Kanah Claringis [Pirate]

Nom/Prénom :Claringis Kanah
Âge : 22 ans
Sexe : féminin
Race : humaine
Particularité : sa couleur de cheveux, rousse intense, peu commune.

Alignement : neutre, bon, certainement à cause du fait qu’elle aime aider les plus pauvres qu’elle…
Métier : Pirate et artiste (cracheuse de feu)
Classe d'Arme : A distance

Équipement : Kanah, de part ses revenus, n’a pas eu les moyens de se procurer une armure digne de ce nom. Ainsi elle ne porte que de simples vêtements, rien de plus. Elle a cependant une arme : une arbalète avec les carreaux allant avec, une longue vue, également. Enfin, lorsqu’elle est sur terre, il arrive à Kanah de se produire en tant que cracheuse de feu. Elle a donc le nécessaire pour le faire.

Description physique :
Par rapport à d’autres, Kanah surprendra par ses tenues extravagantes. Et avant de voir la femme, ce sont les vêtements qui attirent l’attention. Des bottes en cuir frappent fièrement le sol, avec des éperons aux talons. Kanah ne monte pas à cheval, mais cela donne un style qu’elle affectionne. Tantôt elle met d’épaisses jupes taillées dans des tissus trouvés ça et là. S’il s’agit de tissus de seconde main pour la plupart, certaines prises ont pu lui garantir une ou deux tenues de qualité. Mais, parfois, l’humaine adopte ces bas que mettent les hommes, fort pratique pour se mouvoir, surtout lorsque l’on se trouve en mer. Des tissus et des foulards viennent régulièrement entourés sa taille. Ensuite, rien de mieux que des bustiers, même si elle avoue porter de temps à autres des corsets, désagréables, mais attirant plus facilement l’œil, sur lesquels sont cousus des manches bouffantes. De temps à autres, elle aime à entourer ses épaules nues d’une cape longue cape flottant derrière elle. Pour finir, notre pirate aime à porter d’imposants chapeaux, tous aussi extravagants les uns que les autres.

Mais qui a-t-il sous ce chapeau? Une jeune femme, de taille moyenne (aux environs d'un mètre soixante), peu épaisse. On la croirait frêle, et son teint de porcelaine donne l’impression qu’il ne vaut mieux pas l’éprouver à moins de vouloir la faire s’évanouir.
Kanah n’est pas épaisse, mais dispose de certains muscles. Tirer sur les cordes pour maîtriser la grand voile dans son enfance lui muscla les bras. Courir le long des chemins lui muscla les jambes, et la ceinture abdominale.
Malgré sa minceur, Kanah est pourvue de traits féminins, à n’en point douter. Sa taille est marquée, et créer une ligne onduleuse. Sa poitrine est mince, mais non moins généreuse. Si la pirate est loin d’être de ces femmes aux formes voluptueuses, elle se défend.

Elle possède un visage ovale, avec des joues légèrement creuses. Une épaisse tignasse légèrement crépue encadre son visage pour descendre jusqu’au milieu du dos. Chevelure de couleur rousse, chatoyante à souhait. Entre les mèches rouges une pairs d’yeux ambre. Son regard est tantôt espiègle, tantôt sombre, tel celui d’un prédateur en chasse. Deux traits noirs ainsi que de longs cils finissent d’accentuer son regard.
Puis débute le nez. Un nez fin, peut être un peu long, légèrement pointu à son extrémité. Sous son nez, des lèvres rouges, pleines, qui s’étirent souvent pour former tout un panel de sourires différents. Sourire joyeux, coquin, amusé… ironique, narquois, méprisant…

Si certains trouvent la jeune femme belle, alors il s’agit d’une beauté sauvage. Son allure le confirme. Les gestes de Kanah sont souvent rapides et agiles, et on pourra aisément lui trouver un côté félin… Quand elle ne marche pas d’un pas lourd, ne se met pas à bailler sans mettre la main devant la bouche, ou encore lorsqu’elle ne s’avachit pas…

Description mentale :

On ne pourrait résumer Kanah en quelques mots. La jeune femme est comme qui dirait, bien compliquée.

Commençons par le plus visible, le plus évident. Kanah fait partie de ce genre de personnes qui extériorisent tout. Elle vit avec ses tripes, exclusivement. Ainsi la jeune femme sera impulsive, et beaucoup remarqueront à quel point il est facile de la provoquer. Dans ces moments là, à l’image de ses yeux et de sa chevelure, Kanah a un tempérament de feu. Et seules des personnes en qui elle voue un profond respect et qu’elle estime sages seront capables de l’arrêter. Dans le cas contraire, Miss Claringis s’arrête d’elle-même, lorsqu’elle se sent calmée. Pour autant on ne peut pas dire que Kanah est de nature colérique. Elle ne maîtrise plus ses sentiments face à ce qu’elle estime être de la bêtise, ou face à des situations injustes, plus particulièrement envers les pauvres.

Ce que l’on a le plus souvent l’habitude de voir, c’est une Kanah heureuse de vivre, goûtant la vie à pleines dents, parfois même un peu trop, et devenant alors imprudente. Le goût du risque, Kanah l’a toujours eu. Ce fut d’ailleurs pour cette raison que sa sœur de cœur, Gwenhael, a développé un côté protecteur à son égard. Si elle créait parfois des frayeurs à ses proches, elle est néanmoins réputée pour apporter la bonne humeur, et sait remotiver les troupes. C’est d’ailleurs peut être l’aspect de son caractère dont elle est le plus fier.

Très visible également est l’extravagance de Kanah. L’extravagance dans l’habillement mais également dans la manière d’être. Extravagante et excentrique, extravertie. Kanah parle fort, et quand de sa bouche ne sort qu’un murmure, alors soyez lui toute ouïe : ce qu’elle a à vous dire est d’une extrême importance, si ce n’est pas grave. Elle rit bruyamment, d’un rire strident qui a cassé bien des oreilles… Kanah aime les petits plaisirs de la vie, simples et sans prétention. C’est une bonne vivante de nature, mais pas vraiment discrète.

Cependant elle sait être quelqu’un de confiance, et, contrairement à ce qu’elle pourrait laisser paraître, sait garder les secrets. C’est une oreille capable d’écouter.
Une râleuse aussi, surtout lorsqu’il s’agit de se lever de bonne heure, avant l’aube.
Ce que l’on a un peu plus de mal à deviner, c’est qu’elle fait preuve d’une certaine fragilité. A l’origine, si Kanah part de ses terres natales, au-delà de l’envie de voir d’autres horizons, ce fut l’envie de fuir qui la poussa à tout quitter : famille, amis… Fuir un passé qui au final s’était avéré trop douloureux… Envie de tout oublier également, de reprendre sa vie à zéro. Mais on ne peut jamais tout effacer. Et Kanah conserve certaines blessures, qu’elle ne parvient pas à soigner…

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Comment trouves-tu le forum ? : Très bien ! Magnifique design, l’ambiance à l’air chaleureuse et les joueurs sympathiques !
Comment as-tu connu le forum ? : Par From Hell. Après quoi j’ai passé le mot aux quatres autres compères^^

Je ne poste que la première partie de la fiche, n’étant pas sûre de finir l’histoire ce soir. Désolée!

Histoire :

A Meca on s’étonnera souvent de savoir que la pirate crachant du feu est originaire de l’autre bout du monde, et ne descend pas d’une famille de pirates. La question que l’on se pose alors de savoir comment mademoiselle Claringis a-t-elle bien pu en arriver jusque là ?

CHAPITRE 1 : Prélude

Pour Kanah, tout commence il y a 22 ans, dans un petit village humain pas bien loin de la forêt Anaëh. Fille d’un artisan, et d’une femme qu’elle ne connue point. Effectivement, Madame Claringis accoucha alors qu’elle et son mari étaient en route vers le lac d’Uraal, afin de visiter le frère de ce dernier. Sans aucun médecin, sans aucun soin, elle expira après que son enfant eut poussé son premier cri. Hector Claringis éleva sa fille seul, et l’aima, comme il pouvait, pauvre artisan qu’il était. Et comme si à l’époque sa bonté était à l’image de sa santé encore très bonne, il avait recueilli une demi-elfe après la mort de ses parents, répondant au nom de Gwenhael, et éleva les deux filles comme deux sœurs.
Au sein du village, Gwenhael n’était pas toujours très bien acceptée. Elfe ou humaine, mais pas les deux, telle devait être la réalité dans l’esprit des gens. Qu’importe, Kanah l’insouciante, Kanah la gaie passait outre, et encourageait sa sœur à en faire autant. Ce que pouvait penser les gens autour, après tout, n’avait pas beaucoup d’importance.

Les Claringis vivaient pauvrement. Les profits qu’Hector pouvait tirer de la vente de ses produits étaient aléatoires, et la famille ne mangeait pas toujours à sa faim.
Durant la fin de l’hiver et le printemps, principalement, Kanah allait passer des semaines auprès de son oncle pêcheur. Elle partait à ses côtés sur le lac d’Uraal, et apprenait à pêcher, puis, au fil des ans, à naviguer sur l’eau douce. Dès lors, le rêve le plus fou de la jeune fille était de naviguer en haute mer. Un rêve qui faisait bien souvent rire son père, qui lui répondait alors qu’elle serait à jamais attacher au village qui l’avait vu naître. Hector, au fil des années, se laissait aller. Ses deux filles grandissaient, et étaient parfois difficiles à gérer. Lui, vieillissait, et travaillait de plus en plus dur. Ses troubles, ses craintes et ses peines se trouvaient de plus en plus régulièrement noyées dans l’alcool. Il devenait alors aigri, et se battait souvent.

Kanah, en compagnie de sa sœur, sortait souvent durant la journée, pour effacer cette peine parfois dure à assumer. Les deux sœurs aimaient à faire des escapades en forêt, car dans la forêt, disait-on, des elfes s’étaient établis. Ce fut dans ce contexte qu’elles rencontrèrent un jour, Elenweï et Fënàro deux sœurs elfes. Les quatre filles se lièrent d’amitié, et se retrouvaient aussi souvent que possible. Sauf lorsque Kanah partait sur le bateau de son oncle.
L’été principalement, les deux elfes aimaient à se baigner dans des ruisseaux, Parfois, Kanah et Gwen les accompagnaient. Ce fut par une après-midi ensoleillée qu’elles se rendirent compte qu’un garçon épiait régulièrement les deux elfes : Renfer, un garçon du village avec qui Kanah se disputait souvent. Autant dire que la nouvelle découverte de l’espion n’arrangea pas les choses. Durant toutes les années passées avec son groupe d’amis, Kanah passait son temps à se chamailler avec le jeune garçon. Ce n’était pas qu’elle ne l’aimait pas, mais la jeune fille était certainement trop fière pour avouer son amitié à ce garçon certes attachant, mais ô combien détestable, et qui la mettait souvent hors d’elle.

Le temps passait et Kanah devenait une jeune fille. L’ambiance familiale se dégradait de plus en plus, renforçant l’envie de partir de la jeune fille. Habitée qui plus est par cette envie de voguer sur les océans.
Un soir tout changea. Kanah rentrait de semaines de pêche auprès de son oncle. Chez elle, son père ne parlait plus. Gwenhael, quand à elle, ne semblait pas du tout dans son assiette. L’ambiance glaciale était palpable, et, paradoxalement, Sa panse était bien remplie, bien plus qu’à l’ordinaire. Mais avec quel argent avait-il pu obtenir tout ces mets ?
La vérité, la jeune humaine l’apprit plus tard, dans la soirée. Ce soir là, Gwen était venue la rejoindre dans sa chambre. Et là, elle lui raconta tout ce qui s’était passé, une sale histoire, qui lui avait donné la nausée. L’argent avait été obtenu grâce à la vente du corps de Gwen, pour une nuit. De la tristesse mélangée à de la haine avait alors habitée Kanah, mais surtout, résidait en elle de l’incompréhension. Qu’est-ce qui avait bien pu pousser son père à vendre celle qu’il considérait comme sa fille ?
C’en était bien plus que la jeune humaine aurait pu supporter. Et lorsque sa sœur l’invita à s’enfuir avec elle, Kanah n’hésita pas une seconde, à abandonner son père, sa vie ici. Mais quand était-il de leurs amis ? Eux, Kanah n’était pas prête à les abandonner pour toujours. C’était grâce à eux que, jusque là, elle était toujours parvenue à garder le sourire. Les deux sœurs se mirent finalement d’accord. Elles décidèrent avec leurs amis que, dans quelques années, tous se retrouveraient…

CHAPITRE 2 : Les artistes, la cracheuse de feu et le vieux pirate

La première question fut de savoir où aller. Kanah voulait fuir le nord, partir plus dans le sud-ouest, le plus loin possible de son village d’antan. Et, si possible, se rapprocher un peu plus prés de la mer. Sur la route, les deux sœurs commençaient déjà à établir des projets. Kanah, elle, voulait faire partie de l’équipage d’un bateau, que ce soit en tant que mousse, ou quoi que ce soit d’autre. Même un poste de galérien lui aurait convenu. Tout ce qu’elle désirait était de naviguer sur l’océan. Mais les deux sœurs se rendirent vite compte qu’elles n’avaient pas les mêmes envies. Bien plus urgent, elles étaient sans argent, et le stock de nourriture au fil des jours de marche s’amenuisait dangereusement. Si elles volèrent durant quelques temps, elles convinrent que cela ne pourrait durer éternellement. Il leur fallait une source de revenus…

Les premières semaines suivant la fuite furent particulièrement éprouvantes, au point que Kanah regrettait presque ce qu’elle avait fait. On ne voulait d’elle nulle part, que ce soit dans des fermes ou dans la garnison locale. Même mendier ne lui rapportait rien, ou si peu! Kanah perdait espoir, et à cela s’ajoutait le sentiment d’être inutile et rejetée. Alors elle continuait à voler, éprouvant de moins en moins de culpabilité à piller, jusqu’à prendre un plaisir malsain à voler les pauvres. Seulement cela ne la comblait pas assez.

Un jour, tout changea. Les deux sœurs se trouvaient depuis quelques heures dans une petite ville lorsqu’elles firent la rencontre d’un petit groupe de saltimbanques itinérants. Kanah discuta avec l’un d’eux, et finit par sympathiser. Elle finit par apprendre que depuis quelques semaines déjà l’un de leurs cracheurs de feu avait quitté la troupe pour tracer sa route seul de son côté. Au bout de quelques heures de discussion avec elle, la petite troupe finit par l’engager. Soulagée d’avoir enfin un métier digne de ce nom, elle était néanmoins peinée à l’idée de quitter sa sœur Gwen, qui n’était pas décidée à continuer la route à leurs côtés, préférant ce que le fait de devenir guerrière pourrait lui apporter dans sa vie. Les adieux furent emplis d’émotions, peut être même brisants, Kanah pleurant comme elle l’avait rarement fait. Mais ainsi allait la vie, et désormais tout ce jouait ailleurs pour la jeune humaine.

Si les premiers temps séparée de celle qui avait toujours été là pour elles ne furent pas évidents –ajoutons à cela un l’apprentissage exigeant de cracher du feu sans se cramer soit même- Kanah arrivait à relativiser. Les membres de la troupe, tous d’âges différents, étaient sympathiques et chaleureux, et enfin la jeune fille, pourtant loin des siens avait l’impression de retrouver une vraie famille. Elle passa de longs mois à leurs côtés, apprit son métier jusqu’au jour où elle se produisit pour la première fois.

Il y a de ces moments intenses que l’on n’oubliera jamais. Cette première fois fit partie de ces moments décrits, pour Kanah. A jamais gravé dans sa mémoire, les temps de la préparation, de l’enfilage du costume, du maquillage. Les minutes précédent l’entrée, durant lesquels on regarde les autres réussir leur tour. Cette boule au ventre qui ne veut pas disparaître, le cœur qui bat, qui palpite, la respiration qui s’accélère. Et puis arriva le moment où elle apparut sous des applaudissements, et pour la première fois, elle cracha du feu, se martelant sans cesse dans sa tête ses mots *Si je me loupe, je crame, si je me loupe, je crame*. Le tour qui s’acheva finalement sous un tonnerre d’applaudissements. Et tout de suite, cette envie de recommencer.

Malgré sa réussite dans ce domaine, Kanah voulait toujours parcourir la mer. Ainsi, alors que, se trouvant à Diantra, la troupe cherchait une nouvelle destination, Kanah insista pour que le prochain lieu dans lequel ils se produiraient soit Ydril, la ville portuaire. Devant tant d’insistance, on lui demanda ce qui la poussait à vouloir allez là-bas. Ce fut à se moment là qu’elle leur avoua ses projets de trouver un travail sur un bateau. Les réactions furent houleuses, et, à contrecœur, on accepta son choix, déçus de perdre une artiste en herbe.

Après leur dernière représentation à Ydril, Kanah fut de nouveau seule. Elle en profita pour s’acheter de nouveaux vêtements, puis commença à écumer les bateaux sur le port. Là encore elle connu une nouvelle période de déconvenues. Puis un jour, elle rencontra l’homme qui donna un sens nouveau à sa vie. Il s’agissait d’un vieil homme, gringalet, ridé, et borgne, répondant au nom de Kalanshnaï. La première fois qu’il la vit, Kalanshnaï s’était gentiment moqué de la jeune femme, mais avait salué sa détermination débordante. Très vite, les deux personnes se trouvèrent des traits communs, et ce même goût pour la mer. Un beau jour, en plein milieu de la discussion, Kalanshnaï aborda le sujet de la piraterie. « Qu’toi t’es faite pour ça ! » lui disait-il. Après réflexion, le vieillard devint le mentor de la plus jeune, et l’embarqua pour Meca.

CHAPITRE 3 : « Matelot navigueuh sur les flots ! »

Heureusement que Kalanshnaï était là. Sans lui une jeune femme, n’ayant jamais prit la mer ni tenu une arme n’aurait pas pu espérer ne serait-ce que monter quelques minutes à bord d’un bateau pirate. Mais le vieillard avait comme qui dirait des relations dans le métier. Il avait été second d’un capitaine, mais restait à terre depuis qu’il avait sérieusement commencer à se faire des vieux os. Depuis, il avait quand même gardé contact. Cependant, le vieux pirate n’était pas encore assez faible, et entraîna la jeune femme de manière intensive au tir. Il parvint enfin à la faire engager sur son premier bateau « La Nymphe Bleue ». Premier embarquement, premiers assauts, premiers pillages… La belle vie en somme.

L’île de Meca semblait être une utopie surgie de nulle part. Ici, il n’y avait pas de riches, il n’y avait pas de pauvres. Tous étaient égaux. Et, de peu à peu, Kanah appréciait un peu plus les journées qui commençaient. La mer était son plus grand amour, le rhum son meilleur ami. Elle était devenue bonne vivante, collectionnait les beuveries, les bagarres et quelques amants. Et la vie semblait reprendre enfin ses droits, mais jusqu’à combien de temps ?

Lorsqu’elle se trouvait sur terre, Kanah reprenait de temps en temps sa profession de cracheuse de feu. Et, à l’abri des regards, elle fixait l’horizon, le cœur parfois lourd à la pensée des gens qu’elle avait laissé. Qu’était-il advenu de son père ? Avait-il tenté de retrouver ses filles ? Et qu’était-il advenu de ses amis ? L’heure des retrouvailles approchait. Seraient-ils présents ?
En tout cas, Kanah, elle, serait là…

[To be continued… in rp]

[Elenweï, Gwenhael, Renfer, Fënaro sont des personnages joués. Cette fiche est faites en accord avec eux.]

Salute! ^^

Bon j'ai lu ta fiche, et j'ai juste une petite remarque : tu n'as mis aucune particularité pour ton personnage. Quelque chose doit bien la différencier des autres non? Un tatouage, ou autre chose dans son caractère qui la démarque des autres.

Sinon, tout le reste est bon pour moi!

Essaie de lui trouver une particularité et ce sera bon!

Au plaisir de te lire, et qui sait de rp avec toi! Wink