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 Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)

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Harold le lyrion
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Harold le lyrion


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MessageSujet: Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)    Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)  I_icon_minitimeJeu 21 Juil 2016 - 21:40

   

« Peut-être si elle n'avait pas eu des yeux aussi noirs, – ce qui frappait tant la première fois qu'on la voyait – je n'aurais pas été, comme je le fus, plus particulièrement amoureux, en elle, de ses yeux bleus. »



Harold aimait se coucher de bonne heure, plus qu’il ne sied à haut seigneur. Contre ses devoirs de duc – qu'il s'agît de répondre à l'Angélus ou d'étrenner quelque entremet –, il opposait avantageusement le papillotement de ses yeux, les fléchissements de sa voix ; ses familiers baissaient le menton, et c'était dans le château un silence grave, un silence de saint, qui solennisait son ascension par ces couloirs où la pierre blanche n'est pas partout voilée de tapisseries aux tons éteints.

Car de ses journées le labeur véritable, ce n’était que dans sa chambre qu’il y pouvait ouvrer. Sa chambre poudrée de camphre – il aurait pu s’y orienter les yeux fermés tant l'habitude en avait gravé dans son esprit le schème géométrique ; mais il préférait en retracer les linéaments du regard, et dans un frisson passer la main sur telle ou telle babiole – l’habitude engendrant l’habitude, ces rites passait en effet pour des adjuvants indispensables à son assoupissement. Il s'en fallait toutefois de beaucoup pour ce que fussent les seuls : lui restait à se peigner, à accomplir ses dévotions sur le prie-Dieu, à gravir les marches de son lit baldaquiné, et à tirer sa langue afin que le mire y dépose trois gouttes de belladone – celui-là tirait les courtines en le laissant seul pour la nuit.

Les torchères qui flanquaient son lit brûleraient leurs chandelles jusqu'à l'aube. Quand Harold avait suffisamment affouillé les renfoncements du duvet et alenti sa respiration, il se transportait par l’esprit sur la pointe d’une des flammes qui ondulait dans l'air mou. Lumière, sa conscience filtrant par les tentures bleu-nuits se diffusait en un poudroiement océanique qui girait, flottait, retombait ainsi qu'une poussière de fée sur sa peau ; et son esprit, qui par un effort d’esquisse aussi imperceptible qu’il est toujours à recommencer avait maintenu sa préhension sur la chambre – sur le monde –, se désamarrait et refluait par vagues successives dans l’espace, jusqu’à n'habiter plus que l’imperdable pellicule où le corps confine au monde – où tout est gravité et picotements. Mais cette détente ne s’opérait pas sans se doubler d’un mouvement perpendiculaire d’approfondissement dans la mémoire ; les images de son passé en remontant se faisaient d’autant plus nette, d’autant plus d’une seule tenue, d’une seule venue, que la matérialité du présent ne les assujettissait plus à son mouvement contractant. Harold commençait par faire tourner le visage décorporé et entre tous élu de sa mère dans l'orbite de son demi-sommeil – elle s’éclatait d’elle-même en une multitude de vignettes stylisées de son passé où il n’apparaissait pas, l’une faisant suite à l’autre selon un ordre souterrain. Et c’est ainsi que de souffle en souffle davantage il s’enfonçait dans les sphères profondes de la mémoire, où tout est à la fois plus virtuel et plus singulier, classé et distancé par la date et le lieu infrangiblement.

Mais il fallait pousser plus avant. Celle qu’il poursuivait fiévreusement n’était peut-être pas de ce monde (du reste il n’avait plus cherché à La confondre avec telle ou telle femme de lui connue depuis la Prêtresse dont les prophéties s’étaient révélées sur son compte mensongères – ou à tout le moins sérieusement erronées sur les causes et les manières), et nécessitait par suite qu’il remontasse par la mémoire les sources coudées de l’incarnation de l’âme, jusqu’aux immensités limbiques desquelles Néera l’avait tiré et où son âme s’était infusée de vérités éternelles. Une surtout : celle qui l’avait sauvé : sa parfaite Image – d’elle il adorait la native et abrupte liberté pour toujours à peine émergée de quelque eau-mère, adorait chacune des gouttes salines dégouttelant de sa nudité minérale – sa parfaite Image qui n’avait pas de visage : juste un ovale chauve et clos qu’il avait connu et – hélas ! – oublié et qui participait d’une indétermination tellement foncière que d’en seulement réinventer les traits lui semblait sacrilège. Du reste l’arbitraire glissait sur elle comme la pluie sur une statue fraîchement encaustiquée : elle serait nécessaire, ou elle ne serait pas.

Fallait-il donc qu’il soit sans la revoir jamais ?

Le lendemain, quand l’aube pointait par-dessus les névés de l’Avosne, comme Harold célébrait les Laudes dans l’oratoire avec ses proches, avant que les domestiques n’entrassent, son tabellion et pour ainsi dire factotum se glissait par l’entrebâillement de la porte et ramassait les parchemins jetés de-ci de-là et où l’on avait nerveusement fusiné la courbe d’un nez, les méplats d’un front, le charnu de deux lèvres.


*****


Pont Lamor lourdement juché sur ses culées résonnera toujours pour Harold des hosannas royaux débaroulant par-dessus les corps de ses frères d'armes jusqu'à la rive du nord.

Car Pont Lamor ç'avait été successivement entre deux lignes de forêt démesurément rangées en face à face à perte de vue le piaulement des fifres et des buccins – le lâchez-tout de la ruée – les féroces retombées de sa masse d'arme – les endentements pointus d’un surin chrystabellois entre les mailles de son haubert – sa chute entre les balustres de la claire-voie dans la tisane de feuilles noires et de sang – les accotement moussus de la rivière s’écartant devant la poussée de son front. Comme sa vie s’écoulait à gros bouillons il avait fermé ses paupières sur le monde – c’est alors qu’Elle l’avait rattrapé. Pour la première fois – dans quelque entre-deux moucheté de phosphènes – Elle lui était apparue, médusante avec ces yeux voilés d’un tendre glacis en surfusion, plus réelle que la mort : il l’avait baisé sur les dents ; et en lui découvrant un pan du voile de Saïs de ce monde elle lui avait rendu le souffle. La condition avait été qu’il l’oubliât – laissât sur les berges de l’éveil ce visage qu’il n’avait de cesse d’essayer de se ressouvenir.

La paix du roi régnait derechef quand Tibérias lui avait raconté la percée de Sacrepon et la fuite de Léandre qui d'avoir d'abord été imaginaire n'en avait pas moins débandé l'ost, et aussi la  retraite désastreuse vers Fiel-Bois et toutes les avanies qu’elle annonçait pour leur famille – la grâce d'Eliam n'en était pas la moindre. Depuis ce temps-là les deux frères avaient eu coutume quand Léandre faisait cour à Harren de descendre vivre à Fiel-Bois ; Harold se perdant dans le bois ou jadis l'on chassait les fuyards égaillés, et Tibérias aux boucles d'or inventant des cantilènes élégiaques.

Or c'était la première fois qu’Harold venait sans son frère, la première fois que ses rêves pouvaient essaimer autour du donjon sans que les bambochades de ce noceur de Tibérias ne les troublassent.

Alors de grand matin debout il s'achemina jusqu'au pont funeste et prolongea à gauche le long du chemin d'eau. Le collier des bois s’étranglait sur la plaine essartée à mesure que le terrain s'accidentait ; il repoussait à plaisir le moment chagrin ou il faudrait tourner bride.

Et tout d’un coup Harold sent que tout a changé. Rien ne survient, rien n’est survenu, il n’y a rien eu. Mais rien n’est plus comme avant. La ripisylve pour lui assommante s’est allégorisée de milles signes qui trahissent Son approche – la tombée uniforme des jonchaies, des hardes de faons hardis, les colibris qui gazouillent – comme si elle eût communiquée par cercles concentriques autour de sa rivière une part de sa féerie. – A droite, un brasillement dans la moire de l’onde : –  La voilà ! Elle est là ! – et Harold au comble de la dilection perd son équilibre, glisse de ses étriers la tête la première dans un amas de cailloutis.  


*****


Éveil d'une jeune beauté allongée dans les bas-côtés de la chaussée des néréides – les pieds ourlés entre les tiges des cressons – les mains lézardantes dans les flaches du pavé ; – il y aussi cette corbeille à linge que lèche la laisse étale du ruisseau, toute recuite du soleil de l'après-midi.

Les épousailles depuis deux neuvaines célébrées de sa sœur sont causes que c’est à Aëlis désormais de se traîner tous les jours au ruisseau pour y laver les cottes, les chainses et les coutils de sa maisonnée. Or elle aime à retarder sa corvée en inventant quelque contretemps toujours les mêmes afin de piquer un somme : on ne le lui reproche guère tant elle est inapte au fagotage du bois et à combien plus forte raison au fanage des champs.

Mais maintenant le vent du soir se mouvait dans les frondaisons, et quoique le bocage fût encore chaud de tout le soleil de de l'après-midi, il ne lui fallait plus tarder, sans quoi elle serait morigénée à son retour sur ce qu'elle eût été 'mauvaise rosse'. Alors elle flanqua les culottes dans l'onde, et passait là-dessus la pierre ponce et le battoir – sur quoi ce furent tout à coup des coups de cors qui éclatèrent dans les sous-bois : – Par la foi  ! La Chasse !

Fuir : sans lanterner cette fois, elle retroussa ses cottes et – heurtant sa corbeille – bousculant les cépées et brisant les ronces – longea l’eau à contre-courant pour couper par les taillis et après les semis du village. Elle n'eut pas l'occasion de s'étonner de l'absence d'une meute qui ne clatissait pas, tant les sabotements de la cavalcade s'étaient rapprochés jusqu'à finir par la talonner, crissant sur le sable du chemin vicinal. Et ce n’est qu’au-devant de la chaumière, dans les bras de son oncle, qu’elle put comprendre sa méprise en se retournant et voyant pour la première fois : piaffante et trépidante, l'équipée ducale : – de l'aide pour le duc, votre duc est blessé !

Voltant sans un regard pour le bombillement éparpillé des villageois autour de la troupe qui porte le duc dans le temple – partant ainsi qu'une flèche lancée sur le chemin du bois qui s'embranche par deux fois avant de se ficher dans d'ombreuses clairières de feuilles rouies – filant ventre à terre parmi les excoriations des ronces dans la nécessité de sauver son duc, Aëlis cherchent ceux qui ne l'ont jamais failli quand elle a eu besoin : saint Adolphe et sainte Jeanne des Armoises. Leur chuchotis jamais muet enfle à mesure qu'elle progresse dans le fort du bois où ils l'ont touché pour la première fois : c'est déjà des accents audibles quand elle retraverse le ruisseau, et des mots distincts comme elle dépasse les grands aulnes. Les saints qui lui parlent préfèrent entre toutes ces combes frondantes et désheurés ou les racines de la montagne ont bouleversé le sol : ici leur voix se double du murmure de la terre, du friselis des sources.

Une averse : elle se réfugie dans l'édicule à la croisée des sentes avec son toit de gouttes et de brindilles ; s’arrondissant autour de l'autel de bois guilloché, quelques statuettes votives – et voilà Aëlis agenouillée les mains conjointe avec les phalanges de ses pouces douloureusement pressée contre son front, Aëlis que les saints appellent depuis toujours, Aëlis qui s'exhausse par-delà sa chair dans l’éther de la communion de tous les saints morts et encore à naître, Aëlis qui sauvera son jeune duc qu'elle aime comme n'importe quelle bonne Eraçonne.


*****


Des faces de l’une à l’autre moins individualisées passent dans le champs de vision d’Harold en faisant la grimace par laquelle on participe de la souffrance d’autrui, tandis que des mains frictionnent son torse avec des gommes froides ; des monstrance et des navettes se balancent elliptiquement autour de lui en communiquant un sans cesse croissant sentiment d'irréalité ; – et ses yeux écartelés s’abîment peu à peu dans l’indifférence (mais c'est justement cette indifférenciation qui a deux sens complémentaires : soit que les choses s'y distinguent chacune absolument et sans solution de continuité, soit qu'elles s'y fusionnent en s’annulant toutes) – l’indifférence convulsive d’une gravure de Primitif qu’une flamme de l'autre côté aurait fait fondre et avec ses tourbillons invaginés bizarrement entrecroisés de membres gauchis : Harold comprend qu'il s’éveille à ce qu’il a toujours soupçonné être la véritable Nature cachée derrière nos perceptions : ça n’est déjà plus à lui ce visage qu’il mire dans la lunule cavée de l’ostensoir qu’on a braqué devant – plus à lui ces yeux qui dégoulinent sur des joues croutées de sanies, pas plus que ces dents qui s’entrechoquent et se brisent sur une langue déchiquetée entre le retroussis écarlate de deux gencives.
 
Cependant Aëlis dépassait les villageois ses cousins encaqués par la curiosité dans l’ébrasement du porche de temple. Les gentilshommes la remarquaient d’autant moins se faufilant entre eux qu’Harold avait recommencé à gesticuler et à brandiller du chef. Pressés dans le déambulatoire, ceux-là ne cachaient plus leur inquiétude qu’exaspérait ceci que l’entaille dans son crâne ne paraissait pas devoir expliquer ces façons de possédé : et soudain ses excentricités à tout prendre assez communes s’éclairaient d’une lumière glauque, comme la première lézarde sur une tour ensuite  écroulée justement par son caractère insignifiant se rappelle  à notre esprit et semble avoir du déjà contenir la ruine du reste – ainsi de ses paupières toujours lourdes d'un continent de rêves inaccomplis, ainsi de la pente souvent contournée de ses paroles, ainsi des dépressions nerveuses et des revifs d’activités qui font son être au monde.

Et il crie, Harold, devenu comme un mort, et sentant craquer et vitrifier son squelette, Harold, à la pointe vivante et à la cime de son effort : – c'est ici qu'on remonte le coude de la création, ici qu'on s'empêche de naître...

Aëlis pousse, se tortille jusqu’après le dernier cercle des chevaliers ou le médicastre du village s’agite autour du duc assis sur ses coudes et qui bave du sang sur l’orfroi de sa tunique. Elle s’avance témérairement – c’est en elle la clarté de ceux qui se découvrent avoir été depuis toujours porteurs d’un destin qui n’exclut pas la plus intime liberté – c’est elle qui sauvera le duc parce qu’elle a foi dans ses voix et dans l'intercession des saints. Mais à peine ses mains se sont apposées sur les tempes vrillées de veinules d’Harold qu’il se convulse et, comme on tombe au repos après le garde-à-vous, fait une syncope.


*****


Dans les premiers mois qu'Aëlis  avait vécu avec la cour elle n'avait pas couché dans cette alcôve encoignée contre l’âtre de la chambre ducale : mais les crises d’Harold se multipliant, la décence l'avait cédé à l'efficace de ses mains guérissantes.

Quelque fois de nuit close rattrapé par un cauchemar – ayant cogné sa tête sur les bas-reliefs du châlit – Harold hoquetait en attendant de pouvoir hurler... Mais un bruissement de pieds nus, la flamme d'une chandelle, le drapés de sa chemise... C'était elle ! qui venait passer sa main sur ses paupières.

Et revenu de son chevet, ramassant un parchemin sous ses pieds Aëlis s'arrêtait sur le dessin kaléidoscopé d'un fragment de femme et songeait en clignant des yeux avec cette humilité touchante des fille du pays qu'il n'était après tout pas déraisonnable qu'Harold s’entraînât sur elle avant de s'enhardir à portraiturer les dames les plus en vues du bourg d'Erac.

 


Citation :

Nom/Prénom : Harold d'Erac
Âge/Date de naissance : Vingt-cinq ans
Sexe : Mâle
Race : Humain
Faction : Péninsulaire
Particularité : Grande destinée

Alignement : Gentil
Métier : Duc d'Erac
Classe d'arme : Corps à corps


Description physique :
Les ondulations molles de ses cheveux mordorés.
La proéminence de ses yeux labiles.
Ses joues plus lisses de n'avoir jamais été sous la lame.
La ligne de son cou de cygne.
Sa peau blonde et dure en chair.
Le tout sur les proportions parfaites d'un corps de guerrier.

Description mentale :
Rallié tôt à la cour dans la cour qu'entretenait l'or et la faconde de Tibérias, il s’enivrait de l'ambroisie des vers déclamés à la cantonade, et jusque tard dans la nuit des exposés savants sur les mystère de l'entéléchie, et l'unité de la nature divine derrière ses cinq hypostases. Harold aimait plus particulièrement tout ce qui ne se laissait qu'imparfaitement pénétrer par son esprit, ce qu'il pouvait porter au comptant des ressources de Vérité de l'univers pas encore par lui épuisées.

N'ayant pas la présence d'esprit de son aîné, il subissait ses boutades comme autant d’égratignures sur sa superbe. Sa superbe – bonne amie que celle-là : c'est elle qui lui permet de se hausser par le mépris au-dessus de ses contempteurs – que lui importe leur avis ? Il n'est pas vaniteux à se soucier des jugements des veaux.


"Abrégé d'histoire":

HRPComment trouves-tu le forum ? : Bien
Comment as-tu connu le forum ? : Google
[b]Crédit avatar et signature : Gustave Moreau – Jeune Fille thrace portant la tête d'Orphée


Dernière édition par Harold le lyrion le Ven 29 Juil 2016 - 16:49, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)    Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)  I_icon_minitimeSam 23 Juil 2016 - 8:57

C'est bon!
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MessageSujet: Re: Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)    Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)  I_icon_minitimeVen 29 Juil 2016 - 15:51


Bonjour, et désolé pour l'attente,

Un mot sur le style tout d'abord : je salue l'effort que tu as déployé pour fournir cette fiche. Je dois avouer néanmoins que, s'il est tout à fait agréable de lire un texte dépourvu de fautes d'orthographe et de syntaxe, la grande richesse du vocabulaire employé m'a rendu la lecture un peu "ardue". Peut-être mets-tu la barre un peu haute pour ceux qui, habitués à un langage plus simple, seront comme moi un peu à la traîne :)

Concernant l'histoire : ton texte fait référence, mais sans les expliciter vraiment, à certains des éléments "essentiels" de la vie d'Harold (j'entends par là ceux qui ont conduit à le voir apparaître en tant que PNJ lorsqu'il était joué par Entité, à savoir sa tentative de revendiquer le trône avec le soutien de la Haute-prêtresse de Néera, l'échec consécutif à son empoisonnement, et son ralliement à la Ligue aux côtés des duchés du Médian et du Garnaad). A la lecture de ta fiche, il semble que tu sois au fait de ces événements ; néanmoins, il faut vraiment connaître soi-même ces informations pour faire le lien avec ton récit. Je ne suis pas sûr que quelqu'un qui ne saurait absolument rien de l'histoire d'Harold arriverait à lire entre les lignes et à trouver ces informations dans ta fiche.

Je te demanderais donc de bien vouloir expliciter un peu plus ces informations (quitte à leur trouver une place dans un coin de la fiche en bas si tu ne veux pas avoir à modifier le récit lui-même), ne serait-ce que pour faciliter la compréhension des joueurs qui voudraient savoir rapidement d'où vient Harold, et ce qu'il a fait récemment.
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MessageSujet: Re: Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)    Harold le lyrion, duc d'Erac (Fini)  I_icon_minitimeVen 29 Juil 2016 - 16:52


Bienvenue à bord Wink

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