Nombre de messages : 2 Âge : 31 Date d'inscription : 20/08/2017
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 19 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Ankharet Sam 26 Aoû 2017 - 10:34
Portrait:
Taille : 1m60
Couleur des yeux : Verts saumâtres
La fille est issue des bas-quartiers de la ville. Illettrée. Les gens du Continent la qualifieront volontiers d’agreste, avanceront que sa tête en friche a germé sur quelques terres incultes. C’est qu’ils percevront les relents iodés de l’Isle sur sa peau hâlée –là où d’autres relèveront seulement l’odeur musquée de transpiration et de tabac. Et surtout, les embruns de la mer d’Eris.
C’est une jeune personne aux contours modelés par les rivages reculés de Meca. Des rivages cinglés par le vent et tannés par le soleil. Sous l’écorce basanée, le bois est vert, gorgé d’une sève juvénile. Ankharet connaît la marmaille déshéritée des faubourgs, aussi bien que leur enfance éclopée et leur ventre creux. Elle en aura soutiré une authenticité à la fois fière et âpre.
Là-bas, dans les venelles ombragées du port et sous le ciel de Meca, elle s’est rassasiée de la démesure d’Eris, du craquement des grands mâts, des horizons égratignés par les silhouettes d’à-pics enturbannés de brume.
Cette fille possède l’orgueil des écumeurs : docile à ses instincts et rétive aux obligations. La donzelle est droite dans son allure et son regard. Il y a de la verticalité en elle ; faute de pouvoir s’élever parmi la société des hommes.
Ankharet enfin est chanceuse car son corps est sain et vigoureux. Les privations l’auront affectée en faisant d’elle une enfant chétive mais la période de l’adolescence l’aura remplumée. Désormais, on peut aisément déceler une témérité du corps et de l’esprit chez cette mécane, souvent tempérée par une fraîche indolence. Elle ne possède de prime abord pas grand-chose de remarquable, mise à part la fougue primesautière suspendue à ses lèvres. Mais par-delà l’allure abrupte d’Ankharet se trouve une nature assoiffée, entière, brodée dans l’ombre des nuées d’albatros. Elle a le regard qui scrute, de grands yeux impatients. Puis du tumulte, dans ses prunelles constellées d’ocre, qui charrient de la houle et des échardes de bois vert.
Son corps s’émaille d’encre et de cicatrices. Le témoignage des aléas qui ont jalonné son existence. Des couleuvres nacrées, gravées en filigrane, rampent ainsi sous les tatouages. Le fer, parfois l’acier, ont parlé et laissé dans sa chair son verbe incisif. De cinglantes zébrures le long de l’échine laissent suspecter un tempérament séditieux. Sur son visage, grêlé de taches de son et d’estafilades, l’expérience se déchiffre d’une œillade. Naguère, son nez a été brisé. Mais qu’importe. Ankharet arbore le même profil cabochard. Voyez, dans son sang, la liberté reste quête et conquête.
Capacités magiques : Aucune.
Possessions & Equipements :
Ce qu’elle possède, la jeune fille le porte sur elle. Cela se résume à peu de choses : un gambison surmonté d’une brigandine bardées de lanières de cuir tressées, ourlées et rivetées en forme de losange. L’ensemble est souple et léger, une condition sine qua none pour fouler le tillac. A cela vient se greffer des tassettes articulées découpée dans du cuir rigide et munies de sangles ajustables.
Ankharet est chaussée de bottes montantes enveloppant ses mollets et son pantalon de coton brun. Ce dernier est renforcé d’empiècements en croûte de cuir au niveau du jarret et des genoux. Les avants-bras sont ceints de brassards hybrides composés de lamelles métalliques rivetées sur une épaisse couche de cuir bouilli. Des lanières et des boucles en laiton gainent l’intérieur. Ses mains sont gantées d’une doublure laine rehaussée de cuir vachette pour apporter plus de rusticité et de résistance.
Lorsque la météo ou la discrétion l’exigent, Ankharet se drape d’une pèlerine de voyage à capuchon qui lui tombe jusqu’aux chevilles.
Elle aggrafe son carquois dans le dos, lequel est ordinairement traversé d’une sangle prévue à cet effet. Par-dessus l’épaule, on peut apercevoir l’empennage rudimentaire de ses flèches ainsi que l’extrémité de son arc. On le devine léger, maniable, doublement recourbé sur son ventre en bois d’if et doté d’une corde de chanvre torsadée -bien qu’Ankharet préfère la soie, plus fine et plus résistante, dont la détente est plus cinglante, mais le prix largement moins abordable.
Ses hanches sont ceintes d’un fourreau et d’un porte-glaive, l’un à la dimension d’un poignard, l’autre d’un sabre briquet. La plus petite lame possède un manche à plates semelles rivetées et présente l’aspect veiné du palissandre, un arbre d’ébénisterie prisé pour sa consistance et le flamboiement de ses nuances. Le dos arbore un léger guillochage aux courbes entrelacées. La pièce lui vient de son grand-père et s’accompagne d’une dimension affective. Le sabre quant-à lui est forgé dans l’acier, possède une lame raisonnablement courbe dotée d’un seul tranchant. Il est plus long et moins épais que le traditionnel sabre d’abordage. La monture est en laiton filigrané et comprend une fusée confortable, abritée derrière une garde à double ramification évasée. La confection est ordinaire mais reste efficace, l’atout principal de l’arme demeurant dans le fil de l’acier.
La garde taillée dans l’os d’un couteau de chasse dépasse de la courroie barrant sa poitrine. Rudimentaire lui aussi. Un autre surin est habituellement logé dans la doublure de son brassard ; c’est un stylet dépourvu de manche, aux dimensions adaptées à l’interstice. Plus bas, l’oeil exercé peut déceler la morphologie d’une miséricorde glissée dans la tige renforcée de sa botte.
Enfin Ankharet possède, suspendue à son flanc, une escarcelle déjà bien patinée, au rabat frontal incrusté d’un médaillon en Labradorite. Le genre de butin qu’on rapporte d’une escale sur le littoral péninsulaire. L’intérieur s’articule de façon assez désordonnée. On peut y dénicher sa blague à tabac, une bourse garnie d’une poignée d’écus, une pierre à feu, de la graisse pour entretenir le cuir, une paire de collets, une pierre à aiguiser, des lacets de rechange, des cestes en cuir rigide surmontées de ferraille, une esguillette et un flacon de corail en poudre. Souvent, la mécane transporte des denrées sèches avec elle, comme de la viande ou du poisson fumés, ou encore des fruits secs. Elle s’assure également autant que possible que sa gourde soit toujours pleine lors de ses périples.
Histoire
Durant le rude hiver de la 10 ème année du XIème Cycle, Isle aux pins.
C’était une nuit borgne de Verimios. Les congères déployaient leur coutellerie flamboyante dans l’ombre des conifères. Entre les troncs, le bruit mou de l’hiver. Sous les cimes endiamantées, une présence ténue. Un éclair roux. Les aquilons charriaient l’odeur de l’homme. Une forme ne tarda pas à surgir des taillis, nimbée de verticalité. Le genre de créature instillant la crainte là où le monde ne lui en inspirait aucune. Sous les coussinets roses la neige se craquela. L’intrus traversa un rayon de lune, émaillant alors son acier de reflets cousus d’argent.
Ankharet retint son souffle, un instant harponnée par l’immobilité. Un renard, comprit l’écumeuse au moment de voir détaler l’animal. Son arc en bois de frêne était toujours au contact de son épaule, mais c’était autour de la fusée du sabre qu’elle faisait blêmir ses phalanges.
Les conifères saluèrent le passage de la mécane comme elle se mit à longer la lisière de la pinède vers la falaise. En émergeant du bois elle sentit une pluie fine s’abattre sur ses joues. Khandro m’a assuré qu’il serait là. A quelques pas de là, près du précipice, s’érigeait en effet une silhouette.
Hogan surplombait les hauteurs sauvages de la calanque ; en contre-bas, l’étendue délavée de l’océan se déployait, frangée d’écume, comme une femme de la Péninsule l’était de dentelle. Il pissait au bord, dans le vent. La jeune flibustière aurait pu encocher d’ici et le percer d’une flèche. Pourtant elle se cramponnait toujours à la garde de son sabre. Le Capitaine finit son affaire puis réajusta ses jambières sur sa brouche de coton blanc pendant qu’Ankharet dénouait le foulard qui préservait son visage du froid et des embruns. Ca sentait la pisse et l’acier mouillé.
- Oye, interpella-t-elle.
Hogan fit volte face. Un sourire goguenard égratigna aussitôt son visage. S’il était surpris, il n’en montra rien -ses yeux luisaient comme lors des moments précédant les arraisonnages.
- C’lui qui devait v’nir m’jacter avait une queue aux dernières nouvelles. L’Khandro l’a perdue pour t’envoyer à s’place ? Ou ‘lors t’avais envie d’téter la mienne ?
Plus au Sud, l’équipage finalisait le carénage de La Vorace sans rien connaître des enjeux en train de se dérouler sur le versant Nord. L’Isle aux pins présentait l’intérêt majeur de posséder de nombreuses plages farcies d’abiétacées, faciliant par-là même les manoeuvres de radoubage. Même à cette heure tardive, les hommes devaient s’affairer à préparer le boutre pour la prochaine marée haute à la faveur de la pleine lune. Seul Khandro, le Second, savait. Le frère d’Ankharet était demeuré sur la plage où s’était échoué le navire afin de ne pas éveiller les soupçons des matelots.
Ankharet mesura attentivement son adversaire puis avança son pied droit dans la neige, adoptant une garde médiane. Se présenter de profil permettait de constituer une cible plus petite. L’attitude de l’audacieuse arracha un rire de gorge au pirate.
- Parbleu ! J’toujours su qu’t’étais n’peu cabochonne, mais n’traitre ? J’aurais pu t’canner ‘Kha, t’épingler sur m’mât, au lieu d’quoi j’t’ai donné n’place sur mon navire et au sein d’mon équipage. C’moi qu’t’ai mis un fer dans la main. Foutredieu, maint’nant t’comptes m’embrocher avec ? C’moche, conclut laconiquement le marin en équipant la hache d’abordage lestant son flanc. Mais pas autant que c’que j’vais faire.
Hogan déploya son élan sans attendre, se laissant emporter par un furieux coup de taille en direction du visage d’Ankharet. Cette dernière eut seulement le temps de bondir en arrière. Il la suivit dans sa retraite et se rua sur elle sans céder le moindre empan, levant cette fois la hache au-dessus de sa tête, prêt à fendre le crâne de la mécane. Ses gestes s’enchainaient avec fluidité, hallucinants de célérité.
- Hmmpf-... !
Cette fois, Ankharet dut concéder ses appuis pour esquiver. Elle jura comme elle se sentit glisser dans la neige -le fer toujours au poing. L’arme du Capitaine se ficha profondément dans le tronc devant lequel elle se tenait une seconde auparavant. Une gerbe d’échardes les éclaboussa puis elle vit ses bras puissants pulser de hargne et sa mâchoire se crisper tandis qu’il dégageait promptement sa hache. L’instant d’après, il virevoltait avec pour accueillir sa rivale qui fondait sur lui : au sifflement du sabre, l’air vibra et s’ouvrit comme une blessure.
- MrraaAAAH !
Soudain l’acier rencontra l’acier dans un chuintement strident. L’écumeuse craignit voir son bras se briser comme du verre face à la parade. L’alliage du sabre ondula et le fil courbe de la hache s’hérissa d’étincelles. Il a la pratique et l’expérience, plus que moi songea-t-elle, et l’adrénaline la prit au corps.
- T’m’as pris pour n’danseuse d’Continent ?! rugit le mécan.
La jeune fille bandit ses muscles, s’arc-boutant sur ses appuis. Elle ne pouvait décemment pas parer les coups portés par Hogan -par trop puissants. L’offensive quant-à elle, elle le constatait à présent, se révélait toute aussi hasardeuse : l’expérience du forban tendant à surpasser l’atout que lui conférait son agilité.
Le Capitaine leva le pied, prêt à projeter Ankharet en arrière. Mais cette fois celle-ci fut plus véloce : elle monta le coude pour envoyer son pommeau dans la mâchoire d’Hogan d’un revers sec. Le pirate tituba et l’écumeuse consolida alors ses positions. Monta sa garde. Contente-toi de contre-attaquer. Déjà son adversaire se remettait d’aplomb face à elle.
Autour d’eux, les couronnes des pins bruissaient, ballottées par le vent du Nord. Sur la falaise les souffles rauques s’évaporaient en volutes de buée. Au moins Hogan s’essoufflait autant qu’elle. Il chargea derechef, lançant son bras armé vers l’épaule de l’impudente, doté d’une vitesse d’exécution toujours aussi fulgurante toutefois. Ankharet voulu se dérober d’une pirouette mais la lame trancha tout de même dans le cuir et le gambison, entamant son bras droit. Elle flancha avant de gémir. Emporté par son élan, son assaillant prit plusieurs secondes à retrouver ses appuis. Un sursis salutaire pour la petite teigneuse. Celle-ci haletait. A ses pieds, la nappe vierge se poissa d’une corolle sombre.
- V’là qu’tu saignes, releva nonchalamment le Capitaine tout en exerçant son poignet à quelques rotations vives.
La mécane renifla sèchement. Sa gorge palpitait, à l’unisson avec le foyer de douleur. Comme son bras faiblissait, elle saisit le sabre à deux mains, se redressa puis leva la pointe à hauteur du buste.
- Rat d’cale, marsouin, mousse, Cap’taine... N’saigne tous, répliqua-t-elle d’une inflexion fourbue.
Sans doute saisit-il l’allusion à ce jour de Favriüs où elle l’avait blessé dans la baie de Nelen, car elle vit la colère du Capitaine enfler d’un coup. Dans sa frénésie, il commit une erreur. Il leva sa hache, résolu à porter le coup fatal -ouvrant sa garde à la vigilance d’Ankharet. Avant qu’il ait eu le temps de l’abattre la jeune fille déplia ses bras pour l’atteindre d’un estoc en plein ventre, ce qui lui arracha un cri de douleur. Un mugissement retentit de concert, dominant un instant celui de la mer d’Eris.
Le sang envahit les narines et la bouche du Capitaine. Elle le regarda incliner indolemment sa tête couronnée de pluie, puis ployer. On l’aurait dit vaincu par l’implacable régularité du ciel. C’était un crachin molletonné et froid, une litanie monocorde qui traçait des sillons humides sur ses traits congestionnés de haine sans parvenir à en rincer la crasse. Ici, on cannait doucement dans le fond d’une choppe ou on crevait au bout d’un fer sans savoir qu’on avait vécu.
***
Sur Meca, les mâts s’édifiaient en pin ou en sapin. Leur bois alliaient l’élasticité et la légèreté nécessaires aux manoeuvres. Pour la coque, on tirait le meilleur parti du chêne, tandis que les ornements se sculptaient dans du peuplier et des résineux. Enfin, les meilleurs armateurs estimaient les essences comme le hêtre, le frêne et l’orme, dont ils reconnaissaient les qualités pour les apparaux et pièces d'accastillage. Ankharet tenait en partie tout cela de son aïeul. Elle soutira une bouffée de sa garot dans un frisson d’aise, ignorant toujours pourquoi de telles pensées la traversaient. La perspective de rentrer chez elle, peut-être.
Son frère l’avait accompagnée jusqu’à sa cabine puis l’avait aidée à se débarrasser du gambison et de la brigandine afin de panser la plaie à bord. La blessure se présentait sur la face extérieur du bras, longiligne comme le corps d’une pucelle, ouverte entre deux ourlets de chair érubescens. Ils l’avaient tous deux examinée d’une moue emprunte d’étonnement pour son frère et de consternation pour elle.
- On dirait l’con d’une rosière, estima Khandro.
Finalement, la blessure était moins vilaine que ce qu’elle craignait : aux contours certes étranges mais peu profonde. Ca cicatrisera.
- ‘lors, t’l’as chopé au collet c’fils de chienne ? s’enquit le Second, penché sous une paire de sourcils broussailleux.
Ankharet essuya sa bouche d’un revers sec, grimaça, puis considéra la dépouille fauve du jeune renard à ses pieds. Elle l’avait récupéré sur le retour, pris au piège d’un de ses noeuds coulants. De quoi éteindre, elle l’espérait, les soupçons de l’équipage qui l’avait vue sortir du bois. Elle était même parvenue à envelopper son bras, l’empêchant à peu près de dégorger. Elle avait fait passer le sang pour celui de l’animal.
- Bah ouais, t’bigles bien que j’pouvais pas l’tirer à l’arc. - Ah, bon. L’s’est pas laissé faire j’imagine. - L’a n’peu gigoté, aye. Mais j’l’ai soulevé par la queue puis j’l’ui ai craqué la nuque. - Eh ? T’quoi tu m’jactes, j’te cause du Cap’taine Hogan moi, j'm'en cogne d'ton gibier ! Comment t’l’as canné, par Othar !
Ankharet délaissa alors la vision de la fourrure pour venir à la rencontre du regard de Khandro. Ereintée.
- T’en connais beaucoup d’moyens d’canner quand on vient t’crever ‘vec un sabre ? (Elle versa à nouveau du rhum dans son hanap en métal, puis retomba dans l’assise de son fauteuil). Et si c’était lui qu’était revenu à ma place ? acheva-t-elle en expulsant un ruban de fumée âcre. - L’équipage m’respecte, et l’respecte encore plus l’démonstration d’force. J’l’aurais provoqué en duel pour prendre s’place à l’régulière, sous l’regard d’dieux et d’z’hommes. - Aye, c’ça. Vieux cul. - T’sais qu’t’as deux cons pour aller t’faire mettre maint’nant ?
Ankharet sourit. Elle ignorait encore à quel point la réplique de son frère possédait des allures de prophétie. Il fut le premier à la trahir.
HRP:
Dernière édition par Ankharet le Mar 29 Aoû 2017 - 16:57, édité 2 fois
Ruthger de Lourmel
Humain
Nombre de messages : 50 Âge : 29 Date d'inscription : 18/12/2016
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 32 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Re: Ankharet Sam 26 Aoû 2017 - 11:45
Bienviendu à toi, sublime tatouée !
Tudieu, je rêve où la fiche est-elle déjà terminée ? :O
J'te laisse dans les mains expertes de nos Lucky Luke de la fiche, et je te souhaite un bon séjour parmi nous l'amie ! (Et si tu as besoin d'un parrain, j'suis disponible ^^)
Ankharet
Humain
Nombre de messages : 2 Âge : 31 Date d'inscription : 20/08/2017
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 19 ans Taille : Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Re: Ankharet Sam 26 Aoû 2017 - 11:56
Merci pour l'accueil !
Emballez, c'est pesé. J'attends d'être jugée en l'état.
(Va pour le parrainage si gentiment proposé. Tu préfères un support particulier pour échanger ? MP ?)
Yenaël
Ancien
Nombre de messages : 222 Âge : 29 Date d'inscription : 17/05/2016
J'ai donc enfin réussi à prendre le temps de me plonger dans ta fiche et ... Quelle plongée ! Ta fiche est tout bonnement excellente. L'histoire de ton personnage est bien pensée, chaque détail à son lot d'intérêt et le tout s'inclue merveilleusement bien dans la trame du forum.
Bref, je ne vais pas tergiverser pendant 30 ans, tu es validée !
Si tu as la moindre question pour t'inclure le mieux possible dans le jeu du forum, je suis à ton entière disposition (MP, Skype sur mon profil ...)
Code:
[Métier] : Ecumeuse
[Sexe] : Féminin
[Classe d'arme] : Corps à corps
[Alignement] : Loyal mauvais
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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Sujet: Re: Ankharet
Ankharet
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