Lynae - Taledhel

Nom/Prénom : Lynae (Lyn) Nava
Âge/Date de naissance : 26 ans (âge apparent), 153 ans réels
Sexe : Féminin
Race : Elfe des cités - Taledhel
Faction : Cités d'Anaëh
Particularité : Homosexuelle - accessoirement, car, comme la plupart des elfes qui n'envisagent pas encore le mariage, elle n'a pas encore eu de compagne.

Alignement : Chaotique bon
Métier : Éclaireur
Classe d'arme : Corps à corps / Magie (Vie, Sang)


Équipement :
Lynae voyage à cheval, bien qu'elle ne possède généralement pas d'animal en propre. Ses possessions se divisent entre ce qu'elle porte sur elle, et un petit coffre qu'elle conserve en sécurité dans ses logements successifs. Outre ses vêtements, discrets -cape de voyage, culotte de lin et chemise de soie, foulard, gants et bottes- elle est équipée d'une rapière et d'un poignard fin. Elle ne peut emporter ses armes partout, ni généralement s'équiper d'une cuirasse, du fait de sa fonction qui exige souvent d'elle la plus grande invisibilité. Son coffre contient des objets utilitaires, de l'argent, ainsi qu'une tortue vivante et une peau de martre.

Description physique :
Lynae est de taille moyenne pour une elfe, et rien dans ses vêtements ne la distingue spécialement des autres silhouettes que l'on croise chaque jour au détour des chemins. Vous remarquerez sûrement, sans vous y attarder, ses traits elfiques, ses yeux verts pomme et ses cheveux lumineux, qui, eux ne plus, ne se démarquent guère. Quoi alors ? Lyn n'a-t-elle vraiment rien de spécial ? Ne tirez pas de conclusion hâtive, suivez-là plutôt.
Suivez-là par une nuit sans lune, au bruit du claquement rapide de ses bottes dans la boue, sa silhouette cassée qui file, furtive devant vous, comme un chevreuil la tête basse.
Suivez-là jusque devant son chef et regardez-la le toiser, insondable mais droite, ferme, la tête haute, le regard coupant.
Suivez-là encore sur la croupe de son cheval, ses cheveux collés par la sueur, épuisée, les muscles raides et sa peau durcie rougie par une trop longue chevauchée. Ou le soir, à la tablée d'une auberge, riant sous le coup de l'alcool, plongeant ses doigts fins dans la viande en sauce. Ou au matin au réveil, ensevelie sous des couvertures de peau, roulée en boule dans la neige contre un chien de piste, gelée jusqu'aux os mais prête à reprendre la route.
Suivez-là enfin où vous le souhaitez, rencontrez-la, découvrez-la, et laissez-la entrer à son tour.

Description mentale :
Lyn a une personnalité d'aventurière, tempérée par son éducation elfique. Si parcourir de longues distances en solitaire et dans des conditions de confort minimales ne l’incommode pas, elle se retrouve souvent mal à l'aise lorsqu'elle doit partager la compagnie d'autrui. Non pas qu'elle ne l'apprécie pas, mais l'apparente froideur qui émane d'elle rend souvent ses compagnons distants. Ceci à part, quelques maladresses de sa part compliquent encore ses relations. Lyn n'hésite en effet pas à emprunter des affaires personnelles aux autres, et à s'introduire là où elle ne devrait pas. Sa franchise et sa curiosité peuvent aussi surprendre, quoiqu'elle sache généralement faire preuve d'assez de bon sens pour ne pas blesser.

Capacités magiques :

Les parents de Lynae n'ont jamais seulement imaginé que leur fille puisse n'avoir aucune aptitude à la magie. Grand bien leur fasse, elle en fut douée, mais il s’avérerait par la suite que, là où les autres enfants ressentiraient le plaisir de la découverte, il n'en serait rien pour elle. Là où, aux autres, il ne faudrait qu'une semaine, elle travaillerait d'arrache-pied un mois durant.
Le mage qui décela, bien qu'à grand-peine, son aptitude aux arcanes, effectua par la suite un travail correct. Il renonça rapidement à pousser sa jeune élève vers l'Immatériel pour la conduire finalement sur les chemins de la Vie. Lynae fut présentée à l’Académie de Magie d’Alëandir, mais ne passa pas les épreuves d'admission. Ses parents engagèrent une guérisseuse elfe âgée, qui avait passé la majorité de sa vie dans la Péninsule. Il s'agissait d'une préceptrice inhabituelle, mais ce fut la seule, parce qu'elle peinait à se réintégrer, à accepter d'employer son temps à l'éducation d'une enfant peu douée. Ainsi Lynae s'acharna encore, et acquit quelques connaissances concernant la magie du Sang. Son premier n'était pas parvenu à trouver le focaliseur de l'enfant ; la seconde ne s'intéressa pas outre mesure à cet aspect, préférant remettre à plus tard cette étape pourtant essentielle. Lynae, et sûrement est-ce là l'une des raisons de sa faiblesse dans l'Art, n'a pas encore de focaliseur et s'épuise à chaque fois plus que de raison.
La magie représente, pour Lynae, un chemin semé d'échecs, un rappel constant de sa différence et de sa médiocrité, une somme d'attentes déçues, d'espoirs gâchés. A chaque fois qu'elle se voit contrainte de pratiquer, elle se crispe. Elle ne nourrit pas, par la décision de quitter sa terre natale, l'ambition de s'améliorer ; elle voit là plutôt l'occasion de se soustraire à la torture de sa médiocrité.





Histoire :

Lyn grandit à Aëlandir dans une famille classique. Sa mère délaissa ses fonctions de professeure d'Histoire pour s'occuper de sa fille aînée, Ana, avant que Lynae n'arrive. Un autre enfant, mâle cette fois, naquit mort-né. Le père de Lyn œuvra comme lieutenant jusqu'à ce que sa fille cadette n'approche de l'âge adulte. Un déplacement risqué dans une embarcation légère sur un affluent mineur du Rhym lui valut d'endurer un naufrage, au cours duquel il perdit l'usage de ses mains. Il fut contraint de quitter son poste pour celui de conseiller stratégique, éloigné du terrain. Malgré sa peine, il prit son poste avec sérieux et, afin de mener à bien l'ensemble des tâches qui lui incombaient, s'entoura d'une aide, Nama, et d'un apprenti.
Lyn rencontra l'aide de son père lors d'une promenade à cheval organisée en parallèle des fêtes printanières. Surprise par les origines sylvaines de l'elfe, elle ne cessa, au cours des semaines suivantes, de se remémorer cette rencontre. Les cheveux bruns et les yeux sombre se comptaient sur les doigts de la main en ville.
Finalement, Lyn provoqua une rencontre, en se rendant furtivement chez Nama peu avant le crépuscule, à la fin de ses leçons. L'autre l'accueillit avec réserve, peu enthousiasmée par l'idée de recevoir dans son logis la fille de celui pour qui elle travaillait. Malgré tout, elle lui servit une décoction et entama une conversation polie, jusqu'à ce que la tombée du jour ne les interrompe. Tandis que Nama s'absentait un instant pour tirer les rideaux fins de la maison, Lyn se leva. Une estampe attirait son attention. Elle s'en approcha, le cœur battant, espérant pouvoir l'admirer furtivement avant que son hôte ne revienne. Les traits, nets et sanguins, couraient sur le papier crème. La peinture s'accrochait au grain épais. Une odeur de terre en émanait. du bout des doigts, Lyn effleura les contours de l'être indéfini, représenté en position de prière. Elle sursauta tout à coup. Un mouvement le long du papier, un frottement... Lyn recula d'un pas, pour voir soudain un Danseur achever de se laisser glisser au pied du mur. Si Lyn connaissait l'existence de ces êtres, elle n'en avait encore jamais vu. Dans la pièce d'à côté, Nama fredonnait un murmure très léger. Elle se rapprochait.
Lyn n'hésita pas davantage. Elle se pencha, attrapa la délicate créature qui poussa un stridulement suraigu, et l'enfonça dans un pli de sa tunique.
Nama entra. Elle semblait n'avoir rien vu de ce qui venait de se produire. Sur ce, Lyn prit congé d'elle et sortit. A peine avait-elle fait trois pas dans la rue qu'elle ne sentait plus la pression de la créature sous son sein. Des doigts, elle explora le tissu. Rien. Autour d'elle, les pavés et les brins d'herbe formaient une marée indissociable dans la pénombre nocturne. Où était le danseur ? Le cœur de Lyn pulsait comme jamais. Elle se prit à courir. La porte de sa maison claqua derrière elle.

Deux jours passèrent avant que le père de Lyn n'annonce à sa fille que son aide, Nama, demandait à la voir. Lyn, apeurée, refusa d'accéder à sa demande. Elle aurait voulu que le danseur reste avec elle un instant, puisqu'il s'était montré à elle. Qu'il lui parle, de tout ce qu'il souhaitait, et de Nama aussi. Qu'il satisfasse sa curiosité et lui appartienne un instant, avant de retourner là d'où il venait. Mais le danseur n'était retourné nulle part. Nama arborait des cernes immenses qui soulignaient ses yeux sombres. A la fin du mois de Bàrkios, Nama partit. Lyn, quant à elle, ne sortait plus guère au grand jour. Elle montrait moins d'application que jamais dans ses leçons de magie, et même son enthousiasme pour les sorties à cheval s'amoindrissait. Le cours de sa vie changea au début du mois suivant.
Incapable de se concentrer sur l'Art, Lyn, agenouillée sur le tapis de feuilles mortes, laissait son attention filer en direction des oiseaux, haut dans le ciel. Sans la prévenir, l'elfe qui lui enseignait attrapa ses poignets. La fatigue, l'angoisse, la frustration... peut-on vraiment savoir ce qui provoqua chez Lyn une telle réaction de rejet ? Sa magie lui serra le ventre tandis que, devant elle, le teint de la guérisseuse palissait. Cette dernière tomba évanouie. Un tour de sang, diagnostiqua-t-on. Son sang, devenu comme pâteux, épuisait son cœur et irriguait difficilement ses extrémités. Il lui fallut plusieurs jours pour se remettre. Lyn n'attendit pas aussi longtemps pour partir. Elle effectua le trajet pour Diantra à cheval, en dépensant un bonne partie de son argent en soupers et en lits. Elle parvint par la suite à concilier son envie de voyage et son gagne-pain. Voilà dix années elfiques qu'elle circule - aussi discrètement que possible - dans la Péninsule, et revient épisodiquement en Cités d'Anaëh.
Lors de son dernier retour, les choses ne se passèrent toutefois pas aussi bien qu'à leur habitude. L'absence de Lyn lors de la période maudite ne lui fut pas pardonnée par ses proches. La peine de Lyn fut particulièrement aiguë lorsqu'elle apprit le départ de son neveu, le fils de sa sœur. Gariel, prit d'une pulsion mystique, avait quitté Aëlandir pour suivre l'appel de Kÿria. Il avait rejoint ceux qui s'opposaient à la reconstruction des cités détruites. Il refusait de revoir ni sa mère ou ses grand-parents. Son père, quant à lui, était mort pendant le Voile. A la même époque, Lyn elle-même avait d'ailleurs bien failli mourir d'inanition. Sombre période... Et peut-être pire encore fut celle qui suivit, lorsque les humains et les Elfes frôlèrent la guerre ouverte, et qu'une partie de la forêt faillit être rasée. Le souvenir des paysages de désolation, des campagnes vides qu'elle avait longuement traversées à cheval, ne quitterait jamais sa mémoire. Pour autant, et malgré la trahison qui avait suivi, Lyn ne pouvait nourrir un ressentiment à l'adresse du peuple humain dans son entier. La multiplicité des humains et leur courte durée de vie conduisait inéluctablement à l'existence d'hommes qui commettaient de graves erreurs, quand d'autres, dans le même temps, désapprouvaient leur folie...
Un jour, après une discussion pénible, Lyn s'était vue reflétée dans les yeux de sa sœur. Peu à peu saisie de dégoût, Ana la regardait comme si elle avait été, non pas Elfe, mais humaine. Malgré les excuses qui suivirent, Lyn ne pourrait oublier.


Lyn tamponna l'encolure de sa monture au moyen d'un chiffon crasseux. La sueur ruisselait sur les poils gris de la bête et ni l'ombre des arbres immenses de la forêt, ni le souffle du vent parmi les fougères, ne parvenait à la rafraîchir. Lyn sourit. L'animal était endurant. L'homme qui le lui avait vendu ne l'avait pas volée. Un aller-retour du jeune royaume du Soltaar à Aëlandir, avec ses semaines de route, en aurait crevé plus d'un.
"L'homme"... Lyn se crispa. L'idée de retrouver les humains lui laissait un sentiment mitigé. Certes, les elfes d'Aëlandir l'avait étouffée ces derniers jours. Tiraillée, oppressée, malgré le plaisir premier de revoir ses proches, elle en était venue à précipiter son départ pour fuir cette ambiance de désolation qui régnait au sein de sa propre famille. Les humains avaient pour eux leur multitude, leur variabilité. Elle devrait en fuir beaucoup, elle en apprécierait certains. Chaque nouvelle rencontre serait une surprise à laquelle elle n'aurait pu s'attendre... Lyn sourit à ces pensées, remisant pour l'heure les souvenirs de toutes les peines que lui avaient causé ce peuple.
Le cheval lui lança un regard, qu'elle soutint, avant de remonter en selle.

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : Sérieux et actif.
Comment as-tu connu le forum ? : Par un ami.
Crédit avatar et signature : http://a6a7.deviantart.com/

Bienvenue à toi, officiellement
Quelqu'un va vite venir s'occuper de ta fiche

Du coup j'ai bien l'impression que le quelqu'un en question, ça va être moi
Bienvenue à toi!


Bon, dans l'idée ta fiche est pas banale mais elle passe bien. Il y a quand même quelques points qu'il faudrait ajouter ou éclaircir (histoire d'être sûre de savoir dans quoi tu met les pieds)
Ce post peut te paraitre long mais c'est parce que je détaille beaucoup pour que tu comprennes pourquoi je te demande de changer des choses et te donner parfois quelques conseils (le Bg de Mira est assez bordélique et on est au courant  )

Donc allons y Francky!


Age: parle plutôt d'âge apparent que d'âge humanisé.
Les elfes ne vieillissent pas du tout comme les humains. Leur corps prend de l'âge en fonction de leurs émotions et sentiments et non en fonction du temps. Plus ils passent d'épreuves plus ils paraissent âgés)

Histoire:
-"Lyn a grandi à Taledhel dans une famille classique"
ta phrase est peut-être tournée bizarrement mais Taledhel n'est pas une ville ou un lieu. Les Taledhel sont les elfes des cités, c'est le nom de l'ethnie. Si tu cherches des villes de naissance, tu peux regarder cette CARTE

-"une embarcation légère sur sur la Sirilya lui valut d'endurer un naufrage"
Sirilya est un fleuve de Péninsule. Même si tu passes du temps en Péninsule une fois partie, ton père n'a pas put aller jusque là puisque l'armée n'est JAMAIS sortie des limites d'Anaëh.
tu peux jeter un coup d'oeil à cette CARTE pour les fleuves.  
Un elfe qui n'est plus en capacité de se battre mais qui a donné de sa personne pour le bien de tous, les Cités en prendront soin. Les elfes sont assez communautaristes à cause de leur faible tau de natalité: chaque personne est importante. Il y a de forte chances qu'il devienne instructeur ou conseiller stratégique ou un truc dans ce goût la s'il ne veut pas retourné à la vie civile.

- Les trucs qui manquent:
Ton récit aborde un point important de ton histoire personnelle mais ne fait mention d'aucun évènement plus large. Il faudrait que tu ajoute quelques lignes sur la façon dont ton personnage a vécu certains évènements historiques, notamment:

• Le Voile
  
• La guerre elfico/drow
  
• L'ordre de déforestation du régent Péninsulaire
  (si ton perso y passe du temps, je pense qu'il est important que tu en parle, pour savoir non seulement ce que ton personnage pense d'eux, mais aussi comment te percevront les autres elfes en leur disant que tu voyage souvent en péninsule )
  

Après si tu as la foi, vu que ton perso doit passer beaucoup de temps en compagnie des humains, une autre bonne idée pourrait être d'ajouter quelques lignes sur ce qu'elle pense des humains, comment sa famille perçoit son choix de déserté Anaëh et parler un peu ses croyances religieuses qui sont peut-être un peu différentes du commun des habitants d'Anaëh.



Magie:
J'attends confirmation des autres membres du staff pour le fait que tu n'utilise pas de focalisateur mais c'est en général la première chose sur laquelle se penchent les professeurs avant même d'apprendre les bases car il en vient de la sécurité de leur élève.

Je rappelle aussi au cas où, que la magie n'est pas un don mais bien un apprentissage dans lequel on est plus ou moins doué, comme un artisanat ou un art.


-"les chemins plus vulgaires de la Vie"
La magie est un art très respecté par les elfes, quelque soit la branche. La magie de la vie est même très bien vue dans le peuple car justement c'est celle des guérisseurs, je ne pense pas qu'on puisse la qualifié de vulgaire sachant que c'est une voie des plus complexes (bien plus que l'élémentaire par exemple). Après cela peut-être le ressentit de ton personnage, mais je voulais juste clarifier ce point.


-"Ses parents engagèrent une guérisseuse humaine"
Si tu n'es pas très douée mais que tes parents insistent à toute force pour que tu apprennes, ils trouveront sans doute un professeur mais aucun humain ne vit dans Anaëh. Déjà, un humain dans toute une cité (en épousant un elfe par exemple) serait un exploit... et ne vivrait sans doute pas assez longtemps pour t'enseigner ce que tu dois savoir. Les elfes apprennent beaucoup plus lentement que les humains les bases de la magie.



Voila! Il me semble que c'est tout.

Je sais que Mira peut paraitre complexe au début, alors n'hésite pas à sauter sur les membres pour leur poser des questions. Et je suis moi-même à ta disposition pour toute question/ râlerie/ prise de bec, quelque soit le sujet et que ce soit par MP ou sur la Cb

Au plaisir!

Ma fiche n'est pas banale ? Merci beaucoup en tout cas pour ce commentaire détaillé. Je retravaille ça !

Edit : J'ai apporté un certain nombre de modifications, j'espère avoir été assez exhaustive. J'attends tes remarques pour la suite.
(J'ai ajouté quelques illustrations aussi, j'espère que ça ne pose pas de problème)

Et bien tout m'a l'air parfaitement en ordre! o/

Code:

[Métier] : Éclaireuse

[Sexe] : féminin elfe

[Classe d'arme] : corps à corps (magie secondaire)

[Alignement] : Chaotique Bon

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Merci !