Nombre de messages : 72 Âge : 28 Date d'inscription : 15/08/2016
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 17 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Eléonore de Saint-Aimé Dim 9 Oct 2016 - 17:28
Nom & Prénom : Éléonore de Saint-Aimé Âge & Date de naissance : 17 ans, née Tariho de la quatrième ennéade de Barkios en l'an 991 Sexe : Féminin Race : Humaine Faction : Péninsule Particularité : Aucune
Équipement : Eléonore, étant de la noblesse, ne possède pas un équipement, au sens où on pourrait l'entendre, très fourni. Elle possède certes des vêtements, des bijoux, quelques effets personnels, mais rien de bien notable. Et à vrai dire, elle n'est pas de celles qui aiment posséder. Elle n'a pas besoin d'avoir du matériel pour être bien, ni même pour arriver à ses fins. Il lui est difficile d'accorder une quelconque importance à un bijou, une bâtisse ou une voiture. Peut-être parce qu'elle sait ne pas en manquer, mais essentiellement parce qu'elle préfère se concentrer sur d'autres choses. Toute chose est interchangeable, rien est éternel et elle l'incarne bien.
Description physique : Éléonore est une jeune femme très coquette et extrêmement attachée aux apparences. Elle aime passer des heures devant sa coiffeuse, à relever sa chevelure de telle ou telle façon, ou à apporter un peu d'ombres et d'éclat à son minois. Ces arrangements trouvent inspiration chez les autres femmes qu'elle côtoie, seule ou accompagnée de sa mère. Ses cheveux noirs de jais ondulent légèrement et il lui arrive parfois de les laisser simplement cascader sur ses épaules, jusque dans le milieu de son dos.
Ses iris sont d'un bleu étrangement foncé et rappellent celui des profondeurs de l'océan. Ils tranchent assez avec la blancheur de sa peau pour attirer les regards. Surmontant un nez fin et droit, brillent toujours en leur centre une lueur de malice. Sa bouche, bien qu'en harmonie avec le reste de son visage, est plutôt pulpeuse. Elle aime relever le rose de ses lèvres, même si certains jugent qu'elle n'en aurait pas besoin. Parfois, un coup de sang fait rosir un peu plus ses pommettes, donnant du relief à son visage. Ce dernier, plutôt ovale, n'a heureusement pas hérité des traits massifs de son père, mais totalement de l'élégance de ceux de sa mère. Elle peut déjà deviner à travers elle la femme qu'elle deviendra lorsque les années se seront écoulées.
Son port de tête altier et sa démarche peut-être parfois un peu trop fière ne laissent aucun doute sur sa classe sociale, ni sur son éducation. Elle aime laisser flotter un certain flou sur ses formes et à tendance à porter des robes qui n'en dévoilent jamais trop. Elle aime se jouer de la perception des autres et de l'image qu'elle peut donner. Son visage encore jeune lui permet d'obtenir le doute de l'innocence et de la naïveté, tandis que certains traits plus marqués lui offrent parfois l'occasion de se montrer ferme et décidée.
Description mentale : Eléonore dispose d'un grand sens de l'humour. Elle aime plaisanter quand l'occasion se présente, parce qu'elle apprécie le sourire qu'elle peut faire apparaître sur le visage de son interlocuteur. Savoir qu'elle est capable d'apporter un peu de légèreté et de bonheur aux autres l'emplit de satisfaction. Pétillante et souriante, elle amène un nouveau souffle, plus frais puisque plus jeune, aux nombreuses interactions qu'elle peut avoir avec la noblesse. Sa compagnie est rarement dépréciée, chose dont elle est pleinement consciente.
Son charme et sa malice sont d'ailleurs ses meilleures armes et elle le sait. Elle n'hésite pas à en jouer lorsque cela est nécessaire, comme elle sait être à même d'obtenir beaucoup d'objets de ses désirs. Elle a compris les atouts qu'elle avait à être une femme, dans un milieu très masculin, et préfère se concentrer sur ceux ci plutôt que sur les nombreux désavantages qu'elle sait avoir. De nature très opiniâtre, Eléonore n'abandonne jamais. Quand elle a une idée en tête, elle use de tous les moyens en sa disposition pour qu'elle devienne réalité.
Très coquette, elle est extrêmement attachée aux apparences et aux conventions sociales. Son père lui a inculqué un sens du devoir très fort, tandis que sa mère lui a donné le goût de la connaissance. Si elle n'est pas penchée comme elle sur les sciences, elle s'est prise de passion pour le panthéon pentien et la religion. Elle nourrit un appétit insatiable quant à la découverte et la compréhension de cette dernière. Fascinée par ce qui la dépasse, elle exprime par là même un besoin de grandeur et de reconnaissance. Si elle est pleinement consciente de ses capacités, elle a tout de même beaucoup de mal à accepter qu'on puisse ne pas les reconnaître. En ce sens, le mariage l'effraie parfois, parce qu'elle sait pouvoir tomber sur un mari qui ne sera pas capable de voir sa juste valeur.
Son sens du devoir se traduit par un amour inconditionnel pour sa famille. Elle aime son père, mais préfère sa mère dont elle est très proche. En effet, elle ne sait se reconnaître dans les loisirs de Godfroy, contrairement à ses frères. Plus douce, plus encline à discuter qu'à chasser, elle est une compagne fidèle de Judith et apprécie être à ses côtés. Très proche également de son grand frère Louis, qu'elle sait être très protecteur, elle cherche inconsciemment sa présence en permanence. Profondément marquée par le décès de son frère aîné, Jean, elle garde au fond de son cœur le besoin presque vital de garder Louis à ses côtés. Si elle n'en est pas consciente, Eléonore est tout de même moins gaie lorsqu'elle en est éloignée pour un temps qu'elle juge trop long.
Capacités magiques : Aucune
Histoire : Éléonore est la fille cadette de Godfroy de Saint-Aimé et de Judith d'Hardancour. Née en 991, elle la benjamine de sa fratrie, composée de Jean et Louis, respectivement nés en 989 et 990. Très proches dans leurs âges, ils grandissent donc ensemble et se créent entre eux des liens assez forts. S'ils ne reçoivent pas la même éducation en tous points, on leur donne tout de même une éducation littéraire commune, qu'ils suivent somme toute correctement. Et si Louis n'aimera jamais cet aspect de son éducation, leur mère ne le laissa pas dériver et le prit sous son aile. Eléonore ne comprit pas l'aversion qu'il avait pour celui ci, mais elle l'accepta comme étant un fait sans jamais chercher à le changer.
Son enfance ne fut pas malheureuse, puisqu'elle avait grâce à sa mère une liberté dont elle se savait être chanceuse. Elle aimait le plein air, la sensation de communion avec la nature que lui procurait l'herbe sous ses pieds nus, l'impression de faire partie d'un immense tout. On la reprit d'ailleurs plusieurs fois à ce sujet, lui signifiant parfois avec force, parfois avec verve qu'elle ne pouvait décemment pas se promener sans souliers. Elle finit par intégrer la chose, mais aime tout de même parfois à les retirer, lorsqu'elle est seule, pour aller les plonger dans les quelques coins de verdure qui entourent la demeure familiale. Pour le reste de son éducation, on lui inculqua les normes conventionnelles sociales, lui donnant en somme la possibilité de réaliser au mieux les tâches qu'elle sera amenée à accomplir en tant que femme. Elle aima tout autant cette partie de son apprentissage, se joua très rapidement de sa gouvernante, et dévoila une aptitude à converser ainsi qu'à interagir en société qui semblait être innée.
Cependant, ce n'est pas là les souvenirs les plus doux qu'elle peut avoir. En effet, Eléonore avait parfois l'habitude de suivre Louis, tandis que ce dernier observait leur aîné lorsqu'il s'entraînait au combat. Elle le fit longtemps en cachette, sans qu'il ne se sache accompagné, puisqu'elle aimait observer l'envie mêlée d'admiration qui se peignait alors sur son visage. Mais un jour il finit par la repérer, donnant alors à ces observations un tout nouvel aspect. Ce dernier ne dura cependant pas bien longtemps, puisqu'elle cessa de l'accompagner quand elle se prit de passion pour la religion. Ce fut aux alentours de ses huit ans qu'elle exprima un fort désir de connaissance à ce sujet. Elle entreprit tout d'abord de lire quelques livres à ce propos, avant d'en faire part à sa mère. Cette dernière ne nourrissait évidemment pas son exaltation soudaine pour la chose, mais elle comprenait le besoin de savoir, l'envie d'amasser des connaissances pour entendre un sujet qui intrigue plus qu'on ne voudrait se l'avouer.
Ce besoin de comprendre les dieux et d'en connaître d'avantage au sujet de la religion vient sans aucun doute de la Malenuit. Cette éclipse de plusieurs mois, bien qu'annonciatrice de la venue des divins parmi les mortels, a été synonyme de pauvreté et de disette. Cette période, pour le peu qu'elle en ait vu, a été assez épouvantable pour qu'elle voit les sourcils de son père se froncer en permanence et qu'elle ressente l'angoisse de sa mère. L'agitation qui régnait dans leur demeure n'en était pas plus normale et elle ne pouvait s'empêcher de se demander si ce n'était pas là leur fin. Mais ce fut tout ce qu'elle entendit à ce sujet et elle décida de n'en garder que l'aspect religieux, dénué de toute angoisse et de toute peur.
A partir de ce moment, elle laissa petit à petit les sorties de côté pour consacrer également son temps au panthéon pentien et aux interactions sociales. Elle accompagnait de plus en plus sa mère dans ses déplacements au sein du marquisat, se mit à rencontrer un nombre certain de nobles, lui laissant l'occasion d'écouter les conversations et d'apprendre par là même la rhétorique. Elle finit par déceler les tics et les failles de certains discours, cependant sans jamais intervenir. On ne l'enjoignait alors que très peu à prendre part aux conversations, elle n'était effectivement qu'une enfant qui ne devait pas avoir grand chose à dire. Ceci changea tout de même quand elle prit quatorze ans. Si d'ordinaire elle ne s'adressait qu'à ceux de son âge, elle eut alors le droit de répondre quand on lui adressait la parole. C'est alors qu'elle prit conscience du poids politique et de l'influence qu'elle pouvait avoir. En somme, de l'atout qu'elle était pour sa famille.
Un événement l'a tout de même ébranlée plus qu'elle n'en est consciente, au cours de sa seizième année. Ayant toujours été proche de ses frères, elle a été profondément chagrinée par la mort de son aîné Jean, en l'an 6. Cette perte aussi soudaine que prévisible a eu pour effet de la rapprocher considérablement de Louis, tout en lui laissant cette question à laquelle elle n'aurait jamais de réponse : ''Pourquoi lui, pourquoi maintenant ?''. Depuis, elle a cette crainte informulée de perdre son autre aîné avant un âge raisonnable et cauchemarde trop souvent à propos. Si les mois qui ont suivi leur perte n'ont pas été joyeux pour les Saint-Aimé, Eléonore a finalement réussi à prendre sur elle même pour revenir plus présente sur un plan politique. Elle se déplace beaucoup, aime à rencontrer de nouvelles personnes et converse avec plaisir lorsqu'elle en a l'occasion. Et elle commence aussi à voir se profiler au loin l'arrangement d'un mariage qui ne saura plus tarder quelques années.
Irys d'Arosque
Vénérable
Nombre de messages : 181 Âge : 24 Date d'inscription : 02/09/2015
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 60 ans Taille : Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Re: Eléonore de Saint-Aimé Lun 10 Oct 2016 - 18:35
Et voilà Elé, tu connais le chemin !
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[Métier] : Noble
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[Classe d'arme] : Aucune
[Alignement] : Loyal Neutre
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
Eléonore de Saint-Aimé
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