« Nous sommes arrivées, ma fille. » lançais je lui adressant un léger sourire.
Elia me regarda, prenant son sac bandoulière, arrangeant sa tenue vestimentaire de l’école avant d’ouvrir la porte de la voiture. Je sentis son regard, puis, un baiser se déposa sur ma joue
« Bisous, mam. Bonne journée à toi. »« Bon courage pour ton contrôle. »« Oh…ne te fais pas de soucis. C’est facile ! » lança-t-elle en fermant la porte avant de rentrer par l’entrée principale du Lycée.
Je restais silencieuse, regardant ma fille au loin avant de porter mon attention sur mon smartphone. J’appuyais sur l’écran, je vis l’horaire. Il était 8h58. Elisabeth m’attendait pour un café au temple de Rosemarais. J’éteignis l’écran, déposant sur le rangement de la voiture. Mon regard se posa sur le rétro, je pris une nouvelle fois la route. La ville était très active à cette heure, tout le monde allait au travail, l’embouteillage était plus qu’ennuyant. Les gens allaient tous au bureau.La vie de bureau…c’était très peu pour moi. Le seul moyen de combler l’attente était d’écouter la radio. Les musiques pop défilèrent avec ces instants de pub, suivit des infos du jour
« Bienvenue sur NRK, la radio locale de Marseira. Michel pour vous servir. Aujourd’hui, le soleil et les beaux temps rayonnent dans l’Empire. Aujourd’hui, il fait 30 degrés dans notre charmante Cité.
Aujourd’hui, une nouvelle série de kidnapping sévit dans notre ville. La police tente tant bien que mal de résoudre cette série de kidnapping d’enfant. Mais, une nouvelle fois, la police souffre du manque budgétaire mais la ville offre une prime alléchante pour retrouver les éventuels responsables de tous ses kidnappings. »Je pris la principale avenue qui mena dans la vielle ville, puis, une rue qui mena dans la vielle ville, pas très loin du centre-ville. Les maisons gardaient les traces d’avant la révolution industrielles.. Le style était médiranéen avec ces tuiles, des fenêtre simples et petites avec des contour fenêtre en pierre qui dépassait le mur et légèrement façonner par les maitres artisans. Quelque décorations muraux au style fin et courbé. C’était agréable à voir
« les rumeurs circulent qu’une secte étrange sévit dans la ville et se cacheraient dans le pourtour de la ville, dans la zone de non droit. Mais, la sécurité civile réfute cette hypothèse infondé. Les preuves ne sont pas assez fournies. Allez, un peu de musique ! pour digérez les infos ! »
« Surement pour ne pas effrayer la population ou avoir une émeute et conflit entre mage et non mage. » répondis-je à moi même.
J’arrêtais la radio, mettant une musique de mon téléphone. Je portais mon regard sur le volant écoutant une bonne musique rock. Je quittais la rue principale pour m’engouffrais dans les ruelles plus calmes, peu de voiture passait dans ses endroits. La majorités étaient réservés aux piétons. Je garais la porcha Kayenne sur un parking dédié. Le temple était à quelque minute à pied, il suffisait juste d’emprunter les ruelles réservées aux piétons. Je sortis de la voiture, la refermant avec mon boitier électronique. Je m’engouffrais dans le vieux quartier.
Le quartier était animé par la vie de ces habitants. Les ruelles étaient remplie de petit commerçant, de restaurant produisant des repas locaux issus des quatre coins de la région, essentiellement de la mer car Marseira était une métropole portuaire. La cuisine locale était issue des produits frais du quartier, mais, aussi. La ville recevait des produits exotiques l’immense continent Afara. Puis, le quartier était occupés par de nombreux artisans culinaire et de mode. D’ailleurs, c’était ici que la clientèle aimait trainée pour trouver des habits qui sortaient de l’ordinaire et de l’industrie. Puis, en parcourant la ruelle, une immense place se dressait fièrement. Ici, deux fois par jour, il y avait un marché qui animés par les marchands qui se concurrençais les uns aux autres jusqu’à se battre. La vie était animée, une sensation de revenir dans un monde ou l’industrie n’avait pas le monopole. Puis, traversant ce marché animé, parcourant une ruelle qui montait dans les hauteurs où la majorité des gens vivaient tranquillement. Le temple se dressait de manière discrète dans ce quartier résidentiel, vidé de ses commerçants. Le temple était collé à un petit orphelinat. Ici, les enfants animés ce quartier calme. Ce petit quartier calmes attirait les artistes qui cherchait un lieu pour dessiner, un petit coin de paradis.
Je m’arrêtais en face du temple, je regardais la bâtisse qui était sobre et accueillant à la fois. Le temple était dédié à la Déesse Athara, elle était la déesse patron de l’Empire. Elle est considérée comme un guide, de la droiture, de la liberté et protectrice. Elle était vénérée par l’actuelle Impératrice. D’après la lointaine légende, elle était autrefois une humaine qui a menait une simple Cité à la fondation d’un Empire puissant. A sa mort, elle réapparut via ces prophètes, devenant la gardienne et guide spirituelle de l’Empire. Aujourd’hui, le peuple le vénère. Le culte s’ingère dans la vie civile par des actes humanitaires et protégeant ces citoyens contre les malédictions. Cependant, la Déesse Athara faisait partie tout un tas de divinités qui régnait dans le monde. La seule chose que je sais. Tout les dieux qui peuplaient ce monde avait un point communs. Ils étaient soit vivant ou créer par l’esprit des hommes par un rituel mystique. C’est ce que je sais. Le seul divin qui n’était pas créé ! Était celui qu’on appelle l’Architecte, l’être suprême. Il est la source du monde physique, du monde immatériel auquel la magie est née. Il est la pensée unique…indirectement, on fait parti de lui….enfin, c’est compliqué..
Je m’approchais devant le petit temple de quartier. Je rentrais à l’intérieur, puis, je vis ma mère en train de nettoyer le temple vidait de ces fervents croyants. Personne ne venait à cette heure. Elle portait une magnifique robe blanche, couvrant son corps. Sa longue chevelure blonde était accrochée dans un épas chignon. Malgré ses rides de la cinquantaine, elle était une magnifique femme qui faisait plus jeune que son âge. Lorsqu’elle me vit, je vis son magnifique sourire
« Lyarra. Ma chérie… » s’exclama-t-elle
« viens. Viens ! » posant son balais contre le dossier du banc. Elle tendit les bras
Je savais que je lui avais manqué. Je m’approchais d’elle, l’enlaçant de tout mon cœur, extirpant un léger sourire amusé. Elle était toujours joyeuse et joviale. C’était bien quelque chose que j’appréciais chez elle
« Comment vas-tu, ma grande ? »« Oh, bien bien…je me détends. Par ci et par là. »
Elle me regarda un petit moment, hochant la tête, m’invitant à la suivre. Je la suivais, rentrant dans
la pièce privée du temple. Ainsi, je vis une petite pièce qui ét ait presque semblable à un salon commun ou les religieux pouvait se détendre. Car dans ce temple, c’était à la fois le lieu de vie des religieux, mais aussi, un petit orphelinat pour les enfants, dirigé par ma mère. L’orphelinat était collé au temple, géré par ses sœurs qui secondait ma mère. Parfois, ma mère aimait aussi le calme comme gérer les enfants. Mais aujourd’hui, nous partagions le salon entre nous.
Elle s’approcha de la petite cuisine, allumant la machine à café et préparant deux tasses de café. Elle me mit deux sucres, allongeant le café qui remplissait ma tasse.
« Alors, comment va Elia ? »
« Elle va bien. Elle passe son contrôle de littérature. »« Oh…ce n’est pas trop difficile ? Tu l’as mis dans un Lycée qui est très coté. Le niveau doit être difficile pour elle. »« Ne te fais pas de soucis, maman. Elle est très intelligente. Je ne me fais pas de soucis. »« C’est sur. Ta fille est bien intelligente. Elle a un sacré avenir. Une idée de ce qu’elle va faire après le diplôme de fin d’année ? »« Elle tente de rentrer dans l’académie des sciences spécialisé dans les arts occultes. » Elle se raidit un moment. Je savais que ma mère n’était pas du tout attirer par la magie. C’était à ses yeux, un art trop dangeureux. Même, si, elle sait que dans le culte, certains des prêtres avaient un don pour guérir et soigner. Mais, elle savait que les humains étaient aussi dangeureux. Donner la magie à l’homme était signe de désordre et de chao. Mais, elle savait qu’Elia était toujours attirés la dedans,puis, j’avais poussé ma fille dans ce chemin dont elle était attirée en étant petite.
« Je ne me doute pas d’elle. J’espère juste qu’elle ne sombre pas dans la folie de certains arcaniste. » répondis-je dans un ton lasse « je la verrais bien artiste..ta fille… »« Oui, elle dessine toujours. Mais, la magie l’intrigue…puis, elle est croyante. Elle veut savoir le mystère du monde »« Etudier longuement la magie peut ammener à une folie. J’espère qu’elle ne penchera pas trop dans ce pendant là, ta fille. »« elle sera se controler »Elle soupira un moment, m’apportant le café. Elle s’asseya en face de moi. Elle tournoie la ceuillère, diluant le sucre, elle me fixa.
« Si tu le dis. » restant un brin silencieux
« Alors, Et toi ? ton métier de mercenaire marche bien ? »Je la regardais. Je sentais qu’elle n’appréciait pas trop que je vendis mon talent pour de l’argent. Au départ, j’étais dans l’armée, elle ne voyait pas une mauvaise chose de servir mon pays, même, si elle n’était pas vraiment heureuse que je sacrifie ma vie. Puis, à force de côtoyer la guerre et les horreurs et les magouilles de mon pays. Servir une cause, ne me servait à rien. Vendre mon talent était plus rémunératif. D’ailleurs, l’Empire avait beaucoup de société privée dans la sécurité détenue par les riches familles de l’Empire. Mais, pour ma part, j’étais indépendante et je choisissais celui qui était le plus juste. C’était une chose que ma mère avait toujours mis en avant. Gagne ta vie pour une bonne cause que de servir les vaux rien.
« Comme d’habitude, je trie mes clients et je sers pour quelque chose que je trouve bon à servir. Ça gagne bien. Je me contente de ce que j’ai. » Elle hocha la tête, je vis son regard, posant sa tasse sur la table.
« j’ai quelque chose à te demander, Lyarra »Là, je vis le sérieux dans son regard. Je restais assise, déposant ma tasse de café. Je la regardais droit dans les yeux
« Allez..dis moi »« J’ai eu vent que le culte s’intéresse de près à cette affaire de kidnapping. Comme tu le sais, le culte n’a pas le droit d’agir, elle n’a pas le monopole de la violence. Mais, en cas de réelle nécessité, elle peut apporter son expertise. En ce moment, cette affaire de kidnapping n’est pas une simple affaire de criminel de bas quartier. Le culte soupçonne une secte qui font des sacrifices ou des immondices. La police est en sous-effectif. La ville est dirigée par des dirigeants qui détourne le regard car les associations anti-raciste, anti-arcaniste, n’hésiteront pas à mettre leur grains aux sels et faire un scandale. Le maire de la ville ne bouge pas. Je soupçonne qu’il gagne quelque chose. » tout de suite, elle but une tasse de café. Elle me fixa du regard
« Rolland, l’inspecteur s’interesse à cette affaire, mais,il est bloqué à cause du manque de moyen. Pour l’instant, la police sécurise les quartiers moyens et riches. Les zones pauvres sont laissées à l’abandon. Quelque milice privée assurent le pourtour des zones de non droit, mais le reste, c’est le chao. Je suis d’accord avec lui, les bidonvilles sont les meilleurs endroits pour une secteJe restais silencieuse, me contentant de la fixer du regard. Je savais déjà ce qu’elle allait me demander
« je n’aime pas qu’on kidnappe les enfants. Si, les hauts prêtres s’inquiètent. C’est du sérieux. Les hautes sphères restent silencieuses pour éviter tout éclat médiatique. Les haineux de magie risqueront de faire des dégâts, suivit, par les association anti raciste car il y a une forte population d’immigrés venant du sud et de la mondialisation. C’est triste à dire…mais, la secte profite bien les soucis actuels pour faire leurs quatre cents coup. Je pense même que les petits gangs gagnent quelque chose. . » puis, elle déposa une enveloppe
« Donc, je te propose quelque chose. Le culte et une partie de la police te proposent de t’immiscer dans cette magouille, de sauver les enfants et de faire sauter les affaires au grand jour. Si on révèle qu’il se cache dans le quartier pauvre. Ca va ouvrir plein de chose. Déjà, la police sera soutenue par l’Empire car la haute sphère ne pourra pas ignorer. il y aura une chasse à la corruption. Une purge de la criminalité et après le culte pourra intervenir pour l’humanitaire et aider les gens à mieux vivre. Alors, Lyarra…tu te sens capable ? » « Garde Elia, je me charge de ça. »