Morg'Arak Alvember [Haute-Prêtresse de Teiweon]

Identité

Nom/Prénom : Morg’Arak Alvember
Âge/Date de naissance : 697 ans / Verimios 423 année du Xe Cycle
Sexe : Femme
Race : Drow
Faction : Puy d’Elda
Alignement : Loyal Mauvais
Liens notables :
- Un frère, Mat'Arak Alvember
- Un fils, Shar Alvember
- Une fille, Rish Alvember

Particularité : Tatouages divers dont plusieurs sur le visage ; bras scarifiés et une main amputée de deux doigts


Métier : Obok M'thain Teiweon (Haute Prêtresse de Teiweon)
Classe d'arme : Magie (Immatérielle / Spécialisée dans la manipulation de l’âme)

Possessions & Equipements :
Morg’Arak Alvember possède de nombreuses tenues mais certaines lui sont plus chères que d’autres. La première est principalement cérémoniale et se compose d’un plastron d’acier fait sur-mesure et épousant les formes et le ventre de la Drow. L’abdomen est stylisé sous forme de carapace se terminant en point juste sous le nombril et laisse la taille libre de tout mouvement. Une lourde robe bleue et grise vient prendre le relais sous l’armure bien que deux plaques d’acier recourbées et gravées viennent protéger les hanches de sa porteuse. Cette tenue s’accompagne de gants en cuir noirs sur lesquels sont greffés de longues griffes en bronze en forme de serre. Enfin un couvre-chef vient compléter cette tenue. C’est une sorte de tiare en argent dotée de sortes mandibules s’étirant vers les joues de Morg’Arak. Une gemme bleue veinée de rouge est incrustée sur le front de la Haute-Prêtresse.

L’Obok M'thain porte souvent à sa ceinture une arme rituelle. Il s'agit d'une dague allongée à la lame sinueuse, de texture rugueuse et aiguisée sur les deux tranchants. Cette lame en acier présente des motifs décoratifs forgés ainsi que le nom de la Déesse de la Mort. La poignée est simple, forgée d’un seul tenant et présente des traces de sang séché, laissées volontairement par la prêtresse. L’arme, portée depuis plus d’un siècle par la femme, est également son focaliseur lorsqu’il s’agit d’utiliser l’Art.

Apparence :

• Taille : Un mètre soixante-quinze
  
• Couleur des yeux : Rouge
  

Aperçue de loin, il serait difficile de discerner Morg’Arak des autres membres de sa race tant elle correspond à l’idée que se font les autres peuples de son espèce. De taille moyenne, elle arbore des formes voluptueuses, des seins ronds et fermes, une taille fine et des jambes musculeuses. Ses yeux sont du carmin uniforme chez les Drows. Les tatouages violets et bleus les entourent font cependant leur particularité ainsi que leur forme légèrement en amande. Un nez bien dessiné domine une bouche fine aux lèvres teintées de nuances de bleu ou de rouge selon les jours. Malgré les âges, sa peau cendrée ne porte que peu les traces du temps à l’image de son espèce mais on peut découvrir de nombreux signes criant son âge.

Ainsi la pointe de son oreille droite n’existe plus, remplacée par une cicatrice boursouflée et blanchâtre. Derrière son cou, on peut découvrir une grande brûlure qui s’étale jusqu’à l’omoplate droite. Outre les scarifications le long de ses bras et laissées par la lame de nombreuses dagues, Morg’Arak arbore fièrement de nombreuses arabesques rouges tatouées le long de ses jambes ainsi que sur son ventre.  Le symbole de la déesse qu’elle sert est tatoué tout autour de son nombril, plongeant cette zone sous une couche d’encre noir, illuminé par une simple perle blanche percée dans l’ombilic.

A l’image de la plupart des Drows, Morg’Arak aime s’habiller au quotidien de vêtements peu couvrants mais de couleurs sombres. Ainsi une simple brassière couvre légèrement ses seins, porteurs de fines cicatrices de griffure, laissant le reste de son tronc libre. Ses bas se résument à une sorte de robe constituée de plusieurs pans de tissus en lambrequins et descendant jusqu’à ses chevilles. Il est rare que l’on devine les bottes en cuir fin qui chaussent ses pieds.

Personnalité :

Dure comme un roc, taillée par des années d'expérience mais encore teintée d'une légère touche d'utopisme Drow. Cela pourrait définir très clairement la façon de penser générale de Morg’Arak. En tant que politicienne chevronnée il est nécessaire pour elle de savoir se contrôler et fait donc preuve d'un grand self-control à toutes épreuves. Bien qu'elle reste polie et peut se montrer parfois amicale, elle reste la majeure partie du temps stoïque, avec une touche lascive et mystique.

C’est une véritable figure de la haute-société Eldéenne, ayant été élevé selon les coutumes de son peuple : c'est-à-dire en se croyant supérieure à vous et entraînée à ne jamais vous montrer ses véritables sentiments. Jusqu’à sa voix, forte et aiguë, mais pourtant naturellement autoritaire reste comme dénuée de toute émotion. Morg’Arak est une femme qui aime les riches habits et qui est galante au possible, bien que restant toujours d'une froideur absolue inhérente à son rang. En général, elle trouvera toujours les mots juste pour vous ravir, vous émerveiller devant une telle politesse et une connaissance théologique mais elle est une experte pour les menaces voilées et discrètes par lesquelles vous ne pourrez pas crier au scandale mais seulement craindre... Autoritaire et très stricte, Morg’Arak ne laisse passer aucune faute, et cherche à rendre ces objectifs les plus efficaces et les plus uniformes possibles.

Vous l'aurez deviné, Morg a compris que la politique n'était qu'une vaste guerre sans effusion de sang et surtout que la meilleure stratégie prônait. Ce fut ce qui lui permit de s'élever si haut et surtout d'y maintenir sa position. En ce qui concerne sa vision de la politique cette femme est dotée des préjugés xénophobes inhérents à sa race. De plus elle prône la paix intérieure. Malgré la paix qui règne encore entre les différentes factions du Puy, elle sait cependant que la paix n'est que temporaire et voit d'un très mauvais œil un gouvernement uniquement dirigé par des militaires. Tout du moins sans l’influence marquée et quasi-absolue des religieux. Si l’armée a le droit et le devoir de régner, c’est par la grâce des Dieux dont les prêtres sont les garants... Entendez qu'elle accepte parfaitement la suprématie des militaires en bonne Eldéenne mais qu'à ces yeux le culte de Teiweon devrait museler l'armée et avoir sa part dans la gouvernance du monde Drow.

Fanatique, elle reste une prêtresse qui aime avoir une organisation précise et bien détaillée autour d'elle ainsi que des appuis politiques forts. Sa foi est véritable et elle pense sincèrement essayer au mieux de pouvoir faire recouvrer sa gloire passée à l’Elda. Si un Triumvirat se reforme, elle compte bien en faire partie ou en tirer les ficelles dans l’ombre et essayer de diriger la société selon un précepte connu et simple : guerre à l’extérieur, paix à l’intérieur. Soucieuse et pleine de ressources, son plus gros défaut sont ses crises de colère lors de ses échecs, la poussant souvent à hurler de dépit et à attaquer tout être vivant proche d'elle, quitte à briser quelques crânes… C’est l’un des rares moments où Morg’Arak perd le contrôle d'elle-même par ailleurs.


Capacités magiques :

L’Art des Arcanes est une douce mélodie aux sens de Morg’Arak. Bien qu’elle ne soit pas une virtuose de la musique, elle ressent la magie comme une symphonie – bien que différente que celle hérétique des Elfes. Chaque geste et phrase prononcée sont comme des notes devant être liées et tissées entre elles pour former un accord d’une rare puissance. Aussi lorsqu’elle se plonge dans la magie, une sorte de transe la prends et il n’est pas rare d’entendre la Haute-Prêtresse fredonnait quelques hymnes funestes tout en tissant son sort.

Morg’Arak s’est spécialisée dans la magie de l’immatériel et plus particulièrement celle des âmes. Profondément respectueuse de la Flamme des Drows, la Haute-Prêtresse s’est vue solidement formée dans la création d’hybrides et autres golems avec la manipulation de l’âme d’infidèles ou de races inférieures. Son projet magique au moyen terme est de réussir à créer des créatures douées non seulement de conscience mais également qui dure dans le temps. De part la difficulté de cette variante des arts thaumaturgiques, Morg’Arak ne connaît presque pas les autres branches de l’Art.

Le focaliseur de Morg’Arak est la dague rituelle qui l’accompagne depuis son entrée au service de la Déesse de la Mort. Lorsque l’Obok M'thain se sert de l’Art, elle tient généralement l’arme serrée dans son poing par la lame et chantonne ses rituels. Généralement, l’arme se couvre d’une légère couche de givre et semble se teinter de noir au fur et à mesure de l’emploi de la magie.

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Histoire

Morg’Arak naquit lors des années fastes du contrôle Eldéen sur l’Ithri’Vaan peu après sa conquête. Elle grandit bien évidemment l'apogée de l'empire Daedhel. Fille de deux soldats, la petite Alvember était destinée à certainement suivre la voie de ses parents ainsi que son frère né un an avant – loué soit les Dieux pour avoir permis deux enfants si rapidement au sein d’un couple. Ce fut sa mère qui prit soin de Morg’Arak tandis que le paternel s’occupait de son fils. Ils furent élevés durant leurs premières années dans le plus grand respect des traditions Eldéennes. Morg’Arak subit ainsi le Clor d’Vlos peu après sa naissance et on entailla pour la première fois son bras. Le P’obon d’Natha qui en résulta allait définir d’une manière bien étrange sa vie plus tard…

Après trois années passées sous le giron des parents, ceux-là partirent bientôt pour d’autres campagnes qui les appelaient en Ithri’Vaan ou dans le Zurthan. Peu à peu les prêtres prirent en charge l’éducation des enfants. Alors que le frère était d’un naturel bagarreur et violent, Morg’Arak était une enfant plus calme. Mais non moins dangereuse et bien plus ambitieuse. Féroce et à la langue acérée, elle n’hésitait pas à attirer les faveurs d'autres enfants chamboulés par la nature presque sauvage des Drows pour en tirer quelques avantages plus concrets. Boisson, nourriture.. Tout était bon à prendre dans cette faste période de l’enfance de Morg’Arak. Mais très vite vint l’heure de la Consécration… Au cours de ce rite, l’Eldéenne se trancha le haut de l’oreille droite en signe de ferveur envers les Dieux et l’offrit en particulier à Teiweon ; priant qu’elle apporte la mort à tous les ennemis du Puy. Son frère quant à lui offrit un combat sanglant envers Uriz.

La suite du cursus honorum de Morg et de son frère resta classique. Ils intégrèrent leurs classes communes et furent formés à la culture drow. Fanatisée, militarisée, c’était une vie rude mais dont ils tiraient une grande fierté. Transformés par leur nature puysarde, Morg’Arak se découvrit un véritable plaisir pour la chair, un goût prononcé pour les arts du lit mais au plus profond d’elle-même c’était surtout pour des questions personnelles et théologiques. C’était son devoir de connaître cette activité pour plus tard enfanter et pérenniser la race supérieure avant de rejoindre le domaine de la Déesse de la Mort. Mais c’était également une manière de satisfaire ses besoins et de s’attirer quelques secrets confessés sous les draps. Guerrière au talent modeste, Morg’Arak évitait généralement les conflits ouverts, préférant développer une rhétorique acérée. Lors des nombreux rites des Clor d’Manor, Morg’Arak fut remarqué par les prêtres de Valas et déclaré sensible à la magie. Combattante modeste, intellectuelle plus que physique, ce fut ainsi naturellement qu’elle se destina à entrer au Erkd’Fe Renor des niveaux inférieurs.

Les cinquante années qui suivirent furent également un cursus honorum des plus respectables pour l’Eldéenne. Après un premier cycle d’étude théorique de dix ans, Morg’Arak se sentit en phase avec la magie immatérielle. Contrairement aux arts de la Vie ou des Eléments, une certaine attirance pour la manipulation de l’esprit l'habitait. Cependant, depuis le sacrifice de son oreille à Teiweon, l’Eldéenne se sentait en affinité avec le culte de la déesse et les morts. Aussi choisit-elle de se spécialiser dans l’étude de la nécromancie et de l’hybridation d’une âme un corps. Au début de sa spécialisation, elle reçut sa dague sacrificielle qui deviendrait peu à peu son focaliseur. Elle apprit au fil de longues années à forcer les barrières mentales des esclaves et autres races inférieures qui servaient de cobayes. Briser l’âme fut l’intérêt de son premier cycle de spécialisation de dix ans. Les quinze ans qui suivirent virent son entraînement pour extraire l’âme de son corps et la manipuler sans la briser ou la perdre. Là était une des difficultés de l’art nécromant. Excellente pour prendre en main l’âme, Morg’Arak connut de grandes difficultés à la maîtriser parfaitement sans la laisser s’échapper et disparaître dans les mains de la Déesse froide. Enfin son dernier cycle fut le travail pour réinvestir l’âme dans son corps ou autre. Au cours de son Clor d’Beannaighil, Morg’Arak demanda la protection non pas de Valas mais d’Isten, demandant sa protection et ses charmes pour toujours progresser plus. En hommage à la Déesse du Désir, elle passa la nuit de son rite entourée d’amant(e)s…

Morg’Arak resta vingt années de plus au cœur du Erkd’Fe Renor avant de quitter la Chambre Arcanique à l’âge de cent-vingt ans. Tant d’années à servir de catalyseur pour manipuler des âmes ainsi que des morts avait peu à peu appeler la mage Alvember à se faire novice de la religion de Teiweon qui veillait sur les Âmes des Eldéens. Elle entra ainsi dans le clergé de la Dame aux Ombres et connut un noviciat de trente ans au cœur du temple du Puy. Lorsqu’elle fut formée à la doctrine de la Déesse de la Mort, elle fut envoyée comme prêtresse au temple de Thaar. Elle vécut près de deux cents ans à s’occuper des Doebels décédés, à s’occuper de l’enseignement de leurs enfants mais également à participer aux cérémonies mortuaires et à garder l’ossuaire local. Elle continua à pratique la nécromancie, utilisant les esclaves de la ville portuaire. Elle eut également ses deux enfants à près de cinquante années d’intervalle à cette période bien qu’elle s’en sépara vite à chaque fois pour les laisser s’épanouir au Puy.

En 760 : X, Morg’Arak se lassa peu à peu de Thaar et de l'influence des Princes Marchands. Cet esprit mercantile et personnel la dégoûtait peu à peu. Elle vécut les changements de l'Ithri'Vaan tel une abatardisation de l'esprit Dhaedel. La prêtresse reprit peu à peu contact avec les anciennes novices et parla longuement avec elles. Par lettres et quelques rencontres intermittentes, Morg'Arak bâtit un premier réseau d'alliés et de personnes partageant ses idées au coeur même du culte. Lorsqu'elle considéra avoir assez attendu en 890:X, elle demande à ses soutiens d'appuyer son retour à Elda pour y prendre un nouveau poste et ainsi renforcer la position de leur ligne politique. Aussi fut elle invité à rejoindre le Puy pour intégrer un poste plus important que celui de simple prêtresse. Ainsi lorsque Morg’Arak gagna à nouveau la capitaine Eldéenne, elle fut faite Jabbuk d'l'phindaren, où maîtresse des monstres. Elle eut en charge d’expérimenter la création de nouvelles bénédictions divines par la manipulation des Flammes les plus impies et les âmes des sous-races. Elle travailla de longues années, près de cent quarante années avec les adeptes de Zhak’Bar pour essayer de créer des créatures dotées d’une conscience à tout le moins humaine ou naine, loin de la perfection Drow. Plus que tirer une âme du monde des morts, Morg'Arak essaya de se spécialiser dans le transfert d'une âme d'un corps à un autre tout en la "programmant" à accomplir une unique tâche. Nombre des expériences furent des échecs et elle perdit même deux doigts de la main droite, happés par un Fern qu’elle croyait dompter, à tort.

L’arrivée du Voile chamboula les projets de Morg’Arak qui se prit dans le jeu de la politique. Elle fut une des premières à annoncer que c’était la colère de Teiweon qui avait frappé les marais de Faelia. Elle laissa entendre que les Drows avaient laissé l’argent corrompre leur cœur à défaut de servir les Dieux. Une partie des mages qui la servaient se rangèrent à son opinion et peu à peu elle réussit à faire partie des prêtresses les plus influentes du Puy. Elle n’imposa cependant que rarement son pouvoir, préférant lancer une politique et la laisser prendre, ou non. Elle se félicita lors des attaques Eldéennes de la Péninsule mais surtout de la prise d’Eraison, dont elle salua la victoire en sacrifiant plusieurs esclaves. Mais les échecs qui suivirent les années suivantes déçurent la prêtresse. Selon elle, la victoire aurait pu être atteinte si les dissensions politiques et religieuses du Puy n’avaient pas été aussi fortes.

Aussi à défaut de pouvoir influencer le pouvoir, il pouvait être tout aussi intéressant de l’exercer… Aussi à la fin de 9 :XI, Morg’Arak s’arrangea pour découvrir qui étaient les esclaves et amants les plus prisés par la Haute-Prêtresse Elvanshalee Hune'Baenre. Quelle surprise ne fut pas de découvrir le corps de la dame étranglé par un de ses esclaves alors occupé en pleine plaisir sodomite ! Nul ne sut jamais qu’à la réalité, ce n’était plus l’âme originale de l’homme qui habitait son corps, que la Haute-Prêtresse soit disant morte n’était qu’une doublure. Nul ne savait ce qu’il était advenu de la véritable Elvanshalee mais il fallait espérer qu’elle ne referait pas surface trop tôt... Cela avait demandé de longs mois à Morg’Arak pour réussir son coup mais le résultat était là. Le meurtrier disparut mystérieusement des geôles du temple dès le lendemain du meurtre. Morg’Arak fit alors imposer son nom pour le choix de la Haute-Prêtresse. L’influence des mages nécromants, qui soutenaient la prêtresse, suffit à faire être choisie pour ce poste.

Ainsi commençait la Haute Prêtrise de Morg’Arak Alvember…

HRP:

Elle est plutôt bien ficelée ta fiche, et du coup en réalité, le seul grand problème que j'ai avec, ce sont les  tournures de phrases qui sont vraiment limite-limite parfois
Du coup, je t'aurais invité à faire une relecture rapide pour éviter les trucs du genre :

Morg'Arak - paragraphe 3 a écrit:

Contrairement aux arts de la Vie ou des Eléments, une certaine attirance pour la manipulation de l’esprit l’attirait.

Sinon, niveau fond, le seul point sur lequel j'aurais à redire serait quand tu dis

Morg'Arak - paragraphe 2 a écrit:

Féroce et à la langue acérée, elle n’hésitait pas à attirer les faveurs des hommes hommes et femmes chamboulés par la nature presque sauvage des Drows pour en tirer quelques avantages plus concrets. Boissons, nourriture, secrets sur lesquels faire chanter. Tout était bon à prendre dans cette faste période de l’enfance de Morg’Arak.

Tu lui donnes une image de femme fatale et manipulatrice, usant des bas instincts de sa race pour servir ses objectifs... alors qu'à ce moment on parle d'une enfant qui serait l'équivalent d'une humaine entre 6 et 10 ans

Citation :

L’enfance voit les enfants drows grandir relativement rapidement. En comparaison avec leurs cousins Sylvains, elle dure peu et laisse aux drow leur nature impulsive difficilement réprimée malgré la croyance fanatisante qu'on leur impose et le carcan très stricte de la société

Bon, je ne vais pas plus t'embêter que ça pour la syntaxe, parce que j'imagine bien que tu as grave envie de le jouer ce perso, et puis, on n'en est plus aux erreurs qui font mal aux yeux x)

Du coup, bienvenue Mademoiselle, et surveillez vos arrières, on ne sait jamais ce qu'il peut arriver quand on occupe un poste important au Puy, surtout en des temps pareils

Code:

[Métier] : Haute Prêtresse de Teiweon

[Sexe] : Féminin

[Classe d'arme] : Magie ( âme )

[Alignement] : Loyal Mauvais

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
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