Murmüure Dissodia

Identité

Nom/Prénom :Prénom d'usage : Murmure. / Anciennement Erard Winebald
(nom de famille hors d'usage)
Âge/Date de naissance : Tariho de la 1ère Ennéade de Karfias en l'an 989 du X cycle. (Hiver) – 27 Ans
Sexe : Mâle
Race : Humain
Faction : Royaume Péninsulaire
Alignement : Neutre Bon
Liens notables : Aucuns

Particularité : Murmure est considéré comme un drôle d'énergumène par les gens de sa région. S'il passe son temps à lire et apprendre sur le monde et les divinités, on dit de lui qu'il provoque chez les autres des modifications d'humeur, des soulagements psychiques, et qu'il est d'une compagnie perturbante pour qui n'est pas familiarisé avec le monde de l'étrange. Pour lui, il ne s'agit que de la force des Dieux, mais surtout de Tyra, dont il célèbre le culte ; pour les plus éveillé, il est un mage de l'esprit non conscient de sa force.


Métier : Prêtre d'un Culte de Tyra Hautvalois
Classe d'arme : Magie de l'esprit (non maîtrisée, inoffensive) –

Possessions & Equipements :
Murmure Porte une dague à but sacrificiel et cérémonieux, non aiguisée. Dans une besace, de nombreux parchemins remplis de prières à Tyra et autres textes religieux. Il porte aussi un livre de cuire relié dans lequel il consigne ses rencontres et interventions auprès des peuples Humains et Non-Humains.

Apparence : Erard Winebald, dernier descendant de sa lignée, grâce son éducation religieuse a reçu un goût du raffinement ; « un prêtre se doit d'être une façade inspirante pour notre Déesse Tyra ».

Ses traits aquillins, exempts de toute trace de labeur physique ou de violences enfantines, ainsi que ses longs cheveux noirs de Jais (qu'il entretient régulièrement), donnent l'impression d'une noblesse dont il n'est pas issue. Affublé d'une chemise blanche et d'une broche à l'effigie de Tyra, il se pare souvent d'un grand manteau noir à la coupe simple, qui dénote avec son physiques « de haute naissance ». Il ne porte quasiment pas les habits traditionnels de de son culte. Ses mains, fine et encore une fois, n'ayant connu que le calme du Temple et des livres, restent aussi vierges que celles d'un enfant ; il n'y porte aucune bague ou accessoire, ses ongles semblent parfaitement taillés, et pas une cicatrice, brûlure ou boursouflure n'y semble trouver place.

• Taille : 1m72
  
• Couleur des yeux : Verts
  

Personnalité : Murmure est un homme de Foi. Ses convictions semblent inflexibles, et rarement celui-ci s'est vu douter de la beauté de la Voilée, celle qu'il vénère par-dessus tout Tyra. Il est donc un personnage enjoué, toujours prêt à « répandre la bonne parole », enclin à écouter autrui, et partager sa vision de la mort, son importance dans le vivant et l'accomplissement des buts personnels, pour paraître fier le jour de notre réunification avec Tyra. Il sommeille en lieu un grand aventurier, un explorateur, et la rencontre avec d'autres personnes et cultures le rend d'humeur extatique.

Il existe pourtant chez lui une souffrance qu'il ne comprend pas, et c'est d'une ferveur religieuse accrue qu'il s'en défend. Chacune de ses expériences de prêtre dite « miraculeuse » ou « étrange », le place d'un état anxieux profond, parfois même cathartique ; Il est un mage de l'esprit qui crois apporter le salut de sa Déesse par ses paroles et rituels, mais c'est son propre pouvoir qui agit sur autrui à son insu. Son manque de focalisation et de régularité dans ses « rituels de soulagement de l'esprit », lui inflige de lourdes souffrances psychologiques... Il est donc possible que suite à certaines interactions, Murmure change de comportement de manière radicale suite aux effets de la déstabilisation psychologique dû à sa magie.

Capacités magiques : Murmure pratique des « Rituels de Soulagement » ; Il écoute les complaintes et les souffrances de ses interlocuteurs, et par le biais d'une mise en place ritualisé (prières dialogues et apposition des mains) il peut soulager des mal-êtres psychologiques (fatigue, dépression légère, colère, deuil...), il s'agit d'un travail parfois long et nécessitant un suivi spirituel des personnes. On raconte dans quelques bourgs voisins qu'il aurait aussi agi sur le physique d'autrui, soignant des douleurs chroniques, et mêmes quelques blessures légères. Cela dit aucun témoin n'a jamais pu corroborer ces dires.

Les quelques mages ayant croisé sa route supposent un pouvoir latent plus fort, avec une capacité réelle pour remodeler l'esprit. Ceux-ci se sont gardés de le lui dire : Afin d'éviter d'entendre de sempiternels sermons sur la puissance de Notre bien-aimée Tyra et sa puissance, mais aussi afin d'empêcher la révélation d'un mage de l'esprit supplémentaire dans les contrées de Miradelphia, ils sont peu, autant que cela reste ainsi pour le bien de tout le monde...

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Histoire

Il y a de cela 27 ans, dans les Terres du Médian du royaume humain, naquit un enfant quelconque.  Non loin du bourg d'Orm-sur-Cerf, à flanc de montagne, vivait une petite famille vassale d'un Seigneur de la Baronnie de Hautval. La culture du raisin et sa fermentation étant fort répandue dans les terre Hautvaloise, les Winebald menaient un train de vie que beaucoup auraient pu envier ; Des terres cultivables, la possibilité de payer quelques mains-d’œuvre pour effectuer le travail de la terre, une maison décente, et un commerce florissant grâce à la réputation des « Vin de Hautval ».
Chez  Odulf & Ida Winebald, on s'y sent bien ! - Voilà une phrase que l'on pouvait entendre dans le Bourg Voisin parmi les commerçants, bourgeois et quelques cul-terreux ayant réussi à s'attirer les faveurs avinés de « M. Odulf le faiseur de Vin »...

Mais fréquenter cette noble famille c'était aussi accepter leurs croyances. Pour eux, Tyra, la Déesse Voilée, représentait la plus belle des Divinités. Lorsqu'ils s'installèrent dans la contrée, les Winebald, Pentien avoués, vénéraient alors Néera comme la mère de tout, bien au-delà de tout les autres Dieux. Pourtant, non loin de leur nouvelle demeure, et sur leurs propre terres, se tenait un temple quelque peu particulier ; La rencontre se fit alors entre les Hommes & Femmes de ce culte, et le seigneur Winebald. Leur profond attrait pour la religion Pentienne et ses hommes et femmes de foi amena la famille Winebald à se rapprocher des leur nouveaux voisins, et lentement développer un amour nouveau pour la grande sœur de leur divinité favorite. C'est ainsi que commença une longue relation d'amitié entre Odulf, Ida, et la Prêtresse de Tyra, Venia.
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Les années passèrent, et alors que quelques Nobles locaux s'étaient une fois de plus fait la guerre, la situation financière des Winebald se stabilisa. La petite famille vînt alors s'agrandir, lorsqu'un soir, le visage empourpré, Odulf s'attela à une tâche bien trop longtemps mise à l'écart, qu'était celle du devoir conjugal. De longues ennéades passèrent, et la vie des nobles vignerons continua, toujours sous la surveillance de Venia, alors devenu la conseillère la plus proche de la famille... C'est ainsi, sous la bénédiction de Tyra, au neuvième jour de la première ennéade de Karfias, en l'an 989, qu'un drôle d'enfant frêle vît le jour. Lui fût donné le prénom d 'Erard, comme feu son grand-père.

Le petit Winebald vécu ainsi ses dix premières années de vie dans l'insouciance la plus totale. Gambadant avec les enfants du bourg, jouant aux soldats, et apprenant avec ferveur les enseignements du Culte de Tyra. Venia, prise d'affection pour l'enfant de ses amis, s'occupa presque entièrement de l'éducation de celui-ci. Il appris la lecture, reçu des leçons d'histoire sur les peuples humains mais aussi Elfes, Drows & Nains, et une forme de dialectique religieuse. Cette science du discours en faveur des Dieux fit du petit Murmure, ses 8 ans à peine passés, un réel petit philosophe religieux. Il prêcha alors la bonne parole au peuple ; Était compris dans « le peuple », le petit Richt et Gabol, ses deux amis, ainsi que Mortir, le sans-abri alcoolique d'Orm-sur-Cerf qui croyait maintenant en la bonne parole de Tyra, et n'attendait plus que celle-ci vienne le quérir...

Mais les beaux jours ne durent qu'un temps, et le Voile s'en vînt. Si la région Hautvaloise semblait épargnée des plus rudes conséquences, la folie meurtrière de certains ne manqua pas de s'émanciper. La ferme des Winebald fut alors attaquée par l'une des tributs sauvage de la chaîne des Monts-Corbeaux. Et dans cette longue nuit d'hiver, Odulf trouva la mort, avec violence, sous les yeux de sa femme et son enfant. Le traumatisme fut grand, et Ida sombra dans la folie avant de se donner la mort, quelques jours seulement après le décès de son mari. C'était selon elle la fin du monde, et il valait mieux rejoindre la déesse que de souffrir sur ce plan physique un jour de plus.

Venia s'occupa alors de Murmure. Elle l'accompagna tout au long de son deuil, tandis que le Suzerain des Winebald transmis la gestion des terres à un régent, en attendant que le jeune orphelin puisse s'y atteler. Le voile enfin disparut, une nouvelle ferveur naquit chez les Hommes & Femmes de Foi en Miradelphia, et Venia choisit alors de faire du jeune garçon, un partisan de Tyra à son tour. Un homme qui de par son éloquence, saurait mettre en avant la beauté et la puissance de la grande sœur de Néera, celle qui sauvent les âmes en perdition, et accompagne les âmes dans le royaume des morts. Ce ne pouvait être qu'une déesse miséricordieuse, et il fallait le monde le sache.

Il deviendrait alors Murmure, celui qui soufflera la parole de la Grande Voilée.

Et les années passèrent... Venia se faisait à présent vieille, une femme de 60 ans, sur qui pesait déjà les poids des années. Mais en son cœur, rien ne la rendait plus heureuse que la fierté de la réussite. Celle de voir cet homme de religion, un homme éloquent, beau, capable de discourir sur la mort, la vie et les Dieux, un homme qui purgera le monde de ses maux, avant d'embrasser le monde des morts. Et soigner le mal, Murmure (qui alors avait abandonné nom et prénom, pour n'être plus que l'instrument de Tyra) le faisait avec excellence. Dans l'accompagnement par le dialogue, il écoutait les complaintes des habitants d'Orm-sur-cerf, et prodiguait ses conseils à son tour. Ces instants particuliers n'appartenaient qu'au prêtre qu'il était, et au confessant, ce qui créait une confiance en sa profession, et invitait beaucoup de ceux-ci  à venir se recueillir au temple, et offrir quelques maigres dons, à la hauteur de leurs richesses.

Certaines personnes venaient parfois quérir conseils et soins. Face à la souffrance de la vie, au deuil, à la maladie, à la tristesse... Murmure, écoutait leur histoire et accompagnait ses « patients ». Parfois, pour compléter ses séances, il créait, au sein du temple, des espaces de recueil ritualistiques ; Une mise en scène apaisante, dans la pénombre d'une salle emplie d'encens, accompagné de d'un duo de religieux, entonnant quelques litanies à la gloire de la Déesse. Et sous un voile immense se déroulait alors la séance. Il se dégageait alors de ces scènes, une atmosphère profondément salvatrice, douce et austère à la fois. Et le prêtre prodiguait alors ses soins. A ses yeux, il ne s'agissait là que de la bénédiction de Tyra, qui, usant du corps physique du prêtre, usait de son pouvoir pour soigner les croyants. Pourtant, et Venia le savait, lui seul était capable d'accomplir des miracles. Lui seul arriver à rendre le bonheur à une femme en deuil avec un suivi et quelques rituels. Lui seul avait pu sortir un homme de l'alcoolisme, cette maladie mentale et physique, avec une suite de cinq séances ; Aujourd'hui, Mortir ne boit plus, il ne souffre pas du manque d'alcool, et est bien décidé à devenir soldat, garde, ou surveillant d'une école de bambin, tant qu'il peut servir le bien commun, tant qu'il agit pour la fierté de Tyra.
Lui seul avait été capable de survivre au traumatisme du décès de ses parents, et à la sombre période qu'était le voile. Car sa volonté était soutenue par une force qui échappait aux gens communs. Venia le savait, Murmure était un magicien. Et cette conviction d'être celui qui focalisait la puissance d'une déesse, ces rituels forts et les nombreuses prières qu'il répétait sans cesse était sa manière de canaliser ses pouvoirs.
Mais elle choisit de ne jamais lui offrir la vérité. Et encore aujourd'hui, Murmure se présente comme une humble prêtre de Tyra, qui n'est que le héraut d'une Déesse que trop oublient, et que ces bénédictions qu'on lui attribue personnellement ne sont que la manifestation de la grandeur de Tyra...

Nous sommes en l'an 17 : XI. Et Murmure envisage jour après jour d'entamer un pèlerinage. Monter vers le Nord, rencontrer les cultures strictes et guerrières de la frontière du royaume. Et pourquoi pas rencontrer d'autres peuples. La mort ne lui fait pas peur, elle est sa compagne, il se sent prêt à l'accepter, et ne crains pas la menace d'une confrontation avec d'autres cultures. Venia saura assurer la tenue du temple en son absence, il n’emmènera que quelques subalternes du temple, ceux assez fort pour survivre à des journées entières de marche, assez résiliant pour accepter la l'aventure et le danger. Armé de son énorme livre de cuir, dans lequel il consigne toute les belles choses qu'il découvre sur la vie, la mort et le monde, ainsi qu'une flopée de parchemins contenant prières et psaumes à Tyra, Murmure s'est juré de répandre la parole de sa déesse et de parcourir un bout du monde.                                

HRP:

• Les noms propres que tu as choisi ne « sonnent » pas très Péninsulaire, je trouve. Tu gagnerais à t’appeler seulement Murmure, par exemple ; ce serait certes peu commun, mais la graphie avec un ü n’a pas beaucoup de sens par rapport à l’univers. Il serait même plus logique que Murmure ne soit pas son nom de naissance, d’ailleurs, mais plus un patronyme qu’il ait adopté plus tard. Bon, ce n’est pas forcément bloquant. Le nom de famille est un peu dans le même genre. Les consonances dans la Péninsule sont beaucoup plus moyen-âgeuse.
  
• Ce que tu décris des Dissodia fait beaucoup plus penser à une petite famille seigneuriale vassale (tu dis qu’ils possèdent des terres à un moment, par exemple).
  
• Le deuxième paragraphe de ton histoire me laisse beaucoup plus dubitatif. Ta famille est pentienne dès le début et elle n’est « que » bourgeoise, dans la version courante au moins. D’une part, ils n’ont aucune raison de ne pas respecter un temple de Tyra, mais de plus, ils n’ont juste rien à dire sur sa présence a priori. Même en tant que seigneurs, vu qu’ils seront assez modeste, ils n’auront pas une marge de manœuvre énorme. Il faut bien garder en tête que la religion des Cinq est polythéiste : on vénère les cinq dieux (avec des affinités, potentiellement), pas en un exclusion des autres.
  
• Le nom de Harmoniae souffre du même travers que les autres, il ne s’insère pas beaucoup dans l’univers. Je ne pense pas qu’il soit utile qu’elle soit grande prêtresse par ailleurs ; une prêtresse bien établie dans la région suffit.
  
• Elle n’a aucune marge de manœuvre pour distribuer des terres, c’est le seigneur du coin qui gère ça. Du coup, elle doit composer avec ses nouveaux voisins.
  
• Quand tu écris :
  
  

  Citation :

  Avec le temps, une petite partie du bourg osait l'annoncer ; « Néera est bien la mère de tout, mais sa sœur, Tyra la Voilée, est celle que nous rencontrerons en dernier, nous lui devons respect et vénération ».

  
  C’est tout le principe d’une religion polythéiste. Personne en Péninsule n’ira dire que Tyra ne doit pas être respectée.
  
• Quand tu parles de la mise en scène de ton personnage :
  
  

  Citation :

  Une mise en scène grandiose composé de bougies et d'encens.

  
  Le feu reste l’attribut d’Othar, qui entretient une relation pour le moins complexe d’amour-haine avec Tyra. À mon sens, une utilisation du feu autrement que purement utilitaire (des torches pour y voir quelque chose, par exemple) est à proscrire. Alors, certes, ça demande de faire montre d’un peu d’imagination x). Dans un RP de Kata, j’explique que dans un Sanctuaire de Tyra de Thaar, le principal de l’éclairage de la salle principal provient de pierres fluorescentes vénères disposées au fond d’un petit bassin. C’est un exemple, je ne te demande pas de faire pareil, mais c’est pour te donner une idée de ce qui se fait.
  
• Quand tu mentionner le caractère « magique » de Murmüure :
  
  

  Citation :

  Lui seul avait été capable de survivre au traumatisme du décès de ses parents, et à la sombre période qu'était le voile. Car sa volonté était soutenue par une force qui échappait aux gens normaux. Harmoniae le savait, Murmüure était un magicien.

  
  Il n’y a pas vraiment de lien en vérité. Un mage possède une sensibilité particulière, au même titre qu’un peintre ou un musicien. Il a par ailleurs accès à des énergies qui échappent toute leur vie à d’autres. Mais ça n’aide pas à lutter contre la dépression.
  

Concernant les Noms a écrit:

Le père de famille devient Odulf. La mère devient Ida. La prêtresse (qui n'est plus Grande Prêtresse) est renommé Venia. Le nom de la famille de Murmure est changé en Windebald et son prénom d'origine Erard, ainsi, Murmure avec un seul U devient son « surnom » d'usage.

Concernant ses \"pouvoirs" a écrit:

Murmure pratique des « Rituels de Soulagement » ; Il écoute les complaintes et les souffrances de ses interlocuteurs, et par le biais d'une mise en place ritualisé (prières dialogues et apposition des mains) il peut soulager des mal-êtres psychologiques (fatigue, dépression légère, colère, deuil...), il s'agit d'un travail parfois long et nécessitant un suivi spirituel des personnes. On raconte dans quelques bourgs voisins qu'il aurait aussi agi sur le physique d'autrui, soignant des douleurs chroniques, et mêmes quelques blessures légères. Cela dit aucun témoin n'a jamais pu corroborer ces dires.

Concernant la famille a écrit:

Il y a de cela 27 ans, dans les Terres du Médian du royaume humain, naquit un enfant quelconque.  Non loin du bourg d'Orm-sur-Cerf, à flanc de montagne, vivait une petite famille vassale d'un Seigneur du comté. La culture du raisin et sa fermentation étant fort répandue dans les terre Hautvaloise, les Winebald menaient un train de vie que beaucoup auraient pu envier ; Des terres cultivables, la possibilité de payer quelques mains-d’œuvre pour effectuer le travail de la terre, une maison décente, et un commerce florissant grâce à la réputation des « Vin de Hautval ».

Concernant la vénération de Tyra a écrit:

Lorsqu'ils s'installèrent dans la contrée, les Winebald, Pentien avoués, vénéraient alors Néera comme la mère de tout, bien au-delà de tout les autres Dieux. Pourtant, non loin de leur nouvelle demeure, et sur leurs propre terres, se tenait un temple quelque peu particulier ; La rencontre se fit alors entre les Hommes & Femmes de ce culte, et le seigneur Winebald. Leur profond attrait pour la religion Pentienne et ses hommes et femmes de foi amena la famille Winebald à se rapprocher des leur nouveaux voisins, et lentement développer un amour nouveau pour la grande sœur de leur divinité favorite. C'est ainsi que commença une longue relation d'amitié entre Odulf, Ida, et la Prêtresse de Tyra, Venia.

Concernant les séances rituelles a écrit:

Certaines personnes venaient parfois quérir conseils et soins. Face à la souffrance de la vie, au deuil, à la maladie, à la tristesse... Murmure, écoutait leur histoire et accompagnait ses « patients ». Parfois, pour compléter ses séances, il créait, au sein du temple, des espaces de recueil ritualistiques ; Une mise en scène apaisante, dans la pénombre d'une salle emplie d'encens, accompagné de d'un duo de religieux, entonnant quelques litanies à la gloire de la Déesse. Et sous un voile immense se déroulait alors la séance. Il se dégageait alors de ces scènes, une atmosphère profondément salvatrice, douce et austère à la fois. Et le prêtre prodiguait alors ses soins.

Citation :

Non loin du bourg d'Orm-sur-Cerf, à flanc de montagne, vivait une petite famille vassale d'un Seigneur du comté.

Citation :

Le petit Dissodia vécu ainsi ses dix premières années de vie dans l'insouciance la plus totale.

Citation :

Elle l'accompagna tout au long de son deuil, et supervisa la gestion des terres en attendant que le jeune orphelin puisse s'y ateller.

Code:

[Métier] : Prêtre de Tyra

[Sexe] : Mâle

[Classe d'arme] : Magie

[Alignement] : Neutre bon