaite archère, avec une amure légère en cuir qui lui permet de se déplacer plus rapidement et un plastron également en cuir qui lui permet de se protéger du frottement de la corde lors de la décoche. Cependant, il y a un petit détail qui s’ajoute à ce tableau ; une dague en acier qu’elle fourre dans sa botte droite et qu’elle n’oublie jamais. Toutefois, Vaëlia porte cet équipement uniquement en dehors des temples. En effet lorsqu’elle exerce son rôle de Prêtresse elle est vêtue d’une simple robe avec une aile brodée au niveau de la poitrine qui représente le culte qu’elle porte envers Néera.
Description physique :
Physiquement, Vaëlia a toute l’apparence d’une belle jeune femme de 23ans. Elle est plutôt grande et mince avec de jolies courbes très féminines. Ce que l’on remarque le plus chez elle, ce sont ses longs cheveux châtains et légèrement ondulés ; elle les porte pratiquement jusqu’à la taille afin de cacher d’affreuses cicatrices qui se dressent le long de son dos. Si l’on s’intéresse aux traits de la partie antérieure de la tête, on pourra observer un doux visage qui se compose de lèvres pulpeuse et bien dessinée avec au-dessus un nez fin. Et pour finir, ce qui fait la particularité de Vaëlia c’est son regard perçant avec ses yeux d’un violet qu’on pourrait considérer comme perturbant.
Description mentale :
Lorsqu’elle donne sa confiance, Vaëlia est une personne très agréable, souriante et surtout honnête. Elle est également altruiste, elle agit pour le bien de ses semblables. Il n’y a donc aucun égoïsme en elle. Mais les apparences sont parfois trompeuses. Même si Vaëlia est dotée d’un physique plutôt plaisant, elle possède de nombreux défauts, elle n’est pas parfaite loin de là. Son plus grand défaut est sa susceptibilité, elle prend très mal la critique et donc, elle est également très irritable, elle se fâche facilement. D’un caractère réservé aux premiers abords, elle peut paraître timide même si en réalité elle est plutôt méfiante et réticente, elle a du mal à faire confiance. Ensuite, certaines personnes pourront dire que Vaëlia n’est pas forcément de bonne compagnie. Elle a une fâcheuse tendance à être individualiste. Elle croit qu’elle n’a besoin de personne et cet aspect de sa personnalité lui pose beaucoup de problème. C’est donc une jeune femme assez solitaire, maladroite et parfois même froide puisque souvent elle dit des choses blessantes sans le faire exprès et ne sait pas trop comment s’y prendre avec les autres. Puis, lorsqu’elle était plus jeune, un évènement de sa vie la marqua profondément, depuis ce jour-là, elle a peur de la nuit et plus précisément des lieux sombres ou très mal éclairés qui l’angoisse énormément. C’est donc une jeune femme respectable avec un caractère plutôt trempé mais qui agit avant tout pour le bien des autres et une fois qu’on arrive à franchir la grande barrière qu’elle dresse envers chaque inconnu qu’elle rencontre, on y trouvera une femme très attentionné.
Capacités magiques :
Vaëlia a eu la chance de pouvoir développer ses capacités magiques. Elle a étudié l’art pendant plus de 10ans au temple de Serramire auprès de son amie Leka, une prêtresse. C’était une élève très rigoureuse et assidu dans son apprentissage en tant que mage de la vie. Ses études se sont principalement centrées sur le soin comme la possibilité de pouvoir manipuler le sang, de réparer des os, de refermer des plaies ou encore de modifier le métabolisme pour soigner les maladies, c’est ce qu’elle réussit le mieux. Mais en tant que mage de la vie son apprentissage est beaucoup plus long. Ainsi, elle possède pour le moment quelques difficultés à contrôler entièrement le corps de sa cible. Il lui reste donc des progrès à faire. Lorsqu’elle exerce son art, elle est très concentrée et plutôt du genre tête brulé quitte à se mettre parfois en danger elle-même pour secourir un blessé et lorsqu’elle pratique, habituellement sa magie se déverse par les paumes de ses mains.
La jeune femme perçoit la magie comme un don qu’il faut savoir maîtriser mais pas abuser. Sa magie lui sert à faire le bien. Elle s’oppose totalement aux mages guerriers, car elle trouve que l’art n’est pas une arme. Si elle a besoin de se défendre ou d’attaquer quelconque individu les armes crées par les hommes, tel que son arc à titre d’exemple, sont faites pour cela. Le don des Dieux n’est pas une arme.
Histoire :
Vaëlia est le fruit d’un véritable amour entre un soldat de l’armée Royal et d’une jeune fille de chevalier. L’un et l’autre vivaient un amour passionnel qui les rendait fou de bonheur. Ils passèrent 8 mois ensemble et pourtant, on a cette terrible impression que le temps s’est moqué d’eux. Car voyez-vous, ces quelques mois se sont transformés en secondes pour ces deux être innocents. Ils eurent cette impression que leur histoire ne dura que le temps de prononcer cette courte phrase composée de quelques mots qui, associés ensemble forment la représentation du sentiment le plus fort au monde : l’amour. Lorsque vain l’effroyable moment où leur relation secrète devait s’achever, leur adieux furent terrible et ils en gardèrent d’épouvantables séquelles jusqu’à la fin de leur existence. Mais, on ne sait pas si la nature voulait à son tour elle aussi se moquer d’eux, car elle leur offrit au moment de leurs adieux, le plus beau des présents. Malheureusement, au moment où la belle appris la nouvelle, elle était déjà loin de son bien aimé. Et se trouvant dans une situation très inconfortable elle devait faire un choix. C’est ainsi que quelques jours après la naissance de l’enfant, la nouvelle mère pris la décision de confier son sang à un ami très cher, un dénommé Derog qui n’était autre qu’un ancien archer dans l’armée royale, ami d’enfance de la mère de Vaëlia et qui malheureusement ne pouvait avoir d'enfant avec sa femme. Pour l’amitié qu’il portait envers les parents de Vaëlia, il décida d’élever l’enfant comme sa propre chair et de promettre à sa mère de garder secret l’existence de cet enfant jusqu’à la fin de son existence. C’est ainsi que la toute jeune Vaëlia grandit, sans père ni mère mais avec un homme formidable qui la considérait comme sa propre fille. La jeune enfant vivait donc dans un petit village tout près de Diantra avec seulement son père adoptif. En effet, la femme de Derog n'avait pu partager le bonheur d'avoir une fille que très peu de temps puisque lorsque l'enfant eu à peine 2 ans, la dame attrapa par malheur la lèpre et en mourut en seulement quelques semaines. Derog était anéantit de perdre sa bien aimée. Il continua d'élever la petite fille et lui apprit à tirer à l’arc. Vaëlia se pris d’une passion intense pour cet art et appris rapidement toutes les techniques de tirs que son père lui enseignait. Elle continue chaque jours à s'entrainer. L’enfant passait ses journées souvent seule, elle avait beaucoup de mal à se faire des amis. Elle eut cette impression d’être rejetée par la population qui l’entourait, mais cette exclusion fut bénéfique pour l’enfant qui en grandissant se découvrit une force de caractère. Ainsi elle vécut auprès de Derog dont les traits de l’âge étaient maintenant bien prononcés. Son père avait eu la bonne idée d’écrire l’histoire de Vaëlia, tout ce qu’il savait sur ses parents pour qu’elle puisse en tant voulut savoir la vérité exacte. Un soir d’été, l’homme qui l’avait élevé arriva aux dernières heures de sa vie et c’est à cet instant, dans son lit de mort qu’il prit la décision d’expliquer à sa fille ses origines. Il lui remit donc un livre avec une lettre et fit promettre à sa fille de l’ouvrir qu’au moment où elle serait prête. Vaëlia se plia aux dernières volontés de son père car oui, elle considéra toujours Derog comme son père et resta prêt de lui jusqu’à son dernier souffle.
Puis, à seulement 10 ans, comme lui avait conseillé le vieil homme, elle prit ses affaires sans oublier son arc et le livre puis partit en direction de Notre Dame de Deina. Lorsqu’elle arriva dans cette imposante cathédrale, l’orpheline gardait un incroyable courage. Une prêtresse nommé Leka la pris sous aile, elle remarqua chez l’enfant un potentiel qu’il fallait exploiter. La jeune fille ne resta que très peu de temps, environ 3 mois à notre Dame de Deina car Leka était en mission pour quelques mois seulement afin d’accueillir au mieux les mendiants de la capitale qui venaient trouver refuge. Mais son devoir l’attendait et elle devait continuer sa mission qui consistait à venir en aide à tous les fidèles de Néera à travers le pays. Pourtant, la prêtresse ne voulait pas laisser la jeune enfant à l’orphelinat de la cathédrale, elle proposa donc à Vaëlia si elle voulait parcourir avec elle les grandes villes de la Péninsule et cette dernière n’hésita pas un instant. Elle avait créé en quelques semaines un lien très fort avec sa maîtresse en l’aidant tous les jours dans son travail. Elle avait un rôle d’assistante, elle allait chercher tout le matériel que Leka avait besoin pour soigner les plus faibles ou encore elle apportait les repas aux plus démunies. Lorsque toutes les deux partirent, l’enfant avait toujours le même rôle, elle ne faisait qu’observer sa maîtresse qui avait eu la chance de pouvoir développer son don pour la magie.
Pendant 3 ans environ, Vaëlia voyagea de ville en ville, traversant les quartiers les plus infortunés, sans pour autant quitter la péninsule. Quelques fois même, elle passait après une bataille, dans un champ dévasté. A 13 ans maintenant, elle avait déjà vu les plus grandes horreurs que l’on puisse voir dans une vie : la famine, la maladie, la tristesse, le désespoir et pour finir la pire de toute, la mort. Les premiers mois furent très éprouvant, doté d’une forte sensibilité l’enfant eu du mal à supporter tout ce malheur. Mais Leka était au près d’elle pour la rassurer, lorsque la jeune fille faisait d’horribles cauchemars et se réveillait en pleine nuit hurlant comme si la mort arrivait, Leka était toujours là. Et cela, Vaëlia ne l’oublia jamais. En regardant la force et le courage de sa protectrice, elle ne pouvait être qu’admiratrice et c’est pour ses raisons qu’elle portait un grand respect envers la prêtresse. Et même si la magie l’émerveillait, elle n’osa à aucun moment demander qu’on lui enseigne ce don, se contentant de suivre Leka dans sa mission et apprenant les premiers soins à infliger à un individu sans avoir recours à la magie. Un soir, la prêtresse et la petite fille montaient un campement dans une forêt non loin de la citadelle d’Alonna (la dernière ville qui figurait sur leur périple). Cette nuit-là, il faisait très froid… Vaëlia décida d’aller seule chercher quelques branches pour relancer le feu qui manquait de s’éteindre pendant que Leka dormait. Le silence régnait, ne trouvant pas de bois assez sec elle s’aventura un peu plus dans la nature. Le vent sifflait à ses oreilles, elle était épuisée du voyage de la journée et voulait retourner se coucher. Elle ne voyait que très peu dans cette sombre forêt, la flamme de sa torche commençait à faiblir. Soudain, elle trébucha sur une grosse racine mais sa chute fut plus brutale qu’elle ne le pensait car elle tomba dans un profond fossé perdant quelques flèches de son carquois, et sa torche qui s’éteignit sur le sol humide. Ne cédant pas à la panique, elle recompta ses flèches, il lui en restait 8. Plongeait dans l’obscurité totale, elle essaya tant bien que mal de trouver un appui pour remonter à la surface de ce trou mais les bords étaient fait de pierre glissante et ses efforts ne furent pas récompensés. Exténuée par ses cris d’appel au secours inutiles, elle s’assit le long de la paroi et s’endormie. Quelques heures plus tard, elle se réveilla laborieusement. Les premiers rayons du soleil étaient déjà là. Grâce à ce peu de lumière, elle put apercevoir une légère ouverture dans la pierre. Elle s’y faufila difficilement mais du fait de sa petite taille, elle réussit à traverser la totalité de l’étroit tunnel. Arrivée au bout de ce dernier, elle aperçut au milieu des arbres une grotte. Sa curiosité s’éveilla et elle désirait explorer cette mystérieuse découverte. Elle fit quelques pas hésitant à l’intérieur mais elle s’arrêta et pris conscience que ce n’était pas raisonnable car elle avait passé la nuit dehors. Leka devait être affreusement inquiète et de plus, elle n’avait plus de lumière pour la guider à travers la grotte. Elle se retourna donc en direction de la sortie et à peine fut-elle sortie, qu’un terrible rugissement raisonna. Par reflexe, elle arma son arc et le brandit, à l’afflux d’un nouveau rugissement tout en continuant à marcher. Après quelques secondes de silence, se pensant rassurée, elle baissa sa garde. Terrible erreur puisqu’un ours féroce lui fonça dessus. Il se trouvait en réalité au-dessus de la grotte, elle était donc dos à lui et elle n’eut pas le temps de se retourner que l’animal lui écorcha monstrueusement le dos. L’enfant gémit de douleur et tomba lourdement quelques mètres plus loin. Des larmes de souffrance coulèrent le long de ses douces joues. Une impressionnante vague de courage l’envahit, rampant jusqu’à son arc qu’elle avait lâché, l’ours la suivant toujours comme pour finir sa proie, elle réussit à encocher une flèche et tira. Le stress et l’angoisse l’envie, elle ne pris ni le temps de viser ni de retenir sa respiration, la flèche manqua sa cible. Elle n’abandonna pas. Elle continua à tirer, ratant encore sa cible. Le sang chaud coulait le long de son dos, elle n’arrivait plus à contrôler sa respiration, elle allait mourir. Elle repensait à toutes les horreurs qu’elle avait vu et ne désespéra pas, elle devait se battre pour vivre. Elle se ressaisi, encocha une des trois dernières flèches qui lui restait, reteint sa respiration et visa le cœur de la bête. La flèche manqua sa cible mais l’animal était touché au niveau de la clavicule gauche, il s’arrêta hurlant de douleur. Il ne fallut que quelques secondes pour que la bête s’en remettre puisque elle semblait encore plus enragée, elle fonça violemment sur la pauvre jeune fille maintenant totalement pétrifiée. Tout à coup, un énorme flux de lumière jailli des paumes de main de l’enfant et l’ours vient s’écraser brutalement sur une barrière invisible. Leka venait de créer un dogme de protection. A ce moment, la peur de Vaëlia s’évanouit, elle encocha son avant dernière flèche. Ne contrôlant plus aucuns de ses mouvements, elle tira. Et la flèche transperça l’œil gauche de son agresseur. L’ours ne bougeait plus. L’enfant malgré la douleur insoutenable qui envahit son dos, se leva péniblement pour achever la bête. Mais la prêtresse sortie de la sombre forêt et d’un signe de la main ordonna à Vaëlia de s’arrêter. Elle sortit son épée et la planta dans le cœur de l’animal probablement évanouit. Vaëlia regarda sa maîtresse et s’évanouit à son tour. Suite à ce tragique évènement, Leka s’en voulait terriblement d’avoir laissé sa petite protégée sans surveillance. Elle prit donc la décision de former la jeune fille à la magie, pour qu'elle puisse se protéger d’une quelconque attaque. C’est ainsi que pendant plus de 10ans Vaëlia grandit et devient une belle jeune femme malgré les cicatrices qui se trouvaient le long de son dos et Leka était désormais une vielle femme qui avait trouvé une fille. Après de longues et dures années d’apprentissage au temple de Serramire, la ville d’origine de Leka, Vaëlia accéda au rang de prêtresse. C’est à ce moment qu’elle prit conscience qu’elle était prête à retrouver ses origines. Tenant le livre que lui avait remis son père, elle pouvait commencer son histoire et mener son enquête.
Dernière édition par Vaëlia le Ven 13 Mar 2015 - 17:36, édité 4 fois
Voronwë
Ancien
Nombre de messages : 245 Âge : 119 Date d'inscription : 24/12/2014
Sujet: Re: Vaëlia, Prêtresse de Néera Jeu 12 Mar 2015 - 20:34
Pfiou ça va être difficile de corriger tout ça et sans doute qu'en d'autres temps j'aurais souligné l'impossibilité totale de l'existence de cette fiche, heureusement j'ai une solution pour toi mais il va y avoir quelques petits réglages.
Ne t'inquiète pas de la taille en terme de texte de la correction, j'écris volontairement beaucoup car je décris le problème au lieu de te le jeter au visage.
Déjà, je trouve le perso globalement trop "bon", il n'a aucun défaut notable autant au niveau psychique (se fâcher parce qu'on nous fâche? C'est plus naturel que vraiment un défaut de caractère) que physique (c'est vraiment l'ange parfait). Les elfes, et notamment les semis, ont pas mal de défauts physiques aux yeux des humains, ils sont très grands et très allongés, trop fin et osseux, une caractéristique qui, selon le rapport âge réel/âge apparent que tu donnes à ton perso, doit être bien présent, ton personnage étant dans ton cas un "sang elfe dominant", signifiant qu'il ressemble davantage à un elfe qu'à un humain. Il faudrait avoir un "sang humain dominant" (donc environ 30 ans pour une apparence de 18) pour ressembler un peu plus à un humain classique. Mais dans tous les cas, lui rajouter des défauts seraient pas mal.
Pour la magie, tout le monde en a le don inné. Chacun, du plus humble des mendiants au plus puissant des princes peut la manier. Qu'on puisse avoir quelques facilités, certes, mais personne n'a "d'immenses pouvoirs" en soi, ça va à l'encontre de la Magie en elle-même.
Ensuite... Globalement revenir sur l'Histoire serait trop long, je vais devoir te demander de la reconsidérer sous l'angle suivant: les humains n'aiment pas les elfes.
Qu'on se comprenne, les nobles ont parfois un point de vue plus ouvert, le clergé de Néera aussi et l'idylle entre un chevalier et une elfe n'est pas impossible... Mais les elfes ne sont pas bien vus des humains, la plupart s'en méfient farouchement et les rejettent avec véhémence, en Péninsule du moins. Leur enfant est encore pire car il sera rejeté des hommes ET des elfes, qui verront le bébé comme un abâtardissement de leur race.
(suite à une perte de la correction lors d'un clic malheureux, je vais raccourcir)
Les régions du Nord, comme Serramire, sont très racistes et fortement opposées aux elfes et aux semis, pour lesquels se balader dans ces territoires est très dangereux. Le médian est moins raciste mais on ne peut pas dire qu'une autre race que l'homme puisse s'y promener en pleine sécurité.
Seul le Sud (Soltariel, Ydril, Sybrondil) offre un semblant de tolérance pour les semi-elfes tant qu'ils ne s'aventurent pas trop loin dans les terres. En fait, les semis en provenance d'Ithri'Vaan y servent d'esclaves, de serviteurs bas-de-gamme, une race inférieure mais tolérée, en gros. C'est vers là que tu devrais te diriger, comme prêtresse pour les ghettos de semi-elfes qui s'y trouvent.
Par contre oublie le grade de grande-prêtresse, ton personnage n'a que 18 ans aux yeux des humains et n'est pas beaucoup plus malin ni beaucoup plus réfléchi qu'eux. Elle n'a pas la sagesse de 60 années dans un corps jeune, elle a grandi beaucoup plus lentement que les hommes, mentalement et physiquement. Personne ne se risquerait d'ailleurs à donner un poste de GP à une créature d'une autre race.
Voilà voilà, ça fait déjà beaucoup de choses mais je suis disponible pour toute question!
Vaëlia
Humain
Nombre de messages : 10 Âge : 28 Date d'inscription : 07/02/2015
Sujet: Re: Vaëlia, Prêtresse de Néera Ven 13 Mar 2015 - 17:51
Merci pour la correction ! Il y a beaucoup de détails que je n'avais pas totalement compris... et c'est beaucoup plus claire maintenant ! Donc j'ai décidé de changer quelques points. Je considère que Vaëlia n'est plus une sang- mêlée mais une humaine (j'ai modifier l'avatar), je ne pensais pas qu'il y avait autant de "racisme" je préfère alors jouer une humaine, ce sera beaucoup plus simple je pense. :) Ensuite pour la magie je n'étais pas bien sur, je me suis induite en erreur toute seule par rapport à une phrase du système magique ( Sa sensibilité est-elle plus ou moins grande ? Est-elle innée ou acquise ?) mais maintenant j'ai compris !! Après pour les défauts j'en ai trouvé quelques uns, j'espère qu'ils conviendront! (Une phobie ou une peur peut-elle être considérait comme un défaut ? ) En revanche au niveau physique, je ne pouvais pas dire qu'elle était "pas très jolie", je tiens vraiment à ce que se soit une charmante jeune femme! (même si j'ai marqué qu'elle avait des cicatrices, ce n'est pas beaux des cicatrices!!) Puis pour finir, je l'ai légèrement vieillit pour un peu plus de réalisme et je ne considère plus qu'elle souhaite devenir grande prêtresse! Voilà j’espère que cette nouvelle fiche correspondra mieux!
Voronwë
Ancien
Nombre de messages : 245 Âge : 119 Date d'inscription : 24/12/2014
Sujet: Re: Vaëlia, Prêtresse de Néera Sam 14 Mar 2015 - 20:47
Voilà qui est bien mieux! Etant donné son âge et le moment tardif où elle a commencé à apprendre la magie, je lui donne le rang d'apprentie (avec éventuelle possibilité de devenir arcaniste plus tard)!
Oh et n'oublie pas: la différence est dangereuse. Ne t'attends pas à être adulée pour tes horribles yeux violets et ta magie!
Code:
[Métier] : Prêtresse
[Race & Sexe] : Humaine & Féminin
[Classe d'arme] : magie
[Alignement] : Neutre bon
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet ou encore passer sur la CB .
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Sujet: Re: Vaëlia, Prêtresse de Néera
Vaëlia, Prêtresse de Néera
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