Possessions & Équipements : N’ayant pas pour ambition de m’enraciner bêtement quelque part, je veille à ne point m’encombrer inutilement. Je ne possède donc qu’un simple sac de voyage contenant deux tenues de rechange, quelques vivres, un peu d’alcool (pour me tenir compagnie lorsqu’il fait froid), une dague et une bourse. Voilà tout.
Apparence :
Taille :1 m 60, environ.
Couleur des yeux : Marrons
Alyah ne se distingue ni par sa taille, ni par sa corpulence, qui sont toutes deux plutôt moyennes pour une femme dont l'âge se situe bien loin du temps de l'insouciance. L'on peut toutefois noter son port altier, sa démarche assurée qui démontrent une certaine fierté jamais entièrement dissimulée.
Son visage anguleux, entouré par une épaisse chevelure sombre, affiche déjà quelques petites ridules encore discrètes, mais pourtant bien présentes. Son petit nez délicatement retroussé, ses lèvres pleines, lui donneraient presque un air enfantin si son regard empreint de curiosité n'était point aussi entaché par ses sombres expériences passées. L'on y lirait presque une certaine mélancolie, du moins, si l'on ne prêtait point attention à ce sourire légèrement espiègle et effacé, mais néanmoins sincère, qu'elle affiche constamment.
Les plus observateurs remarqueront probablement la multitude de petites cicatrices fines et claires sur ses bras, témoins d'un passé de souffrance et de maltraitances qui marqueront à jamais sa peau basanée. Des stigmates de ce genre, Alyah en arborent énormément. Les plus profondes et les plus imposantes d'entre-elles se trouvent sur son dos, marques laissées par la morsure agressive du fouet de son bourreau. Néanmoins, celles-ci resteront toujours dissimulées sous ses vêtements, de même que ses nombreux tatouages réalisés pour elle-même qu'elle ne tient certainement pas à partager.
Personnalité : Pour réellement comprendre le personnage d'Alyah il faut savoir faire la différence entre l'être et le paraître sans craindre les paradoxes. C'est une menteuse, une dissimulatrice qui change de nom à chaque étape de son voyage, certes. Néanmoins, puisqu'il n'y a rien de plus risqué et de plus épuisant que de jouer sans cesse un rôle différent, chaque parcelle de sa personnalité reste sensiblement la même et ce, qu'importe l'endroit où elle se trouve.
Malgré son âge, Alyah reste une enfant comme si elle cherchait à regagner son insouciance autrefois si brutalement arrachée. Ainsi, elle se montre facilement curieuse, naturelle et surtout extrêmement franche dans ses propos. L’on peut dire qu’elle dit ce qu’elle pense sans s’encombrer du moindre filtre.
Pour autant, elle est loin d’être naïve, bien au contraire. La vie lui a enseigné la méfiance, ce dont elle use parfois à outrance. Quand bien même se montrera-t-elle aimable et amicale à votre égard, la jeune femme ne vous accordera jamais sa confiance… A moins que celle-ci vous juge exceptionnelle, ce qui reste extrêmement délicat. Quelque part, l’on peut estimer qu’Alyah est une trouillarde. Sa plus grande crainte est de perdre sa liberté, cette indépendance étrange et idéalisée qui la pousse systématiquement à fuir la routine et les habitudes. L’amitié pour elle est une porte ouverte à la trahison et à la douleur. Aussi, chaque fois que celle-ci se sentira bien en présence d’un autre individu, elle le fuira le plus loin possible simplement pour mieux se protéger de ce dernier( même s’il ne lui veut aucun mal).
C’est aussi pour cela que la jeune femme veille à ne point se montrer trop entreprenante et préfère garder une certaine réserve. Elle prend ainsi le temps de longuement observer les uns et les autres avant de se montrer plus amicale, simplement pour écarter tout danger évident. Aussi, il est fort possible qu’Alyah vous paraisse désagréable ou simplement froide de prime abord. Si elle ne vous aime pas, cela se verra immédiatement dans son regard. Dissimuler ses émotions, même si elle y travaille, lui est pour l’heure totalement impossible.
Si elle parle peu d'elle-même, c’est simplement pour éviter de vous mentir et de devoir se souvenir d'une histoire qu'elle oubliera rapidement une fois sortie de votre vie pour de bon. Ne vous méprenez pas, elle partira forcément. Son attrait pour la liberté, sa curiosité exacerbée qui la rend avide de connaissances et le sentiment de bien-être que cela lui procure, sont tels qu’ils la poussent à se déplacer sans cesse afin de tout recommencer ailleurs. La vie est courte, extrêmement courte, Alyah en a parfaitement conscience. Aussi, veille-t-elle à profiter de chaque instant à sa manière en essayant d’en apprendre un maximum sur ce monde qui l’a vu naître. Ainsi, vous comprendrez qu’outre sa méfiance et ses inquiétudes, créer des liens, des habitudes, l'effraient plus que tout en ce monde. Pour elle, tout cela n'est qu'entraves et barrières à cette existence étrange qu'elle s'efforce de vivre, toujours au jour le jour. Alyah s’efforce de ne jamais penser à l’avenir qu’elle juge trop incertain. Ce n'est pas une femme dotée de grandes ambitions. Elle ne rêve pas à l'amour, se fiche cordialement de toutes les richesses matérielles de ce monde car, pour cette femme-là, seules la connaissance et la liberté ont de la valeur à ses yeux.
Paradoxalement, la seule "personne" qui mérite son amitié est son chien, Léïos qui ne la quitte jamais. En réalité, pour celui qui saura observer, le canidé est le reflet de la personnalité de sa maîtresse. Il reste toujours à distance des autres, se contentant d'observer de loin sans jamais s'approcher sauf si celle-ci se trouve face à un danger immédiat.
Capacités magiques : Nada
Histoire
Tu sais, il y a bien des choses chez moi que je préfère garder secrètes. Mon histoire, la vraie, est probablement la plus importante d'entre elles. Je n'en ai pas vraiment honte, mais disons qu'il y a certains détails que je préférerais simplement oublier pour de bon… Faire comme si ces événements n'avaient jamais eu lieu… Tu vois, j'estime que pour avancer dans la vie que je me suis choisie, mieux vaut les passer sous silence. Et puis, pour être franche, c'est bien plus simple pour moi d'inventer une histoire chaque semaine que de raconter la mienne… C'est moins douloureux aussi… Oh, crois-moi, je sais très bien ce que tu penses : mon histoire ne peut pas être si terrible. Ce n'est peut-être qu'un autre de mes mensonges ou une excuse que je me donne pour justifier mes agissements. Mais, crois-le ou non : l'or et le pouvoir ne m'ont jamais intéressés et ils ne m'intéresseront jamais. Tout ce que je veux, vois-tu : c'est vivre. Vivre en paix, en sécurité… Mais, surtout, vivre libre, pour moi-même, sans subir le joug ou la volonté de qui-que ce soit…
Mais puisque tu tiens tant à tout savoir, je vais te raconter mon histoire, la vraie. Celle que je veille à ne jamais me remémorer afin de continuer à avancer la tête haute… Après cela, je la rangerai de nouveau dans un recoin sombre de mon esprit afin de me libérer, encore, de tout ce poids insoutenable… Et, pourtant, malgré tout : inoubliable…
Si tu veux tout savoir sur moi, tu vas être déçu. Il me manque quelques détails, tu vois. Je ne connais pas mon vrai nom, par exemple. Celui que l'on m'a donné à ma naissance. Je ne sais même pas si l'on m'en a donné un… En réalité, je ne sais strictement rien de mes origines. Je n'ai aucune idée de mon lieu de naissance, de qui pouvaient bien être mes parents. J'ai peut-être quelques vagues souvenirs du visage d'une femme à la peau sombre, plus sombre que la mienne, mais je ne saurais dire s'il s'agissait de ma mère ou non. Je sais seulement que j'ai été recueillie, lorsque je devais avoir deux ou trois ans, par un vieux tanneur du nom d'Aardin. C'était un vieil homme bourru, souvent sévère mais toujours juste. Il a veillé sur moi durant les toutes premières années de ma vie, jusqu'à ce qu'il ne décède brutalement en me laissant seule et abandonnée à la dure réalité de la vie. .. Si seulement il avait vécu un peu plus longtemps…
Oui, si seulement…
Après cela, je n'ai connu que les rues, celles de Thaar. Je me souviens de la faim, de la crasse, de cette peur viscérale qui venait m'étreindre à toute heure du jour comme de la nuit… Cette solitude, si profonde, qui me rongeait alors que je n'étais qu'une pauvre petite fille naïve et innocente… Mais, tu vois… Cette innocence, je n'ai pas pu la préserver bien longtemps. Aucun enfant des rues ne le pourrait d'ailleurs. Il y a tant de mauvaises gens en ce monde…
Alors que j'étais totalement perdue, il m'a trouvé : le Charognard. Il avait un nom, bien-sûr, mais j'aime mieux le garder secret. C'est comme une sorte de vengeance, une de plus, comme si en plus de la vie, je lui retirais son identité… Mais j'y reviendrai plus tard. Au début, je l'ai vu comme mon sauveur. Comme une lumière douce et chaleureuse qui venait enfin illuminer ma bien sombre existence. Il m'a offert le gîte, le couvert et surtout ce semblant de sécurité auquel j'aspirais alors… Mais, malgré mon jeune âge, je réalisais bien vite que je me trompais lourdement. "Rien n'est gratuit en ce monde" : c'était la première leçon que le Charognard m'a enseignée. Ensuite, comme il me fallait gagner mon pain et le droit de jouir de ma paillasse, il m'apprit à dérober les bourses des passants. Je devais lui en ramener cinq, chaque soir, sans quoi ce salopard me tailladait la chair afin de "marquer mon échec" avant de me priver de repas. La plupart de mes cicatrices datent de cette époque-là, j'en ai quelques-unes, comme tu peux le voir. Je dû donc rapidement apprendre à me montrer plus maligne et plus efficace… Évidemment, j'aurais pu m'enfuir, j’y ai souvent songé. Mais j'avais tellement peur de me retrouver seule, à la merci des gens de la rue que je ne pus m’y résoudre… J'étais si jeune, si stupide, si faible… À cette époque, je pensais que rien de pire ne pouvait m'arriver, mais là encore, je me trompais.
Le Charognard était probablement meilleur opportuniste que je ne le suis et que je ne le serai jamais. Il ne se salissait jamais les mains, ne s'impliquait jamais directement. En me recueillant il avait réalisé que les gamins des rues représentaient une main d'œuvre peu chère et tristement intarissable. Alors, bien vite, je me suis retrouvée avec quelques frères et sœurs avec qui je parcourais les rues de la cité. J'étais heureuse en ce temps-là. J'avais une “famille”, une vie “amusante”, même si contraignante malgré tout. Hélas, malheureusement pour moi, cela ne dura pas non plus.
Quand la puberté vint se manifester, le Charognard décida de m'employer différemment. Je troquais la rue et ce semblant de liberté pour l'air étouffant d'une cave sombre que je ne quittais que quelques heures par jour, une fois la nuit venue. Me voir ainsi grandir, changer, sembla alors lui offrir de nouvelles opportunités beaucoup plus lucratives. C'est ainsi qu'il débuta son petit commerce, celui qui me plaça directement au rang de marchandise, mais également de prisonnière. Tu ne m'en voudras pas, j'espère, de ne point te décrire cette partie-là de mon existence. C'est si humiliant, écoeurant même… Le simple fait d'y songer suffit à me donner la nausée… J'étais si misérable, si en colère et pourtant si impuissante… Tu vois les marques profondes dans mon dos ? Ce sont les empreintes laissées par son fouet. Voilà comment se soldaient chacune de mes tentatives de rébellion ou d'évasion.
Mon calvaire, comme celui d'autres filles, dura une éternité, ou presque… Jusqu'à ce que les dieux ne décident de nous délivrer en nous offrant une opportunité incroyable… La seule que je ne pouvais rater. Le voile m'a fait oublier un bon nombre de détails mais pas les plus importants, ceux qui me permirent de regagner ma liberté et mon humanité. Je me souviens du regard du Charognard… Un regard sombre et brillant à la fois, lorsqu'il se posa sur la jeune Sybil. Je me souviens du poignard sur la table, celui dont il se servait pour nous punir lorsque nous le décevions. Je me souviens encore de son poids dans ma main. Je me souviens de ce désir si profond de le voir mort, de le voir souffrir… Je me souviens de la sensation de plaisir que j'ai ressenti lorsque la lame a pénétré sa chair, encore et encore jusqu'à ce que cette charogne ne s'écroule …De celle plus profonde encore de constater que toute vie l'avait quitté, enfin…
J'étais libre...
Et puis, après ça, tout devint plus ou moins flou. Les souvenirs qui me restent sont quelque peu troublés par le contexte et les années écoulées. Je sais que j'ai rapidement quitté cette maison pour profiter de l'air extérieur. Je me rappelle avoir dansé jusqu'à en avoir mal aux pieds. Avoir chanté jusqu'à en perdre la voix… Avoir bu, jusqu'à plus soif. Avoir mangé jusqu'à en vomir… J'avais onze ou douze ans, peut-être plus, peut-être moins. Le temps n'avait plus la moindre importance ni pour moi ni pour les habitants de la cité euphorique, frénétique… Cette nuit a duré des jours, des semaines peut-être, voire même des mois, qu'en sais-je… Et puis, à l'aube, quand le soleil se leva enfin, j'étais seule. Je me souviens du vide en moi… Comme si l'on m'avait arraché une chose des plus importantes : la pleine, la véritable liberté.
Ce matin-là, je me suis réveillée dans une maison vide de vie. Les propriétaires devaient dormir ailleurs avec d'autres personnes… Je ne sais pas trop ce que je fichais là, ni même à qui pouvait bien appartenir cette baraque. Mais si mon âme me semblait atrocement vide, mon sac, lui, était plein d’or et d’objets onéreux qu'il me serait aisé de vendre. Alors j'ai réalisé mon rêve de toujours, je suis partie. J’ai quitté la grande ville, mes pseudos frères et sœurs que je n'avais plus revu depuis la nuit tombée. J'entrepris alors ce qui serait le début de mon voyage, en laissant mon enfance définitivement derrière moi.
C’est là, parmi les marchands de la caravane, que j’appris ce qu’était réellement le voile et ce que les chants d’Arcam avaient fait faire aux gens de la région. Ils leur avaient permis de faire tomber leurs inhibitions, de réaliser leurs désirs plus ou moins refoulés… Moi, ils m'avaient donné du courage. Ils m'avaient rendu ma volonté de vivre et de croire en l'avenir.
Je passais les années suivantes à visiter chacune des cités de l’Ithri'Vaan, en rejoignant quelques caravanes marchandes ou en me mêlant aux saltimbanques nomades. Chaque fois, je changeais de nom, d’histoire, de travail afin d'enrichir mes connaissances. Puis, une fois arrivée à destination, je m'éclipsais simplement pour poursuivre mon petit bonhomme de chemin de mon côté. Il est bien plus aisé de jouer un rôle lorsque l'on sait de quoi on parle, n'est-ce pas ? Je veillais donc à saisir chacune des opportunités qui s'offrait à moi. Lorsque j'ai eu besoin d'apprendre à me défendre, j'ai su me trouver les bons professeurs. Évidemment, je n'ai pas la prétention de dire que je pourrais survivre à une bataille, mais je sais au moins tenir une lame sans trembler. J'ai procédé de la même manière pour apprendre à panser une plaie, pour recoudre les chairs. J'ai suffisamment observé une vieille soigneuse pour donner l'illusion de savoir faire aussi bien qu'elle, même s'il n'en est rien. Je peux ainsi endosser plusieurs rôles : danseuse, soigneuse, cartomancienne. Je ne volais plus que lorsque je n'avais pas d'autre choix.
Je n’ai pas beaucoup changé, à dire vrai. Je mène toujours ce genre d’existence. J’ai juste un peu plus d’expérience, plus de facilités, aussi. Une fois l'âge de la puberté révolu, j'ai même pu ajouter la séduction à la liste de mes compétences.
Évidemment, il m'est arrivé de prendre quelques travaux plus honnêtes afin de bénéficier du gîte et du couvert pendant quelque temps… J'apprends vite et je parviens toujours à m'adapter au lieu ou à la situation. Je n'ai jamais eu le moindre souci pour trouver du travail. Néanmoins, ma personnalité, mon besoin viscéral de liberté et mon désir de découverte, me poussent à ne jamais m'attarder trop longtemps. Je ne tiens pas à prendre le risque de m'attacher aux lieux que je visite ou aux gens que je rencontre. Quand on vit comme moi et que toute votre existence est un mensonge, cela peut vite s'avérer dangereux et ce, de bien des manières. J'ai vu bien des escrocs en tous genres se faire avoir bêtement. Alors, j'estime que mieux vaut éviter de prendre ce genre de risques inconsidérés. Plus particulièrement avec les hommes, d'ailleurs. Si je n'ai rien à leur soutirer - qu'il s'agisse de richesses ou de connaissances - j'aime mieux les éviter comme la peste. Surtout si j'ai le malheur de les trouver attirant.
Je me suis faite avoir une fois, une seule et je te promets que ce sera la dernière. C'était un jeune forgeron aux yeux bleus dont je tairais le nom pour mieux l'oublier. J'ai vécu à ses côtés une année entière, l'aidant à son atelier ou dans la boutique. Je n'étais pas malheureuse avec lui. Quelque part, je pense même en être tombée amoureuse, enfin… que suppose… Mais lorsqu'il finit par me demander en mariage, je fus prise de panique. Je ne me suis jamais imaginée en épouse, tu sais, surtout avec les "à côté" en culottes courtes… C'est tout bonnement une idée qui me répugne. Pour moi, cela reviendrait à offrir ma vie ou ma liberté à une autre personne… Des entraves à cet affranchissement si durement acquis après toutes ces années. C'est donc tout naturellement que j'ai pris la fuite et ce, dès le lendemain matin, avant même le lever du soleil… C’est une décision que je n’ai jamais regrettée.
La voilà, mon histoire. Elle n'est pas très reluisante, n'est-ce pas ? Tu comprends maintenant pourquoi je préfère garder tout cela pour moi. Je ne peux pas livrer ce genre de détails à n'importe qui. S'il y a bien une chose que tout cela m'a appris c'est que l'on ne peut faire confiance à personne. Les gens de ce monde sont tous vils, tu sais. Ils aiment découvrir tes faiblesses pour les exploiter simplement pour mieux se servir de toi… Tu en as fait l'expérience toi-même, n'est-ce pas ? Cela se voit dans tes grands yeux noirs. Toi aussi, on t'a trahi, blessé, utilisé… C'est pour cela que l'on se comprend si bien, toi et moi. C'est pour cela que je peux si facilement te parler sans craindre ton jugement. C'est pour cela que je peux t'appeler "mon ami" sans la moindre hésitation. Jamais tu ne me trahiras. Tu es comme moi… Je l'ai toujours su, et ce, dès l'instant où j'ai croisé ton regard. Tu es un bon chien, Léïos. Jamais je ne t'abandonnerai.
HRP:
Dernière édition par Alyah le Lun 22 Fév 2021 - 10:46, édité 1 fois
Alyah
Humain
Nombre de messages : 16 Âge : 38 Date d'inscription : 22/02/2021
Un difficile début, espérons que tes aventures s'améliorent!
Code:
[Métier] : Opportuniste
[Sexe] : Féminin
[Classe d'arme] : Corps à corps
[Alignement] : Chaotique neutre
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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Sujet: Re: Alyah, le courant d'air [Terminé]
Alyah, le courant d'air [Terminé]
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