Discutions Agités [pv Capt'ain]

Il y eut un nouveau hurlement, cependant, ces cris, l'agiation, rien ne semblait préocuper et perturber Ulrich qui ordonna d'une voie claire aux hommes de tenir plus solidement le pauvre marin. Les passants s'arrêtaient de temsp en temps pour voir la scène, d'une rare violence.

Non, pas de lutte ici, juste de la chirugie un peu...violente... Le malheureux allongé sur un table en pleine rue, car ainsi le médecin pouvait profiter de la lulière du soleil, avait reçut un carreau d'arbalète quelques jours avant et, si on le laisser ainsi, la plaie risqué de se sur-infecté et la gangreine menacerait alors. Ainsi, armé d'un couteau, notre "médecin" ou boucher, celon les point de vue, cherchait la pointe de métale dans la jambe du malheureux.

Ce dernier bien qu'ayant reçut une forte dose d'alcool ne cessait d'hurler au contacte de la lame du Vent Noir. Mais Andorias restait inpertubable, charcutant sant la moindre hésiation le pauvre homme.

Les cheveux attachés, le visage couvert de sang, il manier de façon experte le bistourie et sortie, triomphant le dit carreau. Une voie familière l'interpella alors qu'il allait refermer la plaie à coup de torche.C'était celle du capitaine, il en était sûr! que lui avait-il dit? Il l'avait mal entendu avec les cris du blessé...

-Vous pouvez répetter capitaine, je n'ai pas entendu...

J'ai dis , de quel droit se permet t'on de massacrer des pauvres hommes blessés dans la rue, alors que aujourd'hui Dimanche c'est le jour du marché et que ce foutus jour il y à des millions de gens qui passent exactement ici??!!

Jonh était entré dans une colère noire, non pas que l'homme qui était en train d'agonisé, sanglotant dans une mare de sang ses yeux étaient révulsés et ses bras se levaient à certains moment par gestes convuslif. Il avait dit ces mots en pointant son doigt sur la foule agglutiné devant la scène. Des vieillards, des dames des enfants formaient un masse hétéroclite de personne qui n'avaient pas à voir ce genre de spectacle.

Allez tout le monde dégage ou mon cher second se fera le plaisir de vous offrir une consultation gratuite!! Allez dégagez le spectacle est terminer.

Malheureusement quelques badaud restaient là. Vite jetés à grand coup de pieds au derrière. Un fois seul avec ses hommes Kernok se retourna.

Busard prends Jörel avec toi , vous êtes inconscient de l'avoir emmenés ici. Bon vous me rangez tout ça avant que Amrass vienne fouiner dans nos affaires et déguerpissez je veux plus entendre parler de vous pendant un mois au moins sinon !!
Ulrich toi tu restes on va s'expliquer tout les deux.

Sans même daigner un regard à la foule où à son capitaine, Ulrich nettoyer consciencieusement ses outils de médecins. Il avait sur le visage une traînée de sang qui le rendait quelques peu, terrifiant. Il n'avait pas peur du capitaine, après tout, il avait fait son travaille. Retirer un carreau d'arbalète n'était pas joli a voir. Si les passants ne voulaient pas regarder, ils ne regardaient pas. C'était aussi simple que cela. Mais là notre Kernok faisait une de ses crises habituels, rien de grave en sommes.
Ainsi, tout en essuyant ses ustensiles avec un linge propre il souffla doucement, d'une voie sans a moindre animosité:

-Où je l'opérais, où il attrapait la gangrène qui est mortelle. Si tu ne veux pas que je le fasse en pleine rue, offre moi une maison avec une cours intérieur, j'ai besoin de lumière. Et la lumière du soleil est la meilleur. Autre chose a dire? Je veux dire, si tu veux que les hommes meurent, tu le dis, le je les laisse crever!

Cette tirade finite, le médecin de bords s'arrêta, et rangea le dernière instrument nettoyer, fixant le capitaine de ses yeux ternes. Il attendait la riposte, le tirs des canons, la tornade, bref, la réponse habituel de Kernok qui était pour changer en colère. Cet homme devrais prendre du thé avant de s'endormir...

Jonh se plongea dans ses pensées, le vent Noir lui était très utile et pour rien au monde il l'aurait substituer. Il était excellent médecin, parfait second, très bon marin et surtout provoquait peur à tout marin conscient de sa légende. D'ailleurs de nombreux pirates extrêmement prometteur avait catégoriquement refuser de porter allégeance au Mermaid lorsqu'il avait appris sa présence à bord et surtout le rôle qu'il y jouait. Mais Kernok s'était lié avec son second il était mélancolique à en chialer, mais, sympathique si on prenait le temps de le connaitre chose que seul lui avait pris le temps de faire jusqu'à aujourd'hui. Il pris une profonde inspiration et puis finit par dire tentant de faire paraitre sa voix la plus clame possible malgré les baffes qu'il avait envie de lui coller dans sa tronche de chien battu.

Il va s'en sortir cette lavette ? Peu importe après tout tu as fais de ton mieux n'est-ce pas ? Bon pour la maison avec cour donnant sur l'extérieur je crois que tu peux te brosser Michelle, tout Capitaine que je suis je suis presque à fond de cale niveau sous il serait temps que le Mermaid reprenne le chemin de la mer. Il serait à mon avis plus sage que les opération chirurgicales se fassent sur le pont du navire, afin que les marmots ne grandissent pas avec ce genre d'images dans la tête. Sinon la nouvelle génération ne sera faite que de Kernok et je ne suis pas sur que ce soit propice à Méca.

Un sourire vint fendre le visage de Kernok en deux , ce sourire carnassier qui faisait rappeler qui il était vraiment sous ses traits infantiles de jeune mousse.

Je veux par contre que tu taises cette conversation, aux autres, j'aimerais aussi que tu commence à recruter des Marins femmes ou homme peu m'importe tu le sais bien afin que nous nous préparions pour le voyage qui me semble inévitable. Mais allons se dégourdir le gosier avant ça, la main du destin s'accroche à ma gorge et je ne saurais survivre si un goute de rhum de viens pas la délogée rapidement! Qu'en dis tu Ulrich ?

Le médecin rangea consciencieusement ses outils, il détacha ses cheveux et d'un geste simple et peu raffiné, il épongea le sang qu'il avait sur le visage d'un revers de manche.
Le pourquoi de la couleur de sa chemise rouge étai alors expliqué. Oui, il leur fallait de l'argent. Le second avait étudier les cartes, et avait trouver une petite zone d'attache, sur la plaine d'atral, un village pas très grand mais avec un port. Ils pourrait aller ici pour ensuite écumer les mers à la recherche de vaisseau à piller.
Il faudrait qu'il lui soumettent l'idée.
Ainsi, Ulrich acquiesça de la tête et les deux compères allèrent dans l'auberge la plus proche, ce qui ne demanda pas plus de quelques secondes pour en trouver une...
Uen fois à l'intérieur, les deux hommes s'assirent à une table et le second souffla à son chef:

-J'ai fait quelques plans Kernok...J'ai trouver un village susceptible de nous héberger. Nous le prendrons comme port d'attache pour faire des aller retours entre Méca et ce dit village. Pour le recrutement, je pense que vous devriez plutôt vous en occupez, moi, j'irais sur place pour vérifier si nous avons assez de place pour notre navire. Si tu es d'accords.

Le Vent Nori marqua une pause, hum, oui, recruter, il fallait des marins, il leur manquait quoi? Une vigie? Oui, de simple marin suffirait, même des hommes sans expérience, il manquait juste de bras, les plus utiles existaient déjà...Enfin, Ulrich savait que Kernok était plus doué que lui pour trouver les pires raclures que les océans aient portés...

» Discutions stratégique [PV Ultuant, éventuellement Conrad]

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