Elenweï Silmariel

Nom/Prénom : Silmariel Elenweï (Elenweï qui signifie l’Etoilée en Elfique)
Âge : 95ans (soit 19ans en humain)
Sexe : Féminin
Race : Elfe Sylvain

Particularité : Aucune

Alignement : Neutre Bon
Métier : Druidesse & Guérisseuse
Classe d'Arme : Magie

Équipement : Elenweï ne possède en fait que le strict minimum à sa survie. Etant druidesse, la jeune fille puise tout ce don elle a besoin dans la nature, en harmonie avec celle-ci. La jeune Elfe est habillée d’un ensemble vestimentaire composé et assemblé uniquement de matériaux qui se trouve en forêt, à savoir une tunique couvrant son corps, du cou à ses cuisses, faites en peau de biches, brodée avec des fils de lierre tressés. Une ceinture de lianes autour de la taille, ainsi que des sandales faites d’un assemblage artisanal de lianes et de feuilles. A cette ceinture sont attachés, deux bourses faites en peaux de biche également, contenant respectivement chacune de l’eau et des baies ainsi que des fruits ramassés en forêt, cadeaux de Mère Nature. Elenweï a toujours également, avec elle, un long bâton, équivalent à sa taille, vieille branche robuste d’arbre mort, qui lui sert à marcher essentiellement. La jeune Elfe est suivit, quoiqu’il arrive, d’un fidèle et dévoué compagnon, un chat noir de nuit, nommé Isildur, qui signifie : Serviteur de la nuit.

Description physique : Elenweï est une jeune Elfe au visage d’ange. De loin, elle dégage une aura puissante de pureté, de douceur, d’harmonie. En se rapprochant, l’on peut alors découvrir un physique caractéristique d’Elfe, doté d’une grande beauté. Une longue chevelure de fils d’or, soyeux aux délicates senteurs de fougères. Un regard envoûtant, composé de deux petits yeux bleus, tel le ciel d’un été ensoleillé, reflétant toute la malice de cette adolescente. Ainsi, dans ces yeux, on pourra y lire aisément toutes les émotions, les sentiments qui habitent l’adolescente, miroir de son âme. Un petit nez discret et charmant au milieu d’un visage aux lignes si pures et merveilleusement bien dessinées. On y perçoit ainsi encore sur celui-ci toute cette enfance et une innocence pleine de fraîcheur. Une bouche aux lèvres enivrantes, au goût des fraises des bois, tentation diabolique et invitation au baiser. De longues oreilles en pointe, signe de reconnaissance visuelle de son appartenance au peuple des Elfes. Son corps est fin, tout en longueur, svelte, gracieux. D’apparence si fragile et si peu musclé, Elenweï a, tout de même, une farouche aptitude à courir extrêmement vite. Sa silhouette est un enchantement pour le regard, une contemplation qui ne lasse jamais, surtout à la vue de sa poitrine menue mais agréable, de ces hanches dessinées de manière douce et de son fessier harmonieux. De longues jambes viennent compléter le tout, suivit de petits pieds exquis.

Description mentale : La jeune druidesse et guérisseuse est une jeune Elfe délicate, douce et attentionnée. Toujours à l’écoute de la nature, de son environnement, elle est en totale harmonie avec le monde qui l’entoure. Attentive aux éléments qui pourraient l’affecter, Elenweï sait être prévoyante, et douée d’un bon sens tout à son honneur. L’adolescente est de nature prudente, timide, solitaire, préférant vivre en osmose avec la nature qui la nourrit, la protège, que la ville bruyante, et synonyme de perdition pour les âmes tentées par l’avarice et l’opulence des biens et des marchandises de ces lieux. Néanmoins, Elenweï peut se montrer sans pitié face aux êtres qui décideraient de s’en prendre à son habitat, la forêt, source de son pouvoir, de sa vie. Ainsi, la druidesse pourra dévoiler toute sa hargne et sa ruse, ainsi que la malice qui sommeil en elle, pour se débarrasser, d’une manière ou d’une autre, des intrus à son monde. C’est une fille sympathique, bien que trop souvent peu bavarde, voir muette de longues périodes. Dotée d’une affection sans limites pour les personnes à qui elle aurait ouvert son cœur, Elenweï est une Elfe souriante, affectueuse, et surtout, pleine de tendresse. Elle possède néanmoins, ce que l’on pourrait qualifier de défaut, une naïveté et une innocence prononcée chez elle. Bien que merveilleusement ravissante, cette jeune Elfe, vivant la plupart du temps dans la solitude, ne recherche pas, comme les autres Elfes de son âge, la compagnie des hommes, ou d’un bel Elfe courageux. Non, Elenweï n’est pas de ceux là. La druidesse a son cœur tourné vers la nature, mais également vers son âme sœur, la belle Gwenhael. Passez donc votre chemin, Messieurs, Elenweï est déjà folle amoureuse.

Histoire : Laissez moi vous conter, l’histoire, ou du moins, le passé encore jeune, d’une jeune Elfe Sylvain, Druidesse et Guérisseuse, partie de rien. Notre histoire remonte à il y a peu de temps encore, alors que le monde était toujours aussi peu sur, et les temps incertains. Des rumeurs courraient ici et là, au gré des chemins et narrées par des aventuriers et voyageurs de passages, concernant la venue d’une guerre terrible, qui mettrait à feu et à sang notre monde si merveilleux.

Au cœur de la forêt d’Anaëh, refuge et sanctuaire pour Elfes, naissait, un beau jour de printemps, au cœur d’une maison, creusée naturellement dans les arbres géants de cette forêt, la petite Elenweï, qui signifie l’Etoilée. Baptisée par son père ainsi, Maeglin, en raison de son regard, dont il dira sans cesse, qu’il est le reflet d’une voûte céleste d’été. Première enfant de la famille Silmariel donc, faisant ainsi le bonheur d’un couple vivant d’un amour fort et puissant, en osmose au cœur d’une forêt protectrice, face au monde extérieur. Dès le début de sa vie qui se montrerait forte bien longue, comme tout Elfe qui se respecte, Elenweï reçue tout l’amour de ses parents qu’il était possible de recevoir.

Bientôt, la famille s’agrandit à nouveau, avec la naissance de Fënaro, sœur cadette d’Elenweï. La famille Silmariel comptait maintenant deux petites filles en son sein, faisant le bonheur et l’admiration des parents habités d’une joie permanente. Les deux petites filles grandirent ensemble, dans l’amour et le bonheur, au cœur de la forêt d’Anaëh, au sein de leur petit village, dissimulé aux yeux des étrangers et inconnus, les Elfes étant plutôt discrets. Pourtant, rien ne pouvait empêcher la curiosité grandissante, au fil des jours, des deux jeunes sœurs, jouant toujours plus loin du village, innocentes aux dangers qui pouvaient guetter.

C’est ainsi, quand été, alors qu’Elenweï et Fënaro se baignaient dans une rivière, proche de leur village, elles firent la connaissance de deux jeunes filles, une demi Elfe et une Humaine, sœurs également, Gwenhael et Kanah . Celles-ci, tout comme nos deux Elfes, jouaient souvent, dans l’orée de la forêt, sans savoir que plus loin, là bas, se trouvait un village d’Elfe, tout comme les Elfes ne se doutaient pas de la présence d’un village Humain dans une clairière, appelée Béregost. Au fil des baignades successives, tandis que l’insouciante, l’innocente Elenweï ne cessait de s’amuser dans l’eau, Fënaro elle, débusqua, un beau jour, un jeune humain du nom de Renfer, qui passait ses après midi, à contempler les Elfes se baignant dans l’eau. Un passe temps fort douteux, mais c’était sans compter l’esprit bagarreur de Fënaro, qui corrigeait volontiers le jeune homme imprudent. Née sur les bases d’une curiosité, d’une intrigue et de questionnement les une envers les autres, Elfes envers Humains, et vis versa, le petit groupe se forgea vite une amitié durable, bien au-delà des frontières de la race de chacune, de leurs origines. Les enfants ayant cette formidable aptitude à passer fit des réticences des adultes, le jeu passant avant tout les à priori qu’ils pourraient avoir vis-à-vis des étrangers, ceux qui ne sont pas comme eux.

Alors que le temps de l’insouciance, du jeu, des rires et des joies se prolongeait au fil des saisons, les filles grandirent très vite. Les Elfes évoluant bien plus rapidement que les Humains, bientôt, Elenweï et Fënaro furent à l’aube de prendre leurs vies en main. Aussi, par un après midi d’été, le groupe se réunit. Le temps des adieux était, hélas, trop vite arrivé. Avec une certaine tristesse, mélancolie, les quatre filles se promirent de ne jamais s’oublier, convenant, toutes ensembles, d’une date, dans quelques années, afin de se retrouver, ici, à cette rivière. Fënaro quitta la demeure familiale, prenant son indépendance, dans la plus grande discrétion, ne laissant qu’un mot pour sa soeur, partante pour une vie pleines d’aventures, tandis qu’Elenweï, attirée depuis toujours par la forêt qui l’entourait, quitta, à son tour, la maison de la famille Silmariel, errant quelques temps sur les chemins forestiers, à la recherche d’un futur et d’un avenir pour elle.

Un petit matin d’automne, Elenweï fut réveillée par un Elfe mystérieux, nommé Aldaron, signifiant dans la langue Elfique, Seigneur des Arbres, un nom tout trouvé pour un puissant et sage druide, de la forêt d’Anaëh. Vivant en ermite depuis fort longtemps, touché par la fragilité et l’insouciance de cette fille à la chevelure d’or, il proposa ainsi de la prendre sous son enseignement, voulant faire d’Elenweï, une druidesse et sa disciple. L’avenir et le destin de cette jeune Elfe au regard bleu océan se révélaient ainsi de lui-même pour elle. C’est donc, avec joie, respect et humilité que l’adolescente accepta, et devint l’apprentie d’Aldaron. L’enseignement commença très durement pour Elenweï, qui, bien qu’aimant la forêt, ne se doutait pas de tout son potentiel, son pouvoir. Ainsi, la jeune Elfe découvrit que la nature était vivante. Il lui faudrait demander sa permission avant de cueillir en son sein, et la remercier ensuite. Jamais couper de bois, jamais tuer une plante, le respect de chaque vie étant importante. Le Maître et son Apprentie vivaient dans le creux d’un arbre centenaire, aménagé en abri de fortune, composé du strict nécessaire pour la vie de druides, c'est-à-dire, justes deux lits composés de lichens, plumes, feuilles, et de baies et fruits pour se nourrir.

Les années passèrent vite, et chaque jour, l’harmonie et la symbiose entre Elenweï et la nature se faisaient plus forte, plus étroite. Ce qui affectait l’un, finissait par affecter l’autre, au point que l’Elfe et la Forêt ne firent plus qu’une. Aldaron entreprit d’apprendre à sa protégée la langue des druides, semblable au bruissement des feuilles sous un timide vent dans les branchages. Elenweï apprise également à communiquer avec les animaux. C’est ainsi, qu’un beau jour, alors que la jeune Druidesse ramassait des lianes au sol, pour se confectionner des vêtements, fit la connaissance d’un chat couleur nuit, magnifique créature sauvage. La jeune Druidesse essaya de l’apprivoiser doucement mais sûrement, et timidement, au fil du temps, les deux compères devinrent inséparables. L’animal fut baptisé Isildur par l’adolescente. Désormais, il veillait sur l’Elfe, la protégeant et l’alertant des dangers, partageant la vie de celle-ci. L’ermite continuant d’enseigner, oralement à son apprentie, tout son savoir sur les plantes, les remèdes, sa connaissance de la nature, du monde, de la forêt, et quelques sorts.

Un soir d’automne. L’ermite, Aldaron, conduit sa protégée dans un sanctuaire au cœur de la forêt. La cérémonie de son passage à l’âge adulte vient de débuter, sous la supervisassions d’autres druides. Face à ses pères, Elenweï invoqua la Nature et l’esprit de la Forêt, afin que son animal emblème vienne à elle. Ce fut une biche, malade et blessée qui se présenta doucement à elle, acceptant sa mort en offrande pour la jeune Druidesse. L’animal mourut dans les bras d’Elenweï. Son sacrifice n’était pas vain. Tout de l’animal servirait à la jeune Elfe. De sa peau, elle fera ses vêtements, de sa viande elle se nourrira, de ses os, elle consolidera son creux d’arbre. L’adolescente devenue Druidesse et Guérisseuse remerciera un long moment les esprits. Ce soir là, après cette cérémonie, après qu’Elenweï soit devenue une adulte, une Druidesse Guérisseuse, Aldaron lui fit ses adieux. Sa formation était achevée, désormais, la jeune fille devrait avancer d’elle-même, seule. Elle rentra donc seule à son arbre, accompagnée de son fidèle compagnon, Isildur.

Les jours passaient et se ressemblaient pour la jeune Elenweï et Isildur, au sein de cette forêt protectrice et nourricière. Ses pensées, sans cesse tournées pour sa famille, sa sœur, trop longtemps partie. Au milieu de Mère Nature, la jeune Elfe prenait conscience de sa solitude. Mais, au petit matin du jour le plus lumineux de la saison du soleil, tandis que notre jeune demoiselle aux cheveux si soyeux était occupée à ramasser quelques fruits, celle-ci fut vite interrompue par l’arrivée soudaine d’un humain barbu, à l’aspect plus que repoussant, armée jusqu’aux dents. Dague en main, regard qui trahissait la perversité de ces intentions, ce marauder avançait à la rencontre de cette jeune Elfe désarmés, sans défense. Mais, la situation semblant désespérée pour la Druidesse, une flèche venue de nulle part alla se planter directement dans le crâne de l’individu, dans un sifflement. Le brigand s’écroula au sol, tandis, que sortant des fougères, apparut une merveilleuse jeune femme, au corps sculpté avec sagesse, au doux visage resplendissant. Il fallut quelques minutes à Elenweï pour se remettre de sa rencontre avec cet homme aux mauvaises intentions, et surtout, avant de reconnaître là, son amie d’enfance, la demi elfe, la radieuse Gwenhael. Cadeau du destin, ou peut être heureux hasard, toujours est il que la jeune Elfe était plus que ravie de ces retrouvailles inattendues. Aussi, en bonne hôte, et reconnaissante de lui avoir sauvée la vie, Elenweï proposa d’héberger son amie, durant le temps qu’elle le souhaiterait.

Doucement, mais sûrement, quelque chose changea entre les deux jeunes filles. Elenweï ne voyait plus comme avant son amie. Sentiment nouveau pour elle, cœur remplit d’émotions toujours plus fortes lorsqu’elle voyait Gwenhael. Amour naissant secrètement chez la jeune Elfe envers son amie d’enfance. Durant une nuit, les questions, les doutes et la peur de la Druidesse trouvèrent une réponse, qui allait prendre une forme dont elle ne s’attendait pas. Tandis que Gwenhael, plus belle que jamais, semblait plongée dans un sommeil profond et agité, sûrement en plein cauchemar, Elenweï vint se blottir contre elle, la rassurant de sa présence. Mais le réveil fut brutal et, ainsi, les yeux apeurés de la jeune Guerrière vinrent se plonger dans l’envoûtant regard et apaisant de la Guérisseuse. Moment de douceur, d’harmonie, dans ce creux d’arbre, loin de tous, à l’abri du monde, entre deux jeunes filles complices. Avec une tendresse infinie, une sensualité enivrante, cette nuit là, les deux amies échangèrent leur premier baiser.

La complicité entre Elenweï et Gwenhael grandissait chaque jour entre elles. C’est donc tout naturellement, que l’intrépide Guerrière, proposa à son amie, même devenue plus que cela en vérité, de l’emmener avec elle, pour découvrir le monde, sous sa protection. Ce n’était pas de guetter de cœur, l’idée de s’éloigner de sa forêt protectrice ne l’enchantant guère, envahit de peurs, mais, être aux côtés de l’être tant aimé de son cœur valait bien de tenter l’aventure. Ainsi, Elenweï accepta de suivre Gwenhael, accompagné d’Isildur, sur les chemins de la destinée…

[PS : Renfer, Gwenhael, Kanah, Fënaro sont des personnages joués. Cette fiche est faites en accord avec eux.]

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Comment trouves-tu le forum ? : Géniale, j’adore la présentation, le thème aussi. Les joueurs semblent super.
Comment as-tu connu le forum ? : Grâce à une amie.

bon bah comme j'avais déja tout lu et examinée...

Fiche validée!

Viens jeter un coup d'œil à ces deux liens :
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Parlons RP ~ au cas ou tu ne saurais pas par ou commencer !

Bienvenue chère druide^^ J'aime beaucoup ton perso^^

Au plaisir de se recontrer en rp :D

Merci à tout le monde, et merci à mon parrain Eldis Gil-Assan pour son temps et ses explications, tout comme à Révérie. Au plaisir de vous rencontrez en RP